12/12/2025
🥴 La gu**le de bois n’est pas un lendemain. C’est un symptôme.
On banalise les lendemains malades parce que l’alcool est la seule drogue qu’on continue de défendre.
On rigole de nos gu**les de bois, on s’y prépare, on organise parfois des week-ends entiers autour d’elles …
Mais rien de tout ça n’est normal.
Parfois je me dis que si l’alcool arrivait sur le marché aujourd’hui, il serait interdit.
Si n’importe quelle autre substance nous faisait nous réveiller :
✔️ déshydraté
✔️ nauséeux
✔️ épuisé
✔️ anxieux
✔️ ayant du mal à fonctionner
✔️ …
On parlerait d’un problème, pas d’une « bonne soirée ».
Une gu**le de bois, c’est notre corps en détresse :
👉 système nerveux à bout
👉 foie saturé
👉 sommeil détruit
👉 hormones et neurotransmetteurs en chaos
Et pourtant, on continue.
Parce que « tout le monde » le fait.
Parce qu’on croit que c’est le « prix à payer ».
Mais vraiment, pourquoi défendre ce qui nous rend malades ?
Pourquoi glorifier un toxique qui nous vole nos matins, notre énergie, notre paix intérieure ?
Pendant des années, j’ai cru qu’il fallait choisir entre se sentir vivant le soir ou se sentir humain le lendemain.
Comme si s’abîmer faisait partie du rituel social.
Puis j’ai arrêté. Et j’ai compris une chose simple :
💠 Il n’est pas normal de se réveiller malade.
💠 Il n’est pas normal de perdre sa journée.
💠 Ce n’est normal que dans une culture qui refuse de regarder l’alcool en face.
Changer, c’est juste accepter cette vérité : ton corps n’a jamais été d’accord avec ce « rituel ».
**ledebois