Sois - Grandis - Ose

Sois - Grandis - Ose Passeuse d’authenticité. J’accompagne les êtres sensibles à revenir à eux, là où ça sonne juste.

Coach en retour à soi • Thérapeute en psychologie émotionnelle • Exploratrice du vivant. ✨ J’accompagne celles et ceux qui ont envie de revenir à l’essentiel : eux-mêmes.

Quand tu lances quelque chose qui compte vraiment pour toi comme ce projet de cœur par exemple, chaque réponse, chaque s...
13/11/2025

Quand tu lances quelque chose qui compte vraiment pour toi comme ce projet de cœur par exemple, chaque réponse, chaque silence, prend une importance émotionnelle énorme. Et c’est normal. Chaque message de soutien valide ce que tu ressens au fond de toi, chaque silence active tes doutes quant à être à ta juste place, si tu laisses faire ton mental...

Et dans ces périodes, il est utile d'apaiser cette insécurité et te rappeler ces choses :

1. Les gens ne répondent pas par manque d’intérêt ou de soutien : ils répondent… selon leur vie du moment. Certains voient le message trop vite, se disent « super ! », puis oublient de répondre.
D’autres sont touchés mais n’osent pas dire « j’aimerais » parce qu’ils ont peur de s’engager.
D’autres encore ne savent pas formuler un soutien dans ces contextes-là.

Cela ne dit rien sur la valeur de ton projet... encore moins sur toi...

2. Ton projet touche à l’intime : en l'occurrence, un cercle de femmes, ce n’est pas un atelier cookies.
C’est un espace où on parle de vraie vie, de vulnérabilité, d’authenticité. Ça attire beaucoup…
… mais ça peut impressionner aussi. Certaines vont te suivre dans l’ombre et simplement observer. Et parfois, elles reviendront des semaines plus tard.

3. Tu reçois exactement les personnes alignées : tu le sais : tout ce qui est authentique attire moins, mais attire mieux. Ce que tu proposes est profond, pas “mainstream”. Donc les réponses seront moins nombreuses, mais tellement plus vraies.

Les premières à répondre seront souvent celles qui ressentent déjà l’appel, celles qui vibrent comme toi, et dans tous les cas, celles qui auront leur place dans ton projet.

Et c’est une bonne chose, cest ce qu'on appelle une sélection naturelle 🍃

Lorsque tu es dans ce moment de grande ouverture, lorsque tu commences à Etre, Grandir et Oser, tu crées un espace encore inconnu pour bon nombre, et tout le monde ne sait pas comment répondre à ça.

L'essentiel est de suivre l'énergie qui circule en toi et d'oser briller car c'est elle qui te guide vers ta vérité 🙏🍀💞

Authentiquement Jess,

Je réalise aujourd’hui, plus que jamais, que mes enfants sont bien plus que des êtres que j’élève : ils sont les miroirs...
20/09/2025

Je réalise aujourd’hui, plus que jamais, que mes enfants sont bien plus que des êtres que j’élève : ils sont les miroirs vivants de mes propres blessures. Chaque peur qu’ils expriment, chaque colère, chaque doute, chaque difficulté n’est pas seulement le reflet de leur monde intérieur, mais aussi une résonance avec le mien, avec le nôtre.

Longtemps, j’ai cru que leur hypersensibilité, leurs angoisses ou leurs questionnements venaient uniquement d’eux. Mais plus je les observe, plus je comprends que ce qu’ils réveillent en moi est le véritable enseignement. Ils sont là pour me montrer ce que je porte encore, ce que je n’ai pas encore guéri, ce que j’ai parfois enfoui si profondément que je croyais avoir oublié.

Leur présence me pousse à regarder en face ces zones fragiles de mon histoire : la peur du rejet, le sentiment de ne pas être assez, le besoin d’être aimée telle que je suis. En les voyant lutter avec ces émotions, je me revois enfant, et je comprends que la vie me donne une chance d’écrire une autre fin à ce récit intérieur.

En vérité, nos enfants ne sont pas là pour qu'on les façonne, mais pour que l'on se transforme. À travers eux, je contacte mes blessures, et je découvre, dans le même mouvement, la puissance de l’amour qui les transcende.

Et vous?

La guérison de l’âme ne vient pas d’un coup de baguette magique ni d’une fuite en avant. Comme l’escargot, nous avançons...
31/08/2025

La guérison de l’âme ne vient pas d’un coup de baguette magique ni d’une fuite en avant. Comme l’escargot, nous avançons lentement, pas à pas, en portant notre maison — nos blessures, nos histoires — sur notre dos.

Vouloir s’en débarrasser reviendrait à renier une part de nous-mêmes. Ce poids fait partie du chemin, mais il peut s’alléger si nous apprenons à l’accueillir.

L’escargot nous enseigne la patience et l’intériorité : se retirer dans sa coquille quand c’est nécessaire, puis ressortir quand vient le moment.
Ainsi, les émotions, une fois reconnues, perdent de leur intensité. Et dans ce rythme lent et sage, la paix finit par revenir.

Comme lui, avançons en douceur, en suivant les trois étapes essentielles :

- Prendre conscience de ce que nous portons ;

- Accepter d’habiter pleinement notre coquille ;

- Poser des actions libératrices pour transformer notre chemin en expérience de guérison et d’amour de soi. 🙏🫶💫

Lettre à celle qui traverse, sans renoncer à la lumièreTu as le droit d’être fatiguée.Tu as le droit d’être épuisée d’êt...
26/07/2025

Lettre à celle qui traverse, sans renoncer à la lumière

Tu as le droit d’être fatiguée.

Tu as le droit d’être épuisée d’être forte, de devoir tout porter, tout comprendre, tout reconstruire avec le coeur ouvert et tes valeurs tranchantes dans un monde qui a tendance à les étouffer.

Tu as le droit de poser les outils, de laisser tomber ce taille-haie trop lourd, de te laisser glisser à genoux dans l’herbe en disant simplement : “je ne peux plus”.

Parce que derrière ces tâches qu’on croit ordinaires, il y a une réalité que peu voient : celle d’une femme qui a grandi dans un monde où le masculin n’a pas tenu sa promesse, celle d'être présent, de protéger, de soutenir, de faire alliance...

Tu aurais pu fermer ton cœur. Tu aurais pu te contenter. Au contraire, tu as choisi de ne pas te mentir, et cette fidélité-là… c’est de l’or. Même si, aujourd’hui, elle te semble peser comme du plomb.

Je veux que tu saches que ta lucidité est noble et que cette souffrance n’est pas un échec. Elle est le signe d’un espace vivant en toi, qui n’accepte plus l’injustice ni les demi-vérités.

Et oui, tu as mal parce que tu aimerais qu’un homme tende la main sans que tu aies à supplier ou expliquer parce que toi, tu as appris, très tôt peut-être, que demander, c’était risquer de déranger, c’était prendre le risque du refus, ou exposer une fragilité que personne ne savait accueillir sans la juger.

Alors tu t’es tue. Et tu as espéré.
Et tu as continué à faire seule. A être forte. Pour ta tribu.

Alors, aujourd’hui, prends ce moment pour pleurer sans honte.
Pour reconnaître tout ce que tu portes, et qui n’a pas toujours été reconnu.

Et surtout, honore cette partie de toi qui continue de croire en un amour vrai, en une présence juste, même si elle n’est pas encore là.
C’est elle qui trace le chemin.

Tu n’es pas seule. Tu es pleine de la femme que tu deviens, à chaque pas, à chaque larme, à chaque prise de conscience.

Et ça mérite d’être embrassé. 🙏✨💛

Être un peu égoïste est très sain quand on comprend la vraie puissance de ce mot... Étymologiquement, l'égoïsme est le f...
13/07/2025

Être un peu égoïste est très sain quand on comprend la vraie puissance de ce mot... Étymologiquement, l'égoïsme est le fait de recentrer son attention sur le Soi. En vérité, il ne s'agit pas devenir indifférent aux autres mais d’une forme d’honnêteté intérieure. Il ne s'agit donc pas de rejeter le monde ni de faire "ce que je veux, peu importe les conséquences".

Être sainement égoïste, selon moi, c'est :
● Prendre un moment pour aller en soi.
● Avant de répondre aux attentes, de plaire, de sauver, de s’adapter… Se demander :
¿ Qu’est-ce qui vit en moi ?
¿ Qu’est-ce qui a besoin d’être entendu ?

Etre égoïste dans le sens commun qu'on en a fait, c'est écouter la peur qui isole, la blessure qui se referme et qui entraîne une RÉACTION...

Or, l'égoïsme quand il n'est pas dénaturé, c'est écouter cette voix plus profonde, plus vraie, celle qui réclame peut-être du repos, un espace, une cohérence, une vérité.

Parce qu’on ne peut pas bien aimer, bien donner, bien être là… tant qu’on est coupé de soi.

Alors oui, parfois, prendre soin de soi, c’est refuser, c’est dire non.

Mais pas pour se protéger contre les autres :

Pour mieux se retrouver avec soi. Et avec les autres. En conscience. 🙏☀️🫶

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