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Essence CIEL, Rue des Francs 13, Waimes (2025)

26/12/2025

"L'intuition n'est pas toujours une voix claire qui nous parle.

C'est parfois le mal de ventre ressenti lorsque quelque chose ne va pas dans notre vie.

C'est l'envie de fuir lorsque nous ne sommes pas à la bonne place.

C'est le malaise général, mais diffus, lorsque nous sommes en présence de certaines personnes.

Par contre, c'est aussi une impulsion spontanée de faire quelque chose de différent.

C'est l'envie soudaine d'appeler une personne sans savoir qu'elle en avait justement besoin.

C'est un élan qui nous guide sur un chemin différent, vers des messages extraordinaires.

C'est savoir que nous sommes à notre place, sans pouvoir l'expliquer clairement.

C'est sentir monter des vagues d'émotions qui montrent lorsque nous sommes avec la bonne personne.

C'est faire confiance en la Vie...

C'est aussi notre petite voix qui nous enjoint à dire oui alors que notre mental rationnel croit que nous devrions dire non.

L'intuition, c'est tout notre corps qui nous lance des signaux, c'est la Vie qui nous envoie des synchronicités, c'est la lumière qui guide notre chemin et c'est le message d'amour lumineux que notre âme nous envoie..."

Texte Diane Gagnon🍀🍀
Dessin kalisami 💕

23/12/2025

✨ La tendresse n’est pas une faiblesse

La tendresse nous rend perméables à la vie.
Elle ouvre des passages là où la dureté érige des murs.
Elle nous rend sensibles au mystère qui palpite autour de nous,
à ce qui ne se voit pas mais se ressent profondément.

Ceux qui se ferment, qui se raidissent pour se protéger,
croient parfois être forts…
mais ils deviennent imperméables à la joie.
La vie les frôle sans jamais les toucher.

La vie, elle, se donne pleinement
à celles et ceux qui osent la douceur,
qui choisissent l’amour, la compassion,
qui laissent leur cœur rester vivant, ouvert, vibrant.

Alors oui, parfois, le cœur fait tomber les certitudes.
Il peut même faire vaciller la tête.
Mais perdre un peu de contrôle pour rester vivant,
n’est-ce pas infiniment plus beau
que de tout maîtriser en ayant le cœur fermé ?

Choisissez d’être un cœur.

Le reste suivra. 💗

©️Nanshe Ea

🎨 Sara Gagnon

22/12/2025

POURQUOI LA COLÈRE CONSTANTE GARDE TON CORPS EN ÉTAT D'INFLAMMATION

La colère constante n'est pas seulement une émotion passagère : lorsqu'elle devient habituelle, elle maintient le corps dans un état d'inflammation chronique de faible degré. Chaque ép*sode de colère active les mêmes mécanismes biologiques qu'une véritable menace. Le cerveau interprète la colère comme un danger et déclenche la réponse au stress, libérant l'adrénaline, la noradrénaline et le cortisol. Lorsque cette activation se produit de façon répétée, l'organisme ne réussit pas à retrouver complètement l'équilibre et l'inflammation devient persistante.

Du point de vue physiologique, la colère active le système nerveux sympathique, augmentant la fréquence cardiaque, contractant les vaisseaux sanguins et détournant l'énergie vers la survie immédiate. Cet état réduit l'activité du système parasympathique, chargé de la réparation et de la régénération. En conséquence, le corps reste en « mode défense », ce qui favorise la libération continue de cytokines pro-inflammatoires, substances que le système immunitaire utilise pour répondre aux menaces, mais qui endommagent trop les tissus sains.

Le cortisol joue un rôle clé dans ce processus. Bien qu'il ait des effets anti-inflammatoires à court terme, son élévation chronique par colère répétée génère une résistance au cortisol. Cela signifie que les cellules immunitaires cessent de répondre correctement à leur signal régulateur, permettant ainsi à l'inflammation de rester active sans contrôle. Ce phénomène explique pourquoi les personnes vivant avec une colère constante peuvent développer des douleurs musculaires, des raideurs articulaires, des inconforts digestifs et une fatigue persistante sans cause médicale claire.

En outre, une colère soutenue a un impact sur l'intestin, l'un des principaux centres immunitaires du corps. Le stress émotionnel altère le microbiote et augmente la perméabilité intestinale, permettant le passage de substances inflammatoires dans le sang. Ce processus renforce l'inflammation systémique et envoie des signaux constants d'alarme au cerveau à travers l'axe intestin-cerveau, fermant un cercle d'irritation émotionnelle et d'inflammation physique.

Au niveau cardiovasculaire, l'état inflammatoire induit par la colère endommage l'endothélium vasculaire, favorisant la rigidité artérielle et l'augmentation de la pression artérielle. Dans le cerveau, l'inflammation chronique affecte la plasticité neuronale, réduit la clarté mentale et augmente la réactivité émotionnelle, rendant la personne encore plus encline à s'irriter. Le corps apprend à vivre enflammé quand l'émotion n'est pas réglée.

Réguler la colère ne signifie pas la réprimer, mais la poursuivre et la libérer sainement. Respiration profonde, activité physique, expression émotionnelle, pauses conscientes et travail émotionnel réduisent l'activation du système de stress et permettent de réduire l'inflammation. Quand la colère se calme, le corps cesse de se battre contre lui-même. L'inflammation ne commence pas toujours dans le corps ; elle commence souvent dans une émotion soutenue.

Fuente : Psychoneuroendocrinologie ; Journal of Behavioral Medicine ; Cerveau, Comportement et Immunité.

20/12/2025

🔄✨ La Saturation Énergétique (ou quand vous avez absorbé toute la misère du monde)✨🔄

Bonjour à vous, chères éponges ambulantes qui captent tout même quand elles demandent rien,

La semaine dernière, on a viré les objets qui plombent dans notre foyer. Aujourd'hui? On vide votre système interne.

Parce que franchement, vous avez absorbé toute la misère du monde depuis plusieurs semaines. Le stress de Sandra. L'ambiance pourrie du repas de famille. Les énergies bizarres de ce type au supermarché. Et vous continuez comme si de rien n'était 😅.

Il y a certains jours où vous vous levez le matin et vous sentez... lourde. Pas malade. Pas grippée. Juste saturée.

À peine sortie du lit, vous vous traînez jusqu'à la cuisine en mode zombie. Le café ne change rien. Vous ressentez cette sensation bizarre, comme si pendant la nuit, un vampire avait aspiré toute votre énergie.

(Bon, d'habitude ils préfèrent votre sang, mais apparemment ils se sont recyclés dans l'énergétique 😅)

Bienvenue dans la saturation énergétique.

🌿 Pourquoi ça vous arrive (spoiler: vous absorbez TOUT)

Parce que vous êtes une éponge. Vous absorbez tout ce qui traîne. Et surtout les énergies négatives qui vous entourent.

• Le repas de famille dimanche dernier.
Vous pensiez juste manger des pâtes chez votre sœur. Genre, tranquille, pépère.

Sauf que.

Vous avez aussi absorbé: la tension entre votre beau-frère et votre sœur (qui ne se parlent plus depuis trois semaines et ça vibre méchamment fort la colère dans la cuisine), l'anxiété de votre belle-sœur qui vous a coincée dans le couloir pendant 45 minutes pour vous raconter ses galères de boulot, votre père qui fait sa tête de désapprobation silencieuse pendant tout le repas parce qu'il approuve toujours pas vos choix de vie, et votre neveu qui balance qu'il a eu 4/20 en maths juste avant le dessert.

Une tornade énergétique en plein milieu du tiramisu. Félicitations.

Vous êtes rentrée chez vous avec tout ça collé à vous. Dans votre plexus solaire. Sur vos épaules. Dans votre ventre.

• Sandra la pleurnicharde.
Vous la connaissez toutes. Cette fameuse "copine" qui débarque à 9h du matin avec sa tête des mauvais jours.

"Tu as deux minutes?"

(Spoiler: elle en a besoin de 45. Minimum.)

Elle vous raconte sa vie. Son ex qui la harcèle. Son chat malade. Son loyer qui augmente. La météo qui la déprime. Le prix de l'essence. La fin du monde prévue pour jeudi.

Et pendant ce temps, vous sentez votre énergie qui descend, qui descend, qui descend...

Vous repartez vidée. Avec SON stress collé à vous comme de la glu invisible.

Merci Sandra 🙄.

• Le type bizarre au supermarché.
Celui qui se colle trop près de vous dans la file. Qui respire fort dans votre cou devant les yaourts. Qui dégage une énergie tellement lourde que vous la sentez dans votre ventre.

Vous changez d'allée. Mais trop t**d. Son énergie pourrie vous a déjà contaminée.

Tout ça s'accumule. Jour après jour. Ça se colle à vous, ça s'installe dans vos chakras, ça pèse sur votre corps.

Et un jour, vous vous réveillez et votre corps dit stop.

Vous êtes pleine. Au taquet. Saturée.

🔮 Le reset (version faisable même quand vous êtes morte)

Bon, on va pas se mentir, tout ça ne va pas disparaître par magie.

Par contre, si vous écoutez votre corps, il va vous dire exactement quoi faire.

• Une do**he énergétique.
Vous vous mettez sous l'eau et vous visualisez que TOUT ce qui n'est pas à vous part direct dans les tuyaux. Le stress de Sandra? Évacué. L'ambiance pourrie du repas de famille? Bye. L'eau nettoie votre énergie comme rien d'autre. En plus vous ressortez propre physiquement ET énergétiquement 😅.

• Sortir dehors pieds nus.
Même cinq minutes. Même en décembre avec vos grosses chaussettes. Même si vos voisins vous regardent bizarrement en mode "elle a pété un câble celle-là". Tant p*s pour eux. La Terre absorbe ce qui est lourd depuis des millénaires. Elle ne râle jamais. Contrairement à Sandra 😅.

Marchez dans l'herbe si vous pouvez. Respirez profondément. Visualisez tout ce qui est lourd qui descend de votre corps et part dans la Terre. Trois minutes suffisent.

• Dire NON à Sandra.
Non, vous ne pouvez pas l'écouter pour la cinquième fois cette semaine. Non, vous n'irez pas à cette soirée qui vous plombe. C'est de la survie énergétique. Et hop, une source de pollution en moins 😅.

🌙 Ce que ça change concrètement

Moi, j'ai mis du temps à comprendre pourquoi je suis si souvent fatiguée. Pourquoi je me sentais vidée après avoir vu certaines personnes. Pourquoi j'avais besoin de trois jours de silence après un simple repas de famille.

Et puis j'ai capté. Je captais TOUT. Les émotions des autres, leurs problèmes, leurs énergies pourries.

(Et nous les hypersensibles, on est des champions toutes catégories pour absorber les énergies négatives. On pourrait avoir une médaille olympique.)

Mon top conseil? Je me coupe de tout. Pendant des jours. Mon téléphone? En mode avion. Ma porte? Fermée.

Mes proches ont capté maintenant. Ils savent que je suis en mode "recharge en cours, merci de ne pas déranger" 😅.

(Je suis longue à la détente niveau récupération énergétique. Mes guides peuvent témoigner.)

Votre énergie n'est pas illimitée. Vous avez le droit de nettoyer régulièrement.

Bon weekend de reset énergétique à vous 🔄✨

Et franchement, c'est quoi votre truc quand vous êtes saturée? Racontez en commentaire, on est entre nous.

Avec tendresse pour toutes celles qui absorbent sans le vouloir (moi la première),

Patricia 🌙✨

Image et texte Melle Pestouille ©️

Petit rappel amical : Ma créativité mérite le respect (et un bon café). Alors s'il vous plaît, ne faites pas de copier-coller. Le bouton 'Partager' est votre meilleur ami magique ! Merci 🌿

10/12/2025

🌞Reconnaître un message qui ne vient pas de nous
Un vrai message de l’Invisible ne ressemble jamais à une idée qu’on fabrique.👻
Il arrive net, comme une évidence qui se dépose sans qu’on l’ait cherchée.
Il ne force pas, il n’exige rien :les guides éclairés murmurent, seuls les esprits imparfaits crient.
Un message authentique laisse derrière lui une trace de paix, même s’il bouscule un peu. Il élève la conscience, ne nourrit ni la peur, ni l’ego, ni les blessures.
Ce qui vient de nous oscille, se contredit, suit nos humeurs.
Ce qui vient d’eux reste cohérent, doux, et libre de nos désirs personnels.
En vérité, c’est simple :un message qui ne vient pas de toi t’amène plus haut que là où tu étais avant.
Il ne t’enchaîne pas, il t’ouvre.
KARMA ✨️

03/12/2025

Pourquoi certaines personnes ne pardonnent pas.

Le pardon n’est pas difficile.
Ce qui est difficile, c’est la blessure qu’on demande de pardonner.

On accuse souvent les gens de “garder rancune”, d’être “têtus”, “orgueilleux”, “fermés au pardon”.
Mais la réalité est beaucoup plus simple et beaucoup plus dure :

Certaines personnes ne pardonnent pas parce que la blessure n’est pas fermée.
Elle saigne encore.
Elle brûle encore.
Elle vit encore.

On demande à quelqu’un de pardonner alors qu’il n’a même pas eu le temps de respirer, de comprendre, de se relever.
On exige un acte spirituel alors que le cœur est encore en état d’urgence.

On ne pardonne pas quand :
– la trahison a détruit l’image qu’on avait de soi,
– la parole blessante a été répétée pendant des années,
– le parent a humilié, ignoré ou brisé sans jamais s’excuser,
– le conjoint a détruit la confiance fondamentale,
– quelqu’un a piétiné la dignité qu’on essayait de protéger.

Le pardon n’est pas un bouton magique.
Ce n’est pas un ordre qu’on impose à quelqu’un.
C’est une conséquence de la guérison, pas son début.

Quand la mémoire est encore vive, le cerveau revient sans cesse sur l’événement, cherche une explication, crée des scénarios, réactive la douleur.
Dans cet état, parler de “pardonner vite” est injuste.

Le vrai travail, c’est d’aller dans la blessure, pas autour.
Nommer ce qui a été fait.
Reconnaître ce qu’on a perdu.
Traverser la colère au lieu de la cacher.
Reconstruire son identité avant de tendre la main.

Le pardon n’est pas un signe de faiblesse.
C’est un signe de reconstruction.
Mais on ne reconstruit pas un cœur qui n’a jamais été autorisé à se briser.

KABEYA - Institut de la Mémoire

02/12/2025

Si une émotion dure longtemps, les neurosciences montrent souvent que ce n’est pas l’émotion elle-même qui persiste… mais les circuits neuronaux que nous continuons d’activer.

Dans le cerveau, chaque pensée, chaque souvenir, chaque réaction crée une connexion.
Et plus nous activons une connexion, plus elle se renforce : c’est la plasticité neuronale.
Autrement dit : ce que nous répétons devient plus facile à ressentir.

Lorsqu’on revit une émotion négative , même seulement dans notre tête ,
le cerveau ne fait pas bien la différence entre ce qui est réel et ce qui est imaginé.
Il relance donc les mêmes circuits de stress, d’inquiétude ou de tristesse.
Et à force, ces circuits deviennent nos “autoroutes émotionnelles”.

C’est comme si le cerveau disait :
« Tu y reviens souvent, donc je vais rendre ce chemin plus rapide et automatique. »

On n’alimente pas un mal-être par choix :
on l’alimente parce que le cerveau répète ce qu’il connaît.
Il cherche la cohérence, pas le bien-être.

De plus, l’amygdale ,le centre d’alerte du cerveau , reste active tant qu’elle croit qu’un danger n’a pas été “résolu”.
Alors elle continue d’envoyer des signaux.
Et nous, on continue de penser, d’analyser, de ruminer, dans l’espoir de comprendre ou d’éteindre ce signal.
Mais cela entretient encore davantage l’émotion.

La bonne nouvelle, c’est que les mêmes lois du cerveau permettent aussi de sortir de ces boucles.
En changeant ce que l’on répète par la respiration, la présence, de nouvelles pensées,
ou même des actions très simples ,
on crée de nouvelles connexions,
de nouveaux chemins émotionnels plus calmes.

Une émotion finit toujours par se dissoudre
lorsque le cerveau n’est plus nourri par les mêmes réactions.
Ce n’est pas magique : c’est neurologique.

Charlotte Cellier

Essence CIEL

26/12/2025

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