Massothérapie et thérapie M.S.

11/15/2025

Cette histoire mérite d’être lue jusqu’au bout…

Une vieille femme avait deux grands pots qu’elle portait chaque jour sur ses épaules, attachés à un bâton.
L’un des pots était parfait. L’autre, fissuré, laissait échapper de l’eau tout au long du chemin.

Chaque jour, après avoir puisé l’eau au ruisseau, elle rentrait chez elle avec un pot plein… et un pot à moitié vide.
Pendant deux ans, ce rituel s’est répété.
Le pot parfait était fier.
Le pot fissuré, lui, avait honte de son imperfection. Il se sentait inutile. Brisé.

Un jour, il osa parler à la femme au bord du ruisseau :
« Je suis désolé… à cause de ma fissure, tu n’as jamais pu ramener toute l’eau. »

La vieille femme sourit tendrement et lui répondit :
« As-tu remarqué les fleurs qui bordent le chemin, de ton côté ?
Je savais que tu étais fissuré.
Alors j’ai semé des graines le long du sentier. Et chaque jour, sans le savoir, tu les as arrosées.
Grâce à toi, j’ai pu cueillir des fleurs magnifiques pour embellir ma maison. »

Morale :
Nous avons tous nos “fissures”. Des fragilités, des blessures, des défauts qu’on voudrait cacher…
Mais parfois, ce sont justement ces failles qui donnent naissance à la beauté.
Accepte-toi tel que tu es.
Tu ne le vois peut-être pas, mais tu fais déjà fleurir le monde autour de toi.

11/15/2025

Ce week-end, fais quelque chose de doux pour toi
Les petites attentions changent tout🌺

11/12/2025

— Alors, que faisons-nous maintenant ?
— L'amour.
— Tu en es sûr ?
— Sí.
— Très bien, je vais me déshabiller.
— Attends, pourquoi retires-tu tes vêtements ?
— Eh bien... pour le faire, non ?

— Qui t'a dit qu'il fallait se déshabiller pour faire l'amour ?
— C'est comme ça qu'on fait, n'est-ce pas ?
— Non, ce n'est pas la seule façon de faire l'amour.

— Et alors, comment ?
— Garde tes vêtements. Parlons, discutons jusqu'à ce que nos voix s'épuisent. Rions pour tout et pour rien, plongeons nos regards l'un dans l'autre jusqu'à chercher des fragments d'éternité dans nos silences. Faisons-nous l'amour non pas avec nos corps, mais avec nos âmes.

Regardons-nous, encore et encore, jusqu'à ce que les mots deviennent inutiles, jusqu'à ce que le silence devienne plus éloquent que toutes les phrases. Et là, dans ce vertige muet, nous pourrons enfin nous toucher. Tu comprends ?

— Nous toucher ?
— Oui. Mais pas de la manière dont tu l'imagines. Nous toucher avec la douceur d'une caresse suspendue, qui glisse lentement jusqu'à se dissoudre dans l'éternité d’un câlin.

— C’est beau.
— Donne-moi ta main.
— Sí.
— Tu sens ? Là, dans cette chaleur silencieuse, réside une des mille façons de faire l'amour.

C’est ça, l’essence même.

Garde tes vêtements. Parlons jusqu'à ce que le jour se lasse de nous écouter. Laisse-moi te regarder, observer la courbure de tes cils, la courbe de tes lèvres, et si un ba**er doit naître, il viendra sans qu’on le convoque.

Parlons encore, jusqu'à ce que nos mémoires n’aient plus de secrets, jusqu'à ce que nos âmes s’ouvrent sans retenue. Laisse-moi te contempler jusqu’à atteindre un plaisir sans égal, un délice pur et absolu. Laisse-moi te fixer, longtemps, jusqu’à ce que mes propres paupières fléchissent et m’invitent à rêver de toi.

— Et si tes yeux refusent de se fermer ?
— Alors je les garderai ouverts… pour te contempler toute la nuit.

Gabriel Garcia Marquez.
Juste toi.

11/12/2025

Et un jour, tu décides d’aller vers ton propre bonheur.
Tu décides de changer ce que tu peux changer, de transformer ce qui t’alourdit, de déposer ce qui ne t’appartient plus.
Tu décides de ne plus attendre que les choses s’améliorent d’elles-mêmes, mais de devenir l’artisan de ta paix.

Tu décides de t’écouter, vraiment.
De suivre ce murmure intérieur qui depuis toujours sait ce qui est juste pour toi.
Tu décides d’oser, même si la peur tremble au coin de ton cœur.
Tu avances, pas après pas, vers cette version de toi qui respire la liberté.

Et ce jour-là, sans même t’en rendre compte, tu redeviens vivant.
Tu retrouves ton élan, ta lumière.
Tu comprends que le bonheur n’est pas un but, mais un chemin que tu choisis , chaque matin, chaque geste, chaque pensée.

Et ce jour-là, tu décides, enfin, de te choisir.

Charlotte Cellier

11/09/2025

💞

11/08/2025

11/06/2025

Et un jour, tu dis stop.

Tu ralentis. Tu cesses de courir après le temps, après les autres, après des obligations qui t’éloignent de toi-même. Tu ne réagis plus aux sollicitations incessantes, aux questions qu’on te pose, aux attentes qu’on projette sur toi. Non pas par indifférence, mais parce que tu comprends enfin que tu dois t’occuper vraiment de toi.

Parce que tu es fatigué(e), fatigué(e) d’être partout sauf avec toi-même. Fatigué(e) de donner sans compter, d’écouter sans être entendu(e), d’avancer sans prendre le temps de respirer.

Alors, tu fais une pause. Pas une fuite, mais une nécessité. Tu prends le temps de remettre de l’ordre dans tes pensées, dans ton cœur, dans ta vie. Tu réalignes tes priorités, tu te recentres sur l’essentiel.

Et dans ce silence que tu t’accordes, tu réalises que s’arrêter, ce n’est pas abandonner. C’est simplement se choisir.

Charlotte Cellier

10/18/2025

Oh que O U I 🌼💛
Un petit truc par jour, selon ce qui te ferait le + de bien.