Sylvie Fusade, Art-thérapeute

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"L'art est une blessure qui se termine en lumière" (George Braque)
Auprès des enfants, adolescent.e.s, adultes, aînés /
Stress - Anxiété - Isolement social - Deuil - Rupture - Traumatismes, Difficultés à être - Créativité, Confiance en soi

Voici une proposition très alléchante pour des ados ayant la fibre créative!
10/06/2025

Voici une proposition très alléchante pour des ados ayant la fibre créative!

Et la vie ne cesse de vivre pour autant.
09/16/2025

Et la vie ne cesse de vivre pour autant.

"...Ces types d'objets servaient habituellement de moyens de protection – des talismans – souvent fabriqués par un chama...
09/16/2025

"...Ces types d'objets servaient habituellement de moyens de protection – des talismans – souvent fabriqués par un chaman. « On allait voir un chaman et on lui demandait d'intervenir pour tel ou tel problème », expliquait Ollman. « Ce chaman fabriquait alors un objet contenant certains types d'énergie. » Cette tradition est ancrée dans une culture profondément ancrée dans l'animisme, selon lequel toute chose possède un pouvoir spirituel."

Quel rapport avec l'art-thérapie me direz-vous ?
Selon mon point de vue, la personne qui les a réalisées devait avoir besoin d'exprimer sa créativité, avec une intention précise ou de manière totalement inconsciente, mais pour certainement pour s'aider à vivre.

What we know and what we don't know about the Philadelphia Wireman, one of the many artists whose stories risk going untold.

09/14/2025
Une collègue a écrit ceci dans le Journal de Montréal du 24 août 2025. Je partage car pertinent en t**i."Quand demander ...
09/03/2025

Une collègue a écrit ceci dans le Journal de Montréal du 24 août 2025. Je partage car pertinent en t**i.

"Quand demander de l’aide devient un parcours d’obstacles... même au privé

Au Québec, on parle souvent de prendre soin de sa santé mentale. On encourage les gens, les familles, à demander de l’aide, à ne pas attendre d’être au bout du rouleau. Mais une fois qu’on franchit ce pas, la réalité frappe fort: même dans le privé, obtenir du soutien devient un véritable parcours d’obstacles.

Boîtes vocales pleines. Listes d’attente fermées. Aucune place disponible. Et ce, même lorsqu’on est prêt à payer de sa poche. C’est ce que vivent de plus en plus de personnes qui se tournent vers un professionnel pour enfin aller mieux, que ce soit après des mois de réflexion ou dans un souci de prévention.
Surcentralisation des demandes
Cette problématique s’explique notamment par une surcentralisation des demandes vers la psychothérapie, comme si elle était l’unique voie vers le mieux-être. La psychothérapie est une pratique encadrée, précieuse et efficace pour bien des gens. Mais quand tout est canalisé vers une seule porte, on crée un goulot d’étranglement. Et on invisibilise d’autres approches qui devraient aussi être mises de l’avant, au détriment de toute une société.
Nombre de personnes cherchent un espace d’écoute, des outils concrets, un accompagnement pour traverser une période difficile ou apaiser des symptômes d’un trouble de santé mentale. Ces besoins peuvent être pris en charge de manière tout à fait rigoureuse par plusieurs professionnels qualifiés.
Le paradoxe est que ce débordement nuit aussi aux psychologues. Ils doivent souvent refuser des cas qui cadreraient pourtant parfaitement avec leur champ d’expertise, leur agenda étant déjà complet. De leur côté, d’autres professionnels de la santé mentale – travailleurs sociaux, art-thérapeutes, conseillers d’orientation, sexologues, ergothérapeutes, etc. – sont formés pour intervenir avant que le problème devienne pathologique. Ils soutiennent les personnes qui vivent un deuil, du stress, une transition de vie ou une difficulté émotionnelle ou les aident à s’adapter à une nouvelle réalité. Mais leur travail est souvent méconnu... ou non couvert par les assurances.

Couverture d’assurance
Et c’est là que le bât blesse. Beaucoup de personnes cherchent à voir un psychologue non pas parce qu’elles sont de véritables candidates à la psychothérapie ou parce qu’ils sont fermés à d’autres approches, mais parce que leurs assurances ne couvrent que ce service ou accordent un remboursement plus élevé à la psychologie qu’aux autres professions. Cela crée une hiérarchie injustifiée, accentue les inégalités d’accès et nuit à la santé des bénéficiaires de ces assureurs.

Il est temps d’élargir notre regard. De reconnaître que la santé mentale se travaille aussi en prévention, en interdisciplinarité, avec des ressources multiples et complémentaires.

La souffrance humaine ne peut pas toujours attendre ni toujours entrer dans un seul modèle d’intervention."

Audrey-Ann Pigeon, MAT, ATPQ - Art-thérapeute, fondatrice et présidente - Centre thérapeutique Boréal

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