Janick Milot Hypnothérapeute

12/22/2025

L'hypnose fascine depuis des siècles et suscite de nombreuses questions Qu'il s'agisse d'envoûter une salle comble lors d’un spectacle ou d’accompagner une personne dans sa démarche de mieux-être l’hypnose prend des formes variées Pourtant il existe une différence fondamentale entre l’...

12/18/2025

Très intéressant ❣️

12/17/2025

J’adore ❣️

Il est temps, en cette fin d’année, de te prioriser.
De revenir à toi, à ce qui compte vraiment, à ce qui te fait vibrer profondément. Après avoir tant donné, tant porté, tu peux maintenant te choisir sans culpabilité.

Te recentrer sur toi, c’est écouter tes besoins, honorer ton rythme, et reconnaître tout le chemin parcouru. C’est faire de la place pour tes projets, tes envies, tes rêves , même ceux que tu avais mis en pause. Ils méritent ton attention, ton énergie, ta foi.

Cette période est une invitation douce à faire le tri : garder ce qui t’élève, laisser partir ce qui t’alourdit. Avancer avec plus de clarté, plus de présence, plus de vérité.

Tu as le droit de ralentir, de réfléchir, puis de repartir aligné·e.
Te prioriser, ce n’est pas être égoïste , c’est te respecter.
Et en te respectant, tu ouvres la voie à une nouvelle année plus juste, plus sereine, plus fidèle à qui tu es .

Charlotte Cellier

12/16/2025

Qui se reconnaît?? ❣️

12/05/2025

Tout s’explique ❣️

Si une émotion dure longtemps, les neurosciences montrent souvent que ce n’est pas l’émotion elle-même qui persiste… mais les circuits neuronaux que nous continuons d’activer.

Dans le cerveau, chaque pensée, chaque souvenir, chaque réaction crée une connexion.
Et plus nous activons une connexion, plus elle se renforce : c’est la plasticité neuronale.
Autrement dit : ce que nous répétons devient plus facile à ressentir.

Lorsqu’on revit une émotion négative , même seulement dans notre tête ,
le cerveau ne fait pas bien la différence entre ce qui est réel et ce qui est imaginé.
Il relance donc les mêmes circuits de stress, d’inquiétude ou de tristesse.
Et à force, ces circuits deviennent nos “autoroutes émotionnelles”.

C’est comme si le cerveau disait :
« Tu y reviens souvent, donc je vais rendre ce chemin plus rapide et automatique. »

On n’alimente pas un mal-être par choix :
on l’alimente parce que le cerveau répète ce qu’il connaît.
Il cherche la cohérence, pas le bien-être.

De plus, l’amygdale ,le centre d’alerte du cerveau , reste active tant qu’elle croit qu’un danger n’a pas été “résolu”.
Alors elle continue d’envoyer des signaux.
Et nous, on continue de penser, d’analyser, de ruminer, dans l’espoir de comprendre ou d’éteindre ce signal.
Mais cela entretient encore davantage l’émotion.

La bonne nouvelle, c’est que les mêmes lois du cerveau permettent aussi de sortir de ces boucles.
En changeant ce que l’on répète par la respiration, la présence, de nouvelles pensées,
ou même des actions très simples ,
on crée de nouvelles connexions,
de nouveaux chemins émotionnels plus calmes.

Une émotion finit toujours par se dissoudre
lorsque le cerveau n’est plus nourri par les mêmes réactions.
Ce n’est pas magique : c’est neurologique.

Charlotte Cellier

11/16/2025

Bon dimanche 🌺

11/06/2025

Tout s’explique!!

11/04/2025

Tout s’explique!

11/02/2025

10/23/2025

https://www.facebook.com/share/r/17RqagT4bu/?mibextid=wwXIfr

10/10/2025

𝐒𝐲𝐦𝐩𝐚𝐭𝐡𝐢𝐞 𝐨𝐮 𝐞𝐦𝐩𝐚𝐭𝐡𝐢𝐞 : 2 façons d’être présent… et 2 énergies bien différentes.

𝐋𝐚 𝐬𝐲𝐦𝐩𝐚𝐭𝐡𝐢𝐞, c’est vouloir consoler, rassurer, trouver les bons mots. C’est bienveillant… mais souvent épuisant parce qu’on essaie de porter une partie de la douleur de l’autre.

𝐋’𝐞𝐦𝐩𝐚𝐭𝐡𝐢𝐞, elle, accueille simplement.
Elle laisse l’autre vivre ce qu’il a à vivre, en offrant une présence calme et authentique.

C’est l’empathie qui gruge le moins d’énergie, parce qu’elle ne prend pas la peine de l’autre, elle lui fait simplement de la place.

Bref, la sympathie veut aider, l'empathie laisse la place à l'autre.

09/14/2025

LA PAUSE RELATIONNELLE
Dans un monde saturé de distractions, offrir à l’autre son attention pleine et entière est un acte rare. Écouter vraiment, sans interrompre, sans préparer sa réponse, c’est tendre un miroir bienveillant où l’autre peut se reconnaître. Quelques minutes d’écoute attentive suffisent à renforcer le sentiment de connexion et à apaiser les tensions relationnelles.

Alors, pourquoi ne pas s’accorder ce luxe simple de la présence ?

Mon invitation : Une fois par jour, choisissez un moment pour écouter quelqu’un sans téléphone, sans montre et sans hâte. Laissez-le parler, observez ses gestes, sa voix, ses silences. Comme psychologue, j’ai souvent vu combien ce geste apparemment banal peut transformer une relation et ouvrir les portes d’une nouvelle profondeur.

Accorder une pause relationnelle, c’est offrir plus qu’un instant: c’est rappeler à l’autre qu’il existe pleinement. La vraie générosité se révèle parfois dans les mots, parfois dans la présence attentive.

Photo: pexels-andreawykstra