Santé avec Spark

02/11/2025

22/10/2025

🚫 🚫

, contrôlez vos sentiments svp !
Etre ne signifie pas qu'on n'a pas la foi !!
On sait très bien que c'est qui guérit
Ce n'est pas parce qu'on vous appelle que vous devenez plus spirituel que les autres !
Comment tu peux avoir le courage de déchirer les résultats de l' ?
En tout cas, si c'était moi qui ai fait ce bon d'imagerie, ça n'allait pas passer comme ça !!!

Apprenez à respecter les travaux des autres si tu veux qu'on respecte le tien !

22/10/2025

La vie de quelqu'un est en danger 🤣🤣😂

01/10/2025

OCTOBRE ROSE

La sensibilisation aux cancers féminins a pour objectif d’informer, prévenir et favoriser le dépistage précoce afin de réduire la mortalité et améliorer la qualité de vie des patientes. Les cancers les plus fréquents chez la femme sont :

1. Le cancer du sein

C’est le cancer le plus répandu chez la femme dans le monde.
Le dépistage par auto-examen des seins et mammographie régulière permet une détection précoce.

Les facteurs de risque incluent : âge, antécédents familiaux, mutations génétiques (BRCA1/2), obésité, alcool, absence d’allaitement.

2. Le cancer du col de l’utérus

Étroitement lié à l’infection persistante par le virus HPV (papillomavirus humain).
Prévention : vaccination contre le HPV, dépistage par frottis cervico-vaginal ou test HPV.
Dépisté tôt, il est curable dans plus de 90 % des cas.

3. Autres cancers gynécologiques (ovaire, endomètre, vulve)

Moins fréquents mais graves car souvent diagnostiqués tardivement.
Importance de consulter en cas de saignements anormaux, douleurs pelviennes persistantes, augmentation du volume abdominal.

Objectifs de la sensibilisation

Informer les femmes sur les facteurs de risque et les signes d’alerte.
Promouvoir la vaccination contre le HPV chez les jeunes filles.
Encourager le dépistage régulier (mammographie, frottis).
Briser les tabous et lutter contre la stigmatisation liée au cancer.
Favoriser le soutien psychologique et communautaire pour les malades.

Impact attendu

Une bonne sensibilisation contribue à :
Augmenter le taux de dépistage précoce.
Réduire la mortalité et les complications.
Améliorer l’adhésion des femmes aux programmes de prévention.
Renforcer la solidarité autour des patientes atteintes.

26/09/2025

TUBERCULOSE PULMONAIRE

La tuberculose pulmonaire (TBP) est une infection respiratoire chronique causée principalement par Mycobacterium tuberculosis. Elle se transmet par voie aérienne, à travers les gouttelettes respiratoires émises par un malade contagieux lors de la toux, de l’éternuement ou de la parole.

Sur le plan clinique, elle se manifeste par une toux persistante (souvent >2 semaines), parfois avec expectorations hémoptoïques, une fièvre modérée, une sueur nocturne, un amaigrissement progressif et une asthénie. Le diagnostic repose sur la microscopie des expectorations (BAAR), la culture, les tests moléculaires rapides (GeneXpert) et l’imagerie thoracique (radiographie).

La prise en charge associe un traitement antituberculeux de première ligne (isoniazide, rifampicine, éthambutol, pyrazinamide) pendant une durée de 6 mois, sous supervision pour garantir l’observance. L’émergence des formes multirésistantes (TB-MR) représente un défi majeur de santé publique.

La TBP demeure l’une des maladies infectieuses les plus meurtrières dans le monde, particulièrement en Afrique subsaharienne, où elle est souvent associée à l’infection par le VIH. La prévention repose sur la vaccination par le BCG, la détection précoce, le traitement correct des cas, ainsi que des mesures de contrôle de l’infection dans les communautés et les structures de santé.

23/09/2025

PARACÉTAMOL

Le est un antalgique-antipyrétique dont la toxicité principale est hépatique.
Normalement, il est métabolisé au foie par glucuro- et . Une petite fraction forme un métabolite toxique (NAPQI) neutralisé par le glutathion.

En cas de (≥ 7,5–10 g chez l’adulte ou >150 mg/kg), les voies de conjugaison sont saturées, le glutathion s’épuise et le NAPQI entraîne une nécrose hépatocellulaire pouvant évoluer vers une insuffisance hépatique fulminante.

: nausées/vomissements précoces, puis cytolyse hépatique (24–72h), ictère et (72–96h).

: dosage plasmatique (nomogramme de Rumack-Matthew) + bilan hépatique (ASAT/ALAT, TP/INR).

: charbon activé (précoce), surtout N-acétylcystéine (NAC) < 8–10h, prise en charge symptomatique, transplantation hépatique si défaillance terminale.

de risque : alcoolisme, malnutrition, inducteurs enzymatiques.

Santé avec Spark

23/09/2025

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22/09/2025

Présentation du rapport de garde d'un médecin stagiaire
Nous avons reçu 7 cas
- 3 aux urgences adultes
- 2 en pédiatrie
- 2 à la morgue

22/09/2025

🤣🤣😂😂😂