Leader Georgette Zamble

Leader Georgette Zamble Personnalité publique, Officier dans l'Ordre du Mérite Ivoirien, Psy, Dr en Genre & Développement

30/11/2025

Le Musée du Patriarcat (MUPA), a ouvert ses portes mardi à Rome. Il propose un parcours immersif qui dénonce les violences, les inégalités et les stéréotypes qui marquent encore la vie des femmes italiennes.
➡️ https://l.euronews.com/VtTp

"J'ai vécu pas mal de choses mais je suis encore là, bien vivante, pleine d'espoir, avec la rage de vaincre, encore et e...
30/11/2025

"J'ai vécu pas mal de choses mais je suis encore là, bien vivante, pleine d'espoir, avec la rage de vaincre, encore et encore.
Je me suis fait la promesse de ne jamais m'abandonner, de m'honorer et de m'aimer très fort et toujours."



29/11/2025

Jésus-Christ, tu es plus grand que ce que l'on dit, plus grand que ce que je vois, plus grand que ce que j'entends, plus grand que ce que j'espère, plus grand que ce qui est écrit.
Que s'élève la tempête, moi je crois que tu es fidèle. À ton nom, donne Gloire.

Très bien
29/11/2025

Très bien

🚨 L’Italie vient d’adopter à l’unanimité une loi historique : le féminicide devient un crime autonome, désormais puni de la réclusion criminelle à perpétuité.

Le texte, déjà validé par le Sénat, crée une catégorie spécifique d’homicide fondée sur la motivation sexiste, incluant les meurtres liés à la domination, au contrôle ou au refus d’une relation.

Giorgia Meloni, la présidente du Conseil des ministres, salue un "signe de cohésion politique" pour protéger la liberté et la dignité des femmes. En 2024, 116 femmes ont été tuées en Italie, dans plus de 92 % des cas par des hommes. 🇮🇹⚖️ (via Anapol)

"Tant que les femmes et les filles, qui forment la moitié de la population de la planète, ne vivront pas à l’abri de la ...
28/11/2025

"Tant que les femmes et les filles, qui forment la moitié de la population de la planète, ne vivront pas à l’abri de la peur, de la violence et de l’insécurité quotidienne, il nous sera impossible de prétendre vivre dans un monde juste et égal." — António Guterres, Secrétaire général de l'ONU



27/11/2025

En 1871, Charles Darwin publia une théorie affirmant que les femmes étaient intellectuellement inférieures aux hommes… et appela ça de la science.
Quatre ans plus t**d, une femme démolit son argument avec une précision telle qu’il ne s’en remit jamais.
Antoinette Brown Blackwell avait déjà fait l’histoire une première fois avant de décider de s’attaquer à Charles Darwin.
En 1853, à 28 ans, elle devint la première femme ordonnée ministre aux États-Unis. Dans une petite église congrégationaliste à South Butler, New York, elle brisa une barrière vieille de plusieurs siècles. On n’ordonnait pas les femmes. La Bible était interprétée pour l’interdire. La théologie était un domaine masculin.
Antoinette le fit malgré tout.
Mais le ministère, aussi révolutionnaire fut-il, ne suffisait pas. Elle avait l’esprit trop vaste, trop curieux, trop avide de savoir pour se limiter à un domaine. Elle étudia la philosophie, la théologie et la science — en particulier les nouvelles théories de l’évolution venues d’Angleterre.
En 1859, Darwin publia L’Origine des espèces et bouleversa l’idée qu’on se faisait de la vie.
En 1869, Antoinette publia Studies in General Science, un ouvrage engageant sérieusement la théorie de l’évolution. Elle en envoya un exemplaire à Darwin. Il la remercia, reconnaissant qu’elle avait cité des passages “très peu connus du public”.
Une reconnaissance significative pour une femme scientifique autodidacte en 1869.
Mais en 1871, Darwin publia La Filiation de l’Homme.
Et Antoinette réalisa que l’homme qu’elle admirait pour sa rigueur scientifique avait bâti ses théories sur des préjugés dévastateurs concernant la moitié de l’humanité.
Dans cet ouvrage, Darwin appliquait l’évolution à l’être humain et concluait que les femmes étaient intellectuellement et biologiquement inférieures.
Selon lui, la sélection sexuelle avait rendu les hommes plus intelligents, inventifs et aptes à la pensée abstraite. Les femmes, dit-il, avaient évolué pour être plus émotionnelles, nourricières et limitées intellectuellement.
Il écrivit :

“L’homme est plus courageux, pugnace et énergique que la femme, et possède un génie plus inventif.”

Il affirma que le cerveau des femmes était plus proche de celui des enfants que de celui des hommes adultes.
Comme Darwin était une autorité absolue, ses idées furent prises comme vérité scientifique.
Médecins, éducateurs, politiciens… tous les utilisèrent pour exclure les femmes des universités et des droits civiques.
La plupart des scientifiques hommes acquiescèrent ou se turent.
Antoinette, elle, affûta ses arguments.
Pendant quatre ans, elle étudia et déconstruisit.
En 1875, elle publia The Sexes Throughout Nature, une démolition en règle des conclusions de Darwin.
Son argumentation était fulgurante.
Darwin affirmait que les mâles étaient plus évolués. Antoinette montra qu’il avait surtout étudié des espèces où les mâles étaient plus imposants ou ornés, puis avait généralisé.
Elle démontra que dans d’autres espèces, les femelles étaient plus grandes, plus fortes, plus agressives : araignées, rapaces, insectes…
Elle révéla que Darwin regardait la nature avec les yeux d’un homme victorien et appelait “science” ses propres biais.
Et surtout, elle montra que Darwin confondait conditionnement social et biologie.
Si les femmes semblaient moins performantes intellectuellement, c’est parce qu’on leur refusait éducation, diplômes, travail scientifique. Les résultats étaient la conséquence d’un système, pas de l’évolution.
Elle écrivit :

“Le problème philosophique des âges a été d’expliquer les anomalies de la société humaine — anomalies dues, non à la loi naturelle, mais aux conditions artificielles imposées aux femmes.”

Darwin, dit-elle, avait bâti ses théories avec un raisonnement circulaire : il supposait la supériorité masculine, puis trouvait des exemples pour la “prouver”.

“L’erreur fondamentale semble être l’omission pure et simple du féminin.”

The Sexes Throughout Nature n’était pas une politesse. C’était une dissection chirurgicale des méthodes biaisées de la science victorienne.
Antoinette prouva que ce que les hommes appelaient “objectivité scientifique” n’était souvent qu’un miroir déformant de leurs propres préjugés.
Darwin ne répondit jamais publiquement.
Il ne pouvait pas réfuter ses arguments. Alors il les ignora.
Mais son ouvrage trouva son public. Les suffragistes s’en saisirent. Les femmes scientifiques y puisèrent une arme intellectuelle.
L’establishment masculin, lui, fit ce qu’il savait faire : ignorer.
Antoinette continua. Elle écrivit, enseigna, milita pour les droits des femmes.
Elle éleva cinq enfants tout en poursuivant ses travaux intellectuels.
Et elle vécut longtemps. Très longtemps.
Née en 1825, présente à la première Convention des droits des femmes en 1850, elle milita 70 ans.
En 1920, à 95 ans, elle vota.
La seule femme de la convention de 1850 à vivre assez longtemps pour exercer ce droit.
Elle mourut en 1921, à 96 ans.

L’affrontement d’Antoinette Brown Blackwell avec Darwin n’était pas un simple désaccord.
C’était la preuve qu’on peut démanteler les théories des hommes les plus puissants si l’on a :
• la précision
• la rigueur
• la lucidité
• et le courage intellectuel
Elle n’a pas dit que Darwin avait tort : elle l’a prouvé.
Elle a dévoilé les angles morts d’une science écrite par des hommes sur les hommes.
Darwin affirmait que les femmes étaient inférieures.
Antoinette montra que c’était l’oppression, pas la biologie, qui limitait leurs accomplissements.
Première femme ministre. Première critique scientifique systématique de l’évolution sexiste. Et dernière survivante de la première convention à exercer le droit de vote.
Elle a passé 96 ans à démontrer que l’esprit des femmes n’avait jamais été inférieur — seulement trop souvent ignoré.
Et franchement, il était temps.

1️⃣ Faire un travail d'introspection pour identifier et corriger ses propres biais sexistes, ses préjugés ou ses tendanc...
26/11/2025

1️⃣ Faire un travail d'introspection pour identifier et corriger ses propres biais sexistes, ses préjugés ou ses tendances à la domination.

2️⃣ Écouter les expériences des femmes avec empathie, sans minimiser ou juger, pour comprendre l'impact des inégalités et des violences.

3️⃣ Affirmer que le seul "oui" acceptable est enthousiaste, libre et peut être retiré à tout moment, et respecter ce principe dans toutes les interactions. ​

4️⃣ Apprendre et utiliser des techniques de communication non-violente et de résolution des conflits pour gérer la colère et la frustration. ​

5️⃣ Ne jamais remettre en question la victime (son habillement, sa consommation d'alcool, son lieu de présence) mais toujours reporter la responsabilité sur l'agresseur.

6️⃣ Intervenir activement pour refuser les blagues, les commentaires ou les remarques sexistes, même considérés comme anodins ou mineurs. ​

7️⃣ Encourager l'égalité et la flexibilité des rôles de genre, notamment dans l'éducation des enfants (partage des tâches domestiques, choix de carrière, expression émotionnelle).

8️⃣ Comprendre que la violence n'est pas seulement physique, mais aussi psychologique, verbale, économique, administrative et sexuelle.

9️⃣ Ne pas être un témoin passif face à des scènes de harcèlement ou d'agression. ​Intervenir en toute sécurité : Si vous êtes témoin, évaluer la situation et intervenir de manière sécuritaire (par exemple, en faisant une diversion, en allant chercher de l'aide ou en appelant les autorités). ​

🔟 Proposer de l'aide immédiate à la personne agressée, comme l'accompagner dans un lieu sûr ou l'aider à contacter une ressource. ​

1️⃣1️⃣ Utiliser son influence pour éduquer et encourager ses amis, sa famille et ses collègues à adopter une posture de prévention et de non-tolérance.

1️⃣2️⃣ Lorsqu'une personne parle de la violence qu'elle a subie, lui répondre par un "Je te crois" immédiat et sincère, sans poser de questions culpabilisantes. ​

1️⃣3️⃣ Accepter et soutenir les décisions de la victime concernant son agresseur ou la relation, même si elles paraissent lentes ou incompréhensibles de l'extérieur.

1️⃣4️⃣ Maintenir le lien avec la personne et l'aider à garder ou retrouver ses activités et ses réseaux sociaux, car l'isolement est une stratégie d'abus. ​

1️⃣5️⃣ Fournir l'information sur les services d'aide (lignes d'écoute, centres d'hébergement, aide juridique) sans lui imposer de les utiliser.

1️⃣6️⃣ Comprendre que le processus de guérison est long et être disponible pour la victime bien après l'événement immédiat, sans l'épuiser ou la juger.

Transmis tel que reçu.

🎉 Facebook m’a offert une marque de reconnaissance pour avoir lancé des conversations intéressantes et produit du conten...
26/11/2025

🎉 Facebook m’a offert une marque de reconnaissance pour avoir lancé des conversations intéressantes et produit du contenu inspirant !

26/11/2025

Un autre type de VFF

Adresse

Abidjan
225

Site Web

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque Leader Georgette Zamble publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à Leader Georgette Zamble:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram