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31/08/2025

Djelou Assa

19/08/2025

"Tu ne sauras pas l’expliquer tout de suite. Tu sentiras juste que quelque chose est différent.

Que cette fois, il n’y a pas de jeu à jouer.
Pas de masque à porter.
Que tu peux respirer pleinement, sans te cacher.

Tu n’auras pas besoin de courir après l’attention.
Pas besoin de traduire tes émotions.

Cette personne parlera ton langage sans que tu aies à lever la voix.

Tu vas reconnaître cette fréquence.
Elle te calmera dès qu’elle entre dans la pièce.

Pas par des mots magiques, mais par une présence qui ne demande rien.

Qui ne cherche pas à te réparer.
Qui ne veut pas te transformer.
Juste t’accueillir, tel que tu es, sans surcharge ni condition.
Tu vas sentir que ton système nerveux peut enfin déposer les armes.

Ce n’est pas une passion qui brûle et s’éteint.
C’est une vibration stable.
Un rythme qui s’accorde au tien.
Quelqu’un qui ne panique pas quand tu tombes dans le silence.

Quelqu’un qui sait que l’intensité ne se mesure pas au chaos, mais à la capacité d’être là.
Vraiment là.
Sans fuir.
Sans détourner les yeux quand ça devient réel.

Tu ne ressentiras plus ce besoin de te justifier.
Tu n’auras plus à tout expliquer.
Parce qu’en face, il y aura un regard qui comprend au-delà des mots.

Une énergie qui s’aligne à la tienne, sans forcer, sans tirer, sans ralentir.
C’est doux.
C’est simple.
Et en même temps, c’est puissant.
Comme si le puzzle s’assemblait naturellement.

Avec cette personne, tu ne te sentiras plus « trop ».
Tu ne devras pas rétrécir pour tenir dans son monde.
Elle te laissera être vaste, sauvage, vulnérable.
Elle ne te demandera pas de cacher tes tempêtes.

Au contraire, elle saura danser sous la pluie avec toi.
Parce qu’elle en a traversé aussi.
Parce qu’elle sait ce que ça coûte de se déformer pour être aimé.

Ce lien-là ne viendra pas combler un vide.
Il viendra rencontrer ce que tu es déjà en train de devenir.
Il ne te sauvera pas du passé, il t’invitera à créer un futur.
Un futur où ton cœur n’aura plus à se méfier.
Où tu pourras aimer sans avoir à douter chaque soir.
Un futur où tu n’auras plus besoin de te convaincre que c’est toi le problème.

Et quand cette personne entrera dans ta vie, tu sauras.
Tu n’auras pas peur.
Tu ne sentiras pas d’urgence.
Tu ne te perdras pas dans une projection.
Tu seras prêt.
Parce que tu te seras déjà choisi.
Parce que ta fréquence sera claire.
Et les âmes claires attirent ce qui leur ressemble."

18/08/2025

La jalousie est une ombre portée sur l’âme, une vibration née de la séparation.

Elle ne surgit pas simplement d’un manque, mais de l’illusion d’un vide intérieur que l’on projette à l’extérieur, sur autrui.

C’est une tentation subtile, une invitation à confondre l’autre avec ce que nous croyons manquer en nous.

Ce que l’on perçoit comme désir d’une possession, qu’elle soit affective ou matérielle, n’est en vérité que le miroir d’une quête intérieure non réalisée.

Lorsqu’un individu se laisse envahir par la jalousie, il perd contact avec l’essence de son être, se rapprochant de l’illusion de la division.

En réalité, tout ce que nous voyons en l’autre est une partie de nous-mêmes, un reflet d’un potentiel que nous n’avons pas encore accepté ou incarné.

Cette forme de rivalité cache en elle une invitation à la reconnexion reconnaître ce que l’on voit chez l’autre, c’est se voir soi-même.

Le sage, cependant, connaît le secret, l’acceptation inébranlable de soi permet de se détacher des apparences extérieures.

Ce qui est à l’intérieur de nous, en vérité, ne peut être touché par ce qui est extérieur.

Les objets du désir ne sont que des projections éphémères d’une quête plus profonde, celle de la paix intérieure et de la souveraineté personnelle.

Il faut apprendre à cultiver l’espace en soi, à nourrir son âme de la lumière propre à sa propre essence.

La jalousie s’éteint lorsque l’être cesse de se comparer, quand il prend conscience que la véritable richesse réside non dans ce qui est extérieur, mais dans la reconnaissance du divin en soi.

Se détacher de l’apparence et se reconnecter à la source permet de transcender cette énergie en une forme d’amour pur, libre de tout désir possessif.

Ainsi, l’âme retrouve sa liberté, celle d’être pleinement soi, sans crainte ni comparaison.

Dans cette sagesse retrouvée, l’esprit cesse de rechercher l’extérieur pour s’épanouir.

Il se contente simplement d’être, dans la plénitude de ce qu’il est.

Www.djelouassa.com

18/08/2025

CONTE : Le poids de la jalousie

Un serpent venimeux rampait discrètement entre les feuilles mortes de la forêt.

Depuis plusieurs jours, il observait un jeune cerf traverser la clairière avec grâce et sérénité.

Il l’enviait en silence.
Il ne supportait pas sa démarche assurée, son regard paisible, cette lumière qui l’entourait, alors que lui vivait dans l’ombre, consumé par l’amertume.

Aveuglé par la jalousie, une nuit, il se glissa vers le cerf endormi sous un arbre.

Sans un bruit, il le mordit à la patte, libérant tout son venin, toute sa haine.
Il voulait le voir tomber, briser sa paix, souiller sa lumière.

Le cerf vacilla.
Il sentit le feu du poison s’insinuer dans ses veines, sa patte devenir lourde, son corps vulnérable.
Mais il ne s'effondra pas.

Au lieu de céder, il se retira dans les profondeurs de la forêt, trouva un ruisseau, but l’eau fraîche, se coucha sous la lune… et laissa le temps et la nature le guérir.

Le serpent savait que ce cerf n’était pas fragile.
Son corps était endurant, son âme forgée par les hivers, les silences et les fuites.

Il n’avait pas besoin de riposter.
Il avait juste besoin de guérir.

Quelques jours plus t**d, le cerf revint dans la clairière.

Il ne boitait plus.
Sa plaie avait cicatrisé, et son esprit, lui, semblait encore plus fort, plus libre.

Le serpent, caché dans l’ombre, le regardait. Il s’agita, tourmenté.
Pourquoi ne s’est-il pas effondré ?
Pourquoi est-il encore debout ?
Pourquoi ose-t-il sourire au soleil ?

Et alors, il comprit une vérité cruelle :

Le poison qui n’avait pas tué le cerf… avait commencé à le ronger, lui.
Sa haine, sa jalousie, ses ténèbres… étaient devenues sa propre punition.

LEÇON DE VIE :

Ne crains pas ceux qui t’attaquent par jalousie.

S’ils te blessent, prends de la distance, guéris, mais ne t’arrête jamais.

Car il y a en toi une force que d’autres ne comprennent pas.

Et souvent, le poison qui ne te tue pas… finit par détruire celui qui l’a versé.

18/08/2025

Mieux se connaître...

Mais pourquoi je réagis comme ça ?

Quand nous nous trouvons dans une situation inconfortable ou difficile, nous pouvons marquer une pause et prendre le temps de nous observer nous-mêmes, sans nous juger.

Il s’agit de repérer quelles sont nos émotions sur le moment, nos pensées, nos comportements.

À force de répéter cet exercice, nous pouvons trouver des réponses à la question : pourquoi je réagis comme ça ?

Petit à petit, nous connaissons mieux notre fonctionnement.

Ainsi, nous pouvons faire le choix d’agir de telle ou telle façon, en accord avec les valeurs qui sont importantes pour nous.

18/08/2025

QUAND ON REFUSE, ON DIT NON !

Un refus explicite empêche l’autre de formuler de faux espoirs.

L’ambiguïté laisse l’autre s’accrocher à une possibilité qui n’existe pas.

Dire non, c’est respecter l’autre et soi-même.

L’honnêteté est une forme de courtoisie, elle donne à l’autre les informations nécessaires pour faire ses choix.

En même temps, poser un refus protége ses limites personnelles.

La franchise prévient la rancœur.

Les non-dits finissent souvent en ressentiment.

Dire non proprement permet ensuite de (re)construire une relation saine ou d’en tourner la page.

Dire non n’est pas violence ; c’est responsabilité.

On peut refuser en restant empathique et sans humilier l’autre.

Le refus est une réponse à une situation, pas une condamnation de la personne.

Le temps et l’affection sont des ressources limitées.

S’accrocher à une relation sans être sincère vole des opportunités à l’autre (rencontrer quelqu’un d’autre, guérir, avancer).

L’espoir non réciproque blesse.

Être conduit à espérer puis déçu répété peut fragiliser l’estime de soi.

Ce n’est pas « mieux » d’ignorer la vérité pour préserver des sentiments temporaires.

C’est une question d’équité émotionnelle.

Si l’un investit et l’autre feint ou temporise sans intention, l’équilibre est rompu.

L’équité demande honnêteté et réciprocité.

Faire perdre le temps mine la confiance sociale.

Les comportements qui ménagent des illusions érodent la confiance qu’on peut accorder aux autres.

Dire non fait parfois peur : peur d’être vu comme brutal, peur de blesser.

Ressentir de la culpabilité n’annule pas la nécessité de protéger ses limites.

Mais un refus posé, sobre et juste rend souvent la douleur moins longue et moins confuse.
L’honnêteté respecte.
Dire «non» quand il le faut et être sincère sur ses sentiments évitent des blessures évitables.

C’est une manière de traiter autrui comme on voudrait être traité; avec clarté, dignité et respect.

18/08/2025

Parfois, ce n’est pas aussi simple qu’on le dit.

Ce n’est pas juste tomber, se relever, s’épousseter les genoux et continuer comme si de rien n’était.

Parce qu’il y a des chutes qui te brisent de l’intérieur, qui ne se contentent pas de t’allonger au sol,
mais qui t’arrachent aussi la force de te relever.

Il y a des jours où tu remets tout en question, où le silence pèse plus lourd que mille cris, et où un sourire coûte plus cher qu’une bataille gagnée.

Personne ne voit l’effort que tu fais pour te lever chaque matin.

Personne ne sait combien de fois tu as dû être fort, alors que tout ce que tu voulais, c’était abandonner.

Tout le monde ne comprend pas que certaines blessures ne guérissent pas avec un simple « tout ira bien ».

Et c’est normal de se sentir dépassé…

Parce que personne n’est venu au monde pour être invincible.

Et pourtant, te voilà…
Tu respires, tu ressens, tu avances — même lentement.
Chaque petit pas que tu fais, chaque larme que tu essuies,
chaque pensée que tu parviens à apaiser… est la preuve que tu continues à te battre,
à ta façon, à ton rythme.

Ne te compare pas,
ne t’oblige pas à être parfait.
Ne minimise pas ta douleur simplement parce que d’autres semblent souffrir davantage.

Ton chemin est valable.
Tes émotions aussi.
Et même si tu ne peux pas toujours courir, même si parfois tu ne fais que marcher ou ramper, l’important, c’est que tu avances.

Parce que grandir fait mal,
parce que guérir a un prix…
mais il n’y a pas de tempête éternelle, ni de nuit sans aube.

Et un jour, quand tu regarderas en arrière, tu verras que tu n’étais pas faible…

Tu étais courageux.
C’est juste que personne ne t’avait appris que parfois, être fort,
c’est aussi s’autoriser à tomber et à pleurer…

Avec l’espoir tenace que, tôt ou t**d, tu te relèveras.

Plus sage.
Plus humain.
Et plus fort que jamais.

18/08/2025

Bravo à vous

18/08/2025

« Ton conjoint, c’est celui qui sera assis à tes côtés lorsque tes parents s’éteindront.

Celui qui te tiendra la main pendant que tu donnes la vie.

Celui qui pourrait devoir te laver si un jour, la maladie t’empêche même de tenir debout.

L’amour véritable, ce n’est pas seulement les papillons dans le ventre ni les dîners aux chandelles.

C’est choisir quelqu’un qui reste, qui se tient présent dans le deuil, dans le chaos, dans l’incertitude.

Alors non, je ne crois pas que l’amour, à lui seul, suffise.

Ce qui fait tenir un mariage, c’est l’engagement, la maturité, la force d’âme pour affronter les laideurs de la vie.

Car lorsque l’existence devient cruellement réelle, ce n’est plus la romance qui porte un couple, mais le caractère.

Et la vérité, c’est que l’éternité à deux n’est possible qu’avec quelqu’un qui sait rester…

Même quand il devient difficile d’aimer. »

18/08/2025

Vrai ou faux ?

✍️🏾✍️🏾

18/08/2025

Je l’aime… mais je ne suis pas aimé en retour. Et c’est là que tout commence.

Cette phrase, vous l’avez peut-être murmurée à vous-même dans le noir.

Ou répétée comme une blessure ouverte :
« Je l’aime… mais je ne suis pas aimé en retour. »

Elle claque comme une vérité douloureuse, simple, crue.

Et elle vous laisse seul face à un vide.

Mais ce que vous ignorez peut-être encore, c’est que cette phrase, si vous l’écoutez jusqu’au bout, sans fuite ni dramatisation, peut devenir le point de départ d’un éveil.

Un éveil qui ne parle pas de l’autre.
Un éveil qui ne demande plus rien.
Mais qui vous rend à vous-même.

L’amour non réciproque : tragédie ou initiation ?

Vous pensiez que l’amour devait être mutuel pour être vrai.

Qu’il ne pouvait exister que s’il circulait dans les deux sens.

Et vous découvrez qu’il peut exister… même à sens unique.

Qu’il peut jaillir en vous, pur, intense, bouleversant…

Sans que l’autre ne l’accueille, ne le reconnaisse, ne le renvoie.

Et cela vous semble insupportable.
Comme une faute.
Une injustice. Une blessure.
Mais si c’était autre chose ?

Et si ce moment précis où votre amour n’est pas “rendu” devenait un miroir ?
Pas un miroir de rejet.
Un miroir de retour intérieur.

Aimer sans retour : ce que cela révèle
Quand vous aimez et que ce n’est pas partagé, il y a un effondrement.
Pas seulement de la relation espérée.

Mais de toute une architecture inconsciente.
Car derrière votre amour, il y avait peut-être un espoir :
– d’être choisi, enfin,
– de se sentir assez,
– de réparer quelque chose d’ancien,
– de mériter,
- de schéma
- de modèle parental
- de croyance
– de guérir par l’autre ce que personne n’avait su accueillir.

Et quand l’amour ne revient pas, tout cela s’écroule.
Mais ce n’est pas une fin.
C’est un passage.

Un passage vers vous-même, débarrassé du besoin d’être aimé pour exister.

Ce n’est pas l’amour qui vous fait souffrir.

C’est le contrat invisible que vous aviez passé avec lui.

Vous pensiez : “Si j’aime assez, il ou elle finira par m’aimer.”
Vous pensiez : “Je vais lui montrer qui je suis, et ce sera évident.”
Vous pensiez : “C’est une question de temps, de déclic, de preuves.”

Mais aimer, ce n’est pas convaincre.
Ce n’est pas mendier.
Ce n’est pas prouver.

Aimer, dans sa forme la plus nue, la plus vaste, la plus spirituelle…
c’est un état de présence.

Un acte intérieur.
Un mouvement libre.
Et ce n’est que lorsque vous cessez d’attendre un retour que vous commencez à aimer vraiment.

L’amour non réciproque peut devenir une école de soi

C’est l’endroit exact où vous apprenez :
– à vous aimer dans le vide,
– à rester debout quand l’autre ne vous voit pas,
– à ne plus attendre la validation extérieure,
– à reconnaître votre propre valeur… sans miroir.

Cela ne veut pas dire que la douleur disparaît.

Cela veut dire qu’elle devient formatrice, au lieu de vous détruire.
Vous n’êtes pas rejeté.
Vous êtes confronté à vous-même.
Et cette confrontation, si vous l’accueillez, vous rend libre.

“Mais je n’arrive pas à l’oublier…”
C’est normal.
Parce que ce n’est pas l’autre que vous n’arrivez pas à oublier.

C’est ce que vous aviez projeté sur lui.
C’est l’histoire que vous aviez bâtie.
C’est ce qu’il représentait pour votre cœur en manque, pour votre âme en quête.
Ce que vous aimez encore, c’est peut-être une part de vous que vous aviez mise dehors.

Et il est temps de la réintégrer.
Non pas pour tout effacer.

Mais pour récupérer ce que vous aviez déposé chez l’autre :
votre joie, votre désir, votre beauté, votre vérité.

Aimer sans retour, c’est l’apprentissage du détachement sans fermeture

Cela ne veut pas dire se fermer à l’amour.
Cela veut dire ne plus confondre amour et attachement.
Ne plus lier la valeur de votre amour à la capacité de l’autre à le recevoir.
Cela demande de l’humilité.
Et du courage.

Mais c’est aussi le début d’un amour plus vaste, qui ne dépend plus de la réponse.

Un amour qui commence à circuler en vous, pour vous.
Et qui, à terme, attire ce qui est juste, clair, réciproque.

Pas parce que vous le cherchez.
Mais parce que vous ne l’attendez plus pour exister.

Aimer sans retour n’est pas un échec. C’est un seuil.
Un seuil vers un autre rapport à vous-même.
Un autre rapport à l’amour.
Un autre rapport à la vie.
Si vous l’acceptez comme tel, alors vous n’avez pas été rejeté.
Vous avez été initié.
Non pas à un amour de conte de fées.
Mais à un amour qui ne demande plus la permission d’exister.
Et ça, c’est le début de la vraie guérison.

02/10/2023

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