Aix Prothèses Dentaires Laboratoire

01/05/2025

21/12/2024

Toute l’équipe de votre laboratoire de prothèses dentaires vous souhaite un Joyeux Noël et une Bonne Année 🎆 !!!!!
Nous sommes fermés du 25 décembre au 1re janvier.

26/05/2024

Bonne fête à toutes les mamans

🌸 À celles qui viennent d'accoucher.

🌸 À celles qui essaient d'avoir un enfant.

🌸 À celles qui sont déjà mamans.

🌸 À celles qui vont devenir mamans bientôt.

🌸 À celles qui remplacent le rôle d'une mère.

🌸 À celles qui ont un petit Ange au ciel.

🌸 À celles qui sont là-haut.

À toutes ces femmes qui donnent de l'amour sans compter au jour le jour...

Nous vous souhaitons une merveilleuse fête des mamans. Que cette journée soit douce et remplie d'amour.

09/12/2023

Soirée de fin d’année festive 🎅🎄😁

26/11/2023

Votre équipe de prothésistes 🦷si qualifiée mais aussi si déjantée !!! 😁 accompagnée de leur fan : Cédric (au centre)

25/06/2023

🔶 𝟒𝟎 𝐐𝐮𝐚𝐧𝐝 𝐝𝐨𝐢𝐭-𝐨𝐧 𝐜𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐜𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐭𝐫𝐚𝐢𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐨𝐫𝐭𝐡𝐨𝐝𝐨𝐧𝐭𝐢𝐪𝐮𝐞𝐬?(𝟐) 𝐋𝐚 𝐩𝐞𝐭𝐢𝐭𝐞 𝐦𝐚𝐧𝐝𝐢𝐛𝐮𝐥𝐞.

◼-“ Sa mâchoire inférieure est trop petite, regardez-moi ça! il se mord le palais!”

Vous ouvrez magistralement votre tiroir et vous sortez une boiîte jaune marquée :denture mixte
Vous en sortez une gouttière jaune fluo que vous mettez dans la bouche de l’enfant, comme une paire de pompes.
“Ah non celle-là est trop grande, on va essayer la taille en dessous”
“Je vous garantis madame, ça va lui faire grandir la mâchoire, on me l'a dit…
il suffit qu’il la porte la nuit et quelques heures pendant la journée"

◼Le gosse la porte consciencieusement, tous les jours, avec les parents sur le dos qui ne veulent plus voir le profil d’oiseau de leur progéniture.
Et ça dure des mois et des mois.

Rien! aucun résultat.
Toujours le menton en retrait.
On va même rendre responsable ce pauvre gosse qui n’aurait pas mis suffisamment sa gouttière miracle

◼Mais que s'est-il passé pour que ce traitement foire à ce point?

👉Chaque enfant a un potentiel de croissance issu de sa génétique, donc de son hérédité.

◾On a longtemps imaginé que l’on pouvait faire grandir une petite mandibule.
C’est totalement faux!
◾Vous ne ferez jamais intégrer Polytechnique un nul en math , même à coup de leçons particulières.
Et comme le disait Delaire,” vous ne transformerez jamais un bourricot en cheval de course” en parlant des petites mandibules que l’on s’acharne à faire grandir”.

👉Imaginer que la précocité d’un traitement aboutit de facto à un traitement miracle est une pure vue de l’esprit.
On traîne toujours son patrimoine génétique comme un boulet.
Le risque étant le traitement pour rien ou une récidive à 100 % des résultats que l’on aurait obtenus par migrations dentaires.

👉On doit avant tout traitement faire un diagnostic mandibulaire précis.
Par la clinique en regardant le profil ainsi que celui des parents.
Par l’analyse céphalométrique:qui étudie l’anatomie de la mandibule et ses capacités à grandir dans le temps.

Alors ? Alors? Alors?
Qu'est-ce qu'on fait?
Pour ne pas qu'ils se facturent ses dents de lapin.
Malheureusement, rien n'est efficace!

💥Trois attitudes responsables

1️⃣Ne pas s’acharner à vouloir faire grandir une mandibule qui n’a aucun potentiel de croissance: les traitements miracles n’existent pas, même chez le jeune enfant.
2️⃣ Attendre l’adolescence: la poussée de croissance pubertaire des bases et l’évolution des dents définitives.
On peut adapter les systèmes dentaires aux anomalies du squelette si elles ne sont pas trop accentuées et si le profil de l’enfant n’est pas trop disgracieux.
3️⃣Si les anomalies sont importantes tant fonctionnelles qu’esthétique, on doit proposer un traitement orthodontico-chirurgical associant orthodontie et avancée mandibulaire 💥

Article du docteur Philippe GRIFFOL

09/07/2022

ORTHOPEDIE DENTO-FACIALE

Quels remboursements pour l’orthodontie chez les enfants et les adolescents ?

Bonne nouvelle pour les parents : si votre enfant commence un traitement avant 16 ans, alors l’orthodontie est en partie prise en charge par la sécurité sociale, mais aussi par les complémentaires santé. Le montant pris en charge par la sécurité sociale est faible, mais celui pris en charge par les mutuelles, qu’elles soient personnelles ou professionnelles, varie d’un contrat à un autre et peut se révéler très important, jusqu’à couvrir la totalité du traitement selon votre contrat. Vous trouverez ci-dessous toutes les informations nécessaires, qui vous permettront de vous faire une idée avant de vous rendre chez votre orthodontiste.

L’orthodontie, un traitement à débuter avant 16 ans pour une meilleure prise en charge !

Aujourd’hui, de nombreux enfants et adolescents suivent un traitement d’orthodontie. Il est fortement conseillé d’aller pour une première consultation dès les 5-6 ans afin d’avoir un avis et de pouvoir débuter un traitement au bon moment si cela se révèle nécessaire. Le fait d’agir tôt peut parfois éviter des traitements longs ou compliqués, ou même des chirurgies à l’âge adulte. De plus, l’orthodontie chez l’adulte n’est prise en charge que par les mutuelles, et elle est souvent moins remboursée que chez l’enfant.

Comprendre la prise en charge de l’orthodontie chez les enfants et les adolescents :

Pour bénéficier d’une prise en charge des soins par la Sécurité sociale, voici les conditions à remplir : Le traitement d’orthodontie doit débuter avant le 16e anniversaire du patient.Il est nécessaire d’adresser une demande d’accord à la Sécurité Sociale avant le démarrage du traitement, sous la forme d’un formulaire qui sera rempli par l’orthodontiste.
Les prises en charges de la sécurité sociale sont ensuite les suivantes :
La première consultation, facturée 23€, est prise en charge à hauteur de 70 %, soit 16,10€.
Le rendez-vous d’empreinte et radios, sont aussi remboursés à 70 % sur le tarif de base de 43 €, soit 30,10 €.
Le traitement est remboursé, pour chaque semestre, à hauteur de 100 % du tarif de base de 193,50 € et ce dans la limite de 6 semestres.
Les consultations de surveillance, au nombre de deux au maximum par semestre, sont prises en charge à hauteur de 70 % de 10,75 €, soit 7,53 €.
La première année de contention est remboursée à hauteur de 100 % d’un tarif de base de 161,25 €.
La seconde année de contention est remboursée à hauteur de 70 % de 107,50 €, soit un montant de 75,25 €.

Mais concrètement, combien allez-vous devoir débourser après les remboursements de la Sécurité Sociale ?

Prenons un exemple pour mieux comprendre !
Votre enfant âgé de 14 ans va suivre un traitement d’orthodontie sur 4 semestres. Le devis de votre orthodontiste indique un coût de 1000€ par semestre, soit 6000 € pour la totalité du traitement.
La Sécurité sociale vous rembourse à hauteur de 193,50 € x 6 semestres = 1161 €. Le reste à charge sera donc le suivant sur les trois ans : 4839 €. C’est là que votre mutuelle complémentaire intervient, si vous en avez une, et prend en charge une partie ou la totalité du montant.

Une prise en charge parfois importante de l’orthodontie enfant par les mutuelles :

Le montant pris en charge par les mutuelles peut varier, au sein d’un même organisme, selon votre contrat. Ce montant est indiqué à la section dentaire de votre tableau de garanties, à la ligne « Orthodontie prise en charge par la Sécurité Sociale ». Ce montant est généralement exprimé en % de BRSS : 100% de la BRSS représente 193,50€ par semestre.
Ainsi, le montant est souvent élevé : par exemple, un montant de 500% représente quasiment 1000€ par semestre, et dans ce cas le traitement cité dans l’exemple ci-dessus ne vous coûtera quasiment rien.

Que faire si je n’ai pas de prise en charge de l’orthodontie ?

Lorsqu’il n’y a pas de prise en charge de la mutuelle, on peut être facilement tenté d’aller chercher le traitement le moins cher. Le mieux est sans doute d’aller voir plusieurs orthodontistes afin d’avoir des avis qui vous permettront de vous faire une idée du traitement à suivre, et de vous renseigner sur votre prise en charge mutuelle. Dans certains cas, si la prise en charge n’est pas bonne ou que vous n’avez pas de mutuelle, il peut être intéressant de prendre une complémentaire le temps des soins. Dans tous les cas, il est important de bien se renseigner afin de faire le bon choix.

27/01/2022

Tout savoir sur le rejet de l’implant dentaire

En quoi consiste un rejet de l’implant dentaire ?
Pour remplacer une dent manquante, bon nombre de gens recourent à la pose d’implants dentaires. Toutefois, certaines personnes sont confrontées à un rejet de cet implant dentaire. Mais comment savoir si nous manifestons ce genre de rejet ? Quelles sont les manifestations de ce dernier ?

Qu’est-ce que nous entendons par rejet d’implant dentaire ?
La plupart du temps, les personnes qui perdent des implants dentaires considèrent ce qui leur arrive de rejet. Par ailleurs, lorsqu’un implant ne peut pas tenir dans notre mâchoire, cela ne peut pas être forcément un rejet médicalement. Effectivement, cette réaction est très différente de celles immunologiques que nous retrouvons lors d’une greffe d’organes. Le corps étranger n’est guère rejeté par l’organisme du patient.

Dans le domaine de l’implantologie, il est question d’échec implantaire. Certains chirurgiens parlent aussi de complication implantaire. Le cas qui se présente diffère l’appellation.

Comment se manifeste une complication implantaire ?
Pour connaître ce qui nous arrive, nous devons être capables de distinguer des complications à des échecs implantaires. Ces derniers sont assimilés à un implant qui n’est guère retenu par notre mâchoire. Par contre, si l’implant subit une complication, il reste toujours en bouche. Toutefois, il se comporte anormalement.

Pour savoir si vous êtes victime d’une complication ou d’un échec implantaire, prenez rendez-vous dans un cabinet dentaire.

Comment reconnaître un implant dentaire sain et en bonne santé ?
Lorsque le patient oublie complètement qu’il porte un implant dentaire, cela signifie que celui-ci est en bonne santé. Nous pouvons constater cela aussi bien sur le plan visuel que sensitif. Généralement, que ce soit avec une dent naturelle ou un implant, nous devons ressentir à peu près la même chose. Sur le plan visuel, nous distinguons quelques différences entre une dent naturelle et un implant.

Les critères permettant de reconnaître un implant en bonne santé sont les suivants :

la gencive péri-implantaire ne présente aucune inflammation ;
des os sont présents autour de la première spire de l’implant et ceux-ci sont visibles grâce à une radiographie ;
l’implant reste immobile ;
le patient ne ressent aucune douleur lors du brossage et de la mastication.
Par ailleurs, si l’implant présente des complications, les signes cliniques et radiologiques suivants sont présents :

des saignements apparaissent spontanément ou lors du brossage des dents ou à la mastication ;
la gencive disparaît au profit de la muqueuse ;
des douleurs irrégulières sont constatées du côté de la gencive ou bien au niveau de la muqueuse ;
la perte osseuse est souvent assez étendue ;
la gencive et l’os reculent, l’implant s’enfouit complètement dans la bouche et nous ne pouvons pratiquement plus le voir.