Résilience Accompagnement

20/11/2025

La pensée crée la réalité

Selon Joe Dispenza, nos pensées ne sont pas seulement des activités mentales : elles influencent directement notre cerveau, notre biologie et nos expériences futures.
En changeant nos pensées et nos croyances, nous pouvons changer notre vie.

Le cerveau est malléable (neuroplasticité)

Il affirme que chaque pensée nouvelle crée de nouvelles connexions neuronales.
Ainsi, en répétant des pensées positives ou en se concentrant sur un objectif, on reprogramme progressivement notre cerveau.

Ama Rose
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20/11/2025

C’est une citation très juste — et très profonde.

Elle met en lumière un phénomène fréquent : lorsqu’un parent n’a pas pu réaliser certains rêves, combler certaines blessures ou vivre des parts importantes de sa propre vie intérieure, il peut inconsciemment transmettre ces attentes, ces peurs ou ces manques à son enfant.
Ce n’est généralement pas par malveillance, mais parce que ce qui n’est pas vécu ou guéri cherche malgré tout à s’exprimer.

Quelques idées que cette citation évoque :

Le poids des projections:

Les parents peuvent projeter sur l’enfant leurs ambitions inabouties :
– “Tu feras ce que je n’ai pas pu faire.”
– “Tu réussiras là où j’ai échoué.”
Pour un enfant, répondre à ces attentes peut devenir un devoir écrasant.

Les blessures émotionnelles transmises:

L’enfant peut aussi hériter de peurs, de schémas relationnels ou de non-dits.
Ce qui n’a pas été élaboré dans la génération d’avant devient parfois un poids silencieux pour la suivante.

La difficulté pour l’enfant de devenir lui-même:

Lorsqu’il doit porter la vie non vécue d’un parent, l’enfant risque de se perdre, de minimiser ses propres désirs ou d’être tiraillé entre loyauté familiale et épanouissement personnel.

Un message de conscience:

La citation rappelle surtout l’importance, pour chacun, de prendre soin de son propre vécu intérieur :
plus un parent se connaît et se travaille, moins il transmet de charges inconscientes.

Ama Rose
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14/11/2025

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Étienne de la Boétie

Voici une vidéo d'une très grande qualité, certains se reconnaîtront, d'autres découvriront...

J’ai toujours soutenu l'idée que chacun de nous détient des capacités, et qu’elles ne sont pas l’apanage d’une poignée d’individus..
Ama Rose

« Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. » Étienne de la BoétiePionnière du voyage astral, elle est aux avant-postes de l’éveil des co...

27/10/2025

Cette citation suggère que, au-delà de la logique, de l’analyse et de la raison, il existe une forme de compréhension immédiate, globale, presque instinctive — celle que l’on appelle intuition.

C’est le moment où l’esprit saisit une vérité sans passer par toutes les étapes conscientes du raisonnement.

L’intuition peut être le sommet de la connaissance, mais seulement quand elle s’appuie sur une base solide de savoir, d’expérience et de sens critique. Autrement, elle peut être trompeuse.
Ama Rose

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25/10/2025

Être “bien adapté” à une société où règnent la compétition extrême, l'injustice, l’indifférence, la précarité ou la destruction du vivant, c’est accepter implicitement ces logiques — c’est devenir complice d’un système dysfonctionnel.
Krishnamurti invite donc à une forme de désobéissance intérieure : ne pas confondre intégration sociale et intégrité morale.
Ici, la “bonne santé” serait celle de l’esprit critique, de la conscience et du refus de participer aveuglément à un ordre social destructeur.
Ama Rose

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17/10/2025

Apprendre à être entier, même lorsque l’on ne se sent pas approuvé, est l’un des défis les plus universels de notre vie. Nous cherchons souvent à plaire, à être acceptés ou reconnus, oubliant que notre valeur ne dépend pas du regard des autres.

Cette citation nous rappelle que la véritable force réside dans l’acceptation de soi. Être entier, c’est embrasser toutes nos facettes — nos forces et nos vulnérabilités — sans chercher à nous conformer aux attentes extérieures.

Lorsque nous marchons avec notre propre lumière, nous cessons de nous fragmenter pour être aimés et nous commençons à vivre avec authenticité, courage et liberté intérieure. C’est ainsi que l’on découvre que notre place dans le monde n’est jamais à gagner, elle est déjà là, simplement parce que nous existons.
Ama Rose

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16/10/2025

Cette phrase provient de son livre "Un altro giro di giostra" (2004, traduit en français sous le titre "Un autre tour de manège" ), écrit après qu’il a appris être atteint d’un cancer.
Ce livre est à la fois un voyage physique et spirituel : Terzani parcourt l’Inde, le Népal et la Birmanie en quête de guérison, mais découvre finalement que la vraie guérison ne se trouve pas dans le corps, mais dans l’âme.

Dans ce passage, il dénonce une illusion moderne : celle selon laquelle le progrès matériel (technologie, consommation, vitesse, conquête de la nature) serait synonyme d’évolution humaine.
Pour lui, c’est tout l’inverse :

> Plus nous avons accumulé de biens, plus nous avons perdu le contact avec la sagesse, la lenteur, la nature, la compassion.

Ama Rose
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13/10/2025

Kant invite ici chaque individu à sortir de l’état de tutelle — c’est-à-dire de cette dépendance intellectuelle où l’on laisse d’autres penser à notre place (autorités politiques, religieuses ou scientifiques).
« Oser savoir », c’est avoir le courage d’utiliser sa propre raison, sans se réfugier derrière les opinions ou les dogmes.

Kant écrit que si tant de gens restent dépendants, ce n’est pas par manque d’intelligence, mais par paresse et lâcheté : il est plus confortable de suivre les ordres et de croire ce qu’on nous dit, que de penser par soi-même.
Cette phrase est donc un appel à la responsabilité individuelle : la liberté intellectuelle exige un effort, une discipline, parfois même du courage.

Cette injonction reste d’une actualité brûlante : à l’ère des réseaux sociaux, des infox et de la surabondance d’informations, “oser savoir” ne signifie plus seulement lire des philosophes, mais aussi vérifier, croiser, douter, raisonner par soi-même.
Autrement dit, c’est un appel à exercer l’esprit critique — l’un des héritages les plus précieux des Lumières.

Oser savoir, c’est refuser la passivité intellectuelle.
C’est choisir l’autonomie plutôt que la dépendance.
C’est croire que la raison appartient à tous, et non à quelques-uns.

Ama Rose
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13/10/2025

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07/10/2025

Pourquoi les gens ne guérissent pas.

De Maria de Los Angeles Rodeiro. Femme médecin intuitive connue pour sa vision particulière sur la guérison. Elle explique que la guérison nécessite souvent des changements profonds dans la vie, au-delà du simple traitement physique. Selon elle, guérir implique de travailler non seulement sur le corps, mais aussi sur le mental, l'émotionnel, l'énergie subtile, les relations, et l'environnement de la personne. Elle souligne que beaucoup de gens ne guérissent pas parce qu'ils ont peur du changement, restent accrochés au passé, ou ne s'aiment pas assez. La guérison exige une action consciente — changer ses habitudes alimentaires, faire de l’exercice, penser autrement, et parfois changer d'emploi ou de relations — ce qui peut être effrayant mais essentiel pour se sentir vivant et sain à nouveau. Son approche insiste sur le fait que chaque personne est en partie son propre guérisseur, et que les thérapeutes aident à réveiller cette capacité interne .
Ama Rose

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24/08/2025

Les mots que nous employons façonnent notre regard. Plutôt que d’emprisonner par une étiquette, choisissons ceux qui permettent d’éclairer, de comprendre, et, peut-être, de réparer.
✓On externalise le problème : l’autre devient "le problème", ce qui peut déresponsabiliser de sa propre part dans la dynamique relationnelle.
✓On fige l’identité de l’autre : au lieu de dire ""il y a des comportements qui me blessent", on réduit la personne à une essence négative, comme si elle était irrémédiablement nocive.
✓On ferme la porte à la nuance : certaines relations douloureuses ne sont pas forcément "toxiques", elles peuvent être simplement déséquilibrées, mal outillées, ou en crise.

Employer le mot toxique peut donner l’illusion d’un soulagement : en désignant l’autre comme source du mal-être, on croit avoir trouvé une explication. Mais ce mot enferme. Il réduit une personne à une étiquette définitive et ferme la porte à tout dialogue possible. Or, une relation, même abîmée, n’est jamais seulement une prison. Elle est faite d’interactions, de blessures, de maladresses, parfois de souffrance réelle.

C’est en nommant ces blessures avec précision, en les regardant avec lucidité, que l’on ouvre la possibilité d’un changement — qu’il s’agisse de transformer la relation ou de choisir de s’en éloigner.
Ama Rose

10/08/2025

« Le dos reflète l’état profond de l’âme, portant en silence ses tensions et ses forces invisibles. »

Haut du dos (cervicales, trapèzes, omoplates)

Émotionnellement : surcharge mentale, responsabilités lourdes, sentiment de pression, manque de soutien affectif.

Milieu du dos (zone dorsale/thoracique)

Émotionnellement : difficultés à exprimer ses émotions, cœur “fermé”, peur de s’ouvrir, sentiment d’enfermement.

Bas du dos (lombaires, sacrum)

Émotionnellement : insécurité, peur du manque, sentiment de ne pas être soutenu, anxiété liée à la stabilité matérielle ou affective.