24/11/2025
Il m’a fallu du temps pour comprendre que je n’avais pas à tout porter seule.
Longtemps, j’ai cru que c’était ça, “être forte”.
Avancer, continuer, sourire, respirer même quand le corps murmurait le contraire.
Il y a eu des périodes où je me suis tue…
par peur de déranger
par peur d’être trop
par peur de ne pas être comprise
par peur, simplement, d’exister avec tout ce que je ressentais.
Et tu sais quoi ?
Le corps, lui, n’a jamais cessé de parler.
Il frappait à la porte, doucement d’abord, puis plus fort :
une boule dans la gorge,
une fatigue qui n’était pas “juste de la fatigue”,
une pression dans la poitrine,
des émotions sans nom qui remontaient sans prévenir.
Ce que j’ai appris — parfois douloureusement —
c’est que les silences alourdissent, mais la parole allège.
Le corps n’est pas ton ennemi :
il est ton témoin.
Il garde tout.
Il sait tout.
Et il appelle toujours vers la vérité.
Si tu lis ces lignes et que quelque chose bouge en toi,
si un “oui, c’est moi” résonne quelque part,
j’aimerais te dire ceci :
🌿 Tu n’as pas à porter seule ce que ton corps crie en silence.
Tu as le droit d’être soutenue.
Tu as le droit d’être entendue.
Tu as le droit d’être accueillie dans toute ton intensité.
Tu as le droit de déposer, de souffler, de pleurer, de dire “ça suffit”.
Et si ton corps murmure que c’est le moment…
je suis là.
👉🏼 Écris-moi « Présence »
et je t’envoie un rituel + un audio pour commencer, en douceur.
Tu n’es pas seule.
Pas ici.
Pas avec moi.
💛