Clara Mallier

Clara Mallier Praticienne en Méthode Poyet et Micronutrition à Bordeaux

Il me tarde déjà d'assister à cette formation de ma grande amie Agathe Sultan Naturopathie pour approfondir avec elle la...
04/12/2025

Il me tarde déjà d'assister à cette formation de ma grande amie Agathe Sultan Naturopathie pour approfondir avec elle la question cruciale des Méthodes d'Observation du Cycle.

Les MOC, comme on les appelle familièrement, sont un outil absolument essentiel en santé fonctionnelle : à la fois une méthode contraceptive 100 % non toxique (y en a-t-il beaucoup d'autres... ?), un moyen de savoir quand faire ses bilans hormonaux au bon moment du mois, et un outil incontournable de connaissance de soi.

Observer son cycle, pour une femme, c'est accéder à une quantité incroyable d'informations sur elle-même : corréler les moments du cycle avec ses humeurs, sa forme physique, ses symptômes et même certains aspects de sa personnalité... C'est découvrir les marées hormonales qui fluent et refluent à travers nous, c'est apprendre à reconnaître la couleur spécifique à chaque moment du mois, c'est comprendre ce qui, dans nos comportements, nos émotions ou nos sensations physiques, est directement lié à nos hormones...

C'est observer aussi tous les micro-signes que "quelque chose est perturbé" dans notre état de santé bien avant que d'autres signes plus bruyants se fassent entendre, c'est disposer de nombreux et précieux indices sur ce qu'il y a à corriger pour que notre physiologie fonctionne optimalement... C'est aussi connaître et comprendre le fonctionnement des différentes hormones, apprendre à les sentir et les reconnaître, et apprendre à se "vivre" avec chacune d'elles, sans masque, sans pansement, sans filtre. Arrêter la pilule et redécouvrir son cycle naturel, c'est être enfin en contact vrai avec soi-même. ..avec, parfois, tous les inconforts que cela comporte (et je ne dis pas que c'est possible ou souhaitable pour toutes les femmes : à chacune son histoire, ses problématiques, ses choix bien sûr) : mais faire face à ces inconforts, c'est aussi se donner la chance - si l'on est accompagnée par un.e praticien.ne formé en hormonologie fonctionnelle - de comprendre ce qui ne va pas et d'y remédier de manière causale, préservant ainsi son bien-être dans le présent et l'avenir.

Bref, les méthodes d'observation du cycle, c'est bien plus qu'un moyen de contraception naturel (ce qui est déjà immense !) : c'est l'association d'un ancrage dans les traditions les plus profondes avec le meilleur de la modernité. J'ai absolument hâte d'en apprendre plus sur ce sujet avec Agathe.

Je suis déjà inscrite ! Et vous ?

PS Cette formation est destinée aux praticiens de santé, mais les particuliers peuvent aussi apprendre l’observation des cycles avec Agathe, qui reçoit à son cabinet les jeunes filles et les femmes désireuses de s’initier à cette méthode. 🌸

Un grand jour indeed ! Quelle joie de pouvoir partager cette formation sur un sujet passionnant et encore peu connu en s...
21/11/2025

Un grand jour indeed !
Quelle joie de pouvoir partager cette formation sur un sujet passionnant et encore peu connu en santé fonctionnelle, après des mois à travailler comme une fourmi dans ma bibliothèque virtuelle ! Et un grand bonheur de le faire dans le cadre de DFM Formations - la Santé Fonctionnelle : mon école de cœur, où tout est mis en œuvre pour que les savoirs soient les plus pointus, au service de la meilleure efficacité pédagogique et thérapeutique, et où chaque orateur peut développer son propre style avec son iconographie, sa pédagogie, sa façon de raisonner ! L'alliance de la rigueur et de la liberté : le combo du bonheur pour moi.
Et que dire du public ! Je me sentais en famille avec Agathe Sultan Naturopathie, Maud Gabriel, Marie-Neige Chervier, Gaignard, Naturelle, Libera, Loumena, Martine Hoarau, Christine Born-Gautheron, Krotoum Konaté Nutrithérapie...

Un grand merci encore à Gué, Mairet Micronutrition et Commarmond pour l'existence de l'école tout d'abord, et pour l'accompagnement de la venue au monde de cette formation 🌿💫

👏🥳Aujourd'hui c'est le grand jour : la première d'une nouvelle formation de haut vol chez DFM ! SULFO Pratik avec Clara Mallier.

✅Qui est Clara Mallier ?
Universitaire de formation (ancienne élève de l’École normale supérieure, enseignante-chercheuse à l’Université), Clara Mallier s’est reconvertie dans le domaine de la santé fonctionnelle, pratiquant la thérapie manuelle Méthode Poyet et la nutrithérapie / micronutrition. Formée chez DFM (Cursus Duo Pratik, Hormono Pratik, SIBO Pratik entre autres) et titulaire du DU Santé, Diététique et Physionutrition de l’Université Grenoble-Alpes, elle donne également des conférences et formations auxquelles elle apporte son enthousiasme, sa rigueur intellectuelle et son sens de la pédagogie.

✅ Prochaine date disponible : jeudi 5 mars 2026 !

https://dfm-formations.fr/classevirtuelle-sulfo-pratik/

A bientot !
L'équipe DFM

Soirée réjouissante hier soir à l’Ile de Kos, où j’ai parlé du sujet de l’intolérance à l’histamine à un public de profe...
10/10/2025

Soirée réjouissante hier soir à l’Ile de Kos, où j’ai parlé du sujet de l’intolérance à l’histamine à un public de professionnels passionnés et pointus. Les échanges ont été très stimulants dans ce cadre intimiste.
Un grand merci à Muriel Verney et Nicolas Guidoux pour leur accueil dans ce superbe lieu dédié à la naturopathie et la santé intégrative ; à Anne-Catherine Dumortier et Agnès Tison du laboratoire Energetica Natura, pour l’organisation parfaite de cet événement ; et à tous les présents pour vos questions et remarques passionnantes, et votre attention sans faille jusqu’à plus de minuit ! 🙃






Très heureuse d’avoir donné une conférence hier soir pour Energetica Natura dans le superbe gratte-ciel de la tour Part-...
26/09/2025

Très heureuse d’avoir donné une conférence hier soir pour Energetica Natura dans le superbe gratte-ciel de la tour Part-Dieu, dont la silhouette élancée m’est familière depuis bien longtemps puisque j’ai de la famille dans la région lyonnaise.
Le thème : les troubles déficitaires de l’attention. Il est toujours particulièrement intéressant d’avoir les retours des participants sur ce thème en particulier, qui impacte tellement les familles et sur lequel tout le monde - thérapeutes, pharmaciens, parents, enseignants concernés - a des anecdotes parfois poignantes et toujours riches d’enseignement à rapporter.
Un grand merci à tous les présents ainsi qu’à Anne-Catherine Dumortier et Sonia Thibault du
laboratoire Energetica Natura pour l’organisation de cet événement.

La prochaine fois que je parlerai de ce sujet, ça sera à Paris avec Clara Materne Nourish qui apportera toute son expertise sur la prise en charge du TDAH par l’alimentation.

Aujourd'hui, j'étais dans les murs de l'hôpital Saint-André de Bordeaux. La beauté des lieux, la grandeur des espaces de...
28/08/2025

Aujourd'hui, j'étais dans les murs de l'hôpital Saint-André de Bordeaux. La beauté des lieux, la grandeur des espaces de cet hôpital vénérable m'ont fait penser à un passionnant texte du Pr Perronne qui parle de son expérience d'infectiologue dans des hôpitaux anciens et modernes. Je vous le partage ici.

« Dès 1976, intéressé depuis toujours par les maladies infectieuses, j’ai eu la chance d’effectuer un stage dans un service des maladies infectieuses et tropicales très réputé […] dans l’ancien hôpital Claude-Bernard à Paris. Cet hôpital était conçu sous la forme de petits pavillons indépendants, chaque pavillon hébergeant des maladies contagieuses différentes pour éviter les contaminations croisées. C’était le temple de la prise en charge des maladies infectieuses et des malades contagieux. C’est le seul endroit de Paris où la police allemande, la Gestapo, n’a pas pénétré pendant l’Occupation, à la grande joie des résistants qui pouvaient se cacher dans les souterrains de l’hôpital. L’infection a toujours fait peur. Dans cet hôpital, on soignait aussi bien les adultes que les enfants et même les nourrissons. Un infectiologue, jusqu’en 1988, devait savoir soigner tous les âges, de 7 jours à 77 ans et plus. La première réanimation médicale de France a été ouverte dans cet établissement en 1953, pour se préparer à la grande épidémie de poliomyélite qui sévissait dans les pays nordiques […]. Ce premier service de « réanimation » a fait école dans la France entière et à l’étranger. J’ai découvert à Claude-Bernard le monde fascinant de l’infectiologie.

[Malheureusement, la destruction de cet hôpital Claude Bernard était déjà programmée.]

Le projet politique était de regrouper l’ancien hôpital Bichat, situé porte de Saint-Ouen, avec l’ancien hôpital Claude-Bernard en construisant un nouveau Bichat, immense bâtiment vertical sur les jardins potagers situés derrière le vieux Bichat. Cet hôpital était si solide et si bien conçu (avec notamment beaucoup de chambres à deux et trois lits !) que les microbes n’avaient qu’à bien se tenir. Ils seraient reconduits à la frontière de l’hôpital ! […]. Le nouvel hôpital fut inauguré en grande pompe, et peu de temps après, en 1981, une curieuse épidémie de pneumonies très graves éclata parmi les nouveaux malades de cet établissement flambant neuf.

L’hygiène oubliée des « hôpitaux modernes »
Le transfert des services de maladies infectieuses à l’hôpital Bichat s’est fait dans la douleur. J’eus l’impression d’aller travailler dans des locaux totalement inadaptés à l’isolement des malades contagieux. Dans l’ancien Claude-Bernard, il n’y avait pratiquement que des chambres individuelles, la plupart très larges, avec une hauteur sous plafond de 3,50 mètres. Le sol était carrelé avec des plinthes arrondies pour éviter que la poussière ne s’accumule dans les coins. Il y avait de grandes fenêtres surmontées de plus petites pour assurer l’aération. Chaque chambre avait une salle de bains individuelle avec une grande baignoire. Beaucoup de chambres donnaient sur des terrasses ouvertes au grand air. Il y avait même eu un circuit propre et un circuit sale, mais cette mesure avait disparu au fil du temps. Il y avait encore des pavillons dédiés à une maladie unique (rougeole, coqueluche, varicelle, oreillons, etc.). Un autre monde nous attendait à Bichat. En arrivant dans cet hôpital presque neuf, je fus horrifié de voir des malades atteints de tuberculose contagieuse hospitalisés dans des chambres collectives à deux ou trois lits, descendre dans des ascenseurs pleins à craquer pour aller à la cafétéria ou faire la queue dans le service de radiologie. Des malades contagieux pouvaient croiser régulièrement des malades fragiles, immunodéprimés ou transplantés. Comme il y avait quinze étages, le trajet en ascenseur pouvait prendre plus de dix minutes aux heures de pointe, l’idéal pour les microbes quand on est serré comme des sardines dans une caisse suspendue. Dans l’ascenseur, je me mettais à rêver à mon hôpital pavillonnaire chéri, livré aux démolisseurs. Peu de temps après le transfert de l’infectiologie à Bichat, la transmission d’une souche de tuberculose multirésistante a été responsable du décès au treizième étage de plusieurs malades atteints de sida et de la contamination d’une interne en médecine. »

Pr Christian Perronne, La Vérité sur la maladie de Lyme (2017)

Quand j’étais étudiante en littérature, on parlait beaucoup de métatextualité - le fait qu’un texte parle de lui-même, q...
09/07/2025

Quand j’étais étudiante en littérature, on parlait beaucoup de métatextualité - le fait qu’un texte parle de lui-même, qu’il commente (implicitement ou explicitement) son propre fonctionnement, créant ce qu’on appelle classiquement une « mise en abyme ». C’est un concept qui paraissait essentiel à certains, inutile et abscons à d’autres. Mais dans cette réflexivité il se joue quelque chose d’important dans la littérature et les arts, qui ont pour vocation d’interroger perpétuellement leur propre fonctionnement, et de tendre au spectateur un miroir interrogateur sur sa propre position dans l’affaire. Cette « réflexivité » va avec une réflexion. Refléter, réfléchir ; transparence et opacité. Le rapport clair-obscur de l’art à lui-même.

Aujourd’hui, je vois à longueur de journée des tutos sur Insta qui expliquent « comment faire des posts Insta efficaces ». Un réel qui t’explique comment faire un réel (d’ailleurs, soit dit en passant, « reel » devrait s’écrire sans accent, ça n’a rien avoir avec le réel, ça vient de « reel » en anglais qui signifie enrouleur / dévidoir / bobine (de film). Mais passons). Donc un reel qui t’apprend à faire des reels, un carrousel qui t’apprend à faire des carrousels, qui t’explique comment choisir ton format, ta police, et terminer par un CTA, et qui met en œuvre ce format, ce type de police, et se termine par un CTA.

Eh bien ! Voilà que la mise en abyme est partout. Il fut un temps où elle était l’apanage des grandes œuvres. Aujourd’hui elle fleurit dans des publications répétitives et standardisées, à vocation commerciale, dont le but est de susciter l’« engagement » du destinataire non pas pour lui apporter quelque chose, mais pour obtenir quelque chose de lui. God. C’est moins grave que la loi Duplomb, mais ça n’est pas entièrement rassurant quand même.

Je vous présente la team des Hormono Queens : de gauche à droite, Physio Santé - Elsa Holfert Micronutrition, l’immense ...
21/06/2025

Je vous présente la team des Hormono Queens : de gauche à droite, Physio Santé - Elsa Holfert Micronutrition, l’immense Guénaëlle Abéguilé sans qui aucune d’entre nous n’en serions là aujourd’hui, votre servitrice Clara Mallier, Marine Piron, micronutrition, Agathe Sultan Naturopathie et Clara Materne que je n’arrive pas à tagger. Il ne manquait que notre très chère Dr Vanessa Hamoniaux pour que nous soyons au complet.







Jeudi, j'animerai à Bayonne pour le laboratoire Energetica Natura une table ronde sur le sujet passionnant de l'intoléra...
17/06/2025

Jeudi, j'animerai à Bayonne pour le laboratoire Energetica Natura une table ronde sur le sujet passionnant de l'intolérance à l'histamine (et autres formes d'histaminose).

L'intolérance à l'histamine est une des rares intolérances alimentaires à porter sur une molécule qui est naturellement présente à la fois dans les aliments et dans notre organisme, où elle joue de nombreux rôles indispensables à la physiologie.
Cette intolérance se manifeste par des troubles affectant de nombreux systèmes corporels (troubles digestifs, cardio-respiratoires, cutanés, troubles de l'humeur et du sommeil, etc.) et, pour cette raison, met souvent longtemps à pouvoir être identifiée comme telle et prise en charge comme il le faut.

Destinée aux professionnels de santé, cette conférence permettra d'aborder les points suivants :
- Quelles sont les différentes formes d'histaminose
- Quelles sont leurs causes
- Comment les mettre en évidence cliniquement et biologiquement
- Comment les prendre en charge par l'hygiène de vie, l'alimentation et la nutraceutique

Informations pratiques au lien suivant :

https://www.energeticanatura.com/fr-fr/et-si-cetait-lhistamine

Au plaisir de vous y retrouver nombreux !

Vous pouvez utiliser le solde de votre commission pour payer les frais d'inscription. Cochez la case dans la première étape de votre panier. Un bon de commande -45% sera proposé aux participants à la suite de l’évènement.

[Cadmium : de l’espoir 🙏🏼]Bonjour à tous Je vous parlais récemment des dangers du cadmium. Je ne suis pas la seule à m’e...
14/06/2025

[Cadmium : de l’espoir 🙏🏼]

Bonjour à tous

Je vous parlais récemment des dangers du cadmium. Je ne suis pas la seule à m’en faire l’écho, le Dr Didier Cosserat a également relayé un document de l’ANSES sur la question. En commentaire de sa publication (dont je vous mettrai le lien en premier commentaire), Ovensmith a posté ce schéma extrait d’une étude qui montre que le cadmium est fortement éliminé par la transpiration. J’ai d’autant plus confiance dans cette information que l’étude en question montre qu’en revanche il est quasiment impossible d’éliminer le mercure, que ce soit par la sueur ou les urines (ce qui est un fait, et tristement connu).

Il semble donc que le sauna et l’exercice physique soient de bons moyens d’éliminer les excès de cadmium. Une bonne nouvelle ! 🤸‍♀️

Référence de l’étude (qui est en accès libre pour celleux que ça intéresse) :

Genuis SJ, Birkholz D, Rodushkin I, Beesoon S. Blood, urine, and sweat (BUS) study: monitoring and elimination of bioaccumulated toxic elements. Arch Environ Contam Toxicol. 2011 Aug;61(2):344-57. doi: 10.1007/s00244-010-9611-5. Epub 2010 Nov 6. PMID: 21057782.

Adresse

223 Cours De L'Yser
Bordeaux
33800

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