Amethyst Institute of Research & Development

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L'être humain ne fait que suivre en essayant de s’adapter au mieux à notre société sans jamais pouvoir prendre du recul, au point où nous sommes tous déconnectés.

27/03/2020
Le dégoût :Dans le dictionnaire nous retrouvons deux sens au mot dégoût :• Sensation d’écœurement, haut-le-cœur provoqué...
19/12/2019

Le dégoût :

Dans le dictionnaire nous retrouvons deux sens au mot dégoût :

• Sensation d’écœurement, haut-le-cœur provoqué par quelque chose qui dégoûte.
• Sentiment d’aversion, de répulsion, provoqué par quelqu’un, quelque chose ; fait d’être dégoûté, de ne plus avoir de goût pour quelque chose, d’intérêt, d’attachement ou d’estime pour quelqu’un.

Le dégoût est la quatrième dans la série des émotions primaires. Il a lui aussi, comme c’est le cas pour chacune de nos émotions primaires, son lot de réactions et de changements au niveau physique et physiologique lui permettant de s'adapter à son environnement.

Comment se manifeste le dégoût ?

C’est surtout dans le haut du corps que nous observons des réactions. Nous pouvons ainsi observer un ralentissement de la fréquence cardiaque. Nous constatons également des réactions de « Fermeture des Sens », c’est ce que l’on peut par exemple observer sur le visage avec le plissement des yeux qui peut nous amener à les fermer pour ne plus voir l’objet de notre dégoût. Nous verrons la même chose avec le nez qui se fronce comme pour bloquer l’entrée d’une odeur désagréable.

Nous essayons ainsi de ne pas laisser passer, entrer, ou avoir de contact avec l’objet de notre dégoût. Ensuite, c’est tout le système digestif qui va être touché, en effet : le dégoût provoque surtout des sensations au niveau gastro-intestinal et au niveau de la gorge, avec les nausées ou l’envie de vomir.
Qu’est-ce qui déclenche le dégoût ?

Dr Lauri Nummenmaa (Faculté des Sciences d’Aalto en Finlande) :

Dans un premier temps, nous devons faire la distinction entre deux formes de dégoût :
• Dégoût primaire : pour tout ce qui se rapporte à notre corps.
• Dégoût secondaire : pour tout ce qui va toucher à l’identité/au psychisme.

Le Dégoût Primaire :

• Il se déclenche par tout contact avec, par exemple, des aliments périmés, des détritus, des excréments, certains animaux ou insectes que l’on associe culturellement à la saleté (comme les cafards, les rats, etc). Il s’agit du dégoût le plus classique, mais il ne se résume pas seulement à cela.
• le dégoût primaire se rattache à notre corps entier.
• Ainsi, nous exprimons également du dégoût face à toutes violations ou déformations de notre enveloppe corporelle (exemple : les blessures, le poids, les malformations, etc.).

Le Dégoût Secondaire :

• Ici nous pouvons retrouver le dégoût interpersonnel, autrement dit des autres, qui serait provoqué par la rencontre/contact avec des inconnus/étrangers, des personnes malades, malchanceuses ou jugées comme immorales (selon notre perception). Ce dégoût secondaire comprend aussi le dégoût socio-moral qui prendrait son origine dans tout acte immoral (perçu comme socialement et moralement inacceptable).

Pourquoi le dégoût ?

Comme la colère, la peur, le dégout nous accompagne depuis toujours, il a accompagné nos ancêtres et ont permis la survie de l’espèce. Grâce au dégoût nous pouvons-nous protéger de diverses maladies ou infections dû à l’absorption ou le contact avec un aliment qui n’est pas bon pour nous.
L’émotion du dégoût est donc là pour rejeter ou nous éloigner de toute forme de contact avec quelque chose ou quelqu’un qui menaceraient l’existence ou du moins la santé de notre corps.

Ainsi le dégoût primaire agit comme un mécanisme de défense qui garantirait et nous permettrait de préserver notre identité physique.

Du même principe le dégoût secondaire nous invite à nous éloigner ou rejeter ce que nous jugeons comme pas « bon » pour nous et qui pourrait menacer notre identité psychique.
Grâce à ce mécanisme de défense, le dégoût va nous guider vers la satisfaction de nos besoins. En nous permettant de nous tourner vers quelque chose ou quelqu’un qui ne nous dégoûtera pas). Comme avec chacune de nos émotions : « protéger + satisfaire nos besoins = survivre ».

Thème : Les émotionsAujourd'hui : la tristesseLa Tristesse :Petit Larousse : « Etat de quelqu’un qui éprouve du chagrin,...
09/12/2019

Thème : Les émotions
Aujourd'hui : la tristesse

La Tristesse :

Petit Larousse : « Etat de quelqu’un qui éprouve du chagrin, de la mélancolie, affliction… »

Pourquoi sommes-nous tristes ?

La tristesse est aussi une émotion bien utile, j’irai même plus loin en disant qu’elle est un indicateur. En effet, elle nous indique que nous faisons face à un manque, le manque de quelqu’un qui vient de partir, de quelque chose ou une situation qui n’est plus et cela nous manque.

Tout comme la colère ou la peur, la tristesse aussi s’accompagne de modifications psychologiques et physique. Elle nous ralentit le rythme cardiaque, la tension artérielle et elle nous pousse à nous replier sur nous-mêmes.
Ce repli sur soi n’est pas négatif, il est même important car il nous offre la possibilité de prendre du recul et de nous réorganiser. En fait, nous vivons un manque qui crée un vide dans notre vie. Nous avons besoin de combler ce vide à partir d’un changement, d’un renouveau qui demande une organisation différente.

La tristesse est aussi très souvent accompagnée de pleurs et nos épaules sont voûtées. C’est le corps qui s’exprime, il dit au monde extérieur que nous avons besoin de réconfort, c’est pourquoi les autres sont prédisposés à venir vers nous. Ces attentions nous aideront à retrouver une certaine stabilité pour nous permettre de nous réorganiser sereinement.

Nous n’avons pas toujours une compréhension claire de l’émotion de la tristesse. En fait, elle ne signifie pas s’isoler, se mettre dans un coin, bien au contraire, elle nous pousse à rechercher la compagnie des autres. L’être humain est une créature sociale, nous avons besoins des autres, surtout quand nous n’allons pas bien.

La tristesse nous pousse à ralentir et à nous concentrer sur l’essentiel, c’est-à-dire prendre soin de soi et s’entourer des bonnes personnes.

La tristesse comme toutes les émotions, doit être vécue et non refouler, dissimuler….

Ce n’est pas parce que nous ressentons de la tristesse que nous sommes la tristesse !!! En effet, nous pouvons ressentir de la tristesse et continuer à être agréable, a rire avec les autres.

Thème du mois : Les émotionsCette semaine : La peurChers Amis Facebook, cette semaine nous enchaînons avec l’émotion de ...
15/11/2019

Thème du mois : Les émotions
Cette semaine : La peur

Chers Amis Facebook, cette semaine nous enchaînons avec l’émotion de la peur.

Pourquoi avons-nous peur ?

La peur est une émotion qui se déclenche en général en présence d’un danger ou d’une menace.

La peur est une émotion très utile, car elle nous protège des dangers. C’était bien pratique du temps des hommes des cavernes quand les prédateurs rôdaient autour du camp, mais aujourd’hui, dans notre société sophistiquée, la peur aussi a évolué, une peur mal gérée entraîne l’angoisses, l’anxiété et bien d’autres problèmes.

La peur comme toute émotion s’accompagne de modifications physiologiques pour nous aider à faire face aux dangers : hyperventilation et augmentation artérielles pour oxygéner les muscles (nous sommes prêts à bondir si besoin), nos pupilles se dilatent pour améliorer notre vision et notre cerveau bien oxygéné est plus concentré et attentif… le tout nous conduit à adopter la réaction de « Fuite ou de Lutte ».

Autrement dit, la peur qui peut s’apparenter au trac est très utile. En effet, nous sommes plus concentrés sur la tâche à accomplir et nous pouvons ainsi donner le meilleur de nous-mêmes.

Le danger de la peur, c’est quand elle nous paralyse. Comment peut-elle faire ça ? Ce n’est pas elle, mais notre mental.

En fait, quand nous avons peur, nous analysons toutes les situations possibles que nous comparons avec nos capacités et les ressources à notre disposition. Quand nos capacités et nos ressources ne nous semblent pas suffisantes pour faire face à la situation, nous nous paralysons, espérant ainsi échapper à la situation


Aujourd’hui, nous ne vivons plus sous la menace des prédateurs, en revanche, nous avons un autre problème, bien plus sérieux qui s’appelle le mental : nous réfléchissons trop ! Et, c’est ce qui fait que notre peur est omniprésente et qu’elle nous tient prisonniers et peut nous paralyser.

Que faire avec la peur ?

La peur n’est ni plus ni moins qu’un signal. Quand notre vie est en danger, faisons ce qu’elle nous motive à faire : sauter à gauche ou à droite ou bien courir ou ne rien faire. Autrement, lorsque notre vie n’est nullement en danger, battons-nous pour nous extraire de cette emprise.

Oui, la peur n’est qu’un signal. Elle nous dit : je ressens un danger. J’ai besoin que tu fasses preuve de plus de vigilance. Es-tu vraiment prêt ?

Écoutons-la attentivement puis respirons calmement. Ayons du discernement, tout comme pour la colère, nous avons totalement le choix d’agir en fonction de nos valeurs et de nos objectifs, plutôt que de la laisser prendre le contrôle de notre vie.

"Se Libérer de la peur, c'est le premier pas pour prendre le contrôle de son existence"

Le Thème du mois : Les EmotionsCette semaine : Comprenons nos émotions ! Tout d’abord, comprenons les origines de nos ém...
07/11/2019

Le Thème du mois : Les Emotions
Cette semaine : Comprenons nos émotions !

Tout d’abord, comprenons les origines de nos émotions. Elles nous accompagnent depuis toujours, depuis la création de l’humanité, elles ont accompagné nos ancêtres et ont permis la survie de l’espèce parmi les multiples dangers de cette époque.

Comment ?

Avant l’arrivée du « Langage », nos ancêtres communiquaient à travers les émotions de base telles que la peur, la colère, la surprise.
Ces émotions se lisent instantanément sur le visage et indiquent aux membres qu’un danger est imminent qu’un prédateur approche. Ils dépendaient sur les émotions pour survivre.

Quand une nourriture ne convenait pas à notre ancêtre, c’est par le dégoût qui est aussi considéré comme une émotion de base qu’il le remarquait, la modification du visage « Grimace », du corps également.

Par ailleurs, la joie et la tristesse ont aussi contribué à leur survie. La joie permet de resserrer les liens d’appartenance si important quand on est entouré de dangers. La tristesse de son côté, les larmes permettent de réconforter la tribu.

C’est grâce aux émotions de base que nous existons

Comprendre nos émotions :

De nos jours, le langage est performant, très sophistiqué même et nous ne vivons plus sous la menace des prédateurs et autres dangers.

Lire les émotions des autres est un mécanisme que nous apprenons dès la naissance. Avant de savoir parler et de comprendre le langage verbal nous communiquons avec nos proches de façon non verbale. Le nourrisson va utiliser ses émotions pour s’exprimer et lire celles de ses parents. Il va faire du mimétisme jusqu’à rentrer dans l’apprentissage des mots. Aujourd’hui la place de la communication non verbale est spoliée par les mots et petit à petit nous « oublions », que nous avons tous cette capacité en nous de communiquer autrement si nous allons chercher au fond de nous.


En conséquence, nous ne savons plus vraiment quoi faire de nos émotions. Pire encore, maintenant que nous pouvons nous cacher derrière des mots, nous faisons abstraction totale des émotions.

Malheureusement, nous ne pouvons faire disparaître nos émotions, et plus nous essayons de les occulter, plus elles se manifestent !! Qui donne lieu à des émotions négatives telles que : Irritabilité, agressivité et dépression.

Comprendre nos émotions est indispensable pour vivre plus heureux et plus sereinement.

Commençons avec La Colère : A quoi sert-elle ?

La colère est une émotion de base, accompagnée d’un changement physiologique.

Quand la colère survient, notre rythme cardiaque s’accélère, nos poings se serrent, nos sourcils se froncent…. Nous ressentons une décharge d’énergie dans le corps.

Pourquoi ?

La colère indique que notre besoin d’être respecté n’est pas satisfait. En fait, elle se déclenche lorsque nous avons le sentiment que nos limites ont été atteintes et cette décharge d’énergie est libérée pour que nous réajustons nos limites et que nous assouvissions notre besoin d’être respecté.

La colère est très utile. Elle nous invite à nous affirmer. C’est-à-dire, nous donner le droit de penser, de ressentir et de vouloir des choses et de le dire dans le respect de l’autre.
La colère nous avertit que nous faisons face à un obstacle et de trouver une solution pour le contourner.

La colère fait peur, car on imagine qu’elle est synonyme de violence. Il est important de savoir que toute émotion a besoin d’être écoutée, d’être exprimée.

En d’autres termes, quand nous sommes en colère, reconnaissons-le : « Oui, je suis en colère » Nous avons le choix, nous pouvons soit pousser un cri, on peut taper du poing ou alors on ferme les yeux , on respire profondément et calmement.

Nous ne pouvons nous permettre de ressentir ou non une émotion. Elle est présente et bien décidée a être entendue, que nous le voulions ou pas. Et comme elle est toujours accompagnée de modifications dans notre corps, nous savons qu’elle est là.

Il est de notre devoir d’identifier qui elle est et pourquoi elle se manifeste. Par contre, nous avons toujours le choix quant à notre façon de l’exprimer.

Quand nous ressentons de la colère, sachons bien que nous en avons tout à fait le droit. Après tout, c’est humain de ressentir des émotions.

En revanche, comprenons bien que ce n’est pas parce que nous ressentons de la colère que nous devons être la colère.

Rappelons-nous : nous avons le choix d’agir de la manière qui nous convient.

Nous pouvons éviter la violence, les regrets, de casser notre voiture, de nous faire mal ou de faire du mal autour de nous.

Préférons plutôt d’agir selon nos valeurs et nos objectifs, au lieu de laisser libre cours à notre colère.

« Je peux être en colère, mais agir avec bienveillance » Ref Femmedinfluence.fr

Chers amis Facebook, parlez nous de votre colère.

Le Thème du mois : Les EmotionsCette semaine : Les Emotions Primaires ou Fondamentales et SecondairesLes Emotions font p...
23/10/2019

Le Thème du mois : Les Emotions
Cette semaine : Les Emotions Primaires ou Fondamentales et Secondaires

Les Emotions font partie de nous, elles nous accompagnent, elles nous guident et nous les affrontons au quotidien. Pourtant, aujourd’hui, dans notre société poste industrielle, nous associons les émotions a de la faiblesse et cherchons à les dominer afin d’être psychiquement plus forts.
Néanmoins, si nous prenons le temps de bien comprendre, nous verrons que les émotions ne sont pas un signe de faiblesse, mais plutôt un état humain tout à fait naturel. Cet état est indispensable pour le bon fonctionnement de chaque individu et apprendre à gérer ces émotions est tout aussi important. Mais pour comprendre comment les gérer, nous devons avant tout, les comprendre.

Qu’est-ce qu’une émotion ?

Dans son ouvrage Le décodeur des émotions, Yves-Alexandre Thalmann donne sa propre définition :
« Une émotion est donc une réponse à un événement déclencheur. Cet événement peut être externe, c’est-à-dire souvenir dans la réalité, ou interne, à savoir une pensée (souvenir, souci, anticipation, etc.). Précisons que beaucoup de nos émotions sont uniquement déclenchées par nos pensées, sans qu’aucun événement se soit produit. Ainsi les rémunérations mentales qui provoquent l’anxiété ou les scénarios catastrophes que nous nous jouons bien malgré nous. »

Pour bien comprendre la notion de l’émotion, il faut tout de même être capable de l’identifier. En principe il existe deux catégories d’émotions, d’un côté il y a les émotions dites « Fondamentales » ou « Primaires » et d’un autre coté les émotions « Secondaires ».

Les émotions fondamentales sont celles avec lesquelles nous répondons à des stimuli de notre environnement. «Elles possèdent une expression faciale caractéristique et universelle ; celles-ci sont innées à chaque bébé, peu importe le lieu de sa naissance, il le manifeste de la même façon[…]. » Ces émotions sont :

1. la joie: elle « s’exprime par le sourire et la fermeture des yeux ».

2. la tristesse: elle « s’exprime par les larmes et par une sorte d’accent circonflexe sur le front, conférant un air de chien battu ».

3. la peur: elle « s’exprime par l’ouverture des yeux (mais pas de la bouche) ».

4. la colère: elle « s’exprime par une vague sur le front, la fermeture partielle des yeux et une sorte de torsion sur la bouche. » (www.etreparents.com)

5. Le dégoût

6. La surprise

Passons aux émotions Secondaires, ces émotions quant à elles, ne sont pas innées, elles s’acquièrent au fil de notre croissance. Elles sont plus nombreuses et plus complexes. Plus complexes, dans le sens qu’elles nécessitent une véritable élaboration mentale et se manifestent différemment… c’est le cas de la honte, de la culpabilité, ou encore de la jalousie. S’y ajoutent à cette catégorie les émotions qui sont moins évidentes, car non identifiables directement sur le visage. Elles peuvent être la fierté. Le mépris, l’orgueil, la sympathie, l’antipathie, la tendresse, la gratitude, entre autres…

Petite précision, ce n’est pas parce qu’une émotion est secondaire qu’elle est moins importante. Ce n’est qu’une classification.

Chers amis facebook, nous vous invitons à identifier vos émotions et à les partager avec nous. Dans notre prochain « Post », nous allons essayer de les comprendre.

Thème du mois : le lâcher priseCette semaine : Lâcher prise, c’est aussi accepter nos limites "Limite"  : « le degré ext...
04/10/2019

Thème du mois : le lâcher prise
Cette semaine : Lâcher prise, c’est aussi accepter nos limites

"Limite" : « le degré extrême de quelques chose, le seuil de ce qui est acceptable, supportables… » Ref : Le Larousse
Chacun d’entre nous a des limites qui lui sont propres et dont il doit tenir compte. Elles influencent notre vie et méritent notre attention.

Nos limites, c’est notre soupape de sécurité, elles nous aident à prendre conscience de choses qui ne nous conviennent pas car cela nous demande trop d’effort ou cela peut créer de l’inconfort pour vivre en harmonie, comme s’énerver de ne pouvoir courir un marathon en 2 heures ou de ne pouvoir faire que 3 pompes. Alors que ces limites, en les acceptant, en lâchant prise, nous arrivons à avancer, à progresse car avec de la patience on peut s’entrainer pour courir un marathon en 2 heures ou faire 50 pompes comme les pompiers.

Cela dépend de nous, nous avons notre libre arbitre….

« Se sentir bien avec soi-même, c’est réaliser que nous avons des limites et que les accepter, nous rend plus serein, parce qu’après tout c’est ce que nous sommes »
La meilleure façon d’accepter nos limites, c’est d’apprendre à vivre avec.

Cela dit, ce n’est pas parce qu’elles nous sont pénibles qu’il faille toujours les vivres avec difficultés… avec patience, tolérance, volonté nous arrivons à l’Acceptation.

Le Lacher-Prise en acceptant ses limites consiste à demeurer dans le moment, Ici et Maintenant avec ce qui est. (Ref : Dr Gilles Farcet)

« Cette pratique n’exclut en rien l’aptitude à prévoir, à organiser ni ne nous dispense de nos responsabilités. L’attitude d’ouverture inconditionnelle à l’instant ne conduit nullement à baisser les bras, à tolérer l’intolérable. Le lâcher-prise, dans l’immédiateté, est totalement compatible avec l’action dans la durée. Le lâcher-prise n’est pas se résigner mais être conscient de ses limites. Je marche dans la rue, un vieillard se fait renverser sous mes yeux. Le fait que je pratique ici et maintenant le lâcher-prise (sur des questions comme : est-ce grave ? sa vie est-elle entre mes mains ?) ne me conduit pas à m’abstenir de lui venir en aide. Bien au contraire, en m’épargnant les pensées parasites ou les atermoiements, ce positionnement intérieur me permet d’agir plus vite, dans la mesure exacte de mes possibilités. »

Chers amis FaceBook, n’hésitez pas à nous contacter pour partager vos expériences et vos observations.

Thème du mois : le lâcher priseCette semaine : La Volonté de lâcher priseLe lâcher prise est difficile, très difficile e...
26/09/2019

Thème du mois : le lâcher prise
Cette semaine : La Volonté de lâcher prise

Le lâcher prise est difficile, très difficile et il requiert de la volonté.

« La Volonté – la faculté de l’homme de se déterminer, en toute liberté et en fonction des motifs rationnels, à faire ou à ne pas faire » (Reference : linternaute)

Quelle Volonté ?
Le conflit réside dans notre difficulté à faire la différence entre « l’Ego » et le « Soi » !

La volonté personnelle suit les demandes superficielles de l'ego qui poursuit ses désirs personnels tandis que la volonté de « l’être » qui au contraire, omnisciente est une demande profonde, qui n’est pas poursuivie par orgueil mais avec humilité. C’est une demande qui vient du cœur et de l’âme.
La question qui se pose est la suivante : Qui décide ? Quelle volonté doit être suivie ?

« La réponse est pourtant simple, lorsque nous comprenons que le conscient ce n’est que la partie visible, que notre conscient ne représente que 1% de notre connaissance, Allons nous faire confiance à 1% de notre connaissance pour décider de notre vie ?

L’Ego se croit scientifique lorsqu’il s’attache à ce qu’il voit et mesure, alors que la connaissance est ailleurs à 99%. » Frank Hatem

La première chose est de commencer à faire confiance à la partie invisible, sinon, si on ne croit que ce que l’on voit, la déprime totale n’est pas très loin…. Parce que l’égo est limité par sa connaissance qui n’est que de 1%.

La volonté de « Soi » ne doit pas être un obstacle à la poursuite de buts personnels parce qu’après tout, le but personnel est guidé par l’invisibilité, c’est-à-dire, les ressentis, l’intuition afin d’aller là où le cœur et l’âme veulent aller.
« Sans ma volonté ferme et déterminée, ma vie ne sera jamais la mienne. Les autres décideront. C'est en quelque sorte une trahison vis-à-vis de « MOI » que d'avoir peur de ma volonté personnelle qui, normalement doit être la seule existante, la seule à être prise en compte » Frank Hatem

C'est en voulant avec le cœur et l’âme, en sachant ce que l'on veut et ce que l'on ne veut pas, en s'y tenant et en allant jusqu'au bout de la mise à l’épreuve que nous arrivons à lâcher prise.

Nous lâchons prise lorsque nous faisons enfin confiance à notre cœur et à notre âme, parce que c’est là où nous trouverons la paix tant recherchée.

Votre expérience nous intéresse ! Pour ceux qui cherchent encore comment faire :)

Thème du mois : le lâcher priseCette semaine : Les croyances limitantesNos croyances limitantes agissent comme un frein ...
19/09/2019

Thème du mois : le lâcher prise
Cette semaine : Les croyances limitantes

Nos croyances limitantes agissent comme un frein au lâcher prise…. C'est cette petite voix négative qui nous pousse à croire que nous ne sommes pas capables de faire certaines choses. Ces croyances nous viennent le plus souvent de notre éducation et de nos expériences passées surtout de nos « défaites ».

Ces fausses croyances sont toxiques car elles brident notre potentiel en plus d'avoir un effet pervers car plus on y croit, plus on essaiera de trouver des preuves pour les justifier ainsi nous éloigner encore plus du "lâcher prise"
Ce sont des croyances que nous croyons vraies à propos de nous, des autres ou du monde. Elles font partie intégrante de nous, de nos comportements, très souvent inconsciemment !!! Qui ne nous aide pas : "Comment se détacher si nous ne sommes pas conscients » ?

Où commencent ces croyances ?
« Ces croyances se mettent en place depuis notre plus jeune âge. Par exemple, un enfant voit son père travailler dur et il pense qu’il faut travailler dur pour réussir. Il associe deux éléments : « Le Travail Difficile à la Réussite »
Quelques exemples que nous connaissons tous :
• La Vie est dure
• Nous ne pouvons pas tout avoir dans la vie
• Je suis trop vieux ou trop vieille pour apprendre
• L’Argent est sale
(Ref : Magazine & Communauté d’Inspirations Positives)

Comment combattre ces croyances limitatives et enfin "Lâcher Prise"?
L’Exercice est difficile car il demande une grande ouverture d'esprit afin de se remettre en question, mais pas impossible, nous pouvons influencer positivement nos croyances pour nous bâtir une vie meilleure. Comme disait l'auteur Américain "Ralph Waldo Emerson"

Plusieurs techniques pour influencer nos croyances nocives et enfin lâcher prise :
• Les Affirmations Positives - Une phrase que nous nous répétons régulièrement, en toute conscience afin de l'incruster dans notre subconscient et l'intégrer comme une vérité absolue. L’Idée est de nous "Reprogrammer" pour remplacer la croyance négative par une croyance positive. C'est une technique qui fonctionne, mais il "FAUT Y CROIRE"
• Faire Comme si - cette technique qui renforce notre estime de soi en agissant "comme si". Elle ressemble aux affirmations sauf qu'au lieu d'utiliser les mots nous utilisons des actions. Cela consiste à remplacer nos attitudes négatives par leurs équivalences positives. "Fake it until you make it" c'est ce que disent les Anglo-Saxons "imite le jusqu'à ce que cela devienne naturel".
• La visualisation créative - cette méthode est l'une des plus efficaces pour programmer ou reprogrammer notre esprit. Son pouvoir réside dans l'accès direct au subconscient. Elle consiste à visualiser des scenarios ou nous sommes positives. Par exemple, nous sommes confiants et déterminés. Imaginons que cette confiance débloque une situation dans notre vie, sentons les émotions qui nous accompagnent et vivons l'expérience, dans le présent.

Les trois techniques combinées nous accompagneront à lâcher prise et à reprendre le contrôle de notre vie.
Le meilleur moment pour commencer, c’est maintenant !

Thème du mois : le lâcher priseCette semaine : C’est quoi le lâcher prise ?C’est quoi le lâcher prise et comment y parve...
12/09/2019

Thème du mois : le lâcher prise
Cette semaine : C’est quoi le lâcher prise ?

C’est quoi le lâcher prise et comment y parvenir ?
Lâcher Prise selon le dictionnaire « Larousse » - Se détacher du désir de maitrise
Lâcher Prise et le besoin de contrôle :
"D’après la thérapeute américaine Daphne Rose Kingma, retenir équivaut à croire qu’il y a seulement un passé ; lâcher prise, c’est savoir qu’il y a un avenir. En fait, lâcher prise peut s’expliquer et s’appliquer de bien des façons. Mais une manière très simple de l’apprivoiser consiste à l’opposer à son contraire : le contrôle.
Nous aimons bien avoir le contrôle, que ce soit sur notre travail ou des parties de celui-ci, sur notre vie personnelle, sur nos émotions, sur les autres peut-être. Et nous aimerions bien parfois avoir le contrôle sur des événements qui, justement, sont hors de notre contrôle.
Lorsque vous réalisez que vous ne pouvez changer ni les événements ni les autres et que vous pouvez uniquement changer votre façon de les percevoir, vous êtes dans le lâcher prise. Vous vous donnez alors une chance de vivre moins de stress."
Néanmoins, il n’est pas toujours évident de saisir le sens même du lâcher prise, alors il est important de pouvoir distinguer, de savoir « Ce que lâcher prise n’est surtout pas » :
Endurer, revient à se soumettre, à abdiquer, à laisser les évènements prendre le dessus sur nous et prendre le contrôle de notre vie.
Alors qu’au contraire, lâcher prise, c’est pouvoir dire non, ne plus laisser les problèmes nous atteindre, ne plus leur accorder de place dans notre vie et les évacuer tout simplement
Comment savoir sur quoi il faut lâcher prise ?
Pour notre bien, il vaut mieux lâcher prise à chaque fois que nous nous accrochons à :
• Un évènement négatif du passé qui nous a blessé, traumatisé
• Un chapitre de notre vie qui s’est terminé et dont il faut tourner la page
• Une personne nocive qui nous tourmente sans nous sentir la force de vivre sans
• Quelque chose dont nous nous acharnons à prendre la responsabilité alors que ce n’est pas notre combat
• Une relation achevée à laquelle nous nous accrochons sans vouloir nous détacher et passer à autre chose
• Toute chose qui nous fait du mal, nous empêche d’avancer, mais dont nous avons peur de nous en séparer
• Ce que nous voulons changer mais qui ne changera pas

Pour conclure il ne faut pas confondre lâcher prise et fuite, lâcher prise et ne pas voir. Et surtout, se déconnecter de nos croyances limitantes qui nous empêchent d’avance et de nous affirmer.

Thème du mois : le lâcher priseCette semaine : la respirationBien respirer demeurera toujours le socle de notre vitalité...
06/09/2019

Thème du mois : le lâcher prise
Cette semaine : la respiration

Bien respirer demeurera toujours le socle de notre vitalité. La respiration vivante et salvatrice, nous offre aussi l’occasion de mieux nous connaitre. Intéressez-vous et pratiquez cette fonction qui nous occupe tous à chaque instant de notre vie. Bien qu’automatique, son utilisation optimale réclame votre conscience : vous créez votre vie, vous créez donc votre respiration, mais si vous vivez votre vie par défaut, vous respirez automatiquement, au minimum, sans conscience.

« La respiration responsable que vous menez vous conserve dans la réelle vivance de votre corps et vous équipe d’un outil performant de gestion et de désamorçage du stress, débordements émotionnels, chocs psychologiques et douleurs » ?

Une respiration libre et organisée dans son amplitude entière irrigue l’énergie vitale dans tout le corps, le nourrit d’une belle lumière et régule les mouvements et contractions émotionnelles.

Prenez le temps de remplir complètement votre cage thoracique afin de lui fournir davantage d’oxygène, ce carburant essentiel au bon fonctionnement de votre cerveau, de vos cellules, muscles, organes et tissus : vous réduirez votre fatigue. Agissez en conscience, cela ne vous réclame aucune énergie, juste de la concentration. Musclez votre diaphragme qui détient toute votre puissance, son amplitude libère, relâche les tensions, soulage la colonne vertébrale et installe la sérénité par la puissance.

Texte tiré du livre de Gérard Grenet « les secrets du bien être physique, mental et énergétique d’un « chaman urbain » »

«Contactez-nous et nous vous renseignerons sur les bonnes pratiques de respiration profonde"

Houshna et Nadège

Thème du mois - La NutritionCette semaine, nous enchainons avec les oligo-élémentsUn oligo-élément est un minéral dont n...
27/08/2019

Thème du mois - La Nutrition
Cette semaine, nous enchainons avec les oligo-éléments

Un oligo-élément est un minéral dont notre corps a besoin pour fonctionner correctement. Les doses nécessaires à notre organisme sont en général infime contrairement aux sels minéraux qui sont présents en plus grande quantité dans le corps humain. Pour cette raison on les nomme également « Elements Traces »
Le rôle des oligo-éléments est de contribuer à l’équilibre de l’organisme en intervenant dans de nombreuses réactions bio-chimiques et métaboliques. Ils participent principalement à l’assimilation et au métabolisme des aliments, ainsi qu’au renouvellement des tissus. En outre, ils renforcent les défenses immunitaires de l’organisme.

Les oligo-éléments ou éléments traces sont l’arsenic (AS), le bore (B), le chrome (Cr), le cobalt (Co), le cuivre (Cu), le fer (Fe), l’iode (i), le manganèse (mn). Le molybdène (Mo), le nickel (Ni), le sélénium (Se), le silicium (Si), le vanadium (V) et le zinc (Zn)
Les minéraux majeurs ou macroéléments comprennent le calcium (Ca), le chlore (Ci), le magnésium (Mg), le phosphore (P), le potassium (K), et le sodium (Na) et contrairement aux oligo-éléments, les macroéléments sont présents en grande quantité dans le corps humain.
Certains oligo-éléments ne peuvent être synthétisés par notre organisme, et doivent donc être puisés dans l’alimentation.

Quels sont les aliments riches en oligo-éléments ?
Le bore : il est bon pour les os et le cerveau. Les légumes secs et les fruits à coques permettent d’en apporter à l’alimentation.
Le chrome : Il participe au métabolisme des graisses. On en trouve dans la levure de bière et les céréales complètes.
Le cuivre : Il joue un rôle important pour l’immunité et contre les allergies. Il facilite également l’endormissement. Le foi, la levure alimentaire, les lentilles, les noix et les céréales complètes sont de bonnes sources.
Le fluor : utile au fonctionnement du cerveau, il est aussi bon contre la fatigue. Le thé, le riz et les épinards en contiennent.
L’iode : l’iode est utilisé par la glande thyroïdienne pour réguler la croissance des cellules. L’apport journalier nécessaire est de l’ordre de 150 µg. Le sel iodé, les poissons, les fruits de mers et les algues sont de bonnes sources.
Le manganèse : le pain complet, les bananes, le riz complet sont riches en manganèse.
Le sélénium : principalement dans les poissons et les fruits de mer, le jaune d’œuf est également riche en sélénium.
Le silicium : les céréales complètes sont une des meilleures sources végétales
Le zinc : les huîtres, le foie de veau et le pain de seigle sont les champions pour leur teneur.
Le fer : Les principales sources sont le boudin noir, le chocolat noir, le foie de volaille et le pain complet. Et d’une manière générale, on le trouve dans les viandes rouges et les légumineuses (lentilles, haricot blancs…)
Source :

Liste des principaux oligoéléments et minéraux : propriétés de ces nutriments essentiels pour le fonctionnement de l'organisme.

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