11/11/2025
Être éducatrice en libéral, ce n’est pas l’apothéose.
C’est accepter de faire 50 heures par semaine sans que le salaire ne reflète toujours l’investissement.
C’est savoir qu’on n’aura pas de retraite dorée, mais qu’on aura accumulé une autre forme de richesse : celle du lien humain.
C’est choisir la liberté de son planning, la fierté d’être son propre patron, mais aussi la réalité d’être tout à la fois :
éducatrice, psychologue, assistante sociale, secrétaire, comptable, gestionnaire, et parfois même directrice de soi-même.
C’est un métier où on ne compte pas les heures, mais les rencontres.
Où on ne gagne pas toujours bien sa vie, mais on la vit pleinement.