Constell33, Nathalie Bompoint

Constell33, Nathalie Bompoint Accompagnement en Constellations Familiales ⭐
Lecture émotionnelle des maladies 🌳
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🌳Accompagnement en Constellations Familiales
✨Lecture émotionnelle des maladies
📅 Organisation ateliers, séminaires, conférences (santé, le mieux-être et le vivant)

06/12/2025

**Quand le thérapeute trébuche sur lui-même :

Comprendre avec compassion ceux qui veulent guérir sans avoir encore osé se rencontrer**

Il est des chemins humains où le paradoxe devient si subtil qu’il peut passer inaperçu même aux yeux les plus attentifs.
Parmi eux se trouve celui du thérapeute — celui ou celle qui, appelé à écouter le monde, ne s’est pas encore donné l’espace d’écouter sa propre vie.

Nous avons parfois tendance à imaginer le thérapeute comme une figure certaine, stable, enracinée. Mais la réalité est plus complexe, plus humaine, et infiniment plus touchante : beaucoup de thérapeutes sont des êtres profondément blessés qui ont choisi la voie de l’autre parce qu’ils ne savaient pas encore comment ouvrir la porte vers eux-mêmes.

Ce texte n’est pas un jugement.
C’est un miroir posé avec douceur, pour comprendre ce qui se joue lorsqu’un thérapeute accompagne les autres tout en portant secrètement le poids de ses propres chambres obscures.

1. L’intention la plus pure peut cacher la blessure la plus vive

La plupart des thérapeutes entrent dans la profession avec une intention véritable : aider, soutenir, offrir ce qu’ils auraient aimé recevoir. Il n’y a rien de plus noble. Mais derrière cette générosité peut se dissimuler — sans culpabilité — une blessure ancienne, un appel, un besoin non nommé : celui d’être soigné en soignant.

Jung l’avait parfaitement perçu lorsqu’il disait :
« Nous ne devenons éclairés qu’en rendant conscient ce qui est obscur en nous ; et cela commence souvent par l’autre. »

Aider devient alors une façon d’approcher son propre monde intérieur… sans encore oser y entrer.
Non par manque de courage, mais par ignorance de la porte, ou par peur de la traversée.

Il ne s’agit jamais de mauvaises intentions :
• Le thérapeute prend soin, car il connaît la douleur.
• Il écoute, car il a longtemps manqué d’écoute.
• Il accueille, car une partie de lui n’a jamais été accueillie.

Sa pratique n’est pas une fuite : c’est un appel. Un appel encore maladroit, mais un appel vers la guérison.

2. Quand soigner l’autre devient une manière de préserver son propre équilibre

Certains thérapeutes se sentent vivants lorsqu’ils accompagnent.
Ils tiennent debout parce que les autres s’adossent à eux.

Ce mécanisme n’est ni pathologique ni honteux.
Il est profondément humain.

La psychologie analytique parle ici d’un phénomène appelé investissement compensatoire : nous mettons dans l’autre ce que nous avons du mal à toucher en nous-mêmes.

Ainsi, un thérapeute peut devenir :
• un refuge pour des blessures qui ressemblent aux siennes,
• un guide pour des chemins qu’il n’a pas encore empruntés,
• un témoin des transformations qu’il espère sans pouvoir les vivre encore.

Le patient avance — et c’est authentiquement beau — mais le thérapeute reste immobile dans une bienveillance fatiguée.

Cela ne signifie pas qu’il fait mal son travail.
Cela signifie qu’il s’oublie en chemin.

3. La grande confusion : croire que connaître suffit à se connaître

La psychologie possède un piège discret : l’illusion que la compréhension intellectuelle équivaut à la transformation intérieure.
On peut tout savoir des archétypes, de l’ombre, des complexes, de la projection, et pourtant rester étranger à son propre cœur.

Marie-Louise von Franz disait avec lucidité :
« La connaissance théorique est le plus sûr moyen d’éviter l’expérience. »

Le thérapeute sait nommer ce qu’il traverse… mais n’ose pas encore le traverser.
Et c’est là une douleur fine, presque invisible : celle de sentir la vérité sans pouvoir encore l’habiter.

Il y a là une immense compassion à offrir :
beaucoup de thérapeutes vivent cette tension silencieuse et ne savent pas à qui la confier.

4. L’inévitable retour de l’ombre : ce que le thérapeute ne regarde pas en lui revient du dehors

Dans le parcours du thérapeute, un moment arrive toujours — avec douceur ou brutalité — où l’ombre qu’il n’a pas affrontée vient frapper à la porte.
Non pour punir, mais pour rappeler.

Jung l’exprimait ainsi :
« Ce que nous refusons de voir en nous revient dans notre vie comme un destin. »

Cela peut prendre la forme :
• d’une fatigue chronique,
• d’un sentiment d’imposture,
• d’un épuisement empathique,
• d’un lien transférentiel qui déborde,
• d’une perte de sens,
• ou d’un symptôme personnel qui persiste malgré tout le savoir accumulé.

Ce n’est pas un échec.
C’est exactement l’invitation que la vie avait prévue pour que le thérapeute commence enfin son propre voyage.

5. Le cœur du problème : ils veulent tellement aider qu’ils s’oublient eux-mêmes

C’est là le paradoxe le plus tendre, le plus bouleversant.
La grande majorité des thérapeutes qui n’avancent pas dans leur propre processus ne sont ni paresseux ni dans le déni :
ils sont pleins de cœur, mais vidés de soin pour eux-mêmes.

Ils donnent sans compter.
Ils accueillent, sillonnent, accompagnent.
Ils portent les histoires des autres avec une empathie immense.

Mais ils ne savent pas comment déposer leur propre histoire.

Ils savent ouvrir des portes pour les autres,
mais n’ont personne pour leur tenir la poignée lorsqu’ils tremblent.

C’est pourquoi la psychologie analytique insiste tant sur l’analyse personnelle du thérapeute : non pas comme une règle, mais comme un espace où il peut enfin avoir le droit de ne pas être celui qui tient tout.

6. Le passage vers la maturité : devenir un thérapeute authentique commence lorsque l’on cesse de se juger

Le thérapeute grandit le jour où il découvre que :
• sa fragilité n’est pas un échec,
• sa blessure n’est pas une honte,
• sa difficulté n’est pas une faute,
• et que le temps qu’il lui faudra est le bon temps.

Jung disait :
« La blessure est le lieu où la lumière entre en nous. »

Le thérapeute véritable n’est pas celui qui n’a plus de blessures,
mais celui qui en fait un chemin plutôt qu’une forteresse.

Il ne se sent pas au-dessus du patient,
mais côte à côte avec lui,
dans cette humanité partagée où chacun apprend à se tenir un peu plus droit, un peu plus ouvert, un peu plus vivant.

7. Conclusion : la compassion comme voie de réconciliation avec soi-même

Laissons tomber les jugements rapides sur les thérapeutes qui n’ont pas encore trouvé leur propre guérison.
Ce sont peut-être les êtres les plus courageux, car ils ont choisi de vivre dans les zones où les autres viennent déposer leurs larmes.

Leur difficulté n’est pas un signe d’incompétence,
mais un signe qu’ils ont besoin, eux aussi, d’un espace où déposer leurs tempêtes.

La guérison n’est pas un prérequis à la pratique :
c’est un chemin qui s’accomplit en même temps qu’on accompagne.

Lorsque le thérapeute ose enfin se rencontrer,
son regard devient plus humble,
sa présence plus vraie,
son accompagnement plus habité.
Alors, il cesse de soigner pour éviter de souffrir
et commence à soigner depuis un espace où il a lui-même été visité par la transformation.

C’est là que naît le véritable thérapeute :
dans la lente maturation d’une âme qui apprend à s’aimer autant qu’elle aime les autres.

LBL

fans

24/10/2025

Une période agitée ? Que se passe t-il dans l'énergie en ce moment.

Les énergies bougent fort en ce moment. Elles montent, s’entrecroisent, appuient là où c’est fragile… et créent des vagues : esprit en surcharge, émotions à fleur de peau, micro-conflits, impressions d’être “hors de soi”.

Quand l’intensité grimpe, tout ce qui n’est pas aligné se met à grincer. La bonne nouvelle, c’est que cette pression n’a pas le dernier mot. Elle révèle ce qui doit être libéré, clarifié, reposé à sa juste place.

Dans ces périodes, trois gestes simples font une vraie différence : revenir au corps (respirer, marcher, s’hydrater), simplifier (réduire le bruit, poser des limites nettes), se relier (ne pas rester seul·e dans sa bulle).

C’est précisément ce qui nous a poussé à organiser cet évènement de dernière minute : une soirée exceptionnelle, offerte et en direct, pour traverser l’intensité plutôt que la subir.

Philippe Bonato posera une lecture claire du ciel pour comprendre ce qui se joue maintenant ; Véronique Avril guidera un soin de dégagement énergétique puissant pour couper les liens négatifs, dissiper les charges et restaurer votre axe intérieur.

Réservez vite votre place gratuitement pour recevoir ce puissant soin énergétique de dégagement en direct.

Quand : dimanche 26 octobre 2025, 19h (heure de Paris)
Où : en ligne — lien envoyé après inscription
Inscription : https://www.parenthese-conscience.com/soin-degagement

Faites circuler l’invitation : plus nous serons nombreux, plus l’élan bénéficiera à chacun. Ce moment est un véritable cadeau que vous offrez à votre Âme : voir plus clair, agir plus juste, retrouver de l’air.

Avec toute notre lumière et bienveillance,
Véronique Avril & Philippe Bonato

10/10/2025

« On peut conduire une personne sur le chemin de la guérison mais on ne peut la guérir : c’est un mythe, un mensonge, une folie, une escroquerie de dire que quelqu’un peut vous guérir.
Mais on peut faire beaucoup de bien en mettant les personnes dans l’action, dans des actions qui leur plaisent : là est la guérison car on les fait rentrer dans le chemin de la réalisation.
La vie est une cure continuelle. On est guéri par le fait qu’on est en train de changer, et d’avancer vers des situations qui sont de plus en plus agréables et confortables pour nous.
Être guéri signifie être rentré dans la voie du progrès ; être malade, c’est ne pas poser le problème.
La guérison se situe dans le fait de se sentir de mieux en mieux. » Alejandro Jodorowsky

✨ Cette citation résonne profondément avec ma pratique astrologique, car derrière chaque symptôme, chaque répétition ou souffrance, il y a un appel de l’âme à se remettre en mouvement vers soi.

Comprendre les causes émotionnelles de nos blocages, les mémoires familiales que nous rejouons, ou encore le sens spirituel de nos épreuves, permet de transformer la douleur en conscience, la peur en confiance, et la survie en vie.

L’astro bio-décodage relie l’astrologie karmique et transgénérationnelle au décodage biologique pour éclairer votre chemin de résilience et révéler la mission que votre âme cherche à accomplir.

Si vous ressentez l’élan de comprendre :
• pourquoi vous répétez les mêmes schémas,
• d’où vient votre souffrance intérieure,
• ou quel est le sens profond de votre vie,

Alors je vous accompagnerai à mettre en lumière les messages cachés dans votre thème astrologique et dans votre corps, pour retrouver votre pouvoir d’évolution et de guérison.

🌙

29/09/2025

SEPTEMBRE 2025 : Un mois Révélateur.

Septembre a joué le rôle d’un révélateur. L’équinoxe remet la balance au centre : ce qui n’est plus aligné se voit, ce qui tient vraiment se renforce.

Le mot-clé : clarification. Pas besoin d’aller vite, il s’agit d’aller juste.

Octobre invite à affiner plutôt qu’à forcer.
Moins de dispersion, plus d’essentiel.

On quitte les mirages pour des engagements concrets, ajustés à ce que l’âme réclame.

Trois axes utiles :

Relations : parler vrai, sans détour ni théâtre. Dire “oui” quand c’est oui, “non” quand c’est non.
C’est la période idéale pour revoir des accords tacites, remettre du respect et de la mesure dans les liens.

Œuvre / travail : choisir la qualité plutôt que la quantité. Une décision claire vaut mieux que dix options ouvertes “au cas où”. L'objectif : Élaguer, prioriser, consolider.

Corps / rythme : installer des rituels sobres (sommeil, nourriture, respiration). Le ciel soutient ce qui devient régulier. Le discernement revient quand la vie se simplifie.

Côté climat intérieur, attendez-vous à :
des prises de conscience calmes mais profondes.
la fin de certaines ambiguïtés (mieux vaut une vérité douce qu’une illusion brillante) .
des fenêtres d’opportunité concrètes pour poser un cap durable.

Autour de la deuxième moitié d’octobre, le ciel “s'ouvre” symboliquement :

inspiration plus fine, signes plus lisibles, intuition qui cadre la raison au lieu de s’y opposer.
Si vous tenez une intention claire, le chemin se balise de lui-même.

Si vous souhaitez aller plus loin dans une lecture incarnée de ces mouvements — ce que raconte le ciel pour le collectif, comment intégrer ces nouvelles énergies dans le corps et dans vos choix — j’en parlerai lundi 29 septembre à 19h lors de la conférence Astro-Conscience avec Véronique Avril Thérapeute énergéticienne.
https://www.parenthese-conscience.com/les-rendez-vous-astro-conscience

Vous saurez tout sur ce que nous dit le ciel en cette période et pour les semaines à venir.

Gardez la lumière,
Philippe

Adresse

Lanton
33138

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Lundi 10:00 - 19:00
Mardi 10:00 - 19:00
Mercredi 10:00 - 19:00
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