12/11/2025
✨Bonjour chers parents✨
Chez beaucoup d’enfants à haut potentiel, le moment du coucher devient un véritable défi.
Pas à cause du manque de fatigue physique, mais parce que leur cerveau, lui, ne trouve pas l’interrupteur.
Leurs pensées s’enchaînent sans pause : ils revivent la journée, anticipent le lendemain, cherchent des réponses, imaginent, s’inquiètent, ressentent tout à la fois.
Pendant que le corps se prépare à dormir, le mental, lui, continue de tourner à plein régime.
Ce qu’il faut comprendre, c’est que le sommeil ne s’impose pas, il se prépare.
Il commence bien avant d’éteindre la lumière : dans la manière dont on aide l’enfant à quitter le mode pensée pour entrer dans le mode ressenti.
Voici 3 repères simples pour apaiser ce moment :
🟢Créer une transition claire entre le jour et la nuit.
Un rituel répétitif (mots doux, lumière tamisée, respiration, massage ou lecture calme) aide le cerveau à comprendre qu’il peut relâcher le contrôle.
🟢Utiliser le corps comme ancrage.
Quand la tête tourne trop vite, revenir à la respiration ou aux sensations physiques aide à ralentir naturellement le flot mental.
🟢Apporter de la sécurité émotionnelle.
Les enfants HPI ont souvent besoin d’un “sas relationnel” : un court moment de lien avant le sommeil.
Un mot, un câlin, un regard suffisent parfois à éteindre la vigilance intérieure.
Parce qu’on ne s’endort pas quand on se sent seul ou tendu.
On s’endort quand on se sent en paix.
Et vous, vos enfants ont-ils du mal à “débrancher” le soir ?
Brigitte Votre coach parentale