Karen Lembert, Mots pour Maux

27/06/2024

T’avais pas déjà dit ça?

Dis donc Toi, t’avais pas déjà dit que tu ne l’écouterais plus cette petite voix qui te dit bien des choses derrière ton dos?
Celle qui te fait croire, comme ça, l’air de rien, que t’y arriveras pas… Que les autres sont bien mieux que Toi, rien que ça.
Mais c’est qui les autres? C’est étrange, mais ces Autres, ils sont toujours plus jeunes, plus intelligents, plus talentueux, plus doués, plus beaux, plus mieux et plus TOUT que Toi !
Mais alors Toi, t’as quoi dans ta besace? Elle est donc si vide que ça?

▪ Quand Tu t’es ramassé.e, les pieds dans le tapis, il y a 25 ans, 10 ans, 5 ans, que sais-je… t’as mis un genou à terre et tu t’es relevé.e…
▪ Quand Tu lui as fait face à l’Autre pour lui dire que cette fois c’était NON, tu lui as pas envoyé dire et tu lui as claqué la porte en pleine face, se bouffant ses propres tentacules manipulatrices et perverses!
▪ Quand Tu lui as dit qu’elle/il était responsable en sa partie et que tu ne porterai plus sa responsabilité comme un fardeau, il t’en a fallu du courage.
▪ Quand Tu as repris les rennes de ta vie et renvoyé d’un revers de main ses prédictions ou souhaits (à voir) d’échec, cette fois, c’était de l’ancrage qu’il t’a fallu avoir.
▪ Quand Tu as séché ses larmes alors que ta plaie à Toi était encore béante, Tu l’as écouté.e et serré.e fort malgré ta douleur, c’est ton empathie que tu as utilisée.
▪ Quand Tu as compris que tu refusais que ton passé te dresse et t’enchaine, Tu y a été voir, revoir et trifouiller les ombres du passé, c’était long et douloureux, mais ta persévérance est l’une de tes plus grandes ressources.
▪ Quand Tu te voyais difforme, au point de baisser le regard, soumise à une image censurée par ton coeur, irrecevable et détestable, il a bien fallu que Tu tires de l’Amour pour Toi de ta besace pour te reconnecter à Toi et apprendre à t’aimer.
▪ Quand Tu as décidé de vivre tes rêves et de fermer son clapet à cette bien-pensance et détentrice de Vérité suprême, il t’a bien fallu te dresser contre certains des tiens pour te prendre par la main, marcher avec tes peurs, pour continuer d’avancer et tracer ta route. C’est ta résilience qui t’a fait tenir…

Je continue?
Non parce que j’en ai une palanquée à te sortir de ta besace…

Quelque fois, on a mal au dos, au corps, parce que notre besace, on ne la voit pas, on l’ignore. Alors on la subit, elle nous pèse comme un poids porté n’importe comment, en travers.
Portons-la comme un trésor, sur notre coeur, cherchons-y nos ressources, nos valeurs, nos richesses, et nous y découvrirons nos plus belles réussites, face aux épreuves de la vie.
Découvrons que depuis toutes ces années, des graines y ont germé et qu’elles nous concèdent aujourd’hui un trésor personnel inestimable, une force incommensurable et une confiance inattaquable en Nous-même.

Alors maintenant, oui, ton épreuve est là, face à Toi et Tu sais maintenant.
Tu sais que TU AS TOUT dans ta besace pour y faire face.

Karen, Mots pour Maux
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́passersespeurs ̂ves ́silience

24/06/2024

Qu’est-ce que t’as foutu ?

Tu le connais bien ce moment !
Celui où tu te dis que t’es qu’une sombre …..
Celui où tu oublies à qui tu parles… Parce que faire des ronds de jambes, mettre de la souplesse et de l’empathie, ça marche pour les autres mais avec toi…
Tu le connais ce moment où tu vas te juger, te plaindre, et pleurnicher que la vie est injuste et que tu mérites mieux… et puis tu vas t’en vouloir d’être dur avec toi-même, tu vas te regarder et soupirer.

Ben voilà, ce moment-là, c’était il y a 5 minutes.
Maintenant, tu as le choix.

Sois tu te vautres et tu t’enroules dans ton drap comme une victime, en te tortillant jusqu’à suffoquer. Peut-être disparaitras-tu et te réincarneras-tu dans une autre vie, une autre peau. Mais il y a fort à parier que tu te retrouves au même point…

Sois tu lèves la tête… et tu dis oui à la vie, tu fais un pas de côté et tu changes ta vision des choses. Tu ne sais pas où tu vas? Parce que tu crois que tout le monde le sait?
Ceux qui le savent, ne savent même pas s’ils ouvriront les yeux demain. Ils croient, et ça fait toute la différence.
Crois en tes rêves, personne ne les vivra à ta place parce que ce sont les tiens. Alors accroche-toi !
T’as le droit de tout, de tout fo**re en l’air mais surtout de tout faire pour que ton rêve devienne ta réalité. Ce sont ceux qui ont arrêté de rêver qui te diront le contraire.
Dans le champ du possible, il n’y a qu’un seul possible d’échec et dix mille possibles de réussite, réussite en courant, en rampant, en marchant, en riant, en pleurant. L’échec, il n’y a qu’en ne te relevant pas que tu cocheras cette case. En restant au sol.

Alors lève-toi, accroche-toi à cette joie chaque matin d’avoir le choix de trouver ta rime. De l’écrire, la chanter, la vibrer, la partager…
Un restart n’est jamais facile, mais une page blanche peut se remplir de tant de façons…

A toi de choisir, à toi de croire, à toi d’écrire...

Karen

19/06/2024

Lettre à moi-même.

T’en auras mis du temps à te regarder en face…
À comprendre et accepter qui tu es…
C’est comme la version de toi le soir, quand tu te démaquilles, quand tes yeux se délestent de tous ces traits noirs, de tout ce fard qui invente des courbes qui n’existent pas. Qui t’invente un visage qui n’est pas le tien…
Moi je te voyais bien t’éloigner de toi, t’ignorer et t’éviter, t’enivrer de ce qui ne te ressemblait pas et préférer la copie à l’originale.

Heureusement que l’Univers t’a tiré sur le col pour te bouger…

T’en as mis du temps à te relever… mais tu l’as fait. Rien que pour ça, je te remercie.
T’aurais pu te laisser là, au bord du chemin, sans bouger à regarder les trains passer. A rester là immobile en disant que c’est encore la faute des autres.

T’en as mis du temps à regarder la distance que t’as mis entre Toi. Pourtant, ton corps te l’a martelé. Et toi fière d’être dure au mal, t’as tenu, encore et encore, sourde et souriante. T’en a bouffé, mais tu parais plus grande aujourd’hui.

T’en a mis du temps à te réparer, tu avais tellement bien planifier ta vie que tu en avais oublié de respirer. Plus besoin…
Ces pièces détachées là, ça n’existe pas. Faut repartir de Toi et te réinventer. Pas simple, mais tu l’as fait. Rien que pour ça, je te dis bravo.

T’en a mis du temps à trouver ce qui te fait vibrer… pas simple quand on ne se reconnait pas dans le miroir. Le mensonge était trop vrai. A trop le répéter, il devient une vérité. Alors à quoi bon se respecter…

T’en as mis du temps à te prendre par la main… à t’emmener à l’aventure, tu sais celle qui t’émoustille, qui te fait pleurer de joie, celle qui te rend fière, celle qui donne du sens à ton existence, celle qui sonne vrai, celle qui te fait te sentir vivante et heureuse de l’être, quand même…

T’en as mis du temps, c’est vrai, mais j’ai attendu que tu sois prête, que tu finisses par te choisir et tu l’as fait, alors rien que pour ça, je te dis... JE T'AIME.

Karen, Mots pour Maux

11/06/2024

28/05/2024

Hello Coucou, c'est Karen
Retrouvez mon dernier podcast ou comment aller au bout de nos rêves et ce que cela a impliqué chez Tara... Découvrons son Bo**el Intérieur, histoire de mieux comprendre comment ça marche...🧐😉

Et pour une consultation à distance ou un accompagnement, ou tout simplement plus d'info, c'est par ici : www.karenlembert.fr

A bientôt
Karen

̂ves ́passersespeurs

Retrouvez le Bo**el Intérieur de Tara et comment elle a réussi à aller au bout de ses rêves, ce que cela à impliqué dans sa vie et son travail sur elle-même.

19/05/2024

Crise de foi ?

« Ce qui t’est destiné tôt ou t**d viendra à toi. Sois patient et laisse le cours de la vie se manifester. »

C Gonzalez.

14/05/2024

🌼 L’AUTRE N’A SUR NOUS QUE LE POUVOIR QUE NOUS LUI ACCORDONS.🌸

Lorsque que nous infusons cette citation, que nous la digérons et l’appliquons sur nos problématiques, alors c’est à cet instant que nous embrassons notre propre responsabilité dans tout événement.

L’Autre n’est donc pas la cause de tous nos malheurs, de toutes nos blessures, de toutes nos fragilités… " Zut alors, ça veut dire que même si je quitte l’Autre, que je l’expulse de ma vie, le Bonheur ne viendra peut-être pas toquer à ma porte? "
Comment partager sur ce sujet avec une personne vivant la maltraitante psychologique, physique.. comment nous montrer du doigt nous-même, lorsque notre certitude est que l’AUTRE nous fait tant souffrir?

En fait, l’Autre peut avoir des actions, des mots, qui ont pour objectif ou non de nous faire souffrir. Mais nous sommes les seuls responsables de les laisser faire, de les laisser nous atteindre.
Difficile, me direz-vous, de ne pas ressentir une certaine souffrance, lorsque que votre propre parent vous dit que vous n’êtes qu’un moins que rien, qu’une incapable ou qu’un laideron sans avenir… Et en fait ça se discute tout ça…

Car au delà des intentions, nous avons un pouvoir qui est de choisir d’écouter ces mots, de les laisser nous impacter, d’en faire une croyance, voire une vérité… Et c’est là que notre pouvoir prend tout son sens, toute son envergure. Nous avons le pouvoir de désamorcer ces mots, ces gestes, ces violences… peut-être faudra-t’il dans un premier temps les accueillir en nous et en ressentir la douleur, mais si c’est ce choix que nous faisons, alors ayons conscience que plus ce temps d’ingestion est long, plus leur transformation en vérité se confirmera…
A mon sens l’option la moins indélébile est le choix d’être inattaquable. Intouchable car nous retirons toute possibilité à l’Autre d’avoir le pouvoir de nous toucher, de nous imprégner, de nous impacter. Et plus nous nourrirons notre pouvoir, sans pour autant en faire un contrôle sur tout, au risque de devenir froid et mécanique, plus nous choisirons la finalité d’une relation.
Schématiquement, si je suis inattaquable, si j’ai le pouvoir de désamorcer toute gr***de avant qu’elle ne me soit lancée, alors toute personne ayant pour objectif de me faire mal, de me manipuler… passera son chemin, car elle n’aura aucune prise sur moi! Elle intègrera naturellement cette vibration. Au delà de laisser aux Autres un pouvoir sur nous, décidons de regarder, comprendre et nourrir notre propre pouvoir. Il en va de notre responsabilité, de notre respect de nous-même.

Remarquez, si de l’Autre dépendait notre Bonheur, qu’adviendrait-il si l’Autre disparaissait? Heureusement, Moi, je ne disparais pas… j’ai toute Autorité, toute Liberté sur Moi… il sera toujours plus facile d’interagir avec moi-même pour entrevoir des actions menant au bonheur, que de projeter sur l’Autre ces mêmes demandes, alors qu’il peut disparaître à tout moment ou tout simplement ne pas me mettre au centre de ses priorités.
Moi, moi, moi, de temps en temps, être au centre de notre monde peut avoir de jolies vertus…😉

Beau voyage à vous...
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🍀N'hésitez pas à commenter, liker et vous abonner, votre aide m'est précieuse...

A bientôt
Karen

07/05/2024

Découvrez mon nouveau Podcast et le Bo**el Intérieur de Noémie...
Et si ça vibre en vous, c'est chouette !

Découvrez le Bo**el Intérieur de Noémie, ou comment, face à sa brillance, elle a décidé de s'éteindre en croyant acquérir... la paix.

06/05/2024

IL Y A CE QU'ON FAIT DE TOI, IL Y A CE QUE TU FAIS DE CE QU'ON A FAIT DE TOI...

Sans pression aucune, je dépose ça là... Que nos parents, nos enseignants, nos grands-parents, nos bourreaux, nos dresseurs, nos manipulateurs, nos éveilleurs, nos ami(e)s, nos amants, nos sauveurs... nous aient modelés, façonnés, abimés, réparés, nuancés... qu'importe, ce qui est important aujourd'hui, c'est ce que que nous en faisons.

Décider de porter une croix trop lourde, un fardeau étouffant, une éducation limitante, un secret ou une loyauté familiale déviante, ne devrait pas être un choix à long terme. Se choisir fait partie du voyage. Si notre éducation stricte nous a conduit à devenir un bon petit soldat, alors qu'un troubadour créatif sommeillait en nous, il est de notre responsabilité de nous choisir!

Inutile de reporter la faute sur d'autres que NOUS!
Ils auront bien avoir tous les tords du monde, ils s'en iront avec et n'ont pas le pouvoir de nous laisser ainsi, subissant le châtiment d'être ce qu'ils souhaitaient que nous soyons. Emancipons-nous. Regardons-nous en face et ayons le courage de nous choisir.

Que l'on ait 20, 40, 60, 80 ans, il n'est jamais trop t**d pour vivre l'être qu'on a choisit d'être. Il en va de notre responsabilité. Les événements de la vie nous façonnent, tout autant que les êtres qui nous accompagnent tout au long de notre vie. Si l'on choisit l'apprentissage, suite à l'acceptation du deuil, de la perte, de la souffrance ou autre... Si ne serait-ce qu'un instant, la douleur se transforme en courage et en force, alors nous pouvons décider. Il n'existe aucune autres chaines que celles que nous nous posons nous-mêmes sur nos poignets, en étant convaincus que ce sont EUX qui les ont posées.

Nommez-les croyances limitantes, schémas familiaux, qu'importe... Savoir les reconnaître pour les dépasser est le premier pas.

Ce qu'on a fait de nous, nous nuance. Mais ce ne sont que des couleurs primaires.
Inventons nos propres nuances, composons-nous, mélangeons nos teintes jusqu'à obtenir notre propre couleur. Comprenons que nos couleurs primaires ne sont qu'une base, quelle qu'elle soit et qu'elles ne sont qu'un point de départ, comme un croquis, où avec le temps, les nuances prennent place, se superposent, s'effacent, varient, se transforment...
N'oublions pas que nous avons tous la faculté de créer.

Être artiste de sa vie, c'est être Acteur/Actrice en actant nos décisions, être Peintre en choisissantes mélangeant nos nuances, être Musicien.ne en composant avec la vie, être chef d'orchestre en rythmant notre vie, être Danseur.se en acceptant ce corps à corps parfois douloureux, être Clown en sachant rire de la vie malgré tout, être Chanteur.se quand il faut parfois pousser la voix, être Poète quand la vie se fait violente, être Magicien quand l'Univers co-crée avec nous, être Mime quand les mots ne suffisent plus... être Soi-même quand on a enfin choisi les grandes lignes de notre vie...

Beau chemin à vous
Karen Lembert

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́ation

18/04/2024

J’AI APPRIS QUE LE COURAGE N'EST PAS L'ABSENCE DE PEUR, MAIS LA CAPACITÉ DE LA VAINCRE. 🧝‍♀️

Que ce passerait-il si nous n’avions jamais peur? Certainement plein de choses bien différentes
de celles que nous connaissons aujourd’hui.
La peur est pourtant un état connu depuis la nuit des temps par l’être vivant. Elle permettait à tout être de prendre conscience de la possibilité d’un danger et de le mettre en éveil, en alerte, afin de pouvoir se sauver, se protéger ou combattre… Il en allait de sa survie…

Mais aujourd’hui, nulle féroce bête au coin de nos grottes… et pourtant.
Elle se manifeste tout au long de notre vie sous forme d’angoisse, de stress, en nous parlant au travers de palpitations, d’éruptions cutanées, de cauchemars, de tremblements… Toutes ces manifestations physiques ont cependant leurs traductions psychiques allant d’une baisse de notre estime de Soi, aux phobies en tout genre.

Comprendre nos peurs nécessite de les apprivoiser afin de s’en approcher, de les regarder en face afin de les surmonter. Regarder notre fonctionnement et entrevoir que nous alimentons nos peurs est un premier pas. Si nous avons été élevés dans la peur du manque et qu’une certaine normalité s’est installée, il y a fort à parier que nous mettrons tout en oeuvre inconsciemment pour valider cette mécanique. On générera ainsi le manque par nos choix et actions, ce qui nous maintiendra dans la peur, état d’être connu du passé et devenu « confortable », et dès lors maintenu dans notre présent.

Prendre conscience de cette ritournelle intentionnelle, même inconsciente, est primordial. Bien connaître nos schémas de fonctionnement est la base de notre travail de déploiement personnel.
A mon sens, nier nos peurs ne les fera pas disparaître, bien au contraire, et au risque que notre corps compense malheureusement et nous le crie haut et fort. Imaginez le potentiel que nous serions capables de déployer si nos peurs étaient vaincues. Imaginez ces nouveaux ingrédients dont nous disposerions dès lors. Plus de confiance, plus d’estime de Soi, plus d’ouverture face aux opportunités, plus de liberté à s’autoriser à être nous-mêmes, et plus de conscientce de nos ressources… plus ouverts, nous prendrions notre juste place dans ce monde, sans limite, entre fluidité et abondance…
Nous pourrions ainsi embrasser nos passions créatrices, tricoter des relations authentiques et relever ce qui nous semble des défis, avec détermination et excitation. Le champ des possibles s’ouvre à nous, alors osons ce premier pas et regardons en nous où se nichent nos peurs, apprenons à leur parler et à comprendre sur quelles basses nous les avons fondées.

Quel chemin nous aurions ainsi fait!
Nous retourner avec fierté et regarder ainsi les pas de géant que nous avons faits, pour alors découvrir peu à peu ce que cela change dans notre vie…
J’utilise rarement le terme combat, car je préfère OEUVRER POUR plutôt que de LUTTER CONTRE. Mais je fais une exception pour mes peurs.
Je les combats aujourd’hui encore, j’en ai vaincues, mais quelques expériences me font dire que certaines sont toujours là. Et quelque soit le temps que cela me prendra, j’oeuvre ainsi pour ma confiance en Moi, en l’Univers et en en l’Avenir chaque jour.

Combattre ses peurs, ce n’est pas foncer tête baissée et explosant tout sur notre passage. Pour ma part, il m’aura fallu me mettre en situation d’inconfort et de non contrôle d’une situation. Et dès que le petit vélo s’est mis à rouler, tourner, et zigzaguer dans tous les sens, j’ai nourri ma confiance en moi. Comme un feu intérieur, incandescent et flamboyant. Je suis allée au contact de mon coffre, je l’ai ouvert et j’ai tout sorti; le courage, la rage de gagner, la confiance en moi, la certitude viscérale que j’avais tout en moi pour faire face à toute situation, la joie de la victoire, la fierté du chemin que j’arpentais, l’autorisation à me faire du bien, la conviction d’avoir le droit et le mérite de réussir…

Mes mains avaient ainsi lâché le guidon et comme un vélo immobile ne peut tenir tout seul debout, mes peurs sont alors tombées.

Beau chemin à vous 🌻🌺🌞
Karen