05/12/2025
Et si on sous-estimait encore l’impact des écrans du soir sur nos petits patients ?
En consultation, on voit des enfants fatigués, agités, moins disponibles…
Et souvent, les parents ne font pas spontanément le lien.
Pourtant, la littérature internationale est constante :
les écrans en soirée retardent l’endormissement, fragmentent le sommeil et diminuent la récupération.
Et un enfant qui récupère mal, on le repère vite.
Attention plus fragile, mémoire moins stable, émotions plus intenses.
Ce n’est pas un “problème d’éducation”.
C’est un manque de repos.
Ce que les familles ignorent aussi, c’est que chez les enfants qui ont déjà quelques fragilités (nez encombré, amygdales volumineuses, posture linguale instable),
un sommeil perturbé dans la durée peut s’accompagner d’une respiration moins efficace.
Pas par magie.
Pas systématiquement.
Mais suffisamment souvent pour que ce soit important à connaître.
On parle donc d’un enchaînement très simple :
une soirée trop stimulante
une nuit moins réparatrice
et derrière, un enfant qui a moins de ressources pour apprendre, s’adapter, respirer et grandir.
C’est pour accompagner les familles dans ce quotidien-là qu’on a créé notre livre pour décrocher des écrans.
Pas pour culpabiliser.
Pour aider.
Pour donner des rituels simples, concrets et réalistes, qui améliorent vraiment les soirées et les nuits.
🎁 Aujourd’hui, « Le livre pour décrocher des écrans » est à gagner.
Pour participer :
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Très beau jour 5 à tous,
et merci d’être là pour les enfants !