Clinique vétérinaire la bonne patte

Clinique vétérinaire la bonne patte Bonne visite !

Bienvenue sur la page Face Book de la Clinique Vétérinaire La Bonne Patte, vous trouverez l'actualité qui rythme notre quotidien sur ce site, ainsi que quelques conseils pour nos compagnons et les différents services que nous proposons.

02/11/2025

💊🧴 La galénique, qu’est-ce que c’est et pourquoi c’est important ?

En médecine (humaine et vétérinaire), la galénique, c’est la forme que prend un médicament pour être administré correctement :
👉 comprimé, gélule, sirop, pommade, spray, collyre, injection, suppositoire, pipette, etc.

Chaque forme est adaptée à un usage précis : on ne donne pas un comprimé dans l’œil 🫣, on n’injecte pas une pommade, et on n’avale pas une pipette anti-puces !
(… Oui, tout cela est déjà arrivé 😅)

Respecter la galénique, c’est éviter les erreurs de voie d’administration et garantir que le médicament fasse bien son travail — ni plus, ni moins.



😅 La leçon du jour : expérience vécue (et gustativement traumatisante)

Lors d’un voyage au Sri Lanka, j’ai voulu tester les produits ayurvédiques locaux.
Sur l’étiquette : “élixir de vitalité et d’équilibre”.
Ni une ni deux, je me dis : allez, un petit breuvage tonifiant naturel ! 🌿🍵

Sauf que… c’était une huile de massage.

Résultat :
🥴 goût indescriptible (entre le curry, la cire et la bougie fondue),
🚽 effets laxatifs fulgurants,
et une belle leçon de vie :

🔹 Quelle que soit la médecine — ayurvédique, homéopathique ou allopathique — il faut toujours respecter la galénique !



Moralité du jour 😄

💬 “Ne bois pas ce que tu pourrais étaler,
et n’étale pas ce que tu pourrais avaler.”

Et si votre animal doit prendre un médicament :
➡️ Demandez-nous toujours comment le donner (et où !).
Ça évitera bien des surprises… pour lui comme pour vous 🐶🐱

🍅 Quand la médecine devient cuisineCe matin, en consultation, une dame arrive avec son chat, l’air un peu embêtée :« Voi...
29/10/2025

🍅 Quand la médecine devient cuisine

Ce matin, en consultation, une dame arrive avec son chat, l’air un peu embêtée :
« Voilà docteur, il a mal à l’oreille, il bave un peu, ça fait un moment que je ne vous ai pas vu…
Je voudrais que vous lui fassiez un ketchup. »

Je reste figé une demi-seconde, le cerveau qui bugge :
— « Un ketchup ? »
Et puis je réalise : elle voulait dire check-up ! 😄

On a éclaté de rire tous les deux.
Et moi, dans ma tête, j’imaginais déjà le chat,
posé sur la table d’examen, avec un petit filet de sauce tomate et une frite à côté.

Alors j’examine la bête, je regarde les oreilles,
et je finis par lui mettre un traitement local.
La dame me demande, un peu intriguée :
— « Mais qu’est-ce que vous lui mettez dans l’oreille, docteur ? »
Et je lui réponds :
— « Oh, rien de spécial, une petite sauce maison :
un anti-mycosique, un anti-inflammatoire et un antibiotique —
le tout mijoté aux petits oignons ! »

Elle a ri, le chat beaucoup moins,
mais on est repartis avec le sourire.

Comme quoi, parfois, à la clinique,
la médecine vétérinaire flirte dangereusement avec la cuisine gastronomique.
Et à force de me confondre avec Philippe Etchebest,
je vais finir par demander une toque dans la salle de chirurgie. 👨‍🍳🐾

A la petite fille aux yeux rougesHier, à la clinique, il y a eu un départ.Un de ces départs que nous, vétérinaires, conn...
29/10/2025

A la petite fille aux yeux rouges

Hier, à la clinique, il y a eu un départ.
Un de ces départs que nous, vétérinaires, connaissons trop bien et qu’on n’arrive pourtant jamais à apprivoiser.
Une maman est arrivée, tenant la main d’une petite fille blondinette, les yeux pleins de larmes.
Et moi, pris par le flot du quotidien, par la mécanique du soin, par la pudeur aussi peut-être… je n’ai pas pris le temps.
Je n’ai pas pris le temps de m’arrêter, de m’accroupir à sa hauteur, de lui dire un mot, de la serrer dans mes bras.

Et depuis, cette petite fille me hante un peu.
Parce que dans ses yeux, il y avait tout : la douleur, la perte, mais aussi la confiance, cette attente silencieuse que les adultes posent un cadre, un sens, une douceur autour du chagrin.

Je repense à cette chanson de Jacques Brel, L’Enfance.
Il y dit que les enfants voient les adultes comme des géants, des repères, des gardiens d’un monde qu’ils ne comprennent pas encore.
Et que notre devoir, à nous les grands, c’est de leur apprendre la tendresse autant que la vérité.
De ne pas fuir leurs larmes, de ne pas travestir la mort en tabou, mais de leur montrer que même dans la peine, il y a de la lumière celle du souvenir, celle de l’amour qui ne meurt pas.

Hier, je ne l’ai pas fait.
Je ne lui ai pas tendu la main.
Et je le regrette profondément.

Cette petite fille ne lira peut-être jamais ces mots, mais ils lui sont adressés.
À elle, et à tous les enfants qui, un jour, ont dû dire au revoir à leur compagnon à quatre pattes.
Je lui demande pardon pour mon silence, pour cette absence dans un moment où elle aurait eu besoin d’un adulte qui parle doucement, qui dit que c’est normal d’avoir mal, que pleurer, c’est aimer encore.

Être vétérinaire, c’est soigner les animaux, mais c’est aussi, parfois, accompagner les âmes humaines qui les aiment.
Et dans ce rôle-là, les enfants méritent toute notre attention.
Ils perçoivent plus que nous ne croyons, et leur peine est pure, sans défense.
Alors, la prochaine fois, je promets de m’arrêter.
De m’accroupir à hauteur d’enfant.
De prendre le temps de dire que la mort fait partie de la vie, mais que l’amour, lui, ne disparaît jamais.

Parce qu’au fond, c’est cela, la vraie médecine du vivant :
celle du cœur, du lien, de la main tendue.

Le Fantôme DévorantNous vivons dans un monde où le diagnostic s’est mué en idole.Où l’on se gave de mots techniques comm...
28/10/2025

Le Fantôme Dévorant

Nous vivons dans un monde où le diagnostic s’est mué en idole.
Où l’on se gave de mots techniques comme on goberait des bonbons chimiques —
des noms ronflants, des étiquettes rassurantes, mais sans chair, sans âme.
On ne soigne plus, on nomme.
On ne comprend plus, on commente.

Depuis le Covid, la moindre toux est devenue suspecte,
le moindre frisson un signal d’alerte,
et la science, au lieu d’apaiser, nourrit la peur.
Les gens veulent des explications, des chiffres, des sigles,
quitte à s’y perdre, quitte à se rendre malades de savoir.
Parce qu’il faut savoir, à tout prix. Même quand ça n’aide pas.

Le soin, lui, s’efface doucement —
dévoré par le fantôme dévorant du diagnostic permanent.
On fait des examens à tout-va,
on empile les bilans, les images, les courbes,
comme si la machine pouvait guérir à la place du regard,
comme si l’économie pouvait remplacer la bienveillance.

Et pourtant…
aucun scanner n’a jamais soigné une peur.
Aucun dosage n’a jamais remplacé une main posée avec douceur.
On a oublié que la médecine — qu’elle soit humaine ou vétérinaire
est d’abord un acte d’amour, pas un acte de gestion.

Et la preuve que ce monde est devenu fou,
c’est qu’à l’heure d’Halloween,
on a baptisé la dernière forme du Covid « Frankenstein ».
Comme si la science elle-même se déguisait en monstre
pour continuer à nous faire peur.

Le fantôme dévorant, ce n’est pas dehors.
Il est en nous.
C’est cette faim insatiable de certitudes,
qui finit par avaler tout ce qui faisait sens :
la confiance, la nuance, et le simple fait de soigner.

27/10/2025

🦴 Résoudre l’impossible : une fracture du bassin reconstituée… en 3D !

A la Clinique LaBonne-Patte, notre petit patient du jour, une fracture complexe du bassin aurait pu signer l'arrêt de sa mobilité. Mais grâce à notre plateau technique de pointe, nous avons pu repousser les limites du possible.

📍 Étape 1 : Imagerie 3D de haute précision
À l’aide de notre Cone Beam scanner (imagerie 3D haute définition, probablement unique à Toulouse), nous avons capturé l’ensemble des structures osseuses abîmées, avec une finesse inégalée.

🧠 Étape 2 : Segmentation numérique du bassin
Les images ont été traitées sur nos logiciels spécialisés pour isoler les fragments osseux, comprendre la géométrie de la fracture, et reconstituer le bassin en 3D, virtuellement.

🖨️ Étape 3 : Impression 3D du bassin fracturé
Nous avons imprimé le bassin de Nick, tel qu’il était… fracturé. Cela nous a permis de planifier la chirurgie en amont, de choisir la bonne plaque orthopédique, et de s’entraîner avant d’entrer au bloc.

🔧 Étape 4 : Chirurgie mini-invasive et ciblée
Le jour de l’opération, nous n’avions plus de surprise. Nous savions exactement où aller, comment positionner nos implants, et comment optimiser la récupération. Résultat : une chirurgie plus rapide, plus précise et moins traumatique.

💙 Pourquoi choisir La Bonne Patte ?
Parce que nous croyons qu’un plateau technique moderne doit être mis au service du bien-être animal, mais aussi de l’accessibilité. Chez nous, vous bénéficiez :

d’un scanner 3D Cone Beam dernière génération
d’outils de chirurgie orthopédique de haute précision
d’impression 3D pour la planification personnalisée
et surtout, d’une équipe passionnée, humaine, proche de vous.

23/10/2025

🦴 La chirurgie TPLO à l’ère de la 3D : précision, préparation et performance

À la Clinique La Bonne Patte, nous utilisons désormais la segmentation 3D et l’impression tridimensionnelle pour préparer nos chirurgies orthopédiques, notamment les TPLO (Tibial Plateau Leveling Osteotomy)** destinées à traiter les ruptures du ligament croisé chez le chien.

👉 Grâce à notre Cone Beam 3D, nous obtenons des images d’une précision exceptionnelle du tibia et du genou de votre compagnon.
À partir de ces images, nous réalisons une segmentation numérique qui nous permet d’isoler les structures osseuses et de mesurer avec exactitude la pente tibiale, une donnée essentielle pour planifier la chirurgie.

🖨️ Une fois la modélisation effectuée, l’os est imprimé en 3D dans nos locaux à l’aide de notre imprimante de haute précision.
Cette réplique fidèle nous permet de simuler la chirurgie en amont, d’y positionner la plaque TPLO, de déterminer l’angle optimal de rotation et de valider la taille des implants avant même d’intervenir sur l’animal.

🔬 Cette planification numérique et physique nous offre :

une réduction significative du temps opératoire,
une précision accrue du geste chirurgical,
et des résultats plus fiables et reproductibles.

💡 En combinant imagerie 3D, modélisation et impression, nous mettons à votre service une technologie de pointe habituellement réservée aux grands centres hospitaliers, à des tarifs très accessibles.

🎥 Découvrez dans notre petit film les différentes étapes de ce processus : de la radiographie à la planification chirurgicale sur l’os imprimé, en passant par la mesure de la pente tibiale et la pose de la plaque.

📍 Une innovation signée La Bonne Patte, au service du confort, de la précision et de la récupération de vos compagnons.

20/10/2025
C’est tout à fait simple …
18/10/2025

C’est tout à fait simple …

16/10/2025

Une petite présentation de ce qu'il se passe à l'intérieur de cette petite clinique au grand plateau technique.
Notre objectif est de rester accessible au niveau financier avec des services de qualités !

Nous développons des techniques innovantes pour un travail plus précis et à des tarifs qui restent accessibles :TPLO gra...
15/10/2025

Nous développons des techniques innovantes pour un travail plus précis et à des tarifs qui restent accessibles :
TPLO grand chien 1200 euros
Fracture membre de chat 600 à 800 euros
Fracture membre de chien entre 600 et 1600 euros
Fracture du bassin de chat aux alentours de 600 euros
Fracture de bassin de chien aux alentours de 1000 euros
Fracture du coude sur devis

La bonne patte vous offre un plateau technique high level à des tarifs accessibles.
N'hésitez pas à nous contacter !
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À la Clinique Vétérinaire La Bonne Patte, nous investissons dans les outils les plus innovants pour planifier et réussir les chirurgies orthopédiques les plus

14/10/2025

La segmentation et l’impression 3D au service de la chirurgie osseuse vétérinaire

À la Clinique Vétérinaire La Bonne Patte, nous investissons dans les outils les plus innovants pour planifier et réussir les chirurgies orthopédiques les plus complexes. Grâce à notre plateforme 3D complète, nous sommes désormais capables de segmenter, modéliser et imprimer en trois dimensions les fractures osseuses de nos patients avant d’intervenir chirurgicalement.

Comprendre la segmentation 3D

À partir des données d’imagerie Cone Beam (scanner 3D), nous réalisons une segmentation grâce à un logiciel dédié .
Cette étape consiste à isoler numériquement les différentes structures osseuses visibles sur les images DICOM afin de reconstituer un modèle tridimensionnel précis de l’os du patient.
Chaque fragment de fracture peut être distingué, identifié et manipulé virtuellement.

Cette modélisation permet :

de comprendre la fracture sous tous ses angles,
d’évaluer les mouvements possibles des fragments,
et d’anticiper le type d’implant le plus adapté (plaque, vis, clou, etc.).

De la modélisation à l’impression 3D
Une fois la segmentation terminée, le modèle est exporté au format STL puis imprimé sur notre imprimante 3D haute précision.

Deux approches sont possibles :

Pour les fractures simples, nous imprimons les fragments osseux réels et les repositionnons manuellement sur le modèle imprimé afin de préparer la réduction et la fixation avant la chirurgie.
Cela nous permet d’évaluer le meilleur positionnement possible des implants, en temps réel, sans stress opératoire.

Pour les fractures complexes ou comminutives, nous imprimons le membre controlatéral sain en image miroir.
Ce modèle de référence nous indique la forme, la longueur et la courbure exactes de l’os d’origine, permettant de choisir la plaque la plus adaptée sans interférer avec les zones fracturées fragiles. Les abouts osseux seront remis en place par un distracteur, et l'implant sera posé sur les 2 extrémités sans toucher au foyer de fracture !

Cette approche est aussi salvatrice pour les fractures complexes telles que les fractures du coude en Y, véritable défit pour les chirurgiens.

Une technologie de pointe au service du vivant

Cette technologie associe :
un logiciel de segmentation 3D couplé à notre plateforme DICOM,
une station informatique à haute puissance graphique,
et une imprimante 3D de précision chirurgicale.

Nous utilisons également un code DICOM spécifique pour visualiser les reconstructions 3D directement depuis nos images médicales, ce qui permet une interaction fluide entre la radiologie, la chirurgie et l’impression 3D.

Les bénéfices pour le chirurgien et l’animal

Planification chirurgicale optimisée : chaque geste est anticipé, chaque vis est positionnée virtuellement avant la chirurgie.
Réduction du temps opératoire : moins d’imprévus, moins d’anesthésie, moins de complications septiques.
Précision accrue : la reconstruction 3D permet une compréhension anatomique fine, surtout dans les zones complexes (pelvis, coude, fémur proximal, etc.).
Pédagogie et transparence : les modèles imprimés servent également à expliquer aux propriétaires la nature de la fracture et la stratégie de réparation.

Un service unique dans la région

Grâce à cette approche intégrée — imagerie Cone Beam, segmentation numérique et impression 3D, la clinique La Bonne Patte se place à la pointe de la chirurgie orthopédique vétérinaire moderne.
Nous allions savoir-faire chirurgical, technologie d’imagerie avancée et outils numériques de planification, pour offrir à chaque patient une chirurgie plus sûre, plus précise et mieux préparée.

🍖 Chronique d’un véto en fin de journée – ou comment j’ai partagé le goûter de Max (par erreur).Il était 19h passées. Mo...
22/07/2025

🍖 Chronique d’un véto en fin de journée – ou comment j’ai partagé le goûter de Max (par erreur).

Il était 19h passées. Mon café de 15h avait été remplacé par trois chirurgies, une urgence intestinale, et un lapin obèse à ausculter. Autant dire que mon cerveau était déjà en pyjama.

Arrive alors Max, fidèle Labrador chocolat, modèle “j’ai plus de cicatrices que Bruce Willis” (opéré des deux ligaments croisés, deux TPLO, donc on se connaît bien lui et moi). Max débarque avec ses humains : monsieur, un Allemand rigoureux qui parle à son chien en anglais, et madame, une Espagnole vive qui parle à tout le monde en espagnol. Moi, je fais le lien en français. Un vrai congrès européen, mais avec un seul patient : Max.

La consultation se passe bien, Max est calme, stoïque, limite zen — un modèle d’éducation positive. À la fin, Monsieur me regarde, me sourit, fouille dans sa poche, tend la main vers moi… et me tend une croquette.

Sans réfléchir, je prends la croquette, je le remercie poliment… et je la mange.

Silence.

Max me regarde avec des yeux de chien trahi. Le regard du type qui se dit “attends, on a un deal, non ? C’est MOI qui obéis, c’est MOI qui ai droit à la friandise. Pourquoi c’est le véto qui se gave ?”

Les deux propriétaires, eux, restent interdits. Il me faut deux secondes, puis trois, pour comprendre : la croquette… n’était pas pour moi. C’était un “well done, boy” pour Max, pas un “good job, doc”. Trop t**d. Je viens d’avaler l’honneur canin.

Verdict : croquette sèche, goût de foie recyclé, notes de farine animale — mais bon, c’est vegan, et sans gluten, m’ont-ils dit plus t**d.

Moralité :
• Ne jamais sous-estimer la fatigue de fin de journée.
• Toujours vérifier pour qui est la récompense.
• Et surtout… Max ne me regarde plus de la même façon. Depuis ce jour, je crois qu’il me considère comme un rival. Ou un Labrador très mal déguisé.

Adresse

3 Boulevard Des Capelles
Plaisance-du-Touch
31830

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