Anne-elisabeth Migeon

13/11/2025

https://www.nutritionniste-migeon.fr/la-propolis-l-antibiotique-naturel-des-abeilles

La propolis : l’antibiotique naturel des abeilles Utilisé comme antiseptique par les égyptiens pour embaumer leurs momies. La propolis a en effet un rôle c...

02/11/2025

La propolis : l’antibiotique naturel des abeilles

Utilisé comme antiseptique par les égyptiens pour embaumer leurs momies. La propolis a en effet un rôle certainement antiseptique que les abeilles utilisent d’ailleurs pour se protéger des virus et autres microbes.
Ses secrets de fabrication, les abeilles prélèvent sur les arbres ou bourgeons ou écorce la résine et lui ajoute leur propre sécrétion et ainsi est créer la propolis.
Composition de la propolis :
La propolis est riche en polyphénols, en divers nutriments thérapeutiques, les mêmes que l’on peut rencontrer dans les « super aliments » comme les fruits rouges, l’oignon le brocoli, ou encore le thé vert.
L’atout de la propolis résiderait en l’association de diverses substances qui ensemble aurait un effet synergique et démultiplié, avec en prime la présence d’huile essentielle dont on connait les vertus santé. Toutes ces propriétés renforcent l’effet remède de la propolis valorisé durant des années !
Les effets de la propolis :
La propolis aurait des effets sur diverses infections de l’organisme, ainsi, associée à du zinc et de la canneberge, la propolis aurait montré son efficacité dans les infections urinaires récidivantes.
De même une crème correctement dosée en propolis aurait une efficacité comparable à l’acyclovir contre l’herpès labial.
La propolis serait une substance efficace et peu agressive pour aider à lutter contre les virus et bactéries de la bouche tout en respectant l’intégrité du microbiote buccal et nasal. Elle préserverait les bons microbes et s’attaquerait aux microbes pathogènes.
En prévention et pour stimuler nos défenses immunitaires notamment dans les pathologies respiratoires, la propolis selon certaines études (même administrée en gélules) auraient démontré des effets protecteurs et intéressant.
Conclusion :
Toutes ces observations cliniques restent très prometteuses, et encourage l’utilisation de la propolis avec certitudes comme remède en traitement local ( notamment dans la bouche ou dans le nez ou la gorge) mais aussi dans d’autres infections urinaires, digestives …Aussi des études supplémentaires devraient permettre de renforcer ces observations très intéressantes.

19/10/2025

Gateau amandier sans sucre

Votre marché pour 4 personnes :
4 œufs
70 g d’érythritol
80 ml d’huile d’olive
1 cuillère à café d’extrait de vanille
170 g de poudre d’amande
1 poignée d’amandes effilées

Votre préparation :
Préchauffer le four à 160° C (chaleur tournante)
Dans un grand bol, battez les œufs avec l’érytrhritol jusqu’à ce que le mélange double de volume
Ajoutez l’huile d’olive et l’extrait de vanille, mélangez à nouveau
Incorporez progressivement la poudre d’amande afin d’obtenir une pate homogène puis ajoutez délicatement les amandes effilées à la pâte en mélangeant doucement.
Versez la préparation dans un moule à bord haut et rond et préalablement beurré
Enfournez pendant 35 minutes puis laisser tiédir avant de démouler
Servez tel quel ou agrémenté de crème légère
Dégustez

28/09/2025

Surpoids et cancer du sein

Selon plusieurs études dont une étude britannique portant sur environ 5 millions de personnes le surpoids et l’obésité sont responsables du développement de 10 cancers les plus fréquents dont le cancer du sein et surtout après la ménopause.
En effet, l’obésité est responsable d’une modification du tissu adipeux dont une inflammation, des troubles métaboliques et hormonaux augmentant ainsi le risque de cancer. A l’inverse une perte de poids permettrait d’entrainer un changement hormonal bénéfique sur les cancers dont celui du sein après la ménopause.
Que disent les études ?
Les études ayant recherché le lien entre poids et cancer, ont montré une relation linéaire entre perte de poids stable et diminution du risque de cancer du sein et plus précisément chez les femmes sans traitement hormonal substitutif. Selon les chercheurs, le traitement hormonal substitutif pourrait masquer les bénéfices hormonaux apparus suite à une perte de poids durable.
Parlons chiffres :
Une perte de poids durable entre é et 4,5 kg serait associée à une réduction de 13% du risque de développer un cancer du sein comparativement à des femmes ayant maintenu leur poids ou à celles ayant au contraire pris du poids. De plus celles ayant perdu le plus de poids ont vu leur risque diminuer encore plus nettement avec une réduction de 16% pour une perte de poids de 9kg et de 26% pour une perte de poids de plus de 9kg.
A noter que prendre du poids pour le perdre ensuite revient au même risque que celui de maintenir un poids stable.
Comment expliquer ce fait ?
Après la ménopause, un lien est établi entre le taux d’œstrogènes endogène, le surpoids et le risque de développer un cancer du sein. La perte de poids en réduisant ce taux d’hormones sexuelles permettrait de limiter son effet sur le risque de cancer du sein. Il est par ailleurs admis que la perte de poids en s’accompagnant d’un changement de vie, d’une alimentation plus équilibrée, d’une réduction de l’alcool, avec de l’activité physique constitueraient autant de facteurs contribuant à ces résultats.
Conclusion :
En résumé, le surpoids est un facteur de risque de développer un cancer du sein et toute perte de poids serait donc bénéfique pour inverser ce risque
Après la ménopause, pour les femmes ayant pris du poids, il n’est donc jamais trop t**d pour débuter une perte de poids et réduire le risque de cancer du sein.

14/09/2025

Octobre Rose : Quid de l'alimentation comme moyen de prévention ...
A l’approche d’octobre rose, je souhaiterais faire un point sur l’impact de la nutrition dans la prévention des cancers et notamment le cancer du sein.
L’importance de l'alimentation dans la prévention du cancer du sein doit être soulignée. En effet, une alimentation de type méditerranéen, riche en fruits, légumes, légumineuses, céréales complètes et bonnes graisses (comme les oméga-3), est bénéfique pour réduire le risque de cancer du sein en partie grâce à ses propriétés anti-inflammatoires et à son impact positif sur le microbiote des glandes mammaires. Ce résultat a été confirmé par un essai clinique réalisé auprès de femmes dont on a proposé une alimentation de type méditerranéenne, à base d’huile d’olive par opposition à une alimentation pauvre en bonnes graisses. Ce modèle alimentaire maintient son intérêt également après un diagnostic et pendant les traitements.
A contrario, les études montrent que les régimes pro-inflammatoires, riches en viande rouge, produits transformés, sucres et mauvaises graisses, augmentent le risque de cancer du sein, notamment avant la ménopause. En revanche, les régimes riches en végétaux et pauvres en glucides raffinés, comme le régime DASH, réduisent le risque de certains types de cancer du sein.
De même chez les femmes ménopausées, consommant des légumes, fruits, céréales complètes, légumineuses, le risque de développer un cancer du sein était diminué avec un impact de 20% de réduction sur les cancers du seins oestrogéniques.
En résumé, il est recommandé de privilégier les aliments anti-inflammatoires et de limiter les aliments pro-inflammatoires. Une alimentation saine aide à maintenir un poids optimal, ce qui est crucial pour réduire le risque de cancer du sein. Enfin, la pratique régulière d'une activité physique (150 à 300 minutes par semaine) est également bénéfique.
A suivre dans un prochain article : Effet du surpoids, et du profil de sommeil sur le risque de cancer du sein

31/08/2025

Recette santé
Cocotte au petit Epeautre et curcuma

Votre marché pour 4 personnes :

100 g de petit épeautre (cru)
1 poivron
1 oignon
1 gousse d’ail
5 olives noires dénoyautées
1 c. à c. de graines d’anis
1 pincée de curcuma
1 c. à s. d’huile d'olive
Sel
Poivre
Votre préparation :

Portez une casserole d’eau salée à ébullition. Plongez-y le petit épeautre préalablement rincé et, dès la reprise de l’ébullition, laissez cuire pendant 30 min. Égouttez et réservez.
Pelez et émincez l’oignon. Pelez et hachez l’ail. Pelez et épépinez le poivron. Coupez-le en lamelles.
Dans une casserole huilée, faites revenir l’oignon et le poivron pendant 20 min. Incorporez l’ail, le petit épeautre, les olives, le curcuma, les graines d’anis, le sel et le poivre.
Servez chaud.
Bonne dégustation
Cette recette à base de petit épeautre peut être conseillée si intolérance au gluten, le curcuma épice anti-inflammatoire et très alcalinisante est aussi d'intérêt pour préserver la réserve alcaline de l'organisme.

18/08/2025

Mon nouveau domaine de compétence au service de votre santé.

Mon nouveau domaine de pratique : La Phytothérapie Je suis titulaire du Diplôme Universitaire de Phytothérapie dispensé par la faculté de médecine et pharm...

03/08/2025

Tarte de panisse : recette du Sud , sans gluten Votre marché pour 4 personnnes: 200 g de farine pois chiche 300 ml d’eau Huile d’olive Sel Garniture de lég...