Un pas vers L'ê-SeNs-ciel.

Un pas vers L'ê-SeNs-ciel. Sophrologie & Hypnose. Bienvenue !!! Osez briser les chaines qui entravent votre cheminement...

14/03/2025

LE MYTHE DE LA GROTTE DE PLATON RÉVÈLE LA NATURE DE NOTRE RÉALITÉ.

Dans le livre VII de « La République », Platon présente l'une des allégories les plus célèbres et les plus profondes de la philosophie occidentale : le Mythe de la Caverne. Cette histoire est non seulement un récit fascinant, mais aussi un outil puissant pour comprendre la théorie de la connaissance et la perception de la réalité, concepts centraux de la pensée platonicienne.

Imaginez une caverne sombre où un groupe de prisonniers est enchaîné depuis leur naissance. Ces prisonniers sont retenus de telle manière qu'ils ne peuvent regarder que vers un mur devant eux. Derrière les prisonniers, il y a un feu, et entre le feu et les prisonniers, il y a un chemin surélevé. Le long de ce chemin, des gens passent en portant des objets et des figures de formes diverses qui projettent des ombres sur le mur que les prisonniers peuvent voir. Pour ces prisonniers, ces ombres sont la seule réalité qu’ils connaissent.

Les ombres dans la grotte symbolisent l’ignorance et la perception limitée de ceux qui n’ont pas atteint la vraie connaissance. Ils représentent une réalité déformée et superficielle, une métaphore de la façon dont les apparences et les perceptions peuvent tromper notre compréhension de la vraie nature des choses.

Le mythe prend une tournure significative lorsqu'un des prisonniers est libéré. Au début, ce prisonnier ressent une douleur aiguë et une confusion intense lorsqu'il est exposé à la lumière du feu et, éventuellement, au soleil du monde extérieur. La lumière est aveuglante et le prisonnier peine à comprendre cette nouvelle réalité. Petit à petit, ses yeux s'habituent et il commence à voir le monde tel qu'il est : les couleurs, les formes, l'immensité du ciel et l'éclat du soleil. Ce processus symbolise le chemin vers la connaissance et l’illumination intellectuelle, un voyage ardu et douloureux, mais profondément transformateur.

Le prisonnier libéré se rend compte que les ombres dans la grotte ne sont pas la réalité, mais de simples illusions. Dans son désir de partager cette révélation, il retourne dans la grotte pour libérer les autres. Cependant, à son retour, il rencontre une résistance et est incompris par ceux qui sont encore enchaînés. Pour eux, les ombres restent la seule réalité valable, et la proposition d’une réalité différente est inconcevable et menaçante. Ce retour met en lumière la difficulté de transmettre et d’accepter la vérité dans un monde habitué aux illusions, reflet de la résistance humaine au changement et à l’acceptation de nouvelles vérités.

Le Mythe de la Caverne illustre donc non seulement la théorie épistémologique de Platon, mais aussi sa vision de l'éducation et du rôle du philosophe dans la société. Le philosophe, comme le prisonnier libéré, a la responsabilité de guider les autres vers la lumière de la connaissance, quitte à affronter l'incompréhension et la résistance.

En fin de compte, cette allégorie nous invite à remettre en question notre propre perception de la réalité et à reconnaître l’importance de rechercher la connaissance au-delà des apparences. Cela nous met au défi de briser nos propres chaînes et de sortir de nos grottes personnelles à la recherche d’une compréhension plus profonde et plus vraie du monde.

06/02/2025

LA FIN D'UN LIEN...

Lorsque ton lien émotionnel avec quelqu’un finit par se briser, c’est comme si un voile se levait, dévoilant sa véritable nature : celle d’une personne ordinaire. La flamme que tu percevais en lui, cette magie que tu avais associée à sa présence, s’éteint peu à peu, et soudain, il apparaît tel qu’il a toujours été : un être humain, imparfait, avec ses failles et ses faiblesses. C’est un moment profond, une prise de conscience saisissante : ce n’était pas lui qui était exceptionnel, mais bien l’amour et l’énergie que tu investissais dans cette relation qui le rendaient si unique.

Tu vois, l’amour a ce pouvoir étrange d’embellir les gens. Lorsque tu es émotionnellement attaché, tu ne regardes pas seulement une personne, tu contemples un miroir de tes propres espoirs, de tes rêves et de tes sentiments projetés sur elle. Ton affection amplifie ses qualités, masquant souvent ses aspérités ou les différences qui auraient pu te heurter. C’est comme si tu l’éclairais d’une lumière douce et chaleureuse, qui la faisait briller. Mais lorsque cette lumière s’estompe, lorsque le lien émotionnel s’effrite, les ombres apparaissent, et avec elles, les détails que tu avais choisi d’ignorer.

Cela ne signifie pas que cette personne n’avait aucune valeur ou qu’elle n’a pas compté dans ta vie. Simplement, sans la lentille de l’attachement, tu la vois enfin avec lucidité, libéré des émotions intenses qui brouillaient ton regard. Ce que tu réalisais alors, c’était toi : ton amour, ton énergie, ta capacité infinie à magnifier les choses et les êtres. C’est toi qui l’avais paré de couleurs qu’il ou elle ne possédait pas forcément.

Et cette réalisation ? Elle est libératrice. Parce qu’elle te rend ton pouvoir. Tu comprends que ce n’était pas cette personne en elle-même qui était extraordinairement spéciale, mais la profondeur de ton amour, la richesse de ce que tu avais à offrir. Tu détiens ce pouvoir de créer de la beauté et du sens dans tes relations, simplement par l’énergie que tu y investis. Si tu as pu le faire une fois, tu pourras le refaire, avec quelqu’un qui saura honorer et répondre pleinement à cette énergie.

Cette prise de conscience t’offre aussi une leçon précieuse sur l’estime de soi. Elle te rappelle que l’amour que tu donnes a une valeur immense. C’est une force capable de transformer la connexion la plus banale en quelque chose d’extraordinaire. Alors, si une relation s’achève, si un lien s’efface, ne te concentre pas sur la perte de cette personne. Médite sur cette capacité incroyable que tu as d’apporter de la lumière dans la vie des autres et sois fier de toi.

À l’avenir, tu as désormais le choix de diriger cette énergie avec plus de conscience. Tu peux décider de la partager avec des personnes qui voient et apprécient vraiment ta singularité, plutôt que de compter sur toi pour magnifier la leur. Reconnais que c’est toi qui possèdes ce pouvoir de rendre une relation vibrante et profonde. Ton amour, ton énergie, sont des cadeaux précieux qui méritent d’être offerts à ceux qui les honorent et les valorisent.

Alors, quand quelqu’un ne te semble plus aussi spécial qu’avant, considère cela comme une preuve de ton évolution. Tu vois désormais les choses avec clarté et maturité. Ce n’est pas une question de leur valeur, mais de ton propre cheminement. Laisse cette clarté te guider vers des relations où la magie circule dans les deux sens, où ta lumière est reçue avec autant d’intensité qu’elle est donnée.

Au fond, ce qui a toujours été le plus spécial, ce n’était pas cette personne. C’était toi.

Zaki BENAMEUR

Page : Juste une Messagère
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30/01/2025

Tu mérites tout cela.

Tu mérites quelqu’un dont le cœur se brise en te voyant pleurer.

Tu mérites quelqu’un qui ressent tes émotions avec toi, plutôt que de simplement compatir.

Tu mérites quelqu’un qui trace les contours de ton visage et explore du bout des doigts les creux et les reliefs de ton corps, pour se souvenir de chaque détail de toi quand tu lui manques.

Tu mérites quelqu’un qui te regarde discrètement, les yeux brillants d’admiration, pendant que tu lis un livre ou savoures un verre de vin, persuadé que tu es la plus belle personne qu’il ait jamais vue.

Tu mérites quelqu’un qui te demande comment s’est passée ta journée et qui s’intéresse sincèrement à ta réponse.

Tu mérites quelqu’un qui veut connaître chaque détail de toi : comment tu aimes ton café le matin, ta fragrance préférée, ou quels films te font pleurer.

Tu mérites quelqu’un qui protège ton cœur et affronte tout ce qui pourrait te blesser, avec une loyauté si profonde qu’il en tomberait malade à l’idée même de te trahir.

Tu mérites d’être vue.
Tu mérites d’être entendue.
Tu mérites d’être désirée.

Et, par-dessus tout... tu mérites d’être aimée.
Source internet

06/11/2024
05/11/2024
04/11/2024

Le black-out, c’est comme si notre esprit se mettait en veille pour essayer de se protéger de l’ampleur de la douleur. On fonctionne, on avance presque mécaniquement, mais on n’est plus vraiment là.
C’est une sorte de refuge involontaire, une pause imposée par notre cœur pour nous permettre d’apprivoiser l’inacceptable.
C’est un espace où l’on est seul avec sa peine.
C’est ce moment où tout s’effondre à l’intérieur, mais où l’extérieur reste étrangement immobile. C’est comme si le monde autour continuait de fonctionner, mais qu’on n’avait plus la force d’en faire partie.
C’est l’esprit qui refuse encore d’accepter ce que le cœur ne supporte pas. On avance sans trop savoir comment, ni pourquoi.
Chaque instant devient une lutte pour trouver un sens pour simplement supporter comme un mauvais rêve dont on espère se réveiller.

Charlotte Cellier

01/11/2024

LA SANTÉ MENTALE DES JEUNES
Selon une étude de l'Inserm publiée à l'occasion de la Journée mondiale de la santé mentale, un tiers des 11-24 ans affichent une détresse modérée ou sévère souvent alimentée par la pression scolaire et les réseaux sociaux.
Depuis la crise du Covid, les alertes sur la santé mentale des adolescents et des jeunes adultes se multiplient.
Des solutions existent pour aider un jeune en détresse, sans toujours recourir à un spécialiste.
De sondages en baromètres, les chiffres sur la santé mentale des jeunes semblent dépeindre une génération en souffrance. Triste, anxieuse, découragée. Comment l’expliquer ?
Certains psychiatres blâment les effets délétères des écrans et des réseaux sociaux, d'autres pointent la dureté de l'époque - les guerres, le réchauffement climatique, les faits divers qui rivalisent d'horreur.
Tous s'accordent sur le fait que la situation s'est dégradée à partir de 2020, au moment du Covid, sans que l'épidémie ne suffise à elle seule à comprendre l'ampleur du phénomène. L'erreur qu'on a faite, c'est d'avoir trop invoqué le Covid, or, la crise sanitaire est derrière nous et les chiffres ne redescendent pas. L'inquiétude de cette génération reflète celle de la société tout entière. Nous-mêmes, adultes et professionnels de santé, sommes éprouvés. Comment les plus jeunes ne le seraient-ils pas ? Ce ne sont pas les jeunes qui sont plus soucieux qu'avant, c'est tout le monde.
Sauf que les jeunes, eux, sont encore en développement. Ils sont plus sensibles, plus vulnérables.
Ce qui mine les jeunes
Qui mieux que les jeunes eux-mêmes pour dire comment ils se sentent, et pour quelles raisons ?
Si les chiffres confirment la dégradation de l'état de santé mentale des adolescents et jeunes adultes, leurs témoignages apportent un précieux éclairage sur les raisons de leur mal-être, Ce qu'on voit, et ce n'est pas étonnant, c'est que ceux qui ne vont pas bien sont souvent confrontés à une mauvaise ambiance familiale ou à une mésentente avec les parents.
En tant qu'adulte, le premier réflexe doit être de s'interroger sur un potentiel bouleversement. Les séparations en sont un et donnent parfois lieu à des passages à l'acte, l'adolescent espérant que ses parents se réconcilieront à son chevet.
Petite ou grande souffrance, les parents sont souvent bien en peine d'aider leurs enfants. Et pour cause, beaucoup se sentent responsables de leur mal-être. Responsables oui, mais pas coupables.
Reste à savoir vers qui se tourner, à l'heure où les centres médico-psychologiques, clés de voûte de la psychiatrie ambulatoire des mineurs, sont pour la plupart saturés.
Sur la période 2021-2022, les hospitalisations en psychiatrie ont particulièrement augmenté chez les 10-14 ans (+246% par rapport à la période 2010-2019).
En mai 2024, une étude de la « Drees et Santé publique France » relevait que les hospitalisations pour tentative de su***de ou automutilation chez les adolescentes et jeunes femmes avaient progressé de façon brutale et inédite.
Mais de même qu'on voit des parents banaliser des états de grande souffrance psychique chez leur enfant, certains ont tendance à dramatiser ce qui relève du coup de blues. Demandez à un ado comment il va, il vous répondra souvent qu'il va mal.
De là à parler d'une épidémie psychiatrique ? Peut-être pas. « Certains marqueurs importants ne peuvent pas être ignorés, notamment l'augmentation des tentatives de su***de », soulève David Gourion, psychiatre à Paris.
L'adolescence est, par définition, une période où l'on peut avoir un côté torturé, et cherche à le revendiquer.
Aujourd’hui, les jeunes savent qu'une écoute est possible et ils la demandent plus souvent.
Internet : est-ce la solution ?
Comme souvent, tout est question de mesure. Ce qui est problématique, c'est un adolescent qui passe six heures dans un canapé avec une tablette. Cette surcharge numérique implique qu'on surstimule le cerveau tandis qu'on sous-stimule le corps, or, le corps et l'esprit doivent se développer de pair.
Paradoxalement, les réseaux sociaux du type TikTok sont parfois leurs meilleurs alliés. Il y a tout un mouvement partiel mais réel de déstigmatisation des problèmes de santé psychiques sur ces réseaux. Réhabiliter la parole et l'échange, voilà ce que prescrivent en priorité les psychiatres qui se veulent « résolument optimistes ».
Avec le numérique, ce qui apparaitra, c'est que l'impact des écrans sur la santé mentale dépend de la durée mais aussi du type d'utilisation. Ceux qui vont mal sont ceux qui regardent des vidéos courtes sur les réseaux pendant des heures. Sans oublier l’impact délétère des postes d’influenceurs.
On l'avait vu pendant le Covid : ceux qui se servaient d'Internet pour communiquer avec leurs proches allaient mieux que ceux qui restaient isolés ; de même, les jeunes qui recourent au numérique pour faire des recherches, regarder un film, ou échanger avec leurs amis.
Toutefois il faut oser mettre des limites. Dans les années 1960, les parents s'inquiétaient que leurs enfants traînent trop dehors, aujourd'hui, ils n'y vont plus assez. Or, ils ont besoin de sortir, d'être dans la nature, de discuter avec des camarades. Où sont les enfants, les adolescents, quand ils ne sont pas à l'école ? On a beau se frotter les yeux, on les voit rarement courir dans les rues, jouer en bande dans les parcs.
En 2024, on les retrouve plutôt assis dans leur chambre ou sur le canapé du salon, devant une série, leur téléphone ou un jeu vidéo. Les enfants ne sortent pas assez, et ce manque d'activités de plein air leur porte préjudice.
Pour certains parents, notamment dans les quartiers populaires, garder ses enfants à la maison paraît plus sûr que de les laisser sortir. L'extérieur est perçu comme dangereux. À l'intérieur, ils ont pourtant davantage accès aux écrans, aux réseaux. C'est aussi dans le cocon de la maison que peuvent advenir le plus souvent les violences intrafamiliales, les accidents domestiques, deuxième cause de décès chez les 5-14 ans.
Il est démontré que tout enfant doit pratiquer des activités physiques, sortir, courir, grimper, fabriquer une cabane, jouer, se cacher, rire, etc. La fatigue qui en résulte est considérée comme saine.
En clair, consulter n'est pas toujours la première chose à faire. Prendre des médicaments non plus, il suffit d’observer la hausse importante des prescriptions de psychotropes - antidépresseurs, anxiolytiques...
En premier lieu : réussir son examen
Ce qui est plus inattendu en revanche, c'est le poids que la pression scolaire fait peser sur leurs épaules.
Les jeunes ne sont pas insouciants, ils sont préoccupés par l'avenir, par leurs études, leur travail. Ainsi, la moitié des élèves disent sentir une pression très intense à la réussite, tandis que 70% se déclarent stressés par la façon dont est décidée leur orientation - ces derniers présentant un risque deux fois plus élevé de détresse psychologique que les autres. Par ailleurs, certains se plaignent de leur mémoire vacillante qu’ils attribuent à l’environnement très perturbé.
La mémoire est une chose bien singulière, voire assez incompréhensible pour le commun des mortels, faite de réseaux neuronaux distincts (bien qu'interconnectés), ne possédant à priori même pas de centre... Ce qu'il y a de plus simple à comprendre, en revanche, ce sont quelques bons réflexes pour lui permettre de fonctionner correctement. La mémoire intervient en bout de chaîne. Elle est la résultante de nombres de situations qui se jouent avant.
Pour bien se souvenir et doper ses capacités d'apprentissage, la première chose à faire est de… dormir. On apprend la journée, mais c'est, au cours de la nuit qu'on consolide en bonne partie les informations reçues.
Se coucher t**d de manière trop fréquente nuit directement aux apprentissages. Si le temps de sommeil idéal dépend de chaque personne, la durée recommandée tourne plutôt autour de huit heures journalières.
Protéger son sommeil passe aussi par une utilisation raisonnée des écrans. Non pas qu'ils soient néfastes en soi - encore que la stimulation nerveuse n'est pas recommandée pour s'endormir - mais par le type de lumière qu'ils émettent. Cette lumière donne au cerveau une information similaire à celle du lever du soleil. Pensant que le matin arrive, vous entrez dans un sommeil trop léger, insuffisamment réparateur.
Quoi qu’il en soit, ils ne veulent pas ingurgiter mult neuroleptiques ou somnifères. Ils n’oublient pas les années du Covid et le sempiternel « Covid long » qui en résulte. Désormais, ils font appel aux médecines naturelles.
Les coups de pompe
Ils peuvent survenir dans certaines conditions :
• Surcharge de travail, de stress, d'activités.
• Manque d'énergie soudain.
• Sommeil et/ou appétit perturbés.
• Moral atteint.
• Éventuellement signes d'angoisse.
Une fatigue psychique contre laquelle on ne fait rien et qu'on laisse s'installer peut facilement évoluer en déprime ou vraie dépression.
Ne laissez pas ce coup de blues vous perturber trop longtemps. Consultez avant que la situation ne devienne vraiment grave.
Des petites recettes utiles
• Dans l’hypoglycémie : prendre des glucides (miel), Certains préfèrent le coca cola !!
• Pour l’effort intellectuel : Kalium phosphoricum 15 CH, 10 granules à la demande.
• Pour les émotions : Ignatia 15 CH, (hypersensible) 1 dose ou Gelsemium 15 CH, (inhibé). 1 dose. A répéter.
• Pour les stress : Quiet Full 2 fois 2 gélules (Phyt-Inov). Tel : 00 41 32 466 89 14
Seule l’homéopathie peut débloquer des situations. Prendre 3 granules 2 à 3 fois par jour du remède qui vous convient.
• ARGENTUM NITRICUM 9CH, agitation empêchant toute concentration, veut avoir fini avant de commencer, phobies diverses, perpétuelle inquiétude.
• KALIUM CARBONICUM 9CH, fatigue, irritabilité, insomnie, vertiges.
• ARNICA 15 CH : fatigue physique à la suite d'un effort. Suites de choc mental.
• IGNATIA 9CH : déprime passagère « coup de blues ». Tendance à contredire, querelleur, rumine sa peine.
• KALIUM PHOSPHORICUM 9 CH : surmenage intellectuel – chagrin prolongé. Perte d’énergie psychique
• PROSPHORICUN ACIDUM 9 CH : trous de mémoire, « pile vidée » ne s'intéresse à rien. Léthargie.
• NUX VOMICA 5 CH : somnolence après les repas, (améliorée par une courte sieste). Abus d’excitants.
• NUX VOMICA 9 OU 15CH : autoritaire, ambitieux, exigeant, méticuleux, jaloux, irritable, intolérant à la contradiction, troubles de l’humeur, alcoolisme chronique.
Huiles essentielles par voie orale
Épuisement nerveux, fatigue nerveuse
* HECT Thym CT linalol 3 ml
* HECT Épinette noire 1 ml
* HECT Laurier noble 1 ml
* HECT Gingembre 1 ml
* HV Noyaux d'abricot 4 ml
3 à 4 gouttes dans un peu de miel, huile végétale ou yaourt, en bouche matin et midi pendant 3 semaines ET 6 gouttes sur la zone dorsale des glandes surrénales, matin et midi, pendant 3 semaines.
Perte de mémoire
HE de romarin à cinéole bio. Achetez un flacon de 10 ml (2,90 euros).
Retirez le bouchon et humez durant une minute, 4 fois par jour. Après 3 semaines, vous récupérez votre mémoire.
Lire mon livre « Alzheimer et odorat : quand les arômes restaurent la mémoire ». Ed. Trédaniel.
A faire connaître à tous ceux qui redoutent cette maladie. Ce serait un beau cadeau de Noël !
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Florilège
Je revois ces étudiants mal nourris dans de misérables chambres d'hôtels, closes, enfumées (...) tous un peu étriqués. Ceux d'aujourd'hui, à cause du sport peut-être, sont plus près de la nature, plus révoltés.
J. CHARDONNE, les Destinées sentimentales
Jusqu'à mai 68 les révoltes étudiantes dans les sociétés occidentales libérales ne contaminaient nullement la société contestée. E. MORIN, in le Monde, 5 juin 1968.
J’enrage que mon père et ma mère ne m'aient pas fait bien étudier dans toutes les sciences, quand j'étais jeune. MOLIÈRE, le Bourgeois gentilhomme.
Le peu de réussite des innombrables projets de l'homme, a quelque chose de commun avec le frai du poisson : sur des millions d'œufs, quelques douzaines seulement réussissent.
Ed. et J. DE GONCOURT, Journal, 16 juin 1883.
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Pour ceux qui veulent sortir des chemins battus, je vous recommande le livre "Radiesthésie et géobiologie" de Joseph Birckner. Ed. Trédaniel, (18 euros)
Ce livre passionnant explique avec clarté tout ce qu'il faut savoir sur la radiesthésie et comment la pratiquer dans notre quotidien...
L'endroit où nous vivons, travaillons et surtout dormons, exerce une influence prépondérante sur notre santé physique et mentale. En effet, nous évoluons en permanence dans un environnement d'ondes naturelles et artificielles dont le spectre électromagnétique est très vaste. Les longueurs d'ondes et les fréquences avec lesquelles nous entrons en résonance peuvent être extrêmement variables.
Si certaines sont indispensables à la vie, d'autres peuvent avoir des effets délétères. Il est donc primordial d'être en harmonie avec cet environnement. Un maillage recouvre toute la surface, orienté par rapport aux points cardinaux, et superposé aux méridiens. En certaines circonstance, les points de croisement de ce maillage peuvent s’avérer pathogènes.
Et c'est là tout l'intérêt de la géobiologie. Grand nombre de troubles et de maladies sont occasionnés par un déséquilibre oscillatoire et vibratoire résultant d'une exposition prolongée à ces ondes nocives. En fonction de notre sensibilité, celles-ci auront des effets pathogènes très divers, pouvant aller de simples troubles du sommeil jusqu'au cancer, en passant par des migraines persistantes, des états dépressifs et autres états inflammatoires....
Chapitre IV : comment pratiquer la radiesthésie.
Chapitre XI : Incidence de l'habitat sur la santé
1. Maisons à cancer...
2. Cas de pathologies psychiques...
3. Effets d'un changement de domicile
4. Orientation du lit.
5. Quand ça tient à peu de chose...
Une personne se plaignait de douleurs diffuses et d'une grande fatigue due à un sommeil agité et non récupérateur. Il a suffi de déplacer le lit d'un bon mètre en dehors de la zone de perturbation pour que tout rentre dans l'ordre.

27/10/2024

L''EMPATHIE
Ne minimisez jamais les sentiments de quelqu'un, même si vous ne comprenez pas sa réaction. Chaque individu ressent les émotions différemment, selon son histoire, ses expériences et sa sensibilité. Ce qui vous semble banal peut être un véritable tourment pour quelqu'un d'autre. Accueillir les émotions de l'autre avec respect et bienveillance, c'est reconnaître sa réalité. Il ne nous appartient pas de juger la manière dont quelqu'un ressent ou exprime la douleur, la tristesse ou la colère. Nous n'avons pas toujours besoin de comprendre pour offrir notre écoute. Parfois, la simple présence et l'acceptation sans jugement peuvent être le plus grand soutien. Respecter les émotions d'autrui, c'est respecter son humanité.

Source inconnue

16/10/2024

"Un Maître Zen vit un scorpion se noyer et décida de le sortir de l'eau.

Lorsqu'il le fit, le scorpion le piqua.

Par l'effet de la douleur, le Maître lâcha l'animal qui, de nouveau tomba à l'eau.

Le Maître tenta de le sortir à nouveau, et l'animal le piqua encore.

Un jeune disciple qui était en train d'observer, se rapprocha du Maître et lui dit :
"Excusez-moi Maître, mais pourquoi insistez-vous?

Ne comprenez-vous pas qu'à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l'eau il va vous piquer?"

Le Maître répondit :
"La nature du scorpion est de piquer, et cela ne va pas changer la mienne qui est d'aider."

Alors, le Maître réfléchit, et à l'aide d'une feuille, il tira le scorpion de l'eau, lui sauvant ainsi la vie.

Puis, s'adressant à son jeune disciple, il continua :
"Ne change pas ta nature si quelqu'un te fait mal, prends juste des précautions.

Car, les autres seront souvent ingrats des bienfaits que tu leur apporteras.

Ce n'est pas une raison pour arrêter de faire le bien, ou d'abandonner l'amour qui vit en toi.

Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent.

Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation, parce ta conscience est ce que tu es, et ta réputation n'est que ce que les autres pensent de toi.

Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons de sourire."

Adresse

Saint-Maximin-la-Sainte-Baume

Heures d'ouverture

Lundi 08:30 - 19:00
Mardi 08:30 - 19:00
Mercredi 08:30 - 20:00
Jeudi 08:30 - 19:00
Vendredi 08:30 - 19:00
Samedi 08:30 - 19:00

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