Mi-graine Ma-graine, Expériences partagées

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Mi-graine Ma-graine, Expériences partagées Je ne suis ni médecin ni nutritionniste.

J'ai décidé de créer cette page afin de partager avec vous mes recherches et essais pour lutter contre la migraine, en toute simplicité et à la première personne.

Ccou les amis.e.s! N'hésitez pas à nous rejoindre lors du cours de Qi Gong à Roeux le mercredi après-midi! Les migraineu...
12/03/2024

Ccou les amis.e.s! N'hésitez pas à nous rejoindre lors du cours de Qi Gong à Roeux le mercredi après-midi! Les migraineux/euses seront bien accueilli.e.s 😉
Contact : Audrey 06 47 07 28 66

Bienvenu.e.s aux migraineux et migraineuses dans cette journée nature et zen!
06/03/2024

Bienvenu.e.s aux migraineux et migraineuses dans cette journée nature et zen!

Salut les amis.e.s! Première journée nature de l'année le samedi 30 mars à Roeux. Bienvenu. e.s à 9h sur le parking du Lac Bleu. Inscriptions auprès d'Audrey 06 47 07 28 66 ou en mp

Migraine et émotions, un thème qui parlera aux migraineux comme à leurs proches
25/01/2024

Migraine et émotions, un thème qui parlera aux migraineux comme à leurs proches

En octobre 2023, LA VOIX DES MIGRAINEUX a réalisé ce sondage sur les variations d’émotions liées à la migraine, à la demande de plusieurs patients, ainsi que d’une neurologue migraineuse et d’une étudiante en pharmacie. Ayant toujours à cœur de porter LA VOIX DES PATIENTS, nous avons ...

30/12/2023

Si la migraine est une pathologie bien identifiée chez les adultes, on en entend moins parler pour les enfants. Pourtant, selon les enquêtes

30/12/2023

Lorsque l’on n’est pas concerné, la migraine peut sembler une pathologie banale, semblable à n’importe quels maux de tête. Pourtant, lorsqu’elle est chronique, la migraine a d’importantes répercussions sur la vie personnelle et professionnelle des patients. Le Dr Christian Lucas, méde...

14/12/2023

Bonjour,

Le prix des médicaments non remboursés pour la migraine et soumis à prescription génère une inégalité d’accès au soin à plus d’un titre.

Le prix du médicament remboursé est encadré.

Alors que dans le cas des médicaments non remboursés, les prix sont libres. C’est-à-dire qu’à tous les niveaux, les acteurs font ce qu’ils veulent.
On se retrouve donc avec une boîte de P... à 2 € dans une pharmacie et 6 € 10 mètres plus loin.
C’est déjà difficilement acceptable.
Cependant, le plus souvent, il y a des alternatives à ces traitements, d’autres marques. Ils couvrent en général des problèmes de santé courants et il est facile d’en trouver dans une autre pharmacie.

Dans le cas de la migraine, les nouveaux traitements sont spécifiques, destinés au malades très atteints, sans alternatives.

Les prix de vente fabricant de ces traitements sont parus dans la presse à de multiples reprises.
Or, des malades nous rapportent régulièrement des prix annoncés par les pharmacies de 20, 30 % et jusqu’à 100 % plus chers.

La très grande majorité des pharmaciens restent fidèles à leur vocation : apporter du conseil et des traitements adaptés aux patients. Nombreux sont ceux qui appliquent les tarifs conseillés voire même inférieurs. Nous les en remercions.

Errer d’une pharmacie à l’autre pour trouver le bon prix est une source de stress qui ajoute à la souffrance.
Le malade très atteint doit relever 3 défis : trouver le bon neurologue, quand il le peut se priver sur un poste de son budget, et pour finir, trouver une pharmacie qui prenne en considération son statut de malade et sa souffrance avant de penser au profit.

Les traitements spécifiques de la migraine ne sont pas des traitements de confort. La migraine est une vraie maladie neurologique, reconnue par l’OMS comme la seconde maladie invalidante au monde. Il est déjà scandaleux que les malades subissent le non remboursement. Le prix des médicaments spécifiques soumis à prescription devrait être encadré.

12/12/2023

Au programme : Une soupe savoureuse pour un repas complet Bientôt des maisons pour accompagner la fin de vie ? Pénurie de soignants à domicile : le désespoir des patients Téléthon : vous pouvez encore donner ! Le champion de la micro-sieste Saumon pour les fêtes : ne vous faites pas enfumer !...

Je partage... Tellement !!!
11/12/2023

Je partage... Tellement !!!

𝗣𝗼𝘂𝗿𝗾𝘂𝗼𝗶 𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝗽𝗮𝗿𝗹𝗮𝗶𝘀 𝗽𝗮𝘀 𝗱𝗲 𝗺𝗲𝘀 𝗺𝗶𝗴𝗿𝗮𝗶𝗻𝗲𝘀 « 𝗮𝘃𝗮𝗻𝘁 ».

Avant, je ne parlais pas de mes migraines. Je pouvais mettre mon masque de « celle qui va bien » si j’étais en présence de quelqu’un. Ou tenir des conversations téléphoniques les yeux fermés, essayant de rester concentrée, voire, assise dans la pénombre dans mon lit, sans informer mon interlocuteur de mon état.

Et, si je n’étais pas en crise au moment de la rencontre ou de l’appel, j’occultais complètement les crises antérieures, j’étais centrée uniquement sur mon état non migraineux à l’instant T. Elles n’existaient plus pour moi, et donc pas pour les autres. Idem au travail ou en famille par exemple.

Si quelqu’un me questionnait à ce sujet, parce que cette personne m’avait déjà connue en crise, je disais « J’ai l’impression d’en avoir pas mal ces derniers temps, mais bon… », ou « Je ne me rappelle pas trop de quand date la dernière fois où j’ai eu si mal ».

À cette époque qui, en réalité, a duré la grande majorité de ma vie, je n’avais pas d’application ou de calendrier de la migraine, donc la comptabilité de mes crises était inexistante. Et je ne me savais, ni ne me disais, malade, chronique ou encore invalidée. D’ailleurs, je ne connectais pas plus que ça les crises les unes aux autres. Une fois vécue, une crise n’avait plus vraiment d’existence, n’était plus concrète. Je passais littéralement à autre chose.

Plusieurs raisons pour lesquelles je ne parlais pas des migraines me sont venues à l’esprit.
-En premier lieu, peut-être n’en avais-je pas autant, ni pendant des périodes aussi longues.
-Étant plus jeune, j’encaissais a priori mieux les effets de la répétition des crises sur la durée, aujourd’hui je le sais.
-De plus, ne pas recenser mes crises me rendait aveugle à leur fréquence réelle. Je souffrais souvent, mais je ne voyais pas cela comme un fil rouge dans ma vie, juste comme des crises isolées.
-Peut-être aussi que je mettais mon mouchoir dessus, dans le déni. Je voulais certainement oublier, en tout cas, ne pas m’appesantir sur ce sujet.
-D’ailleurs, j’avais déjà du mal à me considérer « malade ». Et vu le peu de cas fait de la migraine dans les médias, les films ou les représentations sociales, personne (moi la première) ne pouvait porter du crédit à mes migraines, aussi invisibles pour les néophytes, qu’invisibilisées par mes soins.
-Et puis, sincèrement, je n’imaginais pas qu’un jour, mon entourage, mes médecins, mes collègues et moi-même, nous puissions mesurer l’impact réel des migraines sur ma vie, jusqu’à être finalement reconnue invalide par la CPAM il y a un an.
-Une part de moi fonctionnait sûrement sous le coup de la stigmatisation de la migraine, je me pensais plus fragile que les autres, chochotte, sensible, responsable aussi.
-Enfin, j’ai vécu un certain nombres d’années seule, et je me rends compte que, en crise, je me réfugiais chez moi. Je fermais la porte à double tour, coupais mon téléphone, et laissais libre cours à ma souffrance, sans témoin. C’est aussi là que je me reconstruisais ensuite, toujours seule, prête à ressortir et retrouver « le monde », sans un mot ensuite sur ce que je venais de vivre vraiment.

D’ailleurs, ma bonne mine et mon énergie des jours sans migraine ne pouvait laisser à penser à quiconque que je souffrais d’une maladie chronique ! À moi la première…
Souvenez-vous de l’image diffusée par Sabine et par de nombreuses personnes sur les réseaux sociaux il y a quelque temps : « Tu souris trop pour quelqu’un qui a vraiment mal – Bah, j’ai essayé en faisant la gu**le et je t’assure, ça n’a rien changé ».

Aujourd’hui, tout a changé. Cette chronique du lundi, que j’ai démarré il y a 2 ans, m’a énormément aidée à penser ma maladie, à m’exprimer sur des dizaines et des dizaines d’aspects de celle-ci.
Et votre écho à mes propos, sans lequel cette chronique n’aurait pas de sens pour moi, vient valider des ressentis, des vécus, des coups de gu**le, des réflexions.

Je tiens à vous en remercier ici, tant l’association qui m’a offert la parole, que vous, les abonnés à nos réseaux sociaux : on se sent vraiment communauté lorsque l’on sort de l’isolement d’une maladie. Et on progresse dans la considération de soi, dans l’estime de soi, dans la reconnaissance de la validité du diagnostic de la migraine. Et par rebond, nos proches ouvrent également les yeux sur notre vécu, et nous soutiennent mieux.

Alors, à vous la parole : Parlez-vous plus de vos migraines qu’avant ? Qu’est-ce qui vous empêche encore ? Qu’est-ce qui a débloqué vos mots ? Qu’est-ce que ça a changé dans votre vie ?

Exprimons-nous, c’est primordial : pour notre mieux-être, mais aussi, pour celui de tous les migraineux.

Miren pour La Voix des Migraineux

08/12/2023

Actualités, 66 millions d'IMpatients Un nouvel antimigraineux : au prix fort pour les patients ! 27 octobre 2023 Depuis le 10 octobre, un nouveau médicament, le Vydura, est disponible dans le traitement des crises de migraine. Une bonne nouvelle pour tous les patients réfractaires ou intolérants...

C'est déjà demain, venez nombreux!
08/12/2023

C'est déjà demain, venez nombreux!

Salut les ami.e.s! Prochain rendez-vous le samedi 9 décembre à 16h30 à Roeux, salle des fêtes, pour une séance de Qi Gong adapté au profit du Téléthon. 30 ans du Téléthon à Roeux, ça se fête !!!

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