June Cadet

June Cadet Bonjour! Je vous souhaite bienvenue sur June santé, sur cette chaîne nous allons apprendre ensemble beaucoup de choses sur la santé.

Déjà je compte sur votre collaboration

27/12/2022

Heureuses fêtes de fin d'année à vous !

15/02/2022
Diabète : 5 signes qui doivent alerterSensation de soif Pour se débarrasser de l'excès de sucre dans le sang, l'organism...
02/02/2022

Diabète : 5 signes qui doivent alerter

Sensation de soif
Pour se débarrasser de l'excès de sucre dans le sang, l'organisme en rejette une partie par des urines plus fréquentes

Démangeaisons

Fatigue et somnolence

Ronflements et apnées du sommeil

Transpiration abondante

La démarche de soins InfirmiersLa démarche de soins est un processus de résolution de problèmes en soins infirmiers. C’e...
23/11/2021

La démarche de soins Infirmiers

La démarche de soins est un processus de résolution de problèmes en soins infirmiers. C’est un parcours dynamique qui a pour but de les déceler et les résoudre. Elle permet aussi la continuité des soins en fonction des éléments transmis.

1- Introduction
La démarche de soins s’inscrit dans l’article R4311-3 du Code de la Santé Publique : » {l’infirmier} identifie les besoins de la personne, pose un diagnostic infirmier, formule des objectifs de soins, met en oeuvre des actions et les évalue« . Elle consiste à effectuer toute la réflexion logique nécessaire pour déceler des problèmes et trouver des solutions efficaces et personnalisées. Elle permettra donc une prise en charge globale et personnalisée du patient tout en favorisant son autonomie, en améliorant sa qualité de vie, et participer à la promotion de sa santé.

La démarche de soins se décompose en 5 étapes :

Le recueil d’informations (ou recueil de données).
L’analyse des informations recueillies.
La planification des soins.
La réalisation des soins.
L’évaluation et le réajustement si nécessaire.
Une étape supplémentaire peut être ajoutée, de manière facultative, avec le recueil d’information. Il s’agit de la présentation de l’établissement de soins et de l’unité dans lequel vous êtes en stage. Cette présentation permet à la personne qui vous écoute (ou qui vous lit) de mieux comprendre la démarche de soins que vous allez lui exposer.

2- Etape 1 – Le recueil des informations
Cette collecte de données permet de faire l’inventaire de tout ce qui concerne le patient. Cette étape descriptive a pour but de rechercher des informations permettant d’appréhender le patient dans sa globalité.

Le recueil de données nous renseigne sur qui est le patient, ce dont il souffre, ses habitudes de vie, de le situer dans son environnement, de l’état de satisfaction de ses besoins fondamentaux, identifier les conséquences de la survenue de sa pathologie.Il nous permet de recenser les informations ayant une importance pour la prise en charge actuelles (l’avulsion des dents de sagesses en 1975 pour un patient de 60 ans venu pour une coloscopie n’a pas grand intérêt).

Voici une aide pour établir cette collecte d’informations.

Identité : NOM, Prénom (tout en faisant attention à conserver l’anonymat sur vos documents en n’inscrivant que la première lettre du nom de famille par exemple).
Numéro de chambre : permet de localiser le patient, chambre seule, double, triple.
Âge / Date de naissance.
Nationalité et langue parlée : la nationalité peut être importante à préciser pour des problèmes possibles de prise en charge sociale ; la langue parlée afin de communiquer aisément avec votre patient.
Prise en charge sociale : régime de sécurité sociale et mutuelle (pour mieux comprendre l’impact financier de l’hospitalisation sur le patient, préciser si maladie professionnelle déclarée ou accident du travail.
Situation socio-professionnelle : pour connaître l’impact financier de l’hospitalisation sur le patient et donc sur son foyer (conjoint(e), enfant(s), personnes à charge…) avec un éventuel manque de revenus. La personne a-t-elle des aides à domicile ?
Situation familiale : entourage, enfant(s), personnes à charge…
Adresse (seulement la ville) : permet d’identifier des problèmes éventuels d’éloignement. Connaître le type d’habitation pour envisager la suite de l’hospitalisation.
Éléments significatifs de la personne : préciser par exemple si existence de troubles cognitifs, des problèmes sociaux, d’une éventuelle déficience visuelle/auditive/cognitive. En résumé, tous les éléments qui vont permettre de s’adapter au mieux au patient.
Date d’entrée (et préciser le jour d’hospitalisation actuel afin de situer la prise en charge dans le temps), et type d’entrée (directe? via les urgences?). Si le patient a eu un geste chirurgical, préciser le jour auquel il se situe après l’opération.
Motif d’hospitalisation : permet de situer le type de prise en charge pour ce patient.
Antécédents médicaux et chirurgicaux.
Allergies connues.
Histoire de la maladie.
Résumé de l’hospitalisation en cours.
Différents appareillages dont le patient est porteur (VVP, SAD, drain, pansement….)
Devenir de la personne si connu.
Médecin référent du patient (optionnel).
Personne de confiance / personne à prévenir.
Quels moyens utiliser ?

L’entretien avec la personne soignée, ses proches, son médecin traitant.
L’observation de la personne soignée : coloration, comportement, respiration.
L’examen clinique infirmier : mesure des paramètres vitaux, communication, silence, hésitation, posture.
Quelles sources d’informations utiliser ?

Le patient : c’est lui qui se connait le mieux. Il est donc le plus à même d’expliquer la situation, et de répondre aux questions.
Le dossier du patient : dossier médical, dossier de soins, courrier du médecin traitant, dossier informatisé, dossier papier.
Les proches du patient : personnes ressources du patient qui connaissent son environnement, son mode de vie, éventuellement les difficultés rencontrées… Ils sont un véritable pilier pour le patient, et encore plus quand celui-ci est dans l’incapacité de répondre (enfant, état de choc, troubles cognitifs…).
Les membres de l’équipe soignante pluridisciplinaire : essentiellement consigné dans les transmissions écrites ou orales.
Toutes ces informations permettent de faire l’anamnèse, qui correspond au profil global du patient. Selon la définition de Lefebvre et Dupuis, l’anamnèse est le « recueil d’informations qui tracent le portrait d’une personne et de son environnement du point de vue des soins infirmiers. Il est basé sur les éléments majeurs d’un modèle conceptuel de soins infirmiers ».

3- Etape 2 – L’analyse des informations
Cette étape permet à l’infirmier de formuler des problèmes de santé et d’aboutir à des diagnostics infirmiers. Elle demande la mobilisation des connaissances théoriques mises en lien avec l’interprétation des informations recueillies. Interpréter, ici, doit se comprendre comme expliquer, donner un sens, le bon sens...

Ce raisonnement clinique débouchera sur l’identification de :

Problèmes qui relèvent de la compétence médicale.
Problèmes qui sont la conséquence de la situation médicale : problème en collaboration.
Problèmes de santé de la responsabilité de l’infirmier : diagnostics et problèmes infirmiers.
L’infirmier peut être comparé à des détectives (de la Santé), c’est à dire, savoir trouver des indices et leur donner un sens. Il faut identifier la cause du problème et d’en observer ses manifestations.

Le diagnostic infirmier = Problème de dépendance + cause (source de difficulté) + manifestations (signes). Il peut-être réel ou potentiel. Il se formule de la manière suivante :

P = Problème ou risque de problème.
E = Cause, « lié à… », « reliée à… »
S = Signes « ‘se manifestant par… ». (le diagnostic infirmier potentiel n’est pas concerné par les signes).
Altération de la motricité liée à la fracture de la cheville se manifestant par une douleur à la mobilisation, une impotence fonctionnelle. (Diagnostic infirmier réel)

Risque d’altération cutanée liée à l’alitement strict, à la dénutrition et à l’âge. (Diagnostic infirmier potentiel)

4- Etape 3 – Planification des soins
Cette étape correspond à l’élaboration du projet de soins du patient. Elle consiste à générer la stratégie de soins à proposer au patient afin de résoudre les problèmes posés grâce à des objectifs de soins.

Un objectif se formule, pour le patient, avec un verbe d’action et un délai. Il est centré sur la personne et/ou son entourage. Il se doit être mesurable (précise l’évolution attendue), réalisable (atteignable par le patient), précis, avec une échéance (court, moyen ou long terme) et évolutif.

Les actions de soins relèvent uniquement du rôle infirmier, visent le mieux-être de la personne soignée, complètent ce que le patient accomplit et suppléent ce qu’il ne peut pas faire seul. Le but est de conserver un degré optimal d’indépendance.

Ces actions doivent être personnalisées, évaluables, compatibles avec des objectifs, tenir compte des ressources du patient et du service de soins, et si possible, créative.

Les critères d’évaluation de l’objectif doivent être des éléments concrets à mesurer et observer. Ces éléments sont inscrits dans l’objectif.

Exemple : fracture de cheville

Le patient réussira à se mobiliser avec une canne d’ici 24h.

Dans cet exemple, les critères sont le but recherché (réussira à se mobiliser), le moyen (avec une canne) et la notion de délai (d’ici 24h).

5- Etape 4 – La réalisation des soins
C’est la mise en oeuvre des décisions prises à l’étape suivante, l’application du projet de soins. Se fait selon les critères du soin : efficacité, confort, organisation, responsabilité, sécurité, économie, transmission.

L’ensemble de ces actions visent la disparition du problème de dépendance. Lorsqu’elles sont terminées, elle doivent faire l’objet de transmissions orales (L’aide à la toilette de M. A. est faite!) et écrites (dans le dossier de soins).

6- Etape 5 – L’évaluation
A cette étape, vous devez être en mesure à répondre à la question « Ai-je atteint mon objectif ?

Pour cela, il faut procéder au recueil de données d’évaluation, comparer les données obtenues à celles antérieures, évaluer l’efficacité et réajuster si besoin.

Il se peut que l’objectif ne soit pas entièrement atteint. l’infirmier doit alors identifier les actions à réajuster ou à apporter. SI l’objectif n’est définitivement pas atteint, l’infirmier devra chercher les raisons de cet échec.

SVP Abonner à la page Facebook June santé et Partager .

Pierres d’amygdales: Causes, Symptômes, et Traitements Abonner  avec la page june santé et partager   Les pierres amygda...
15/11/2021

Pierres d’amygdales: Causes, Symptômes, et Traitements

Abonner avec la page june santé et partager

Les pierres amygdales, aussi appelées amygdales, sont des pierres blanches ou jaunes qui se trouvent sur les amygdales d’une personne, ces glandes à l’arrière de la gorge qui font réellement partie du système lymphatique et qui aident à combattre l’infection. Certains patients en sont conscients, alors que d’autres ne savent pas qu’ils ont des pierres d’amygdales jusqu’à ce qu’ils viennent au Centre Dentaire Upper Hunt Club d’Ottawa pour un rendez-vous. Les pierres d’amygdales sont presque toujours bénignes, mais elles peuvent causer des symptômes inconfortables et une mauvaise haleine.

Que sont les pierres d’amygdales?
Les pierres d’amygdales sont formées à partir des débris qui se trouvent souvent dans la bouche, tels que des morceaux de nourriture, de la salive et des cellules mortes. Ces débris sont emprisonnés dans les cryptes d’amygdales d’une personne, qui sont des fosses et des crevasses qui se trouvent sur et dans les amygdales. Lorsque les débris y sont emprisonnés et qu’ils ne sont pas emportés, ils peuvent durcir en pierre. Les microorganismes tels que les bactéries se nourrissent également des débris, ce qui provoque la mauvaise odeur. Les débris et les microorganismes qui s’en nourrissent sont appelés biofilms. C’est un peu comme la plaque, qui est composée de débris similaires et peut durcir en tartre ou en calcul sur les dents. Les complications des pierres d’amygdale sont tout à fait rares, mais de grandes pierres chroniques peuvent mener aux abcès qui peuvent avoir besoin de chirurgie.

Les causes des pierres d’amygdales
Les pierres d’amygdales sont le résultat d’une mauvaise hygiène buccale. D’autres choses qui peuvent prédisposer une personne aux pierres d’amygdales ont des amygdales plus grandes que la normale, des amygdales qui sont continuellement enflammées et la sinusite chronique. Les patients sont surpris et soulagés de savoir que les pierres d’amygdales ne sont pas contagieuses. La plupart des patients qui ont des pierres d’amygdales sont des adolescents, mais toute personne qui a encore leurs amygdales est sensible.

Les Symptômes des pierres d’amygdales
Les pierres d’amygdales peuvent causer des symptômes, même si elles sont minuscules et la personne peut à peine les voir, mais une personne est plus susceptible d’avoir des symptômes si les pierres amygdales sont grandes. Les signes et les symptômes des pierres d’amygdales peuvent être un mal de gorge et de la difficulté à avaler. L’individu peut avoir mauvaise haleine et une toux qui ne s’en ira pas. Il peut être surprenant d’apprendre que la douleur à l’oreille est également un symptôme. La douleur à l’oreille se produit parce que les amygdales et les oreilles partagent plusieurs des mêmes nerfs. Lorsqu’elle ouvre la bouche pour vérifier, une personne peut remarquer que ses amygdales sont enflées ou ont des taches de blanc ou de jaune sur celles-ci.

Options de traitement pour les pierres d’amygdales
La meilleure façon d’empêcher les pierres d’amygdales ou de les empêcher de revenir est une bonne hygiène buccale, mais les amygdales peuvent encore harceler certains individus. Il est possible que les pierres d’amygdales puissent s’en aller d’eux-mêmes. Mais de temps en temps, les individus peuvent enlever les pierres d’amygdales eux-mêmes, surtout si elles sont petites. La toux peut desserrer et déloger les pierres, tout comme se gargariser avec de l’eau salée. L’eau salée apaise également les maux de gorge et élimine la mauvaise haleine qui sont deux des symptômes des pierres d’amygdales. Se gargariser avec de l’eau chaude salée modifie également la chimie de la bouche et peut décourager les pierres de se former, en premier lieu. Enfin, les pierres d’amygdales peuvent également être enlevées avec de la soie dentaire, mais cela doit être fait en douceur et avec soin. Il est facile d’endommager les amygdales avec des objets durs ou pointus, et ces dommages peuvent conduire à une infection. Quand les remèdes à la maison sont infructueux, il y a quelques méthodes alternatives de traitement. L’un d’eux est appelé cryptolyse de coblation. Cette technique utilise des ondes radio pour enlever les cryptes d’amygdales affectées et avec eux les pierres d’amygdales. Les lasers peuvent également être utilisé pour enlever les cryptes amygdales, mais l’anesthésie locale est nécessaire pour cette procédure, car il utilise la chaleur. Une autre option de traitement est antibiotiques, puisque les bactéries et autres pathogènes se nourrissent des débris qui constitue les pierres d’amygdales. Le problème avec les antibiotiques est qu’ils ne corrigeront pas la cause ultime de la formation de pierre d’amygdale telle que la mauvaise hygiène, et ils ne peuvent être utilisés que pour un temps limité.

Il est recommandé de consulter votre médecin si vous constatez que les pierres d’amygdales se reproduisent constamment. L’entretien de solides pratiques de soins buccaux peut aider à prévenir le développement des pierres d’amygdales.

Adresse

Anse-À-Veau

Notifications

Soyez le premier à savoir et laissez-nous vous envoyer un courriel lorsque June Cadet publie des nouvelles et des promotions. Votre adresse e-mail ne sera pas utilisée à d'autres fins, et vous pouvez vous désabonner à tout moment.

Contacter La Pratique

Envoyer un message à June Cadet:

Partager

Share on Facebook Share on Twitter Share on LinkedIn
Share on Pinterest Share on Reddit Share via Email
Share on WhatsApp Share on Instagram Share on Telegram