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Nessence - Hypersensibilité, émotions & autorité naturelle, Place de la résistance 7, Baudour (2025)

05/12/2025

𝐓𝐮 𝐧’𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞.

Tu n’es pas née pour être transparente.
Tu n’es pas faite pour t’adapter à tout le monde.
Tu n’es pas venue ici pour disparaître à chaque tension.

Tu crois que t’effacer te protège.
Tu crois que te réduire évite les conflits.
Tu crois que “faire plaisir” maintient les liens.
Mais tout ça t’éteint.

Tu n’es pas là pour :
• absorber leurs humeurs
• être facile
• être gentille
• être légère
• ne rien demander
• ne déranger personne

C’est ce que tu fais quand tu n’as plus d’axe.
Quand tu te retires de ton propre corps.
Quand tu te déconnectes pour survivre.
Quand tu confonds amour et annulation.

La vérité :

Tu ne manques pas de force.
Tu manques de contour.
Tu manques de présence.
Tu manques de toi.

Tu n’es pas une ombre.
Tu es un être dense.
Avec une forme.
Une voix.
Une vibration.

Et le monde le sent quand tu reviens en toi.

Quand tu arrêtes de disparaître,
tu deviens un point d’ancrage.
Une évidence.
Une présence inévitable.

Si tu veux arrêter de t’effacer → MP CACAO.
Si tu veux voir où tu te trahis → MP AXE.

29/11/2025

Tu n’es pas “trop”.
Tu n’as jamais été trop.

Tu es juste 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐫𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐭.
Qui perçoit tout.
Qui capte ce que les autres ignorent.

Et ce n’est pas un problème.
Le vrai problème, c’est que tu as appris à 𝐭𝐞 𝐫𝐞𝐭𝐞𝐧𝐢𝐫.

À ravaler ta colère pour ne pas faire de vagues.
À étouffer tes larmes pour ne pas “faiblir”.
À masquer ta peur pour donner l’impression de maîtriser.
À devenir celle qu’on attend de toi…
au lieu de celle que tu es.

Et ça t’a épuisée.

Parce que ton hypersensibilité n’est pas un défaut.
C’est 𝐭𝐨𝐧 𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐠𝐮𝐢𝐝𝐚𝐧𝐜𝐞 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐧𝐞, ta boussole, ton instinct pur.
Mais tant que tu la juges, elle se retourne contre toi.

On t’a appris à ne pas faire de bruit.
À encaisser.
À t’adapter.
À être forte.
À ne rien déranger.

Mais ta sensibilité, elle, n’a pas disparu.
Elle tape à la porte.
Elle veut reprendre sa place.
Elle veut te remettre vivante, vibrante, alignée.

Tu crois que tu es submergée ?
En réalité, 𝐭𝐮 𝐞𝐬 𝐝𝐞́𝐜𝐨𝐧𝐧𝐞𝐜𝐭𝐞́𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐧 𝐆𝐏𝐒 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫.

Quand tu réapprends à l’écouter :

🔥 tu sais où poser tes limites,

🔥 tu sais ce qui est juste pour toi,

🔥 tu arrêtes de te sacrifier,

🔥 tu retrouves ton énergie,

🔥 tu reprends ta puissance naturelle.

Mon hypersensibilité, je l’ai longtemps subie.
Aujourd’hui, c’est elle qui me guide dans ma parentalité, ma vie amoureuse, ma mission.
C’est elle qui m’a menée à accompagner les femmes épuisées à se reconnaître, à s’écouter et à se reconstruire… depuis leur essence.

Et si tu veux reconnecter à cette part de toi, je t’y accueille :

✨ 𝐂𝐞́𝐫𝐞́𝐦𝐨𝐧𝐢𝐞 𝐜𝐚𝐜𝐚𝐨 — 𝟏𝟔 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐚̀ 𝐒𝐢𝐫𝐚𝐮𝐥𝐭
✨ 𝐀𝐭𝐞𝐥𝐢𝐞𝐫 — 𝟏𝟕 𝐣𝐚𝐧𝐯𝐢𝐞𝐫 𝐚𝐩𝐫𝐞̀𝐬-𝐦𝐢𝐝𝐢 𝐚̀ 𝐒𝐢𝐫𝐚𝐮𝐥𝐭

Viens retrouver celle que tu as étouffée.
Viens remettre ta sensibilité au centre.
Viens réapprendre à vivre depuis toi.

25/11/2025

Dernièrement, j’ai animé un atelier sur la puberté avec des jeunes.
Et quelque chose m’a frappée :
pour beaucoup d’entre eux, 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭 𝐞𝐬𝐭 𝐮𝐧𝐢𝐥𝐚𝐭𝐞́𝐫𝐚𝐥.
Certains “ont le droit d’intruser”.
D’autres doivent “se laisser faire”.
Certains sont “légitimes”.
D’autres non.

Comme si le respect et le droit d’exister dépendaient :
de l’âge,
du statut,
de la force,
de l’argent,
du rôle dans la famille,
ou même… du volume de la voix.

❌ Comme si certaines personnes avaient naturellement plus droit au respect que d’autres.

Mais 𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭, le vrai, ce n’est pas ça.
Le respect, c’est 𝐥𝐚 𝐝𝐢𝐠𝐧𝐢𝐭𝐞́ 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐢𝐧𝐞, point.
Ce sont les 𝐥𝐢𝐦𝐢𝐭𝐞𝐬, les 𝐛𝐞𝐬𝐨𝐢𝐧𝐬, les 𝐞́𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬 de chacun.
Sans hiérarchie.
Sans échelle sociale.
Sans statut à défendre.

Parce que ce qui nous a posé problème pendant des générations, ce n’est pas l’autorité.
C’est la domination.

L’aîné avait “le pouvoir”.
Le riche avait “le pouvoir”.
L’adulte avait “le pouvoir”.
Le politique avait “le pouvoir”.

Mais ce pouvoir-là…
c’est un pouvoir extérieur, basé sur la peur :
la peur du manque,
la peur de la sanction,
la peur de perdre sa place,
la peur de ne pas être aimé.

➡️ Et tant que le plus fort utilise la peur pour garder sa position, rien ne change.
➡️ Et tant que le “plus faible” se croit inférieur, rien ne change.

Alors la vraie question n’est pas ✖️:
𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐬𝐮𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞𝐬 ?
La vraie question est :
𝐂𝐨𝐦𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐒𝐎𝐍 𝐩𝐨𝐮𝐯𝐨𝐢𝐫 𝐢𝐧𝐭𝐞́𝐫𝐢𝐞𝐮𝐫 ?

Chez l’enfant.
Chez l’adulte.
Chez celui qui n’a rien.
Chez celle qui a peur.
Chez ceux qui n’ont jamais eu la permission d’exister pleinement.

Et surtout…

✨ Ce n’est PAS une question d’inverser le rapport de force.
Il ne s’agit pas que l’enfant domine l’adulte.
Ni que le pauvre domine le riche.
Ni que le jeune “réponde” à l’aîné.

Il s’agit de 𝐫𝐞́𝐞́𝐪𝐮𝐢𝐥𝐢𝐛𝐫𝐞𝐫.
De redonner à chacun sa juste place.
De permettre à chacun de poser ses limites.
À chacun d’avoir assez confiance en lui pour se faire respecter.
Quel que soit son âge, son milieu, son intelligence ou son histoire.

Ça demandera du temps, oui.
Parce que c’est un changement de paradigme.
Mais ce pas-là…
ce premier pas…
c’est celui que j’accompagne.

Apprendre à reconnaître son pouvoir intérieur.
À se respecter soi-même.
À retrouver une autorité naturelle, saine, juste.
Sans écraser.
Sans se soumettre.

Juste en étant aligné.

🌿 C’est ce que j’enseigne.
C’est ce que je transmets.
Et c’est ce que je crois profondément possible.

18/11/2025

𝐈𝐥 𝐲 𝐚 𝐝𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭𝐬 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐪𝐮𝐢 𝐜𝐞𝐫𝐭𝐚𝐢𝐧𝐞𝐬 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞𝐬 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐧𝐞́𝐠𝐨𝐜𝐢𝐚𝐛𝐥𝐞𝐬.
Pas par caprice.
Pas par opposition.
Pas par manque de limites.

Mais parce qu’ils arrivent sur Terre avec 𝐮𝐧𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞 𝐜𝐥𝐚𝐢𝐫𝐞, instinctive, presque sacrée de ce que devrait être la relation humaine :

→ du respect
→ de l’authenticité
→ de la liberté intérieure
→ de l’écoute de soi
→ et de l’absence totale de rapport de force.

Pour eux, c’est simple :
𝐥𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐬𝐲𝐬𝐭𝐞̀𝐦𝐞.
Leurs besoins.
Leurs élans.
Leur direction intérieure.

Sauf qu’en arrivant ici…
ils se frottent à une réalité qui n’a rien à voir.

Une réalité où on demande aux enfants
de s’adapter,
de se taire,
de rentrer dans les cases,
de faire comme tout le monde,
de ne pas déranger,
de faire plaisir.

Et face à ce décalage immense,
ils ne savent pas tricher.
Ils ne savent pas “faire semblant”.

Alors ils réagissent.
Chacun à leur manière.

Certains 𝐬’𝐢𝐧𝐬𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭, explosent, refusent, résistent.
On les appelle rebelles, opposants, “difficiles”.
Parfois on parle même de TOP…

D’autres 𝐬’𝐞́𝐜𝐫𝐚𝐬𝐞𝐧𝐭, se sur-adaptent,
deviennent sages à l’excès,
invisibles, anxieux, perfectionnistes.

Et beaucoup font un mélange des deux.
Parce que chaque enfant est unique…
et que chaque enfant cherche juste
à rester 𝐟𝐢𝐝𝐞̀𝐥𝐞 𝐚̀ 𝐬𝐨𝐧 𝐞𝐬𝐬𝐞𝐧𝐜𝐞.

Ces enfants n’ont pas “un problème”.
Ils ressentent 𝐥𝐞𝐬 𝐝𝐢𝐬𝐬𝐨𝐧𝐚𝐧𝐜𝐞𝐬.
Ils ne comprennent pas comment :
→ rester vrais,
→ tout en vivant avec les autres,
→ sans perdre leur axe intérieur.

C’est là que notre rôle de parents devient précieux.
Essentiel.
Sacré.

Non pas pour les “corriger”.
Non pas pour les “adapter”.
Mais pour les accompagner à rester alignés
tout en apprenant à vivre dans un monde imparfait,
sans s’écraser,
sans écraser,
sans se renier.

Pour cela, une chose doit changer :
𝐧𝐨𝐮𝐬 𝐝𝐞𝐯𝐨𝐧𝐬 𝐫𝐞𝐩𝐫𝐞𝐧𝐝𝐫𝐞 𝐧𝐨𝐭𝐫𝐞 𝐣𝐮𝐬𝐭𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞.
Pas dans le pouvoir.
Pas dans la peur.
Pas dans le contrôle.

Dans la souveraineté.
Dans l’alignement.
Dans l’autorité naturelle.

C’est ça, être un 𝐩𝐚𝐫𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫𝐚𝐢𝐧.
Un parent qui guide sans forcer.
Qui contient sans écraser.
Qui respecte sans se dissoudre.
Un parent qui montre que l’on peut rester soi
et vivre ensemble.

C’est notre chemin.
Et c’est le plus beau cadeau
que nous pouvons faire à nos enfants. 🌿

17/11/2025

𝐓𝐮 𝐟𝐚𝐢𝐬 𝐩𝐚𝐫𝐭𝐢𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐞𝐬 𝐟𝐞𝐦𝐦𝐞𝐬 𝐪𝐮𝐢 𝐯𝐞𝐮𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 𝐜𝐡𝐨𝐬𝐞.
𝐐𝐮𝐢 𝐯𝐞𝐮𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞 𝐫𝐲𝐭𝐡𝐦𝐞 𝐝𝐞 𝐥𝐞𝐮𝐫 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭.
𝐐𝐮𝐢 𝐯𝐞𝐮𝐥𝐞𝐧𝐭 𝐬𝐨𝐫𝐭𝐢𝐫 𝐝𝐞𝐬 𝐜𝐫𝐢𝐬, 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐩𝐞𝐮𝐫, 𝐝𝐞𝐬 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐟𝐨𝐫𝐜𝐞.

Et pourtant…

Il reste en toi un tiraillement que tu n’expliques pas.
Un mélange de douceur et de tension.
Un désir de bien faire…
et des réflexes qui surgissent malgré toi.

Ce n’est pas parce que tu es faible.
Ce n’est pas parce que tu n’es “pas assez”.
Et surtout, ce n’est pas parce que tu reproduis volontairement.

𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐚𝐫𝐜𝐞 𝐪𝐮𝐞 𝐭𝐮 𝐚𝐬 𝐠𝐫𝐚𝐧𝐝𝐢 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐮𝐧𝐞 𝐞́𝐩𝐨𝐪𝐮𝐞 𝐨𝐮̀ 𝐥’𝐨𝐧 𝐜𝐫𝐨𝐲𝐚𝐢𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐩𝐨𝐮𝐫 𝐞́𝐥𝐞𝐯𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭, 𝐢𝐥 𝐟𝐚𝐥𝐥𝐚𝐢𝐭 “𝐜𝐨𝐫𝐫𝐢𝐠𝐞𝐫”, “𝐫𝐞𝐦𝐞𝐭𝐭𝐫𝐞 𝐞𝐧 𝐩𝐥𝐚𝐜𝐞”, 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐭𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐥𝐞𝐬 𝐞́𝐦𝐨𝐭𝐢𝐨𝐧𝐬.
Pas par manque d’amour.
Pas par mauvaise intention.
Juste parce que c’était la norme.
Parce que personne n’avait reçu autre chose.

Mais cette époque a laissé des traces invisibles en toi :

– ces blessures de valeur,
– ces moments où tu as appris à te taire,
– à minimiser ce que tu ressentais,
– à croire que pour être aimée il fallait être sage, docile, adaptée.

Alors aujourd’hui, quand ton enfant pleure, crie ou déborde…
ce n’est pas juste sa réaction qui se réveille.
𝐂’𝐞𝐬𝐭 𝐭𝐨𝐧 𝐡𝐢𝐬𝐭𝐨𝐢𝐫𝐞 𝐪𝐮𝐢 𝐫𝐞𝐦𝐨𝐧𝐭𝐞.
C’est ce que ton corps a enregistré.
C’est l’héritage émotionnel que tu portes encore.

Ce n’est la faute de personne.
C’est juste ce que nous avons reçu.
Et c’est exactement ce que nous pouvons transformer.

Parce que ce que tu cherches, ce n’est pas d’être parfaite.
Ce que tu cherches…
𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐥’𝐡𝐮𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐞 :
celle qui ne s’écrase pas,
celle qui ne obéit pas par peur,
celle qui ne se renie plus pour éviter le conflit.

𝐋’𝐡𝐮𝐦𝐢𝐥𝐢𝐭𝐞́ 𝐯𝐫𝐚𝐢𝐞, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐞̂𝐭𝐫𝐞 𝐭𝐨𝐢.
𝐂𝐨𝐦𝐩𝐥𝐞̀𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭.
𝐒𝐚𝐧𝐬 𝐞́𝐜𝐫𝐚𝐬𝐞𝐫 𝐥’𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞.
𝐒𝐚𝐧𝐬 𝐭𝐞 𝐝𝐢𝐦𝐢𝐧𝐮𝐞𝐫.

C’est cette posture intérieure
qui ouvre la relation
et qui construit une autorité naturelle :
calme, ancrée, respectée…
sans jamais faire peur.

Et pour y accéder,
tu n’as pas besoin d’accuser qui que ce soit.
Tu n’as pas besoin de rejeter ton histoire.

Tu as juste besoin de l’honorer.
De comprendre ce que tu as porté.
Et de te repositionner intérieurement
à la place où personne n’a pu t’installer enfant.

Et c'est exactement ce que j'accompagne dans mes espaces en individuel ou en groupe.

Infos en mp.

09/11/2025

𝗘𝘁 𝘀𝗶 𝗹𝗲 𝗽𝗿𝗼𝗯𝗹𝗲̀𝗺𝗲 𝗻'𝗲́𝘁𝗮𝗶𝘁 𝗽𝗮𝘀 𝗹𝗲 𝘁𝗿𝗮𝘃𝗮𝗶𝗹 𝗺𝗮𝗶𝘀 𝗹𝗲 𝗿𝘆𝘁𝗵𝗺𝗲...?

À la maison, nous faisons face à l’échec scolaire. Si on regarde les choses de manière pragmatique, le travail fourni pourrait sembler insuffisant. Mais quand on prend du recul, on perçoit autre chose.

Je sens mon fils en fuite face au rythme imposé, face à la rapidité de la matière et à la difficulté qu’il perçoit s’il s’y plonge.

À ce moment-là, il y a deux choix :

1. Le forcer, le menacer ou le punir pour qu’il se mette au travail. Méthode classique, rapide, mais souvent stressante et parfois traumatisante pour les enfants plus sensibles.

2. Chercher à comprendre pourquoi il fuit, écouter ses peurs et lui montrer qu’elles peuvent être transcendées avec douceur et présence.

J’ai expérimenté les deux. Et honnêtement, je choisis la deuxième 😅 : la voie de la douceur, celle qui observe et respecte le rythme et les particularités de chacun.

Le but reste le même : avancer, se mettre en mouvement, atteindre les objectifs que chacun se fixe. Mais le chemin pour y arriver n’est pas identique pour tous. Certains auront besoin de clarté, d’autres de lien ou d’authenticité émotionnelle… Seule une écoute profonde de soi et de l’autre peut nous le révéler.

Oui, cela prend du temps. Et dans un monde qui va à toute vitesse, le temps semble précieux. Mais ralentir, prendre ce temps, apporte une paix et un recul salvateurs. Et surtout, cela n’empêche pas le passage à l’action : il le rend simplement plus doux, plus respectueux de nos rythmes et de nos besoins.

Cette 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐨𝐟𝐨𝐧𝐝𝐞 𝐝𝐞 𝐭𝐨𝐧 𝐡𝐮𝐦𝐚𝐧𝐢𝐭𝐞́, 𝐝𝐞 𝐭𝐞𝐬 𝐫𝐲𝐭𝐡𝐦𝐞𝐬… 𝐣𝐞 𝐭𝐞 𝐥’𝐨𝐟𝐟𝐫𝐞 𝐝𝐚𝐧𝐬 𝐦𝐞𝐬 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬. Et surtout, je t’accompagne dans cette écoute pour toi et pour tes enfants.

Si ça résonne, contacte moi, on en parle.

05/11/2025

𝗤𝘂𝗮𝗻𝗱 𝗷𝗲 𝗻𝗲 𝗺𝗲 𝗿𝗲𝘀𝗽𝗲𝗰𝘁𝗲 𝗽𝗮𝘀…

Hier, je ne me suis pas respectée.
Comme souvent. Comme beaucoup d’entre nous.

Prise dans la cadence du quotidien, dans ces huit heures de la journée qu’on passe au service des autres, au service du système…
Je ne me suis pas écoutée.
J’ai poussé trop loin.
Et quand je suis rentrée, j’étais… HS.

Je suis sûre que tu connais ce moment.
Ce moment où tu n’es plus disponible.
Plus disponible pour le lien.
Ce lien si précieux, surtout avec tes enfants — eux que tu retrouves après ta journée.

Mais hier, mon cœur était fermé.
Je m’étais enfermée dans ma coquille, fatiguée, à bout.
Je ne supportais plus rien.
Je réagissais au lieu de répondre.
Et même si mes enfants cherchaient à me rejoindre, ils ne pouvaient pas réouvrir mon cœur.
Parce que là, il était fermé.
Je protégeais simplement le peu d’énergie qu’il me restait.

Ce que j’ai reçu hier, 𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐪𝐮𝐞 𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐬𝐞 𝐫𝐞𝐬𝐩𝐞𝐜𝐭𝐞𝐫,
𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐞́𝐜𝐨𝐮𝐭𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐬𝐢𝐠𝐧𝐚𝐮𝐱 𝐝𝐮 𝐜𝐨𝐫𝐩𝐬,
𝐧𝐞 𝐩𝐚𝐬 𝐬’𝐚𝐜𝐜𝐨𝐫𝐝𝐞𝐫 𝐮𝐧 𝐯𝐫𝐚𝐢 𝐭𝐞𝐦𝐩𝐬 𝐝𝐞 𝐫𝐞𝐩𝐨𝐬,
𝐜’𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐞 𝐜𝐨𝐮𝐩𝐞𝐫 𝐝𝐮 𝐥𝐢𝐞𝐧.
Du lien à soi, et du lien à ceux qu’on aime.

Alors maintenant, je ne veux pas m’arrêter à ce constat.
Je veux trouver comment, au milieu de mes huit heures de travail,
je peux créer un espace pour me ressourcer,
pour transformer ce qui m’épuise en quelque chose d’abondant.

Parce que tout commence là :
dans 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐬𝐞 𝐝𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐬𝐜𝐢𝐞𝐧𝐜𝐞.
Voir nos comportements automatiques, nos réflexes de survie, nos fermetures…
c’est déjà un pas immense vers une nouvelle 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐬𝐨𝐢.
Et c’est seulement à partir de là
que peut renaître une vraie 𝐫𝐞𝐥𝐚𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐚̀ 𝐥'𝐚𝐮𝐭𝐫𝐞 — vivante, nourrissante, authentique.

Et toi, à quel moment de ta journée oublies-tu de te respecter ?

24/10/2025

J’ai longtemps eu peur de l’autorité.
Je tremblais devant la police.
Je devenais minuscule face au médecin.
Je ravalais mes mots devant ma cheffe.
Je me soumettais à l'homme.
Et pire encore : j’avais peur des crises de mon aîné.

C’était viscéral. Mon corps se figeait, ma voix vacillait, mes joues s'empourpraient.
Je me sentais nulle, incapable, illégitime.

Alors, j’ai compensé.
En donnant plus.
Plus d’heures, plus d’attention, plus d’amour, plus d’écoute.
Comme si “plus” allait suffire à remplir ce vide intérieur.
Mais non.
J’ai juste fini épuisée. Vidée.

Pendant ce temps, mes enfants menaient la barque.
Ils avaient pris la direction du navire… parce que moi, la capitaine, j’avais quitté le pont.
Et l’enfer s’est installé à la maison.

Je ne voulais plus être dans la domination.
Mais je ne voulais pas être à leur merci non plus.
Je voulais une autre voie.
Une autorité juste. Une autorité du cœur.
Pas celle qui écrase, pas celle qui cède. Celle qui inspire et sécurise.

Alors j’ai commencé à me reconnaître.
À m’aimer.
À me donner de la valeur.
À m’écouter, pour ne plus avoir à hurler mes besoins.

C’est là que tout a changé.
Non pas chez eux.
Chez moi.

Et quand moi, j’ai repris ma place, ils ont naturellement trouvé la leur.
Sans cris. Sans luttes. Sans peur.

C’est de cette transformation qu’est né 𝗣𝗮𝗿𝗲𝗻𝘁 𝗦𝗼𝘂𝘃𝗲𝗿𝗮𝗶𝗻 :
un accompagnement individuel pour les parents qui veulent reprendre leur place, sans écraser, sans s’effacer.

Parce qu’une autorité naturelle ne se décrète pas,
elle se ressent, elle se vit, elle s’incarne. 🌿

👉 Si toi aussi tu veux retrouver ta juste place, sans crier ni céder, envoie-moi le mot SOUVERAIN en message privé.

12/10/2025

Communiquer avec un enfant, c’est lui ouvrir son cœur.

Mais combien d’entre nous ont appris à le refermer, tout doucement…
après chaque blessure, chaque incompréhension, chaque mot avalé pour “ne pas faire d’histoire” ?

On a appris à sourire quand ça fait mal.
À dire “ça va” alors que tout hurle à l’intérieur.

Et nos enfants… eux, sentent tout ça.

Ils voient au-delà du masque.

Et quand la dissonance devient trop forte, ils explosent — ou se referment.

Pas pour nous défier.

Mais pour nous réveiller. ❤️

👉 Dans les ateliers Du Je(u) au Nous, on apprend à redescendre du mental au cœur, pour recréer une connexion vraie, simple et vivante.

Infos en MP ou à suivre sur cette page.

16/09/2025

✨ 𝑬𝒕 𝒔𝒊 𝒕𝒐𝒏 𝒎𝒂𝒏𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒄𝒐𝒏𝒇𝒊𝒂𝒏𝒄𝒆 𝒏’𝒆́𝒕𝒂𝒊𝒕 𝒑𝒂𝒔 𝒖𝒏 𝒅𝒆́𝒇𝒂𝒖𝒕… 𝒎𝒂𝒊𝒔 𝒍𝒂 𝒄𝒐𝒏𝒔𝒆́𝒒𝒖𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒅’𝒖𝒏𝒆 𝒔𝒆𝒏𝒔𝒊𝒃𝒊𝒍𝒊𝒕𝒆́ 𝒎𝒂𝒍 𝒄𝒐𝒎𝒑𝒓𝒊𝒔𝒆 ?

Tu doutes de toi parce que tu ressens trop, tu analyses trop, tu veux décider trop vite.
Tu as l’impression d’être “trop émotive”, “trop critique”, ou de ne jamais savoir quoi faire sur le moment.

En réalité, ce n’est pas toi le problème.
Ton fonctionnement est juste différent. Tes émotions, ton intuition et ton regard affûté ne sont pas des faiblesses. Ce sont tes super-pouvoirs… à condition d’apprendre à les apprivoiser.

👉 Et tu sais quoi ?
Ce que tu vis en toi, tu le rejoues souvent avec ton enfant.
Tu doutes de ta façon de réagir face à ses colères.
Tu as peur de mal faire, de ne pas trouver les bons mots, de ne pas être une “assez bonne” maman.

Et si la clé pour restaurer la confiance dans ton rôle de mère commençait par comprendre ton propre fonctionnement ?
En apprenant à apprivoiser tes émotions, tu offres à ton enfant un modèle de sécurité intérieure et une relation beaucoup plus fluide.

C’est exactement ce que je transmets dans mes accompagnements :
✨ sortir du doute,
✨ transformer ta sensibilité en force,
✨ et retrouver une relation apaisée et authentique avec ton enfant.

💌 Si tu te reconnais dans ces mots, viens m’écrire en privé. On regardera ensemble comment je peux t’accompagner.

31/08/2025

✨ 𝗟𝗲 𝗳𝗲́𝗺𝗶𝗻𝗶𝗻 𝘀𝗮𝗰𝗿𝗲́… 𝗲𝗻𝗰𝗼𝗿𝗲 𝘂𝗻𝗲 𝗺𝗼𝗱𝗲 𝘀𝗽𝗶𝗿𝗶𝘁𝘂𝗲𝗹𝗹𝗲 𝗽𝗲𝗿𝗰𝗵𝗲́𝗲 𝗼𝘂 𝘂𝗻𝗲 𝘃𝗿𝗮𝗶𝗲 𝗯𝗼𝘂𝘀𝘀𝗼𝗹𝗲 𝗽𝗼𝘂𝗿 𝘁𝗼𝗻 𝗾𝘂𝗼𝘁𝗶𝗱𝗶𝗲𝗻 ?

Soyons claires : perso, les shoots d’ocytocine/endorphines façon “week-end perché” pour redescendre le lundi dans la grisaille du quotidien… non merci. 🙅‍♀️
Je veux du DURABLE. Pas trois étincelles dans l’année, mais une flamme qui reste allumée au jour le jour, même quand je gère les lessives, les enfants, le boulot, et que je vis dans un monde qui roule à 200 km/h.

👉 Ma question de départ a été simple :
𝐸𝑠𝑡-𝑐𝑒 𝑝𝑜𝑠𝑠𝑖𝑏𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑒́𝑖𝑛𝑡𝑒́𝑔𝑟𝑒𝑟 𝑙𝑎 𝑞𝑢𝑎𝑙𝑖𝑡𝑒́ 𝑑𝑢 𝑙𝑖𝑒𝑛, 𝑙’𝑒́𝑐𝑜𝑢𝑡𝑒 𝑣𝑟𝑎𝑖𝑒, 𝑙’𝑖𝑛𝑡𝑢𝑖𝑡𝑖𝑜𝑛, 𝑙𝑎 𝑑𝑜𝑢𝑐𝑒𝑢𝑟, 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 (𝑜𝑢𝑖, 𝑚𝑒̂𝑚𝑒 𝑙𝑎 𝑙𝑒𝑛𝑡𝑒𝑢𝑟 !) 𝑑𝑎𝑛𝑠 𝑚𝑜𝑛 𝑞𝑢𝑜𝑡𝑖𝑑𝑖𝑒𝑛 𝑑𝑒 𝑚𝑒̀𝑟𝑒 𝑎𝑐𝑡𝑖𝑣𝑒 𝑎𝑢 𝑐œ𝑢𝑟 𝑑’𝑢𝑛 𝑠𝑦𝑠𝑡𝑒̀𝑚𝑒 𝑝𝑎𝑡𝑟𝑖𝑎𝑟𝑐𝑎𝑙 𝑞𝑢𝑖 𝑣𝑎𝑙𝑜𝑟𝑖𝑠𝑒 𝑙𝑎 𝑝𝑒𝑟𝑓𝑜𝑟𝑚𝑎𝑛𝑐𝑒 𝑒𝑡 𝑙𝑒 𝑐𝑜𝑛𝑡𝑟𝑜̂𝑙𝑒 ?

La réponse est OUI. ✅
Mais pas sans quelques passages obligés :

✨️Me libérer du regard des autres.

✨️Oser suivre mon rythme au lieu de courir après celui imposé.

✨️Apprendre à me faire confiance.

✨️Et surtout : écouter ma guidance intérieure, même quand elle allait à l’opposé de “la norme”.

Parce que oui, soyons honnêtes : nos instincts et nos désirs sont souvent à contre-courant de ce que la société attend de nous. Et c’est là que le vrai défi commence. Dépasser la peur du jugement, du rejet, de l’humiliation. Reconnaître qu’on n’a pas besoin de se fondre dans un moule trop serré. Retrouver sa place, unique, singulière.

💡 Et tu sais quoi ? Nos enfants, eux, le savent déjà. Ils n’essaient pas d’être comme tout le monde. Ils savent naturellement écouter leur essence. C’est nous qui, souvent, cherchons à les adapter. Mais quand on s’autorise à les écouter vraiment, sans projection ni pression, quelque chose de magique se passe :
Ils trouvent leurs propres ressources.
Ils se régulent.
Ils avancent avec confiance.

Et c’est exactement ça que je propose dans mes espaces, qu’ils soient individuels ou collectifs : 𝐫𝐞𝐭𝐫𝐨𝐮𝐯𝐞𝐫 𝐜𝐞 𝐟𝐥𝐨𝐰, 𝐜𝐞𝐭𝐭𝐞 𝐜𝐨𝐧𝐟𝐢𝐚𝐧𝐜𝐞, 𝐜𝐞 𝐬𝐨𝐮𝐟𝐟𝐥𝐞 𝐝𝐞 𝐬𝐞́𝐫𝐞́𝐧𝐢𝐭𝐞́ 𝐪𝐮𝐢 𝐭𝐫𝐚𝐧𝐬𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐥𝐚 𝐦𝐚𝐧𝐢𝐞̀𝐫𝐞 𝐝𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐮 𝐯𝐢𝐬 𝐭𝐚 𝐯𝐢𝐞 𝐞𝐭 𝐝𝐨𝐧𝐭 𝐭𝐮 𝐚𝐜𝐜𝐨𝐦𝐩𝐚𝐠𝐧𝐞𝐬 𝐭𝐞𝐬 𝐞𝐧𝐟𝐚𝐧𝐭𝐬.

Le féminin sacré, pour moi, ce n’est pas une bulle mystique qu’on vient gonfler trois fois par an.
C’est une pratique, une posture, une façon de respirer et de créer du lien chaque jour.
C’est ce qui rend la vie plus douce, plus fluide, plus vraie. 🌿

Alors, prête à descendre de la montagne pour incarner ton féminin sacré, ici et maintenant ?

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