Le Chemin des Sens

Le Chemin des Sens Yoga du rire et soins énergétiques

31/10/2025

Il existe 8 passages importants dans une années, 8 fêtes sacrées qu'il nous est demandé d'honorer afin de grandir et cheminer en respectant les cycles de la ...

17/10/2025

10 premiers jours après la mort
Jours 1 à 10 après la mort – Voyage de l'âme entre les mondes

Jour 1 – La sortie du corps physique

Nom symbolique : La Séparation
Au moment exact de la mort clinique (arrêt du cœur et du cerveau), le corps éthérique et astral se détachent du corps physique.

L’âme conserve sa conscience, mais souvent dans un état de confusion.
Elle peut voir et entendre tout ce qui se passe autour de son corps.

Beaucoup décrivent un flottement au-dessus du corps, avec une sensation de paix ou d’étrangeté.

Des guides, des proches décédés ou des êtres de lumière peuvent venir l’accueillir, surtout si elle est préparée.

Ce moment est crucial. Il est dit que le premier contact avec l’au-delà façonne la suite du passage. Les pensées des vivants, leurs prières ou peurs, influencent ce seuil.

Jour 2 – Le seuil du double monde

Nom symbolique : L’Entre-deux
L’âme reste encore attachée à la matière : ses émotions, ses proches, ses attachements terrestres.

Elle peut tenter de communiquer ou comprendre ce qui lui arrive.

Des âmes très matérialistes ou subitement mortes peuvent errer, ne pas comprendre ou refuser la mort.

Ce jour est souvent marqué par une ambivalence : attraction vers la lumière, mais aussi peur de l’inconnu.

Certaines traditions disent qu’il est bon de lui parler à haute voix, lui dire :

"Tu es morte / mort. Tu n’as plus de corps. Avance vers la lumière. Tu es guidée. Tu n’es pas seule."

Jour 3 – Le passage du tunnel ou du pont

Nom symbolique : Le Portail
L’âme commence à voir un tunnel, un fleuve, un pont, une lumière, selon ses représentations spirituelles.

Elle est souvent appelée intérieurement vers une lumière douce.

Mais certaines âmes résistent encore (culpabilité, peurs, attachements…).

Pour celles qui acceptent, c’est une traversée douce et lumineuse, souvent accompagnée par des présences rassurantes.

Dans la tradition chrétienne, le 3e jour est celui de la résurrection (Christ), dans l’islam, c’est le moment où l’âme est jugée par les anges Mounkar et Nakir.

Jour 4 – Le début du bilan de vie

Nom symbolique : Le Livre s’ouvre
L’âme commence à revoir sa vie, mais d’un point de vue universel et non égotique.

Elle ressent l’effet de ses actes sur les autres (positifs ou négatifs).

Ce n’est pas un jugement mais une prise de conscience vibratoire : elle ressent les douleurs qu’elle a causées, les joies qu’elle a semées, sans excuse ni justification.

C’est l’école de l’âme.

Le "livre de vie" s’ouvre : ce que tu as semé est ce que tu portes maintenant en lumière ou en charge karmique.

Jour 5 – Le feu intérieur

Nom symbolique : La purification émotionnelle
Les émotions profondes remontent : regrets, colères, pardons non donnés, attachements non résolus.

L’âme entre dans une phase de purification par le feu vibratoire.

Les attachements terrestres brûlent, non pour punir, mais pour alléger la conscience.

Cette étape est proche du purgatoire spirituel, non punitif mais transmutateur.

Jour 6 – Désidentification et allègement

Nom symbolique : Le Dénouement
L’âme commence à se détacher de son personnage terrestre.

Elle ne se voit plus comme "moi tel que j’étais", mais comme une âme en transition.

C’est souvent à ce stade que l’âme cesse d’interagir avec les vivants, à moins d’avoir une mission ou une raison karmique de rester encore.

Si elle est très évoluée, elle peut déjà accéder aux guides, aux maîtres, à ses mémoires d’âme.

Jour 7 – Le grand repos

Nom symbolique : Le Silence
L’âme entre dans une zone de calme absolu.

Elle est mise au repos par les plans supérieurs, souvent enveloppée d’amour et de paix.

C’est comme une chambre de transition, un cocon spirituel.

Beaucoup de familles célèbrent ce 7e jour : prières, messes, rites de passage. C’est une porte importante pour aider l’âme à franchir l’étape suivante.

Jour 8 – Le choix d’âme

Nom symbolique : L’Orientation

L’âme voit les chemins possibles :
Retour vers une autre incarnation (non immédiate)

Accès à un plan d’apprentissage

Travail d’aide à d’autres âmes

Elle comprend son karma, ses dettes, ses leçons, ses dons.

Cette étape correspond à l’entretien avec les guides, les "Conseillers de l’âme".

Jour 9 – Intégration vibratoire

Nom symbolique : L’Union
L’âme fusionne avec sa mémoire spirituelle.

Elle intègre les leçons, et parfois se reconnecte à son Être supérieur ou "Soi divin".

Certaines âmes évoluées peuvent se fondre avec d’autres niveaux de conscience, parfois même ne plus revenir sur Terre.

C’est le moment où les mémoires de la vie passée sont archivées dans les annales akashiques.

Jour 10 – L’élévation

Nom symbolique : L’Envol
L’âme quitte définitivement les sphères terrestres proches.

Elle entre dans le monde subtil qui correspond à son niveau vibratoire.

Les âmes très pures vont vers les plans de lumière, les âmes moyennes restent dans des zones d’apprentissage ou d’attente.

Les âmes perturbées ou refusant leur mort peuvent rester errantes (dans le bas astral), mais toujours accompagnées à long terme.

C’est à ce stade que la plupart des médiums disent :

"L’âme est montée. Elle est en paix."

Et après les 10 jours ?

Une période de 40 jours est souvent mentionnée dans les traditions (orthodoxie, christianisme oriental, Égypte ancienne, islam).

Pendant ces 40 jours, l’âme peut encore observer, bénir ses proches, ou revenir en rêve.

Puis elle entre dans une nouvelle phase d’évolution, avant une possible réincarnation, une mission, ou une fusion avec les plans divins.

Rituel de Lumière pour Aude (prénom du défunt) (à faire idéalement dans les 3, 7 ou 40 jours après le décès, ou à tout moment si le besoin se fait sentir)

Matériel nécessaire :

Une bougie blanche (ou dorée)

Une photo d’Aude (prénom du défunt) ou un objet lui appartenant

Un verre d’eau pure

Un encens (santal, myrrhe, lavande ou benjoin)

Une feuille de papier + crayon

Une cloche, un bol tibétain, ou un simple son cristallin (facultatif)

Étapes du rituel :
Préparation du lieu
Choisissez un endroit calme.
Nettoyez énergétiquement la pièce (fumigation avec de la sauge ou l’encens choisi).
Disposez la photo, la bougie, le verre d’eau et l’objet d’Aude sur une petite table ou autel.
Allumage de la bougie

Dites en allumant :
"Que cette lumière guide l’âme d’Aude (prénom du défunt) vers la paix, la clarté et l’amour."

Invocation / prière
Dites à voix haute ou intérieurement (vous pouvez adapter selon vos croyances) :

"Aude (prénom du défunt) , âme aimée, tu es libérée de ton corps terrestre. Que les portes de la Lumière s’ouvrent devant toi.

Que tes guides viennent à ta rencontre. Que l’amour t’entoure et t’élève.

Nous te remercions pour ce que tu as été. Sois en paix, va en paix."

"Que toute attache inutile soit coupée, que toute peur soit dissipée.

Tu n’es pas seule. Tu es accompagnée."

Écriture d’un message (optionnel mais puissant)

Écrivez une lettre à Aude (prénom du défunt) : ce que vous ressentez, vos adieux, ce que vous souhaitez lui dire.

Lisez-la à voix haute si vous le souhaitez.

Vous pouvez ensuite brûler ce papier dans un récipient résistant au feu comme offrande.

Clôture

Faites sonner une cloche ou un bol tibétain doucement 3 fois, ou restez simplement en silence.

Remerciez les présences invisibles.

Laissez la bougie se consumer (sous surveillance), ou éteignez-la en disant :

"Que la lumière t’accompagne à chaque étape, Aude (prénom du défunt) . Amen. Aho. Namasté. Ainsi soit-il."

Après le rituel

Jetez l’eau dans la terre ou dans un cours d’eau.

Gardez l’objet ou la photo dans un lieu respectueux ou rangez-le si cela vous soulage.

Conseils supplémentaires :

Ce rituel peut être fait seul ou en groupe.

Si vous ressentez la présence d’Aude (prénom du défunt) , parlez-lui avec amour mais invitez-la doucement à avancer vers la lumière.

Vous pouvez répéter ce rituel plusieurs fois, surtout pendant les 10 premiers jours après le décès, qui sont souvent vus comme une période de transition.

‼️ PRÉCISION. AUDE EST LE PRÉNOM DU DÉFUNT.

DONC À ADAPTER AVEC LE PRÉNOM DE VOTRE DÉFUNT.

SOURCE Le secret des druides.

13/10/2025

Bonjour,
je suis l’angoisse — ne t’effraie pas, je viens en paix.
D’ailleurs, pourquoi as-tu si peur de moi ?

Je sais que tu te sens affreusement mal chaque fois que j’apparais. Tu désespères, tu voudrais me chasser, m’effacer… Je sais que, si tu le pouvais, tu me tuerais — surtout parce que tu crois que c’est moi qui veux te tuer ou te faire du mal.
Mais crois-moi : si je ne t’ai pas tué jusqu’à présent, je ne le ferai jamais.

Je ne suis pas là pour te nuire, encore moins pour te rendre fou. Je pense que je te l’ai déjà prouvé : chaque fois que j’arrive, je bouleverse ton corps, je te fais peur, mais à la fin de la journée… tu es toujours là, vivant.
Si je pouvais te détruire, je l’aurais déjà fait. Ce n’est pas mon but.

En réalité, si je provoque tout cela en toi, c’est parce que je n’ai pas trouvé d’autre moyen de me faire entendre. Tu étais si occupé à vouloir réussir, à être productif, à prouver aux autres que tu méritais d’être aimé… que tu n’as pas prêté attention à mes petits signaux.

Tu te souviens de cette fois où tu avais mal à la tête ? Ou de ces nuits où tu n’as pas dormi pendant des heures ? Ou encore de ce jour où, sans raison, tu t’es mis à pleurer ?
Eh bien, toutes ces fois-là, c’était moi, qui essayais de te parler. Mais tu n’as pas écouté. Tu as continué ton rythme, ta manière de penser. Alors j’ai dû frapper plus fort : je t’ai fait trembler l’œil, boucher les oreilles, transpirer les mains… et pourtant, tu refusais toujours de m’entendre.

Et entre nous, tu savais que j’étais là. C’est pour cela que, lorsque tu te retrouvais seul, au calme, quelque chose t’empêchait de rester tranquille. Tu devenais nerveux, car ton esprit rationnel ne comprenait pas ce qu’il se passait. Et c’est vrai : ton esprit rationnel ne peut pas me comprendre.

C’est pourquoi j’ai décidé d’abandonner mes signaux et de t’écrire.
Et si tu lis ces mots, je te félicite : cela signifie que tu as enfin le courage de m’écouter. Personne ne sait mieux que moi à quel point tu es doué pour me fuir, pour t’échapper de moi comme on fuit un monstre dans la forêt sombre.

Tu me fuis quand tu t’abrutis des heures devant la télévision, en vivant la vie d’autres personnes parce que la tienne ne te plaît pas. Tu me fuis aussi quand tu avales des substances pour t’endormir à la réalité que tu refuses d’affronter.

Mais j’espère que cette fois, tu es prêt à faire face à ta vérité, à ta vie telle qu’elle est, sans masque, sans raccourci, sans façade. Alors laisse-moi te dire les choses comme elles sont :

Tout ce que j’essaie de te dire depuis le début, c’est qu’il est temps d’évoluer.
Tu dois changer profondément, car pour une raison ou une autre, tu ne profites plus de ta vie et tu ne te sens pas heureux.
C’est pour cela que je suis là : pour t’aider à retrouver la plénitude qui vit en toi. Et pour y parvenir, tu devras te défaire de tout ce qui t’empêche d’y accéder.

Je suis là pour t’aider à voir ce qui te coupe de ta joie, de ton sens de la vie, de ton véritable être. Chaque fois que je réapparaîtrai, ce sera pour te signaler que tu t’es encore éloigné de ta propre plénitude. Alors, si je reviens, ne t’effraie pas : remercie-moi, et écoute-moi.

Si tu m’écoutes vraiment, tu commenceras à changer. Et dès que tu feras ces changements, je partirai. Oui, je partirai quand je verrai que tu avances, que tu grandis, que tu reprends ton propre chemin. Tant que tu ne le feras pas… je resterai.

Si je suis là aujourd’hui, c’est parce que tu as besoin de moi.
Tu as besoin de moi pour transformer ta façon de voir le monde — car, laisse-moi te le dire, ta perception est un peu déformée. Tu dois te libérer de tes croyances limitantes, pardonner ta colère, et retrouver ta liberté intérieure.

Tu as besoin de moi pour te reconnecter à ce que tu aimes, pour être toi-même, pour cesser d’avoir peur du rejet.
Tu as besoin de moi pour apprendre à dire non, pour mettre des limites à ceux qui te blessent, pour cesser de mendier l’amour de ceux qui ne te méritent pas, pour ne plus dépendre d’un autre pour être heureux, et pour enfin… prendre soin de ton corps.

Comment aurais-tu prêté attention à ton corps autrement ?
Tu dois le nourrir, le remercier, le faire bouger, le laisser respirer.
Pourquoi t’épuises-tu autant ? Pourquoi es-tu si dur avec toi ? Tu as tout en toi : la capacité, la force, la lumière pour créer ta réalité. Mais tu te traites comme ton propre esclave. Je suis là pour te dire : arrête.

Si tu veux vraiment que je parte, reprends la barre de ta vie. Demande-toi ce qui t’a éloigné de ton équilibre intérieur. Demande-toi comment tu veux vivre — et bats-toi pour cette vie. C’est la tienne.

Le seul contrôle que tu peux avoir, c’est celui de toi-même. Mais pour le retrouver, tu dois d’abord reconnaître que tu l’as perdu, et me laisser m’exprimer.
Quand je reviendrai, ne me repousse pas : ferme les yeux, ressens-moi, laisse-moi parler. Puis agis. Mets des gestes concrets vers le changement. Et, avant même que tu t’en rendes compte, je m’en irai.

J’espère ne pas avoir à revenir souvent, mais si je le fais, souviens-toi : je ne veux pas te blesser.
Je veux t’aider à retrouver ton chemin, celui qui te rendra profondément heureux.

Et pour finir, j’aimerais que tu me voies pour ce que je suis : ton essence.
Je suis toi — ton être intérieur qui crie désespérément pour être entendu.
Ce que tu ressens n’est pas une crise de panique : c’est ton âme qui frappe à la porte de ton cœur pour que tu l’écoutes.

Avec tendresse,
Ton essence, déguisée en anxiété.

06/10/2025

Le rejet est l’une des blessures les plus profondes de l’âme humaine.
Il ne s’agit pas seulement d’un “refus” extérieur.

C’est un choc qui inscrit, au cœur de l’être, la croyance que “je ne suis pas digne d’exister”.

Cette blessure est souvent invisible aux autres, mais elle agit comme une ombre silencieuse, influençant chaque choix, chaque relation, chaque rêve que l’on ose ou n’ose pas poursuivre.

Lise Bourbeau, dans son livre "Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même" (2000), décrit le rejet comme la blessure vécue dès les premiers instants de vie, souvent avec le parent du même sexe.

Elle peut survenir avant même la naissance, si l’enfant n’est pas désiré ou si la grossesse est vécue dans un contexte de peur ou de rejet.

En psychanalyse, Donald Winnicott (pédiatre et psychanalyste, 1896-1971) parle de l’importance du holding — l’accueil et le soutien psychique que reçoit le nourrisson. Un manque de holding crée un sentiment d’insécurité fondamentale, pouvant conduire à une personnalité “fuyante” pour éviter la douleur du rejet.

Manifestations dans la vie adulte

Tendance à fuir les situations émotionnelles intenses.

Difficulté à exprimer ses besoins par peur de déranger.

Sentiment persistant de ne pas avoir de place.

Recherche de perfection pour être “acceptable”.

Spiritualement, le rejet coupe l’âme de sa reliance naturelle au monde. On se sent “hors du cercle”, comme si la vie se déroulait ailleurs.

Conséquences sur les relations

Le rejet pousse à l’auto-sabotage relationnel :

On peut fuir l’amour par peur d’être abandonné à nouveau, ou attirer inconsciemment des situations qui confirment notre croyance d’indignité.

C’est une prophétie auto-réalisatrice : plus on fuit, plus on se sent seul.

La guérison
Science et spiritualité

La guérison de la blessure du rejet passe par deux chemins complémentaires :

Côté psychologique

Thérapie de réparentage (reparenting) : méthode développée dans les années 80 par John K. Pollard, qui consiste à devenir pour soi-même le parent bienveillant qu’on n’a pas eu.

Thérapie des schémas de Jeffrey Young (1990) : travailler sur le schéma d’exclusion et d’imperfection.

Thérapie corporelle (somatic experiencing, EFT) pour relâcher la mémoire du rejet dans le corps.

Côté spirituel

Méditations de connexion à l’enfant intérieur.

Cercles de guérison où l’on est vu, accueilli et reconnu sans condition.

Pratiques de gratitude envers la Vie, même pour les expériences de rejet, en les voyant comme un chemin de retour vers soi.

Et si le rejet n’était pas la preuve que tu n’as pas de place…

Mais le rappel que ta place ne peut pas t’être donnée par les autres — elle se revendique, elle s’incarne, elle se vit.

Dans quelles situations de ta vie t’es-tu senti invisible ?

Et que changerait ta vie si tu cessais d’attendre la validation extérieure ?

Le don de soi

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