Ecl'Or Prend soin de vous et de votre corps. Ecl'Or vous propose de prendre soin de vous par le biais des thérapies alternatives et du bien-être.

Soins: microkiné, ostéo-bio-synthèse, réflexologie plantaire, drainage lymphatique, massages thérapeutiques et de bien-être. Uniquement sur rendez-vous.

05/12/2025

Artiste: Charles Frizzell

Lune de Décembre

01/12/2025

💜 Douzième cycle lunaire 🌑💜

Dans le cercle, beaucoup d’entre nous avons été traversé par de grandes vagues émotionnelles jusqu’à toucher le cœur de notre souveraineté.

Que chacun(e) se sente portée, soutenue et accompagnée dans cette renaissance profonde.

Nous sommes tous reliés, guidés par la Grande Femme qui Marche et Celle qui Glorifie.

Que cette fin de cycle se déroule dans le plus de douceur possible…

Puisse ce temps au Nord de la Roue de Médecine ouvrir la voie à cette renaissance et nous aligner pleinement avec nos rêves, dans la confiance et la foi.
💜💜
A celles qui cheminent dans la vérité, dans la réceptivité et l'humilité...
Beau cycle lunaire à vous toutes...
Julia Originelle Fondatrice de l'association Miroir de LUne.
Pour que les cercles de femmes libre et spontané fleurissent le monde, et inspire les enfants à se rassembler autrement...

26/11/2025
15/11/2025

LE VRAI EN AMOUR

On entend souvent parler de relations sacrées, mais combien d’entre nous ont vécu ce type de relation…

où deux êtres réalisés décident de partager leur espace de liberté sûr avec un autre être et d'en faire la place du « toi » et du « je » dans le « nous »... où chacun s'abandonne à volonté et reconnaît qu'il ne perd pas lui-même dans l'autre mais plutôt il se retrouve pour se fondre et vibrer au rythme de l'univers lui-même.

Quand deux se rencontrent, le sacré y habite en plénitude avec le divin car lorsqu'ils fusionnent ils vibrent dans la seule chose qui est... AMOUR. Chaque jour nous parlons de lumière, d'ascension, d'évolution, de changement de conscience ; Mais combien d'entre nous sont prêts à faire la chose la plus simple, qui est de partager quotidiennement notre amour avec une autre personne... c'est un grand engagement et une grande responsabilité car elle reflète constamment ce qu'il y a à l'intérieur de chacun de nous. nous. Nous, et à plusieurs reprises je reconnais que nous sommes terrifiés à l'idée de nous voir dans ce miroir, et c'est à ce moment-là que nous brandissons le drapeau de « ils ne sont pas bons », « il n'y a personne d'assez bien pour moi », « ça vaut mieux seul qu'en mauvaise compagnie", que nous ne parlons pas plus que de blessures profondes enracinées dans nos esprits.

Mais quand nous osons aimer et nous donner honnêtement... un monde de possibilités infinies s'ouvre... parce que nous marchons courageusement sur le chemin de la vie qui nous semblera parfois orageux et d'autres fois plein de fleurs et de beauté infinie... et c'est plus beau si au moins deux êtres se réunissent dans un amour absolu, leur lumière brillera et illuminera avec intensité tous ceux qui s'approchent... construisez votre propre paradis, c'est possible si vous aimez intensément chaque jour et tournez chacune de vos relations dans « le saint » parce que le divin y vit dans son expression maximale.

Et toutes les peurs se transmuent en alchimie.
Et la connexion n'est plus du mental mais du Cœur, une synergie se produit.
Et vous formez un troisième élément dans votre vie.
Une connexion sacrée. Puissiez-vous ne jamais cesser de la chercher... C'est l'amour conscient.

El Māgø
Via esprit du serpent blanc
Gratitude

14/11/2025

𝑱’𝒚 𝒂𝒊 𝒎𝒊𝒔 𝒎𝒆𝒔 𝒕𝒓𝒊𝒑𝒆𝒔, 𝒎𝒐𝒏 𝒉𝒖𝒎𝒂𝒏𝒊𝒕𝒆́, 𝒎𝒐𝒏 𝒆𝒙𝒑𝒆́𝒓𝒊𝒆𝒏𝒄𝒆 𝒄𝒍𝒊𝒏𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒆𝒕 𝒍𝒆𝒔 𝒎𝒊𝒍𝒍𝒊𝒆𝒓𝒔 𝒅𝒆 𝒓𝒆𝒏𝒄𝒐𝒏𝒕𝒓𝒆𝒔 𝒒𝒖𝒊 𝒎’𝒐𝒏𝒕 𝒇𝒂𝒄̧𝒐𝒏𝒏𝒆́𝒆, 𝒕𝒐𝒖𝒕 𝒔𝒊𝒎𝒑𝒍𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕…

Le corps sous invisibilisation…

Ça tue presque.
Pas assez, peut-être heureusement, pour en mourir directement.
C’est long. Ça use infiniment.

C’est porter des blessures que personne ne reconnaît comme béantes, ouvertes, encore en train de saigner au moment même où l’on parle.

Le corps se rétracte, se tait et se dissocie souvent :
le ventre serré, le plexus solaire en feu, les larmes retenues derrière les paupières, sur des yeux trop secs.
Dans le silence, la voix s’étouffe.
Sans autre témoin que soi-même.
La solitude au creux de la gorge serrée, la trahison dans le cœur, avec cette impression d’être transparent·e au regard de l’autre.

La respiration ? Quelle respiration ?
Celle, suspendue, d’un être qui survit malgré lui et qui se débat,
non seulement avec l’effacement de son état,
mais aussi avec les souffrances déjà existantes.

Ce n’est pas un choix personnel.
On peut parfois choisir l’invisibilité pour cacher sa vulnérabilité,
pour échapper aux mots trop souvent fades ou maladroits des autres.
Un choix de survie et/ou de pudeur, dans des traversées de territoires compliqués.

L’invisibilisation, elle, est imposée par les systèmes,
les groupes, les relations.
C’est une action subie.
C’est l’extérieur qui efface, pas l’intérieur qui choisit.
C’est être réduit·e au silence.
Encore et encore.

Le corps sait.
Il hurle en silence.
Il tremble de toutes ses forces.
Le monde, lui, nie — maladroitement, le plus souvent.
Il n’y a plus aucun écho renvoyé :
uniquement celui d’un cœur lassé de ne pas être reconnu, vu, autorisé à lâcher ses défenses.

Cette dissonance crée une douleur sourde, une perte d’ancrage, une confusion :
« Suis-je f***e / fou ? »,
« Suis-je trop ? »,
« Pas assez ? »,
« Est-ce que j’exagère ? ».

Alors, que reste-t-il, à part la honte,
la culpabilité,
la charge
et le poids du vécu, tous mélangés ?
Indissociables.
Cocktail brutal, servi sans délit.

À part celui de porter en soi, sur soi,
les marques d’un passif que personne ne voit ni ne renvoie.

Un deuil.
Une séparation.
Une trahison.
Un renvoi.
Une violence.
Une impossibilité.
Une mort.
Une maladie.
Un handicap.
Une particularité.

Expériences sans hiérarchie aucune,
souvent subies sans avoir son mot à dire.
Personne, ni rien, n’est épargné,
au nom d’une collectivité qui n’a souvent pas appris
les mots à dire,
le regard à poser,
l’attention à donner
devant l’indicible, l’inaudible, l’inavouable.

À nous : humanité douloureuse,
parfois dépourvue d’humanisme,
capable du meilleur comme du pire.
Nous pouvons sortir de l’invisibilisation.
Ça commence par un rien, qui fait tout.

« Je suis désolé·e, je ne sais pas / plus quoi dire. »
« J’aimerais savoir comment tu traverses ce que tu vis, si tu en as envie. »
« Que s’est-il passé pour toi ? Je ne sais pas, mais je suis là. »
« Tu n’es pas seul·e. Je veille sur toi. De loin ou de près. »

Et si ça commençait par ça ?…

- Marie Boelaerts

Adres

20, Rue Armand De Neuter
Berchem-Sainte-Agathe
1082

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