12/11/2025
https://www.facebook.com/share/p/1NBSEKPeqF/
Arrêtez de dire qu’il faut pardonner “parce que c’est la famille.”
Ce conseil, bien qu’animé de bonnes intentions, est souvent nocif.
Et il est temps de le remettre en question, avec des émotions brutes et toute la vérité.
Parce qu’au fond, la famille aurait dû mieux faire.
La famille aurait dû me protéger, pas me blesser.
Elle aurait dû être de mon côté, pas me trahir.
Elle aurait dû être mon refuge, pas la source de mon traumatisme le plus profond.
Et le fait de partager le même sang ne signifie pas que je leur dois l’accès à ma paix, à mes enfants, ou à la vie que j’ai reconstruite avec tant d’efforts.
Le pardon n’est pas quelque chose que l’on peut forcer, surtout quand les excuses nécessaires ne sont jamais arrivées.
Surtout quand les comportements blessants n’ont pas changé.
Surtout quand la douleur est toujours là, comme une plaie ouverte dans l’âme.
J’ai pleinement le droit de protéger ma paix, même si cela signifie la protéger de ceux qui portent mon nom de famille.
Et si cela te dérange, si mes limites te gênent, alors peut-être fais-tu partie du problème.
De ce discours qui perpétue la blessure et étouffe la douleur.
Parce que la famille, ce n’est pas seulement ceux qui portent le même nom, c’est aussi ceux qui sont vraiment présents, ceux qui te respectent sincèrement,
ceux qui te traitent bien, sans conditions.
Auteur inconnu