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Offrir un cadeau à une association : un geste simple qui réchauffeCette semaine, je te propose un défi tout doux :choisi...
07/12/2025

Offrir un cadeau à une association : un geste simple qui réchauffe

Cette semaine, je te propose un défi tout doux :
choisir ensemble un cadeau à offrir à une association.

Cela peut être :
un livre,
un jouet,
un vêtement chaud,
un poème,
un dessin d’enfant,
un mot gentil,
un objet du quotidien,
quelque chose de bon à manger.
L’idée n’est pas de “donner beaucoup”.
L’idée est de donner ensemble, de ressentir ce que cela fait d’agir pour quelqu’un qu’on ne connaît pas.

Un geste simple, mais un vrai apprentissage émotionnel :
✨ la générosité,
✨ la citoyenneté,
✨ l’attention portée aux autres,
✨ la joie de contribuer.
On ne connaît jamais la portée d’un petit geste.
Mais on sait une chose : il fait grandir ceux qui donnent autant que ceux qui reçoivent.

Ce défi fait partie de mon projet “52 Défis Bonheur à vivre en famille”, pour nourrir la confiance, renforcer les liens et offrir à nos enfants un quotidien plus doux et plus sécurisant.

Réviser sans pression avant les examens : 3 stratégies qui fonctionnentLa période des examens peut vite devenir source d...
04/12/2025

Réviser sans pression avant les examens : 3 stratégies qui fonctionnent

La période des examens peut vite devenir source de stress à la maison.
Mais apprendre n’a pas besoin d’être brutal ni épuisant.

Voici 3 techniques simples qui soutiennent vraiment les enfants et adolescents :

1) Les micro-révisions (10 minutes)
On révise par petites touches : une définition, un calcul, un paragraphe.
Courtes, efficaces, faciles à répéter.

2) Les cartes mentales (visuelles + ludiques)
Pour les enfants DYS, TDAH ou visuels, c’est un outil puissant.
Cela clarifie, simplifie et donne une vue d’ensemble rassurante.

3) La pause active
2 minutes pour bouger, respirer, s’étirer.

Le cerveau retient mieux en alternant effort + pause.
Les révisions ne doivent pas être parfaites.
Elles doivent être réalisables, régulières et bienveillantes.
Avec toi, ton enfant peut préparer ses examens avec plus de confiance que de pression.

Quelles stratégies fonctionnent le mieux avec ton enfant en période d’examens ?
Si tu veux un plan de révisions personnalisé, tu peux me contacter en privé.



Apprendre à nos enfants à ne pas “regarder sans agir”Le harcèlement ne se nourrit pas seulement de celui qui harcèle.Il ...
03/12/2025

Apprendre à nos enfants à ne pas “regarder sans agir”

Le harcèlement ne se nourrit pas seulement de celui qui harcèle.
Il se nourrit aussi du groupe qui regarde sans intervenir.
Mais intervenir ne veut pas dire se mettre en danger.
Cela peut être très simple, très discret.

Ce que les enfants peuvent apprendre :
Aller parler à l’adulte le plus proche.
Dire au camarade harcelé : « Tu veux qu’on marche ensemble ? »
Ne pas rire, ne pas filmer, ne pas partager.
Se mettre à côté, même en silence, pour briser l’isolement.
Aller chercher un ami pour ne pas agir seul.

Impact énorme :
Pour un enfant harcelé, un seul geste de soutien peut changer une journée…
et parfois une année entière.
Aider un enfant à devenir témoin actif et prudent, c’est lui transmettre une valeur essentielle :
👉 ma présence a un impact.

Et toi, comment aides-tu ton enfant à devenir un témoin actif mais en sécurité ?
Si tu veux des conseils adaptés à ta situation, écris-moi en message privé.



Parent toxiqueQuand l’enfant porte la charge émotionnelle du parentIl y a des enfants qui grandissent en portant des émo...
02/12/2025

Parent toxique
Quand l’enfant porte la charge émotionnelle du parent

Il y a des enfants qui grandissent en portant des émotions trop lourdes pour eux.
Parce qu’à la maison, ce n’est pas l’adulte qui rassure l’enfant… mais l’enfant qui rassure l’adulte.
👉 « Ne me déçois pas. »
👉 « Tu es la seule personne qui me comprend. »
👉 « Je ne supporte pas quand tu t’éloignes. »
Ces phrases, souvent prononcées par un parent toxique, transforment l’enfant en pilier émotionnel.

Il devient le confident, le soutien, parfois même l’apaisant officiel.

Ce que vit l’enfant :
une vigilance constante,
une peur de décevoir,
l’impression d’être responsable du bien-être de l’adulte,
une fatigue émotionnelle qui ne dit pas son nom.

Ce que peut faire le parent protecteur :
✨ remettre l’enfant à sa juste place,
✨ nommer ce qui n’est pas “normal”,
✨ rassurer : « Ce n’est pas à toi de porter ça »,
✨ lui offrir un espace où il peut redevenir un enfant.
Ce n’est pas ton rôle de remplacer l’autre parent.
Mais tu peux devenir le repère stable dont l’enfant a besoin pour souffler et se reconstruire.
Et toi, as-tu déjà observé ce mécanisme chez ton enfant ou dans ton histoire ?
Tu peux m’en parler en message privé si tu en ressens le besoin.



Et si on repensait la “magie” de Saint-Nicolas et du Père Noël ?Chaque année, beaucoup de parents se retrouvent face à c...
01/12/2025

Et si on repensait la “magie” de Saint-Nicolas et du Père Noël ?

Chaque année, beaucoup de parents se retrouvent face à ce petit moment de gêne…

👉 Quand l’enfant ment, triche un peu, invente une histoire, on le reprend : “Tu sais, dire la vérité, c’est important.”

Et pourtant… chaque année, des milliers de parents mentent aussi.
Sur Saint-Nicolas, le Père Noël, ou même “le manège est fermé” quand on veut éviter une crise.

Ce n’est pas grave. Ce n’est pas mal.
Mais cela mérite qu’on s’y arrête un instant.
Car comment construire la confiance de l’enfant envers l’adulte, si ce dernier lui dit des choses qu’il découvrira fausses ?

L’association Enfance Épanouie classe d’ailleurs ce mensonge festif parmi les violences éducatives ordinaires : non pas parce qu’il est cruel, mais parce qu’il brouille la frontière entre imaginaire et confiance.

Et si la vraie magie, c’était autre chose ?
✨ La joie d’être ensemble.
✨ Le plaisir d’offrir et de recevoir.
✨ La chaleur du renouveau que célèbrent les fêtes de fin d’année.

Nous pouvons faire vivre la magie sans peur, sans chantage, sans condition du type :
“As-tu été assez sage ?”
“Sinon Saint-Nicolas ne passera pas…”
Car dans ces moments-là, notre autorité — au sens de modèle, de repère — s’effrite un peu.
Et c’est pourtant elle qui aide l’enfant à grandir en confiance.

🌿 Faire rêver, oui. Tromper, non.
Éduquer, c’est aussi montrer qu’on peut célébrer sans mentir.

30/11/2025

Avant de tourner la page de 2025, prenons un moment pour rêver. 🌙
Ce dimanche, je te propose de faire en famille la liste de vos envies et projets pour 2026.

Pas une liste de résolutions, mais une carte des espoirs :
🌱 Ce que chacun souhaite apprendre, vivre ou partager.
💬 Ce que vous aimeriez changer ensemble.
🎯 Ce qui vous donne envie d’avancer.
Cette discussion aide chaque enfant à se projeter, à sentir qu’il compte et qu’il peut contribuer à l’avenir du groupe.

Et pour les parents, c’est une belle occasion de découvrir ce qui fait vibrer chacun.
🧡 Rêver ensemble, c’est déjà semer la confiance pour demain.
🌿 Ce Défi fait partie de mon projet “52 Défis Bonheur à vivre en famille”, pour renforcer les liens, la motivation et la joie d’apprendre ensemble.

Et si on changeait notre regard sur la réussite ?Pendant des années, on a cru qu’il fallait pousser les enfants pour qu’...
27/11/2025

Et si on changeait notre regard sur la réussite ?

Pendant des années, on a cru qu’il fallait pousser les enfants pour qu’ils se dépassent.
Mais on sait aujourd’hui qu’un enfant ne peut pas apprendre durablement s’il a peur de décevoir ou d’échouer.

La confiance, c’est le moteur invisible de tout apprentissage.
🌿 Elle se nourrit du regard bienveillant d’un adulte.
🎯 Elle grandit quand on valorise l’effort, pas seulement le résultat.
💬 Elle se consolide quand on autorise l’erreur et le temps.

En coaching scolaire, je vois chaque semaine des enfants retrouver le goût d’apprendre dès qu’ils sentent qu’ils ne seront plus jugés mais accompagnés.

🧡 La confiance ne se commande pas, elle se cultive.
Et c’est elle, bien plus que la performance, qui prépare les plus belles réussites.

Les séquelles du trauma à l’adolescence : comprendre avant de jugerÀ l’adolescence, les séquelles d’un traumatisme infan...
25/11/2025

Les séquelles du trauma à l’adolescence : comprendre avant de juger

À l’adolescence, les séquelles d’un traumatisme infantile peuvent ressurgir avec force.
Derrière l’opposition, la provocation ou la fuite se cachent souvent des cerveaux marqués par la survie.
Les études montrent que les altérations cérébrales dues à la maltraitance ne disparaissent pas :
elles façonnent durablement la manière dont le jeune gère ses émotions, ses relations et son rapport à lui-même.

🔹 Ce qui se passe dans le cerveau :
– L’amygdale reste hyperactive → hypersensibilité au danger, anxiété, réactions explosives.
– Le striatum, centre de la récompense, devient hypoactif → difficulté à ressentir du plaisir, risque d’addictions.
– Le cortex préfrontal peine à freiner les impulsions → difficulté à planifier, à se concentrer, à se projeter.
– La connectivité entre émotions et raison reste fragile → le jeune “sait” ce qu’il faut faire, mais n’y parvient pas.

Certaines de ces marques vont jusqu’à l’échelle cellulaire :
neuro-inflammation, perturbation du système de stress, baisse de dopamine et du facteur BDNF (clé de la plasticité neuronale).
Même l’ADN porte parfois la mémoire de ces blessures, pouvant les transmettre aux générations suivantes.

Mais la bonne nouvelle, c’est que le cerveau reste plastique :
avec de la sécurité, de la bienveillance et un accompagnement adapté, il peut réapprendre à se réguler.

🧡 Comprendre avant de juger, c’est déjà aider le jeune à guérir.
Car la confiance et la constance d’un adulte peuvent réécrire ce que la peur avait gravé.

Défi Bonheur Je cherche trois mots qui me qualifient dans la langue que j’apprendsEt si apprendre une langue devenait un...
23/11/2025

Défi Bonheur
Je cherche trois mots qui me qualifient dans la langue que j’apprends

Et si apprendre une langue devenait un moyen de mieux se connaître ? Ce défi relie l’estime de soi, la curiosité et la joie de l’apprentissage.

Cette semaine, choisis trois mots qui te ressemblent dans la langue que tu apprends (ou une langue que tu aimes).
💬 Que disent-ils de toi ?
💫 Pourquoi les as-tu choisis ?
🌍 Comment te font-ils te sentir ?

Ce petit exercice développe :
– la confiance en soi (oser se décrire positivement),
– l’ouverture culturelle,
– et la connexion émotionnelle avec le langage.
Tu peux le faire seul, en famille ou avec ton enfant.

Les mots deviennent alors des miroirs : ils reflètent notre manière de nous percevoir.
✨ Apprendre à dire “qui je suis” dans une autre langue, c’est déjà un voyage intérieur.

Quand l’école ravive les blessures : comment aider un enfant traumatisé à apprendre📅 Journée mondiale de l’enfance – UNE...
20/11/2025

Quand l’école ravive les blessures : comment aider un enfant traumatisé à apprendre
📅 Journée mondiale de l’enfance – UNESCO
🎯 Résumé :
Certains enfants n’apprennent pas parce qu’ils ont peur.
La peur bloque la mémoire, la concentration et l’envie.
Pour les aider, il faut d’abord apaiser leur monde intérieur.

Apprendre, c’est un acte de confiance.
Mais pour un enfant blessé, l’école peut devenir un lieu de stress, de comparaison, parfois même de honte.

Quand le cerveau est en mode “alerte”, il ne peut pas apprendre.
La priorité n’est donc pas d’exiger plus, mais de rassurer davantage.
🎯 Comment aider un enfant traumatisé à apprendre ?
🌿 En recréant des routines stables : elles apaisent et sécurisent.
🕊 En valorisant l’effort, pas le résultat.
💬 En offrant du temps et de la patience.
Un enfant qui se sent en sécurité peut enfin mobiliser ses ressources cognitives.
C’est alors que la curiosité renaît, que la mémoire s’ouvre, que l’envie d’apprendre revient.

🧡 L’école ne devrait jamais être un lieu où l’on survit, mais un lieu où l’on se reconstruit.

Reconnaître les signes de traumatisme chez l’enfantet comprendre ce qui se joue dans son cerveauUn enfant blessé ne dit ...
18/11/2025

Reconnaître les signes de traumatisme chez l’enfant
et comprendre ce qui se joue dans son cerveau

Un enfant blessé ne dit pas toujours qu’il souffre.
Souvent, c’est son cerveau qui parle à travers ses comportements :
agitation, colère, anxiété, repli, hypervigilance.

Les recherches en neurosciences montrent aujourd’hui que la maltraitance modifie durablement la structure et le fonctionnement du cerveau, laissant des traces profondes qui influencent toute la vie.

🧩 Ce que la science nous apprend :
– Le volume de l’hippocampe, qui régule le stress et la mémoire, est souvent diminué.
– L’amygdale, qui détecte les menaces, devient hyperactive :
l’enfant reste en état d’alerte, même quand il n’est plus en danger.
– Le cortex préfrontal, qui aide à planifier et à réguler les émotions, se développe de manière anormale, rendant la régulation émotionnelle difficile.
– Et les connexions entre ces zones deviennent instables :
le cerveau apprend à survivre, pas à se sentir en sécurité.

Ces altérations expliquent pourquoi l’enfant peut :
😔 s’isoler ou se replier,
😡 réagir avec une intensité démesurée,
😢 avoir du mal à se concentrer ou à mémoriser,
💬 ou encore développer une peur du regard des autres.

Ce n’est pas de la “mauvaise volonté” — c’est un cerveau façonné par la peur.
Un cerveau qui a appris à se protéger plutôt qu’à apprendre.

🧡 Le premier pas pour réparer, c’est offrir de la sécurité affective :
de la prévisibilité, de la douceur, une présence constante.
C’est ce qui permet peu à peu au cerveau de sortir de l’alerte.

🌿 L’enfant blessé n’a pas besoin de punition : il a besoin de sécurité, de sens et de lien.
👉 La semaine prochaine, nous verrons comment ces blessures évoluent à l’adolescence et comment accompagner un jeune marqué par un passé douloureux.

Défi Bonheur 🎶 Je choisis une musique et je crée une chorégraphieCette semaine, le défi nous invite à bouger, à rire, à ...
16/11/2025

Défi Bonheur
🎶 Je choisis une musique et je crée une chorégraphie
Cette semaine, le défi nous invite à bouger, à rire, à ressentir.
Choisis une musique que tu aimes… et invente une petite chorégraphie !
L’objectif n’est pas la performance, mais la libération émotionnelle :
🩰 se reconnecter à son corps,
💬 exprimer ce qu’on ne dit pas toujours avec les mots,
🎵 partager un moment de joie, en famille ou seul.
Tu peux même proposer à chacun de créer un geste symbolique qui représente son humeur du jour.
Parce qu’à travers le mouvement, on retrouve la légèreté, la créativité… et la confiance.
🌱 Ce Défi Bonheur fait partie de mon projet “52 Défis Bonheur à vivre en famille”, pour renforcer la joie, la complicité et le lien affectif.

Adres

Avenue Du Saphir 7
Braine-l'Alleud
1420

Openingstijden

Dinsdag 16:00 - 19:00
Woensdag 13:00 - 20:00
Donderdag 13:00 - 20:00
Zaterdag 09:00 - 13:30

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