Moi Émoi - Espace Bleu

Moi Émoi - Espace Bleu Thérapies énergétiques - Gestion des émotions/croyances limitantes/traumas. Burn out, SSPT, HPI - HPE

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À toutes les personnes que j’ai accompagnées, que j’accompagne encore inlassablement, et qui se reconnaîtront… dans leur...
06/02/2025

À toutes les personnes que j’ai accompagnées, que j’accompagne encore inlassablement, et qui se reconnaîtront… dans leur différence, la difficulté à se reconnaître, et à être reconnus ☺️🥰

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"George Orwell disait : « La plus terrible solitude n’est pas celle qui naît de l’isolement, mais celle qui naît de l’incompréhension. »

Ce n’est pas le vide du silence qui pèse, mais le tumulte d’un monde qui ne vous entend pas vraiment. Vous êtes là, entouré de visages, riez quand il le faut, parlez quand on l’attend, et pourtant, au fond de votre cœur, vous vous sentez invisible. Vous avez l’impression que les parts les plus vraies, les plus brutes, les plus merveilleusement complexes de vous-même restent dans l’ombre, incomprises, ignorées.

C’est une douleur différente, une douleur qui s’enracine dans l’âme. Ce n’est pas l’absence d’une présence qui manque, mais celle d’une véritable connexion, ce lien profond qui vous fait sentir pleinement vu. Ce n’est pas un manque d’amour, mais un manque de reconnaissance – celle d’être accepté pour tout ce que vous êtes, sans filtre, sans devoir vous modeler selon la perception des autres.

Être incompris, c’est se sentir déconnecté, comme si vous parliez une langue étrangère que personne autour de vous ne comprend. Vous criez votre vérité dans le vide, espérant qu’elle résonnera quelque part, qu’une réponse viendra. Mais en retour, il n’y a que des regards vides, des hochements de tête distraits, ou pire, des interprétations erronées de qui vous êtes. Le monde effleure la surface, alors que vous rêvez que quelqu’un plonge dans vos profondeurs pour nager à vos côtés.

Dans ces instants, le doute s’installe. Vous vous demandez : « Est-ce moi le problème ? » ou « Dois-je changer pour être compris ? » La tentation est grande de vous transformer, de limer vos angles, d’adoucir vos couleurs pour correspondre aux attentes. Mais même là, la solitude persiste. Car en cherchant à vous conformer, vous perdez des fragments de vous-même, devenant peu à peu une ombre, un écho de votre véritable essence.

La solitude la plus profonde n’est pas l’absence de compagnie ; c’est l’absence de regard, d’un regard qui vous comprend.

Être réellement compris, c’est goûter à une connexion qui transcende les mots. C’est quand quelqu’un plonge son regard dans le vôtre et voit ce que vous cachez – vos cicatrices, vos rêves, vos incertitudes – et choisit de rester. C’est entendre non seulement vos paroles, mais les émotions qu’elles portent. C’est ce moment où vous n’avez plus besoin de vous expliquer, car l’autre sait déjà.

Pourtant, dans cette solitude poignante, il y a une force. Celle de rester fidèle à soi-même, même lorsque personne ne semble la voir. Celle de refuser de se dissoudre dans les attentes des autres. Vous pouvez vous sentir invisible, mais votre essence – cette lumière, cette flamme, cette complexité – demeure intacte. Elle attend, patiemment, les bonnes personnes, celles qui vous verront pour ce que vous êtes vraiment et qui chériront cela.

Le cadeau caché de l’incompréhension, c’est qu’elle vous apprend à vous comprendre vous-même. Dans l’absence de liens, vous devenez votre propre ancre. Vous apprenez à nourrir votre âme, à célébrer votre singularité et à protéger votre vérité. Et au fil du temps, alors que vous embrassez votre authenticité, le monde commence à changer.

Les connexions véritables, celles qui vous voient dans toute votre profondeur, arrivent souvent à l’improviste. Elles dépassent la surface, touchent votre cœur et écoutent avec l’âme. Ces rencontres vous rappellent que vous n’étiez pas destiné à disparaître dans l’ombre ; vous étiez fait pour briller.

Alors, même au creux de cette solitude terrible, accrochez-vous à votre lumière. Refusez de vous éteindre. Faites-la rayonner, même si personne ne semble la voir pour l’instant. Ceux qui sont destinés à la percevoir – vos âmes sœurs – vous trouveront. Et ce jour-là, vous comprendrez que l’attente, la douleur et la solitude étaient les étapes d’un chemin vers quelque chose de profondément beau.

Être pleinement vu, pleinement compris, c’est être célébré dans son entièreté. C’est le remède à la solitude.
Tenez bon. Brillez. Vous êtes vu, même si ce n’est pas encore par le monde."

-George Orwell.
Infographie : Sarah Treanor

Merci à la page : Le monde littéraire

Sans voix en effet… Merci ☺️
30/12/2024

Sans voix en effet…
Merci ☺️

Ce poème touche l'âme et laisse sans voix...
Écrit par Silvia Schmitt, penseuse allemande.

J’ai dû accepter…
Accepter que le temps, cet insaisissable mystère, échappe à ma compréhension,
et que l’éternité demeure une énigme pour mon esprit mortel.
J’ai dû accepter que mon corps, fragile enveloppe,
n’était pas immortel, qu’il vieillirait,
et qu’un jour, il s’éteindrait doucement.

J’ai dû accepter que nous sommes faits de souvenirs et d’oubli,
de vœux inachevés, de bruits et de silences,
de murmures éphémères et de nuits étoilées.
De petites histoires, tissées dans l’ombre des détails subtils.

J’ai dû comprendre que tout est passager,
que rien ne dure éternellement.
Et j’ai dû accepter que ma venue au monde avait un sens,
que j’étais là pour donner le meilleur de moi-même,
pour semer des traces de lumière
avant de m’effacer dans le grand silence.

J’ai dû accepter que mes parents ne seraient pas éternels,
que mes enfants, un jour, prendraient leur envol,
traçant leur propre chemin loin de moi.
Ils ne m’appartenaient pas, comme je l’avais cru un instant.
Leur liberté d’aller, de venir, de choisir,
était un droit aussi précieux que ma tendresse pour eux.

J’ai dû accepter que tout ce que je possédais
n’était qu’un prêt,
que rien ici-bas ne m’appartenait vraiment.
Tout, comme ma propre existence, était éphémère,
destiné à être transmis,
laissé aux mains d’autres âmes,
quand je ne serai plus là.

J’ai dû accepter que balayer mon trottoir chaque matin
n’était qu’un doux leurre,
un geste pour me convaincre que ce petit coin du monde
était mien, alors qu’il ne l’était pas.
Ma maison, mon refuge,
n’était qu’un toit passager,
un abri qui un jour accueillerait d’autres vies,
d’autres histoires.

J’ai dû comprendre que mon attachement aux choses,
aux êtres, aux lieux,
ne ferait que rendre plus douloureux
l’heure de mes adieux.
Que les arbres que j’ai plantés,
les fleurs que j’ai chéries,
les oiseaux que j’ai écoutés chanter,
n’étaient que des passants dans ma vie.
Tout comme moi, ils étaient mortels.

J’ai dû accepter mes failles,
mes fragilités,
ma condition d’être éphémère,
voué à disparaître,
tandis que la vie continuerait,
sans moi,
comme un fleuve insensible à ma mémoire.

Et j’ai dû accepter qu’un jour,
je serais oublié.

Prenons soin de notre âme,
car elle seule nous appartient.

Silvia Schmitt

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Rue Des Tonneaux, 8
Chaumont-Gistoux
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