Yoga et Nutrition avec Cécile

Le but principal de mon accompagnement est un rééquilibrage de votre assiette: y a-t-il assez d'aliments ressourçants (par opposition aux aliments industriels) ? Y a-t-il assez de végétaux? Y a-t-il assez de protéines (animales et/ou végétales)? Y a-t-il assez de (bonnes) graisses ? Quelle est la consommation de sucre et est-elle problématique?

Chez la majorité des gens, un rééquilibrage de l'assiette, et quelques rappels (le trempage des céréales et des légumineuses, la rotation des aliments, etc.) suffisent. Le côté pratique des choses, à savoir l’organisation en cuisine, n’est pas oublié non plus !

Parfois, une cure s'impose, que ce soit pour « décrasser l’organisme », ou pour calmer les compulsions alimentaires, ou pour améliorer sa digestion, ou pour perdre du poids, mais il n’y a pas de canevas tout fait et ça dépendra de chacun: certaines personnes ne sont pas du tout faites pour un changement radical, même pour quelques semaines, et préfèrent instaurer les changements petit à petit, en douceur.

C’est la spécificité de mon approche et de ce que je veux transmettre : vous respecter et ne pas vous mettre dans un cadre nutritionnel qui serait le même pour tous et qui ne vous conviendrait pas. Parce que ce n’est que comme cela que l’on peut équilibrer durablement son alimentation, à l’écoute de ses réels besoins, et se sentir mieux dans son corps (et dans sa tête !), tout simplement.

Côté yoga, je suis diplômée de deux écoles de yoga (Viniyoga en 2013 et François Raoult - lignée Iyengar en 2017), ce qui ne m'a pas empêchée, au fil des années, de suivre bon nombre de formations complémentaires dans le monde du yoga comme en Restorative Yoga ou avec Martine Le Chénic pour citer les plus récentes.

Le Viniyoga m’a apporté la douceur et le travail du souffle en lien avec le mouvement, la lignée Iyengar m’a apporté la précision anatomique et le travail postural. Avec Martine Le Chénic, un travail profond sur l’énergie du bassin s’amorce. De manière générale, j'essaie que le cours soit "équilibré": il y a un effort, bien sûr, mais aussi du relâchement. Cet équilibre dépendra aussi de l'état dans lequel les élèves arrivent: le jour où toutes mes élèves étaient en pleine période de jardinage et avaient toutes mal au dos, on a plus été dans le relâchement et dans l’ouverture; idem quand j'ai principalement des mères de famille au mois de juin en période d'examens de leur enfant ;-) Par contre, si les élèves sont en forme, ce sera plus dynamique. Le plus beau compliment, c’est lorsqu’un élève me dit à la sortie du cours qu’il se sent « délié », à la fois en mouvement et apaisé.

A nouveau, la bienveillance est primordiale pour moi, de même que le lien avec mes élèves qui se tisse au fil des cours. Je sais ainsi quand proposer un « plan B » à un élève, quand lui dire d’être plus doux avec lui-même… mais aussi quand lui dire qu’il peut aller un peu plus loin dans la posture ! C’est aussi pour cela que mes cours se donnent en petit nombre (9 élèves à Dworp, une quinzaine maximum à Uccle) : je sais que je ne pourrais pas donner cours à de grandes classes sans ressentir une certaine frustration de ne pas avoir pu porter attention à chacun de mes élèves.

Si j’ai choisi de transmettre ce que je sais en yoga et en nutrition, c’est parce que ces deux approches vont de pair pour un mieux-être. L’un vient en soutien et en renforcement de l’autre, et vice-versa. Pour reprendre l’analogie utilisée par Taty Lauwers, l’ampoule électrique est la nutrition, et l’interrupteur le travail bioénergétique comme le yoga (et/ou le shiatsu, l’acupuncture, le travail en psychanalyse, l’homéopathie, etc.) : les deux doivent fonctionner pour que l’énergie soit optimale.

Dans les deux approches, je vous apprends à renouer avec vos sensations corporelles, avec votre être profond ; on fait la paix avec son corps et on le respecte.

J'essaie de transmettre de façon simple, pédagogique et bienveillante ce que j'apprends dans le cadre des cours de groupe, et dans le cadre des consultations privées (en yoga et/ou en nutrition).

Je ne suis donc ni médecin, ni kinésithérapeute, ni ostéopathe, et n'ai pas vocation à les remplacer, mais j’espère apporter ma petite pierre en complément. Mes premiers métiers (avocate et médiatrice en droit commercial et financier; assistante en méthodologie juridique, ainsi qu'en droit des obligations et des contrats spéciaux) m'ayant orientée vers une certaine rigueur, un esprit critique, je compare mes sources et les comprends avant de les transmettre. Issue d'une famille d'enseignants, et étant moi-même titulaire de l'agrégation, la transmission est en effet une valeur essentielle pour moi.