Absolem Formations en hypnose

Absolem Formations en hypnose ABSOLEM FORMATIONS : expert en gestion des traumas et blessures de vie.

Nous formons à HyCSI, une approche douce et puissante qui désensibilise, favorise la reconstruction identitaire et s’appuie sur un abord particulier des états de conscience modifiés.

Utiliser l’hypnose conversationnelle stratégique intégrative en thérapie c’est entrer dans le monde de l’inconscient, là...
07/12/2025

Utiliser l’hypnose conversationnelle stratégique intégrative en thérapie c’est entrer dans le monde de l’inconscient, là où tout est possible.
C’est créer un nouveau mode de communication entre thérapeute et patient.e, où le langage est plus souple, plus fluide, plus vibrant.
C’est partir du principe, comme le faisait Erickson, que l’inconscient de la personne qui est devant nous connait la solution et que le.la thérapeute lui fait une entière confiance en prenant la posture d’un guide attentif au service de l’objectif de la thérapie.
Et puis voilà que, durant une séance, il arrive que l’inconscient s’impose pour protéger la personne : ainsi l’apparition d’une anesthésie physique, d’une anesthésie émotionnelle, d’une catalepsie, d’une hébétude… annonce souvent l’émergence d’un souvenir douloureux qu’on pourra désensibiliser en douceur puisque la protection dissociative s’est mise en place.
Et puis parfois, la protection qui émerge est symbolique. On a ainsi la surprise de voir l’inconscient de la personne prendre totalement la main et « vivre sa vie » un peu comme dans les rêves.
La symbolisation intervient alors comme un filtre qui recouvre la réalité pour la transformer en toute sécurité. Comme cette patiente qui me dit porter un sac à dos trop lourd, mais lorsqu’elle l’ouvre en hypnose y découvre de nombreux oiseaux qui s’envolent tandis que le sac à dos lui-même se transforme en ailes…Comme ce monsieur qui découvre qu’il y a un reptile dans son estomac qui cache sa lumière intérieure. Comme cette dame qui, alors que j’essaye de l’amener vers les nombreuses scènes traumatiques de son existence, se transforme en elfe et se laisse emporter dans une aventure onirique où les animaux et les arbres viennent à chaque fois la sauver.
Et lorsque la séance est terminée et que thérapeute et patient.e sont un peu étonnés de ce qui s’y est passé, il est inutile de chercher une interprétation. Il suffit juste de vérifier que les symptômes pour lesquels la personne est venue consulter disparaissent. Et c’est toujours le cas, car la symbolisation favorise les histoires médecines personnelles qui guérissent …
Bérangère Lhomme – Absolem Formations

Il y a des blessures que l’on ne voit pas. Des cicatrices invisibles, qui ne marquent pas la peau mais l’âme. La violenc...
30/11/2025

Il y a des blessures que l’on ne voit pas. Des cicatrices invisibles, qui ne marquent pas la peau mais l’âme. La violence faite aux femmes ne s’arrête pas au premier coup. Elle s’installe bien avant, dans l’attente… Dans cette hypervigilance constante ressentie à chaque infime variation dans la voix, chaque regard un peu trop appuyé, chaque changement soudain de comportement de l’autre devient une alerte. Alors on calcule, on réfléchi et on soupèse chaque mot, chaque geste, chaque rire… pour éviter le pire.

C’est le traumatisme de la peur permanente est sans doute le plus insidieux. La peur de sentir l’orage avant qu’il n’éclate. Une peur qui enferme dans le silence, qui oblige à présenter un sourire au monde alors que tout tremble à l’intérieur.

Dans nos cabinets de thérapie, nous rencontrons ces femmes. Très vite nous percevons de bribes de la sidération, ce réflexe qui fige, qui empêche de réagir, qui les laisse prisonnières d’un scénario trop souvent rejoué. Et pourtant, il existe des chemins pour en sortir progressivement, pour réapprendre à se protéger.

Avec l’hypnose conversationnelle, nous pouvons ouvrir ces chemins-là. En tant que thérapeute, j’accompagne régulièrement ces femmes à sortir des automatismes de la peur, à reprendre le contrôle de ces phénomènes protecteurs pour ne plus les subir, à réinventer une façon de se tenir debout face au monde. Pas pour oublier (car on n’oublie pas), mais pour transformer les mémoires traumatiques, pour rerouver un peu de sécurité intérieure, et renouer avec une force qu’elles croyaient perdue.

C’est pour cela que nous formons à l’HyCSI. Parce que chaque femme mérite d’être entendue, accompagnée et guidée vers une manière nouvelle d’exister, loin de la sidération et plus proche de sa propre puissance.

Sandra Depasse Absolem Formations en hypnose

« J’ai impression de ne pas avoir ma place dans cette famille, je ne suis pas comme eux et je me sens rejetée… »« Des fo...
23/11/2025

« J’ai impression de ne pas avoir ma place dans cette famille, je ne suis pas comme eux et je me sens rejetée… »
« Des fois, je me demande vraiment si je n’ai pas été adopté… »
« Mes parents et ma sœur ne m’ont jamais comprise… »
Ces phrases je les entends souvent en séance. Et si ce n’est pas simple de se sentir en décalage par rapport au monde dans lequel on vit, c’est encore plus difficile de se sentir en décalage par rapport à sa propre famille. Parce que cela engendre de la culpabilité, de l’incompréhension et beaucoup de souffrances. Et puis cette sensation de ne jamais être assez bien qui colle au corps et à l’âme. Et puis cette colère refoulée, ces larmes ravalées, ce mouvement inconfortable et destructeur qui pousse à être quelqu’un d’autre que soi pour être intégré.e, pour être reconnu.e, pour « appartenir » et être aimé.e, enfin.
En séance, c’est le moment où nous renouons avec les histoires-médecines (bien connues des chamanes) qui, parce qu’elles sont universelles, se déposent au creux de l’inconscient pour l’aider à guérir.
On évoquera le vilain petit canard moqué et maltraité avant de comprendre qu’il est un merveilleux cygne (signe ?). On parlera des moutons noirs, qui irritent et dérangent parce qu’ils ne se conforment pas aux règles et aux croyances de la famille, et qui sont en fait les libérateurs de leur arbre généalogique tout entier.
Au-delà des histoires-médecines, l’hypnose conversationnelle stratégique et intégrative permettra d’accepter cette différence portée en soi comme un fardeau, de la comprendre dans ce qu’elle a d’essentiel et de la transcender pour en faire un outil de développement personnel, familial et humanitaire : c’est parce que ces « enfants révélateurs » mettent en lumière les dysfonctionnements systémiques, les secrets, les mensonges et les hypocrisies, qu’ils donnent aux adultes la possibilité de «grandir » et d’évoluer vers une meilleure version d’eux-mêmes.
Alors, si vous vous reconnaissez dans ce portrait, renouez avec votre puissance et si vous reconnaissez un membre de votre famille, laissez-vous traverser, inspirer et révéler par sa différence qui bouscule.
Bérangère Lhomme – Absolem Formations

Il m’arrive de me demander si nous habitons vraiment le même monde. Peut-être n’existe-t-il pas un univers unique, mais ...
16/11/2025

Il m’arrive de me demander si nous habitons vraiment le même monde. Peut-être n’existe-t-il pas un univers unique, mais autant de mondes que de consciences pour les assembler. Chacun, par sa manière de ressentir, de relier, de donner sens, devient un univers à part entière. Cohérent. Vivant.

Quand je me laisse toucher par les mouvements d’un état de conscience, sans chercher à les corriger, une bascule s’opère. Une ouverture. Comme si, à travers l’autre, je pouvais entrevoir une totalité, une manière d’être au monde jusque-là inconnue.

C’est cela, je crois, que le regard de l’hypnothérapeute cherche à percevoir : non pas un symptôme, mais une logique intérieure, une danse subtile. Il ne s’agit pas d’imposer, mais d’inviter à explorer, à écouter, à se laisser transformer. Une danse à deux entre le patient et le thérapeute.

Chaque métier façonne une perception. Le photographe capte la lumière avant le sujet. La danseuse ressent les déséquilibres. Le jardinier devine la fatigue de la terre. L’hypnose, elle, m’a appris à observer les états de conscience comme des mouvements subtils, presque imperceptibles, mais profondément révélateurs.

Le monde nous traverse sans cesse : sons, images, sensations… Nos sens captent, notre cerveau assemble, souvent sans notre accord conscient. C’est ainsi que se construit notre manière d’être au monde. Quand le regard s’affine, une interaction apparaît entre ce que nous sommes et ce que le monde nous propose. Une subjectivité se forme, mouvante, fragile.

Avec l’hypnose conversationnelle HyCSI©, nous apprenons à entrer dans les univers intérieurs. Chaque personne porte en elle un monde singulier, façonné par ses ressentis, ses perceptions, ses manières d’assembler le réel. Et pourtant, dans ces mondes si différents, nous retrouvons les mêmes mécanismes de protection, les mêmes chemins de souffrance. Une trame universelle, qui relie les êtres sans jamais les confondre.

Et parfois, dans cette danse silencieuse, une cohérence se révèle. Chaque personne devient un monde singulier, relié à cette trame universelle. C’est cela que nous enseignons : comment lire ces univers, reconnaître ce qui nous relie, et accompagner avec justesse ce qui rend chacun unique.

Sandra Depasse – Absolem Formations

Il y a 15 jours j’abordais le concept très controversé du Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP) et son impact sur les...
09/11/2025

Il y a 15 jours j’abordais le concept très controversé du Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP) et son impact sur les mères au sein de la justice ( lien vers l'article en commentaire).
Il me parait important d‘aller un pas plus loin. Comme souvent lorsqu’on aborde la manipulation on se rend compte que les mots sont « détournés » pour servir et protéger les vrai.e.s manipulateurs.trices (MPN). Ainsi le terme manipulateur pervers narcissique, si souvent dévoyé, protège aujourd’hui celles et ceux qui entrent pourtant dans cette « catégorie ». De ce fait, si vous tentez d’échapper à leur emprise pour protéger vos enfants, surtout ne prononcez pas les mots emprise et perversité narcissique devant la justice, cela se retournera immédiatement contre vous et vous renverra à la case « SAP ».
Et pourtant, à la suite d’une séparation, la manipulation exercée sur les enfants par le parent toxique afin de continuer à briser le parent sain existe bel et bien. Elle est systématiquement le fait des MPN et est aujourd’hui nommée par les spécialistes de la protection de l’enfance «contrôle coercitif post-séparation ».
Oui c’est complexe, à l’image de l’enfer vécu par un parent sain face à un parent toxique !
Ainsi, le parent toxique va rendre l’enfant petit à petit dépendant de lui et de son discours à l’égard de l’autre parent et utilise, pour se faire, une autorité tyrannique et les techniques classiques de manipulation. Il va donc disqualifier l’autre parent pour que l’enfant le perçoive au travers de son regard à lui et surtout il va conditionner son amour au fait que l’enfant déteste le parent sain. L’enfant ainsi instrumentalisé devient le bras armé du parent toxique. Il va adopter sa façon de penser, mais aussi ses « stratégies » et grandir dans un environnement pervers et destructeur où il est contraint de renoncer à une part de lui-même en devant renoncer à l’amour qu’il porte pourtant au parent sain.
L’hypnose conversationnelle HyCSI offre des outils de compréhension et d’action pour les parents victimes, afin qu’ils puissent eux-mêmes aider leurs enfants à comprendre l’emprise dans laquelle ils sont et en sortir.
Bérangère Lhomme- Absolem Formations

Il y a des moments dans l’année où le monde semble respirer autrement. Où le vent murmure des prénoms oubliés. Où les om...
02/11/2025

Il y a des moments dans l’année où le monde semble respirer autrement. Où le vent murmure des prénoms oubliés. Où les ombres dansent un peu plus près de nous. Ces jours où, dit-on, le voile entre les vivants et les morts devient si fin qu’on pourrait presque le soulever du bout des doigts… juste pour dire : « Tu me manques. »

Dans toutes les cultures traditionnelles, on sait cela. On le célèbre. On prépare des offrandes, on allume des bougies, on raconte des histoires. On fait de la place aux absents, comme on tire une chaise pour un invité attendu. Parce que la mort, là-bas, n’est pas une fin. Elle est un passage. Une transformation. Une autre forme de présence.

Mais ici, dans nos sociétés occidentales, on a perdu ce lien. On a mis les morts dans des cases, des pierres, des silences. On a oublié qu’ils peuvent encore vivre à travers nous. Dans une recette de tarte aux pommes, dans une expression qui nous échappe, dans un geste de tendresse appris sans le savoir. Dans les « trucs et astuces » de grand-mère, dans les chansons fredonnées sans comprendre pourquoi elles nous émeuvent autant.

En hypnose conversationnelle HyCSI, on réapprend à écouter ces murmures. À remettre les morts dans la vie des vivants. À leur redonner une place, non pas dans la douleur, mais dans la mémoire active, dans le cœur qui bat encore. On les invite à revenir, non pas pour hanter, mais pour accompagner. Pour transmettre. Pour réparer.

Parce que le deuil, ce n’est pas oublier. C’est transformer l’absence en présence subtile. C’est faire de la place à l’invisible. C’est accepter que l’amour ne meurt pas, même quand le corps s’en va.

Et parfois, dans une séance, il suffit d’un mot, d’un soupir, d’une image… pour que le voile s’ouvre un instant. Et que l’on sente, là, tout près, une main sur notre épaule. Une chaleur familière. Une réponse attendue.

Alors, en cette saison où les portes s’entrouvrent, prenons le temps. De parler d’eux. De les faire vivre encore. De les inviter à notre table intérieure.

Car ils ne sont jamais vraiment partis. Ils attendent juste qu’on se souvienne.

Sandra Depasse Absolem Formations

Quand la justice protège les agresseurs et punit les mères …En tant que thérapeute, j’aide régulièrement des mères qui t...
26/10/2025

Quand la justice protège les agresseurs et punit les mères …
En tant que thérapeute, j’aide régulièrement des mères qui tentent de protéger leurs enfants de leur père violent (physiquement mais aussi psychologiquement dans le cas de manipulation et d’emprise) et parfois incestueux.
Généralement, je constate avec impuissance et horreur que, lorsque ces femmes quittent le père de leurs enfants pour les protéger, lorsqu’elles dénoncent à la justice la maltraitance, les attouchements et l’inceste, la justice se retourne souvent contre elles et protège les agresseurs.
Ce qui motive cette « in-justice » ? le Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP), un concept inventé dans les années 1980 par le psychiatre Richard Garner dans un contexte où les tribunaux américains voyaient une augmentation des dénonciations d’abus sexuels sur enfants dans les affaires de divorce. Selon Gardner, qui tenait des propos minimisant la gravité de la pédophilie, beaucoup de ces accusations étaient “inventées” par des mères pour obtenir la garde des enfants.
Dès l’origine, sa théorie a donc servi à discréditer les victimes et à protéger les agresseurs et, pourtant, même si ce concept n’a jamais été reconnu scientifiquement, même s’il est dénoncé dans ses dérives par l’ONU et le Conseil de l’Europe, il continue à contaminer nos tribunaux.
Ainsi, aujourd’hui encore, quand une mère dénonce des violences, on l’accuse d’“influencer” son enfant. Le parent violent devient victime et la mère protectrice devient coupable.
En Belgique, la Ligue des Familles a recensé 59 décisions récentes où ce concept a été utilisé pour retirer la garde à des mères.
Il est temps d’ouvrir les yeux et de diffuser l’information pour faire en sorte que la justice cesse de brandir régulièrement un mythe qui punit celles qui protègent.
Croire enfin les mères, c’est aussi sauver les enfants.
Bérangère Lhomme – Absolem formations

Nous venons de terminer un cycle de quatre jours de Master class en Hypnose Ericksonnienne Transpersonnelle et et d’acco...
26/10/2025

Nous venons de terminer un cycle de quatre jours de Master class en Hypnose Ericksonnienne Transpersonnelle et et d’accompagnement en Respiration Holotropique avec Nicolas Dumont et Joseph Aguilar-Dumont.
Gratitude pour ces quatre jours intenses, transcendants et dans un accueil et une bienveillance infinie.
Vivement la prochaine Master class en janvier 2026.
🙏☀️🌺

Il y a des vies qui ont appris à se taire. Des présences qui se sont effacées pour ne pas déranger. Des enfants devenus ...
19/10/2025

Il y a des vies qui ont appris à se taire. Des présences qui se sont effacées pour ne pas déranger. Des enfants devenus adultes sans avoir jamais été regardés vraiment. Pas de chaos, juste l’absence. L’absence de validation, de sécurité, d’amour inconditionnel.

Ce que nous appelons en thérapie le pattern d’existence. Une empreinte silencieuse, mais tenace. Quand on n’a pas été reconnu, on croit qu’on n’a pas le droit d’exister.

Alors on devient docile. On plie. On tolère l’intolérable. On croit que le respect est un luxe, que l’amour se mérite. Et on s’oublie.

Mais un jour, quelque chose se lève. Une colère. Pas celle qui détruit. Celle qui réveille. Celle qui dit : « Stop. Je suis là! J’existe!! »

Avec l’hypnose, cette colère est précieuse et nous la rencontrons. Elle est le signal que le système nerveux sort du figement. Qu’il retrouve sa capacité à poser des limites, à dire non, à se choisir.

Il m’arrive souvent, en tant que thérapeute, d’accompagner cette souffrance-là : La souffrance de l’indifférence.
Pour aider les personnes à se remettre en lien… avec elles-mêmes. Pour qu’elles se choisissent avant de choisir l’autre.

Avec notre approche en hypnose, nous allons chercher ces affects enfouis: colère, tristesse, honte, ... pour les transformer en force de vie. En moteur de résilience. Car ce qui a été nié peut devenir sacré. Et ce qui a été tu peut devenir parole.

Se respecter, c’est parfois faire le deuil d’un amour conditionnel. C’est créer un espace intérieur qui ne dépend plus du bon vouloir de l’autre. C’est reprendre le pouvoir sur son territoire.

Chez Absolem, nous formons des thérapeutes à accompagner cette traversée avec notre modèle HyCSI. Pour que chacun puisse retrouver son droit d’exister.
Et renaître à soi.

Sandra Depasse Absolem Formations

16/10/2025
On a beau se dire que ça arrivera un jour et essayer de s’y préparer, le choc est rude. Pendant 18 ans au moins ils et e...
12/10/2025

On a beau se dire que ça arrivera un jour et essayer de s’y préparer, le choc est rude.
Pendant 18 ans au moins ils et elles sont au centre de notre vie, au cœur de nos préoccupations et de nos conversations.
Parfois ça touche les deux parents, souvent plus les mères. Disons que ça frappe de plein fouet le parent qui est dans le soin : celui qui nourrit, qui lave, qui prend les rdvs médicaux, qui borde le soir et se relève la nuit, qui est à l’affut de tous les signes qui pourraient signifier qu’ils ou elles vont un peu moins bien…
Et puis un jour notre bébé (qui, dans notre cœur, le restera éternellement) se barre pour de bon, part vivre sa vie sans nous. Voilà.
Bien sûr il y a eu des signes avant-coureurs.
Quand il ou elle n’a plus voulu être déposé.e juste devant l’école, n’a plus voulu de nos câlins intempestifs, n’a plus voulu partir en vacances avec nous.
Quand il ou elle a trouvé que ce serait quand même tellement plus pratique pour « étudier » d’avoir une chambre « en ville » tout en promettant de revenir à la maison du vendredi au dimanche, puis du samedi au dimanche, puis juste le dimanche, puis plus du tout. Quand sa maison n’a plus été la nôtre.
Durant cette période, comme pour retenir le temps qui file, bien sûr qu’on a développé un gout désespéré pour la cuisine, la lessive et le repassage : « attends ! Je t’ai fait des tupperware », « n’oublie pas de me ramener ton linge ! » …
Mais le temps file inexorablement et ces derniers petits liens cassent. Et c’est normal. Et c’est sain. Et c’est la vie et on le sait.
Alors on n’ose rien dire, même si ça fait un mal de chien. On réprime, on déprime et on pleure les jours d’avant. On met du temps à réinvestir leur chambre. On ne sait plus comment vivre en couple. On traverse un véritable effondrement.
Parce que l’hypnose explore les fibres de l’inconscient, elle permet d’accompagner au mieux le parent atteint du syndrome du nid vide avec des outils simples et efficaces pour construire un autre lien, protéger « à distance », mettre du baume au cœur et reconstruire la joie dans sa vie.
Bérangère Lhomme – Absolem Formations

ça n'est pas un reportage facile à regarder. Mais fermer les yeux c'est permettre à l'inceste de continuer en toute impu...
10/10/2025

ça n'est pas un reportage facile à regarder.
Mais fermer les yeux c'est permettre à l'inceste de continuer en toute impunité. C'est aussi laisser la justice appliquer quasi systématiquement un traitement discriminatoire à l'égard des mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle: lorsqu'elles dénoncent avec preuves à l'appui, la justice se retournent contre elles les accusant d'être paranos, hystériques, mères louves aliénantes et menace de leur retirer la garde de leurs enfants.
Dans le reportage ça se passe en France, mais c'est exactement pareil en Belgique.
En tant que thérapeutes et formatrices nous avons accompagné et accompagnons ces mères au courage et à la détermination sans faille et leur enfants victimes. Nous pouvons témoigner que ces histoires terribles et "inimaginables" sont malheureusement fréquentes .
Pour que cesse cette maltraitance incestueuse et judiciaire il faut sortir la tête du sable. Ignorer, c'est protéger les violeurs. Bérangère Lhomme - Absolem Formations

Premier opus de la nouvelle série de Pierre Barnérias, à retrouver ici tous les dimanches : Que se passe-t-il quand une maman réussit à avoir les preuves mat...

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