Absolem Formations en hypnose

Absolem Formations en hypnose ABSOLEM FORMATIONS : expert en gestion des traumas et blessures de vie.

Nous formons à HyCSI, une approche douce et puissante qui désensibilise, favorise la reconstruction identitaire et s’appuie sur un abord particulier des états de conscience modifiés.

Il y a 15 jours j’abordais le concept très controversé du Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP) et son impact sur les...
09/11/2025

Il y a 15 jours j’abordais le concept très controversé du Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP) et son impact sur les mères au sein de la justice ( lien vers l'article en commentaire).
Il me parait important d‘aller un pas plus loin. Comme souvent lorsqu’on aborde la manipulation on se rend compte que les mots sont « détournés » pour servir et protéger les vrai.e.s manipulateurs.trices (MPN). Ainsi le terme manipulateur pervers narcissique, si souvent dévoyé, protège aujourd’hui celles et ceux qui entrent pourtant dans cette « catégorie ». De ce fait, si vous tentez d’échapper à leur emprise pour protéger vos enfants, surtout ne prononcez pas les mots emprise et perversité narcissique devant la justice, cela se retournera immédiatement contre vous et vous renverra à la case « SAP ».
Et pourtant, à la suite d’une séparation, la manipulation exercée sur les enfants par le parent toxique afin de continuer à briser le parent sain existe bel et bien. Elle est systématiquement le fait des MPN et est aujourd’hui nommée par les spécialistes de la protection de l’enfance «contrôle coercitif post-séparation ».
Oui c’est complexe, à l’image de l’enfer vécu par un parent sain face à un parent toxique !
Ainsi, le parent toxique va rendre l’enfant petit à petit dépendant de lui et de son discours à l’égard de l’autre parent et utilise, pour se faire, une autorité tyrannique et les techniques classiques de manipulation. Il va donc disqualifier l’autre parent pour que l’enfant le perçoive au travers de son regard à lui et surtout il va conditionner son amour au fait que l’enfant déteste le parent sain. L’enfant ainsi instrumentalisé devient le bras armé du parent toxique. Il va adopter sa façon de penser, mais aussi ses « stratégies » et grandir dans un environnement pervers et destructeur où il est contraint de renoncer à une part de lui-même en devant renoncer à l’amour qu’il porte pourtant au parent sain.
L’hypnose conversationnelle HyCSI offre des outils de compréhension et d’action pour les parents victimes, afin qu’ils puissent eux-mêmes aider leurs enfants à comprendre l’emprise dans laquelle ils sont et en sortir.
Bérangère Lhomme- Absolem Formations

Il y a des moments dans l’année où le monde semble respirer autrement. Où le vent murmure des prénoms oubliés. Où les om...
02/11/2025

Il y a des moments dans l’année où le monde semble respirer autrement. Où le vent murmure des prénoms oubliés. Où les ombres dansent un peu plus près de nous. Ces jours où, dit-on, le voile entre les vivants et les morts devient si fin qu’on pourrait presque le soulever du bout des doigts… juste pour dire : « Tu me manques. »

Dans toutes les cultures traditionnelles, on sait cela. On le célèbre. On prépare des offrandes, on allume des bougies, on raconte des histoires. On fait de la place aux absents, comme on tire une chaise pour un invité attendu. Parce que la mort, là-bas, n’est pas une fin. Elle est un passage. Une transformation. Une autre forme de présence.

Mais ici, dans nos sociétés occidentales, on a perdu ce lien. On a mis les morts dans des cases, des pierres, des silences. On a oublié qu’ils peuvent encore vivre à travers nous. Dans une recette de tarte aux pommes, dans une expression qui nous échappe, dans un geste de tendresse appris sans le savoir. Dans les « trucs et astuces » de grand-mère, dans les chansons fredonnées sans comprendre pourquoi elles nous émeuvent autant.

En hypnose conversationnelle HyCSI, on réapprend à écouter ces murmures. À remettre les morts dans la vie des vivants. À leur redonner une place, non pas dans la douleur, mais dans la mémoire active, dans le cœur qui bat encore. On les invite à revenir, non pas pour hanter, mais pour accompagner. Pour transmettre. Pour réparer.

Parce que le deuil, ce n’est pas oublier. C’est transformer l’absence en présence subtile. C’est faire de la place à l’invisible. C’est accepter que l’amour ne meurt pas, même quand le corps s’en va.

Et parfois, dans une séance, il suffit d’un mot, d’un soupir, d’une image… pour que le voile s’ouvre un instant. Et que l’on sente, là, tout près, une main sur notre épaule. Une chaleur familière. Une réponse attendue.

Alors, en cette saison où les portes s’entrouvrent, prenons le temps. De parler d’eux. De les faire vivre encore. De les inviter à notre table intérieure.

Car ils ne sont jamais vraiment partis. Ils attendent juste qu’on se souvienne.

Sandra Depasse Absolem Formations

Quand la justice protège les agresseurs et punit les mères …En tant que thérapeute, j’aide régulièrement des mères qui t...
26/10/2025

Quand la justice protège les agresseurs et punit les mères …
En tant que thérapeute, j’aide régulièrement des mères qui tentent de protéger leurs enfants de leur père violent (physiquement mais aussi psychologiquement dans le cas de manipulation et d’emprise) et parfois incestueux.
Généralement, je constate avec impuissance et horreur que, lorsque ces femmes quittent le père de leurs enfants pour les protéger, lorsqu’elles dénoncent à la justice la maltraitance, les attouchements et l’inceste, la justice se retourne souvent contre elles et protège les agresseurs.
Ce qui motive cette « in-justice » ? le Syndrome de l’Aliénation Parentale (SAP), un concept inventé dans les années 1980 par le psychiatre Richard Garner dans un contexte où les tribunaux américains voyaient une augmentation des dénonciations d’abus sexuels sur enfants dans les affaires de divorce. Selon Gardner, qui tenait des propos minimisant la gravité de la pédophilie, beaucoup de ces accusations étaient “inventées” par des mères pour obtenir la garde des enfants.
Dès l’origine, sa théorie a donc servi à discréditer les victimes et à protéger les agresseurs et, pourtant, même si ce concept n’a jamais été reconnu scientifiquement, même s’il est dénoncé dans ses dérives par l’ONU et le Conseil de l’Europe, il continue à contaminer nos tribunaux.
Ainsi, aujourd’hui encore, quand une mère dénonce des violences, on l’accuse d’“influencer” son enfant. Le parent violent devient victime et la mère protectrice devient coupable.
En Belgique, la Ligue des Familles a recensé 59 décisions récentes où ce concept a été utilisé pour retirer la garde à des mères.
Il est temps d’ouvrir les yeux et de diffuser l’information pour faire en sorte que la justice cesse de brandir régulièrement un mythe qui punit celles qui protègent.
Croire enfin les mères, c’est aussi sauver les enfants.
Bérangère Lhomme – Absolem formations

Nous venons de terminer un cycle de quatre jours de Master class en Hypnose Ericksonnienne Transpersonnelle et et d’acco...
26/10/2025

Nous venons de terminer un cycle de quatre jours de Master class en Hypnose Ericksonnienne Transpersonnelle et et d’accompagnement en Respiration Holotropique avec Nicolas Dumont et Joseph Aguilar-Dumont.
Gratitude pour ces quatre jours intenses, transcendants et dans un accueil et une bienveillance infinie.
Vivement la prochaine Master class en janvier 2026.
🙏☀️🌺

Il y a des vies qui ont appris à se taire. Des présences qui se sont effacées pour ne pas déranger. Des enfants devenus ...
19/10/2025

Il y a des vies qui ont appris à se taire. Des présences qui se sont effacées pour ne pas déranger. Des enfants devenus adultes sans avoir jamais été regardés vraiment. Pas de chaos, juste l’absence. L’absence de validation, de sécurité, d’amour inconditionnel.

Ce que nous appelons en thérapie le pattern d’existence. Une empreinte silencieuse, mais tenace. Quand on n’a pas été reconnu, on croit qu’on n’a pas le droit d’exister.

Alors on devient docile. On plie. On tolère l’intolérable. On croit que le respect est un luxe, que l’amour se mérite. Et on s’oublie.

Mais un jour, quelque chose se lève. Une colère. Pas celle qui détruit. Celle qui réveille. Celle qui dit : « Stop. Je suis là! J’existe!! »

Avec l’hypnose, cette colère est précieuse et nous la rencontrons. Elle est le signal que le système nerveux sort du figement. Qu’il retrouve sa capacité à poser des limites, à dire non, à se choisir.

Il m’arrive souvent, en tant que thérapeute, d’accompagner cette souffrance-là : La souffrance de l’indifférence.
Pour aider les personnes à se remettre en lien… avec elles-mêmes. Pour qu’elles se choisissent avant de choisir l’autre.

Avec notre approche en hypnose, nous allons chercher ces affects enfouis: colère, tristesse, honte, ... pour les transformer en force de vie. En moteur de résilience. Car ce qui a été nié peut devenir sacré. Et ce qui a été tu peut devenir parole.

Se respecter, c’est parfois faire le deuil d’un amour conditionnel. C’est créer un espace intérieur qui ne dépend plus du bon vouloir de l’autre. C’est reprendre le pouvoir sur son territoire.

Chez Absolem, nous formons des thérapeutes à accompagner cette traversée avec notre modèle HyCSI. Pour que chacun puisse retrouver son droit d’exister.
Et renaître à soi.

Sandra Depasse Absolem Formations

16/10/2025
ça n'est pas un reportage facile à regarder. Mais fermer les yeux c'est permettre à l'inceste de continuer en toute impu...
10/10/2025

ça n'est pas un reportage facile à regarder.
Mais fermer les yeux c'est permettre à l'inceste de continuer en toute impunité. C'est aussi laisser la justice appliquer quasi systématiquement un traitement discriminatoire à l'égard des mères qui tentent de protéger leurs enfants de la prédation sexuelle: lorsqu'elles dénoncent avec preuves à l'appui, la justice se retournent contre elles les accusant d'être paranos, hystériques, mères louves aliénantes et menace de leur retirer la garde de leurs enfants.
Dans le reportage ça se passe en France, mais c'est exactement pareil en Belgique.
En tant que thérapeutes et formatrices nous avons accompagné et accompagnons ces mères au courage et à la détermination sans faille et leur enfants victimes. Nous pouvons témoigner que ces histoires terribles et "inimaginables" sont malheureusement fréquentes .
Pour que cesse cette maltraitance incestueuse et judiciaire il faut sortir la tête du sable. Ignorer, c'est protéger les violeurs. Bérangère Lhomme - Absolem Formations

Premier opus de la nouvelle série de Pierre Barnérias, à retrouver ici tous les dimanches : Que se passe-t-il quand une maman réussit à avoir les preuves mat...

« Je me suis surprise à ne plus sortir le soir après qu’une patiente m’ait raconté son agression dans la rue. »« Je me s...
28/09/2025

« Je me suis surprise à ne plus sortir le soir après qu’une patiente m’ait raconté son agression dans la rue. »
« Je me suis rendu compte que j’évitais certains sujets en séance, par peur de revivre intérieurement ce que mon patient avait traversé. »
« Depuis qu’il m’a raconté son terrible accident de voiture, je ne passe plus par le carrefour où c’est arrivé ! »
Il est un trauma moins connu qui affecte principalement les thérapeutes ou les personnes qui, dans le cadre de leur travail notamment, sont amenées à écouter les personnes traumatisées.
On appelle cela le trauma vicariant. C’est une forme de traumatisme que l’on ne vit pas directement, mais que l’on imprime par procuration : quand on écoute l’indicible, notre cerveau fabrique des images et, parce que le cerveau ne fait pas la différence entre le réel et l’imaginaire, ces images se fixent en nous, impactent tous nos sens et nous entraînent parfois dans la même détresse que celle vécue par ceux que nous accompagnons.
C’est cela, le trauma vicariant : une contamination invisible.
Chaque victime construit malgré elle une « structure de peur », une sorte de carte mentale où tout est lié : elle-même, ses gestes pendant le traumatisme, les bruits, les odeurs, les visages, et le sens terrible qu’elle leur a donné (danger, impuissance, horreur...) Quand nous recevons ces récits, nous entrons en contact avec ces structures. Si nous ne nous protégeons pas, si nous ne mettons pas la distance nécessaire, elles peuvent se déposer en nous, malgré nous.
Parce que le trauma vicariant nous impacte aussi fort que si nous avions vraiment vécu ce qui nous a été raconté (avec le risque de développer les mêmes symptômes de stress post traumatique), l’hypnose conversationnelle stratégique intégrative est toute indiquée pour nous aider : on désensibilisera ainsi de la même manière un trauma entendu ( et imprimé en soi) qu’un trauma vécu, afin de pouvoir retrouver une vie sereine et apaisée.
Bérangère Lhomme – Absolem Formations

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