Amour fil essen-Ciel

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Conte hypnotique : 🌙 Le conte du Loup, de l’Oiseau et du Raton LaveurIl était une fois, dans une clairière d’automne,un ...
13/11/2025

Conte hypnotique : 🌙 Le conte du Loup, de l’Oiseau et du Raton Laveur

Il était une fois, dans une clairière d’automne,
un oiseau gris posé sur une vieille table de bois.

Les feuilles tombaient lentement,
comme si la forêt elle-même voulait écouter.

Le loup arriva, le pas lourd,
le regard à la fois doux et lointain.

L’oiseau le regarda un long moment,
et sa voix trembla un peu quand il parla.

— Ce qu’on a vécu m’a fait très mal.
J’ai cru que j’allais m’y perdre.
Et encore aujourd’hui, il y a une trace en moi.

Le loup resta immobile.
Il baissa les yeux.
Son souffle formait une petite vapeur devant lui.

— Je ne savais pas, murmura-t-il.
Je ne voulais pas te faire ça.

Puis il se tut.
Rien d’autre.
Pas de justification.
Juste ce silence, un peu gêné, mais vrai.

Et dans ce silence-là,
quelque chose se remit à battre sous les plumes de l’oiseau.

La douleur, depuis si longtemps enfermée,
recommençait à respirer.

Mais ce battement réveilla aussi la colère,
la honte, la confusion.
Tout ce qui avait été retenu remonta à la surface.

L’oiseau reprit, d’une voix serrée :

— Ce n’est plus toi qui me blesse, dis-tu…
mais chaque fois que je repense à tout ça, j’ai l’impression que la plaie se rouvre.
J’ai l’impression de revivre ce que j’ai vécu.

Le loup leva les yeux, cherchant ses mots.
— Ce n’est plus moi qui te blesse,
c’est le souvenir que tu nourris.
Tu revis la plaie chaque fois que tu la racontes.

L’oiseau se figea.
Ces mots piquaient, profondément.

— Alors tu veux dire que c’est de ma faute ?
Que je devrais juste tourner la page ?

Le loup eut un léger mouvement de recul.
Il ne savait plus quoi dire.

Et c’est alors qu’un raton laveur sortit doucement des feuillages.
Il observait depuis un moment.
Ses yeux brillaient d’une tendresse tranquille.

Il s’approcha de la table, posa sa patte sur le bois,
et dit simplement :

— Non, petit oiseau.
Ce n’est pas ta faute.
C’est ton cœur qui, ne s’étant pas senti reconnu,
continue d’appeler qu’on le voie.

Il pris une feuille au sol pour en faire un petit bol qu’il remplit d’eau claire.

— Regarde, dit-il, la mémoire blessée,
c’est comme cette eau.
Quand elle n’a pas été lavée par la reconnaissance,
elle stagne, elle devient lourde.
De la boue se forme au fond.

Chaque fois que tu racontes ton histoire
sans être vraiment entendu,
tu bois à cette eau trouble.

Mais si quelqu’un t’écoute,
si toi-même tu t’écoutes avec douceur,
alors l’eau se libère.
Ce n’est plus le loup qui te blesse,
c’est la mémoire qui demande à être lavée.

L’oiseau sentit ses plumes frémir.
Quelque chose se dénouait doucement à l’intérieur.

— Mais comment savoir quand c’est propre ? demanda-t-il.

Le raton laveur sourit.
Il avait ce regard des êtres qui savent attendre.

— Quand tu peux en parler sans chercher à convaincre ni à punir.
Quand les larmes deviennent claires, et non acides.
Quand tu n’as plus besoin qu’on comprenne pour te sentir en paix.

L’oiseau hocha la tête.
Sa voix devint plus calme, plus basse.

— Je me suis longtemps défini par cette blessure.
J’ai cru que si je la lâchais,
je trahirais ce que j’avais vécu.
Mais peut-être que la porter
ne m’a pas protégé.
Peut-être qu’elle m’a enfermé.

Le raton laveur s’approcha encore,
posa sa patte sur la main de l’oiseau,
et dit doucement :

— Se libérer, ce n’est pas nier la douleur.
C’est lui dire :
“Tu as existé, je t’ai entendue,
et maintenant tu peux te reposer.”
Ce n’est pas oublier le passé,
c’est en faire un sol stable pour ton envol.

Alors l’oiseau ferma les yeux.
Une larme roula le long de sa joue.
Le raton laveur la recueillit dans son bol.

L’eau vibra un instant.
Puis se calma.

— Je peux me permettre de te pardonner,
murmura l’oiseau.
Pas pour effacer ce que tu as fait,
mais pour me libérer du lien invisible
qui m’attache encore à toi.

Il posa une aile sur son cœur.

— Et je me pardonne à moi-même…
d’avoir cru que je devais être fort,
que ressentir, c’était être faible.
Je me pardonne d’avoir gardé la cage ouverte
sans jamais oser voler.

Le raton laveur sourit,
essuya la table d’un geste lent.

— Alors tu peux voler.
Ce que tu as lavé n’est plus une blessure,
c’est un souvenir doux.
Et dans la lumière, il deviendra sagesse.

L’oiseau se leva.
Ses ailes frémirent.
Il s’éleva lentement dans l’air doré,
traversé de lumière et de brume.

Le loup le suivit du regard, ému.
Et le raton laveur,
gardien du silence et des eaux claires,
rangea le bol dans sa besace.

Sur la table, il ne resta qu’une plume blanche,
léger témoin d’un passé transformé.

La forêt, enfin, respira.

🌿 Questions pour toi

Quelle partie de ton histoire demande encore à être lavée, non pas oubliée, mais reconnue ?
De quelle cage gardes-tu la porte ouverte sans oser encore voler ?

Louis Masurel
Thérapeute intégratif
Gestalt, EMDR, TCC, CNV, Hypnose

Le monde ne va pas mal. Il se défait de ce qui n’est plus vrai. Et pendant qu’il crie, certains — en silence — le constr...
11/11/2025

Le monde ne va pas mal.

Il se défait de ce qui n’est plus vrai. Et pendant qu’il crie, certains — en silence — le construisent à nouveau.

Beaucoup se lamentent de la noirceur du monde. Ils voient les injustices, les mensonges, les guerres, les manipulations, et crient que tout va mal. Mais ils oublient qu’ils sont faits de la même matière que ce monde. Ils oublient que leur regard crée.
Que leur parole pèse. Que leur silence soutient ou affaiblit la lumière selon l’endroit d’où il émane.

Ils oublient que le monde n’est pas “là-bas”

— il est dans leurs gestes, dans leurs choix, dans leurs mots du matin.

Chaque fois qu’ils jugent, ils renforcent la séparation.

Chaque fois qu’ils nourrissent la peur, ils épaississent le voile.

Et pendant qu’ils cherchent des coupables, le sacré s’éteint lentement dans leurs mains distraites.

Mais au milieu du vacarme, il y a les autres.

Les silencieux.

Ceux qu’on ne voit pas, mais dont on sent la présence.

Ceux qui ont compris qu’on ne guérit pas un monde malade avec plus de bruit, mais avec de la conscience.

Ils avancent sans bannière ni slogan, ils guérissent sans tambour ni projecteur, ils reconstruisent le tissu du vivant par la qualité invisible de leur vibration.

Ils sont les gardiennes et gardiens du Souffle.

Ceux qui prient en marchant, qui bénissent en respirant, qui transmutent en aimant.

Ils savent que la Terre n’a pas besoin de plus de peur, mais de cœurs cohérents.

Ils savent que chaque mot d’amour prononcé dans le silence pèse plus lourd dans la balance cosmique que mille cris de colère lancés dans le vent.

Ce sont eux qui tiennent le monde.

Pas les puissants, pas les élus, pas les systèmes.

Ceux-là n’agissent qu’à la surface.

Mais les vrais piliers sont ceux qui ont choisi la justesse plutôt que la vengeance, la présence plutôt que la distraction, la foi plutôt que le désespoir.

Ils ont compris que le monde se soigne de l’intérieur, que la révolution n’est pas un cri, mais un retour à la vérité la plus simple :

nous sommes la source de ce que nous percevons. Ils savent que l’énergie qu’ils nourrissent aujourd’hui deviendra la réalité de demain.

À celles et ceux-là.

— les veilleuses, les passeurs, les âmes lucides, qui continuent d’aimer malgré la laideur apparente, qui continuent d’espérer sans naïveté, qui continuent d’incarner la lumière sans la brandir — je veux dire :

merci.

Votre œuvre est invisible, mais essentielle.

Votre douceur est politique. Votre constance est prophétique. Votre cohérence est un acte de guérison planétaire.

Ne doutez pas de votre impact parce qu’il est silencieux.

Le monde se transforme par contagion de conscience, et votre seule présence consciente élève la vibration collective plus sûrement que mille discours.

Le monde ne s’effondre pas :

il mue. Et votre ancrage, vos choix, vos prières sont les nouveaux fondations. Ne sous-estimez pas le poids de vos pas, car à chaque respiration, vous aidez la Terre à se souvenir d’elle-même.

Alors, quand tu entends dire “le monde va mal”, ne tombe pas dans le piège de l’impuissance.

Souviens-toi :

le monde n’est pas une entité lointaine.

Le monde, c’est ton prochain souffle.

C’est la façon dont tu parles, dont tu regardes, dont tu pardonnes.

C’est ton feu intérieur qui, même minuscule, éclaire la trame entière.

Continue.

Même si tu doutes, même si tu trembles, même si tu ne vois pas encore le fruit de tes semences. Tu participes à quelque chose de plus vaste que toi. Tu es l’un des battements de cœur de la renaissance.

Parole de prêtresse du vivant :

« Le monde se guérit par les mains qui prient en agissant, par les âmes qui choisissent la vérité plutôt que la peur, par les êtres qui allument une bougie plutôt que de maudire la nuit.

Et peut-être que cette bougie, c’est toi. »

Corinne De Leenheer

11.11 je veux la paix ...🌿 1. L’Armistice du 11 novembre 1918 : un arrêt du feu, un début de conscienceHistoriquement, l...
11/11/2025

11.11 je veux la paix ...

🌿 1. L’Armistice du 11 novembre 1918 :

un arrêt du feu, un début de conscience

Historiquement, l’Armistice signé le 11 novembre 1918 marque la fin des combats de la Première Guerre mondiale, la plus meurtrière que l’humanité ait connue jusque-là.

Ce jour-là, les armes se taisent :

on suspend la violence, on met fin à la folie des nations.
Mais cet arrêt du feu n’est pas encore la paix : c’est une pause, un souffle, une prise de conscience collective.
C’est comme une respiration après un long cri.

Sur le plan symbolique, l’Armistice représente la maîtrise retrouvée :

l’humanité, après avoir été emportée par ses pulsions d’orgueil, de vengeance et de peur, décide enfin de dire “assez”.
Elle ne change pas encore de nature, mais elle commence à réfléchir à ce qu’elle vient de vivre.

L’Armistice, c’est le moment où la conscience reprend le dessus sur l’instinct.

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🌿 2. Lecture spirituelle :

un écho biblique de maîtrise et de conversion

Dans la lumière des versets que nous avons vus, l’Armistice ressemble à ces moments bibliques où un être ou un peuple fait halte pour se regarder en face :

Comme David, après Bath-Shéba, qui cesse de se justifier et confesse :

« J’ai péché contre Toi ».

Comme Pierre, qui s’arrête après son reniement et laisse le regard du Christ pénétrer son cœur.

Comme Moïse, qui dépose la colère pour écouter la voix de Dieu.

Ou encore comme le fils prodigue, qui revient à lui-même :

“Il rentra en lui-même et dit : j’irai vers mon père.”

L’Armistice du 11 novembre, dans cette lecture, c’est l’instant où l’humanité revient à elle-même.

Après des années d’aveuglement collectif, elle retrouve un fragment de lucidité, de honte, mais aussi d’espérance.

C’est un pas vers la conversion morale des peuples.

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🌿 3. Lecture psychologique :

la fin d’un cycle émotionnel

Psychologiquement, la guerre est une explosion d’émotions primitives :

peur, haine, vengeance, instinct de survie.

Ces émotions, portées à l’échelle des nations, deviennent des monstres.

L’Armistice, c’est ce moment où le système émotionnel collectif est épuisé et doit réguler sa folie.

C’est comparable à une crise personnelle :

quand on se laisse dominer par la colère, puis qu’on s’effondre et que l’on dit enfin :

“je ne peux plus continuer comme ça.”

Dans le cerveau, cela ressemble au moment où le cortex préfrontal reprend la main sur l’amygdale.

L’humanité, ce jour-là, retrouve un brin de préfrontal collectif :

elle recommence à penser, à raisonner, à mesurer les conséquences.

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🌿 4. Lecture physiologique et émotionnelle :

le corps et la paix

Après des années d’adrénaline et de peur, le 11 novembre 1918 est aussi une respiration physiologique :

les corps épuisés, les cœurs traumatisés, les nerfs à vif… tout s’arrête.

Les hommes sortent des tranchées, entendent le silence pour la première fois depuis des années.

Ce silence est lourd, mais il est aussi thérapeutique.

Dans le corps humain, après un stress prolongé, le système parasympathique (celui du repos) reprend lentement le dessus :

le rythme cardiaque baisse, la respiration s’apaise.

Le silence du 11 novembre, c’est ce retour du souffle.

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🌿 5. Lecture neuroscientifique et symbolique :

la maîtrise retrouvée

Si on observe le comportement collectif comme un grand organisme, la guerre est la domination de l’amygdale mondiale :

réactions, peurs, propagandes, impulsions.

L’Armistice, c’est le moment où l’humanité engage enfin son cortex préfrontal :

elle réfléchit, elle mesure, elle écrit des traités, elle cherche des mots pour reconstruire.

Elle passe du réflexe à la réflexion.

En termes spirituels, c’est ce que Paul décrit : “Je ne fais pas le bien que je veux, mais le mal que je hais.” (Romains 7).

Et plus loin, il trouve la solution :

“Grâce soit rendue à Dieu par Jésus-Christ !”
Autrement dit, la maîtrise de soi ne vient pas d’un simple effort, mais d’un retour à la vérité et à la conscience.

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🌿 6. Lecture de foi :

la foi comme pilier de la paix

Le 11 novembre nous enseigne aussi que la paix véritable ne se décrète pas par signature, mais se construit dans les cœurs.

Sans foi, sans vision du bien, la paix devient fragile, mécanique.

Mais avec la foi, la paix devient transformation intérieure.

La foi, c’est croire qu’il existe une puissance supérieure à nos instincts ; qu’un Esprit de vérité peut guider la raison et adoucir le cœur.

C’est croire qu’on peut guérir du mal qu’on a causé, qu’on peut aimer après avoir haï, pardonner après avoir souffert.

C’est le travail de Dieu dans l’humanité blessée.

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🌿 7. Lecture existentielle : l’armistice intérieur

Chacun de nous vit, à son échelle, un 11 novembre intérieur.

Il y a des guerres en nous — des colères, des addictions, des désirs, des blessures — qui durent trop longtemps.

Et il arrive un jour où, fatigué de se battre, l’homme s’arrête et dit : “Assez. Je dépose les armes.”

Cet instant, c’est notre armistice personnel.
Ce n’est pas encore la paix parfaite, mais c’est le début d’une guérison.

À ce moment-là, la foi devient le pilier de la reconstruction :

elle nous aide à ne pas replonger, à reconstruire lentement les “villes aux murailles brisées” de notre être, comme le dit Proverbes 25.28.

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🌿 En conclusion

Le 11 novembre n’est pas seulement une date historique.
C’est un symbole spirituel universel :

l’instant où l’homme reprend conscience de sa folie,

où il choisit de respirer plutôt que de réagir,

où il commence à écouter la voix du bien plutôt que le bruit des armes.

C’est l’illustration, à l’échelle du monde, de ce que la Bible appelle la maîtrise de soi :

l’acte par lequel la vie reprend le dessus sur la mort, la raison sur la passion, l’amour sur la peur.

Et tout comme la foi est le pilier de la maîtrise, elle est aussi le pilier de la paix.
Car, comme l’écrit Paul, « Que la paix de Christ règne dans vos cœurs » (Colossiens 3.15).

C’est dans le cœur que le vrai armistice commence.

Katiuscia Tsandni Djivan Psychopraticienne CÆMAS En Mémoires Cellulaires de Structure

Via Marthe Gardiol.

— Alors, que faisons-nous maintenant ?— L'amour.— Tu en es sûr ?— Sí.— Très bien, je vais me déshabiller.— Attends, pour...
10/11/2025

— Alors, que faisons-nous maintenant ?
— L'amour.
— Tu en es sûr ?
— Sí.
— Très bien, je vais me déshabiller.
— Attends, pourquoi retires-tu tes vêtements ?
— Eh bien... pour le faire, non ?

— Qui t'a dit qu'il fallait se déshabiller pour faire l'amour ?
— C'est comme ça qu'on fait, n'est-ce pas ?
— Non, ce n'est pas la seule façon de faire l'amour.

— Et alors, comment ?
— Garde tes vêtements. Parlons, discutons jusqu'à ce que nos voix s'épuisent. Rions pour tout et pour rien, plongeons nos regards l'un dans l'autre jusqu'à chercher des fragments d'éternité dans nos silences. Faisons-nous l'amour non pas avec nos corps, mais avec nos âmes.

Regardons-nous, encore et encore, jusqu'à ce que les mots deviennent inutiles, jusqu'à ce que le silence devienne plus éloquent que toutes les phrases. Et là, dans ce vertige muet, nous pourrons enfin nous toucher. Tu comprends ?

— Nous toucher ?
— Oui. Mais pas de la manière dont tu l'imagines. Nous toucher avec la douceur d'une caresse suspendue, qui glisse lentement jusqu'à se dissoudre dans l'éternité d’un câlin.

— C’est beau.
— Donne-moi ta main.
— Sí.
— Tu sens ? Là, dans cette chaleur silencieuse, réside une des mille façons de faire l'amour.

C’est ça, l’essence même.

Garde tes vêtements. Parlons jusqu'à ce que le jour se lasse de nous écouter. Laisse-moi te regarder, observer la courbure de tes cils, la courbe de tes lèvres, et si un ba**er doit naître, il viendra sans qu’on le convoque.

Parlons encore, jusqu'à ce que nos mémoires n’aient plus de secrets, jusqu'à ce que nos âmes s’ouvrent sans retenue. Laisse-moi te contempler jusqu’à atteindre un plaisir sans égal, un délice pur et absolu. Laisse-moi te fixer, longtemps, jusqu’à ce que mes propres paupières fléchissent et m’invitent à rêver de toi.

— Et si tes yeux refusent de se fermer ?
— Alors je les garderai ouverts… pour te contempler toute la nuit.

Merci 🙏🙏🙏✨✨✨❤️❤️❤️❤️ à
Gabriel Garcia Marquez.
Juste toi.

🙏🙏✨✨❤️❤️Quelle énergie !Merci au parc de penser à augmenter la vibration de cet endroit hors du temps ❤️✨🙏
09/11/2025

🙏🙏✨✨❤️❤️
Quelle énergie !
Merci au parc de penser à augmenter la vibration de cet endroit hors du temps ❤️✨🙏

Retirer son affection quand on est fâchéAimer seulement quand tout va bien, c’est aimer par humeur.Or, l’amour véritable...
06/11/2025

Retirer son affection quand on est fâché

Aimer seulement quand tout va bien, c’est aimer par humeur.
Or, l’amour véritable ne se mesure pas à la météo émotionnelle du moment.
Quand tu retires ton affection parce que tu es fâché, tu fais naître l’insécurité dans le cœur de l’autre.
Tu lui apprends à douter de ton amour et à craindre tes silences.
Même dans la contrariété, continue à donner, à parler avec douceur, à rester présent.
Comme le dit Virginia Satir, « l’amour ne doit pas dépendre du climat émotionnel. »
C’est dans les moments froids que la chaleur du cœur doit le plus se faire sentir.

03/11/2025
DEVIENS QUI TU ES. Moi : Bonjour Dieu.Dieu : Bonjour.- : Je tombe en morceaux. Peux-tu me réparer ?-  : Je ne préfèrerai...
21/10/2025

DEVIENS QUI TU ES.

Moi : Bonjour Dieu.
Dieu : Bonjour.
- : Je tombe en morceaux. Peux-tu me réparer ?
- : Je ne préfèrerais pas.
- : Pourquoi ?
- : Parce que tu n’es pas un puzzle.
- : Pourtant regarde toutes les pièces de ma vie qui tombent par terre !
- : Laisse-les là pour l’instant. Elles tombent pour une raison. Laisse-les par terre un moment et alors seulement, tu décideras si tu as besoin de reprendre l’une de ces pièces.
- : Tu ne comprends pas ! Je me disloque !
- : Non, tu ne comprends pas. Tu te transcendes, tu évolues. Ce que tu ressens ce sont des douleurs de croissance. Tu es en train de te débarrasser des choses et des gens qui te retiennent en arrière dans ta vie. Les pièces ne tombent pas. Elles se mettent en place. Détends-toi. Prends une profonde respiration et laisse tomber toutes ces choses dont tu n’as plus besoin. Arrête de t’accrocher à des pièces qui ne sont plus toi. Laisse-les tomber. Laisse-les partir.
- : Si je fais ça, que me restera-t-il ?
- : Seulement les meilleures parties de toi.
- : J’ai peur de changer.
- : Je ne cesse de te le dire : TU NE CHANGES PAS ! TU DEVIENS !
- : Je deviens, Qui ?
- : Tu deviens Qui je t’ai créé à être ! Une personne de lumière, d’amour, de charité, d’espoir, de courage, de joie, de pardon, de grâce et de compassion. Je t’ai créé pour tellement plus que ces parties creuses dont tu avais décidé de te parer et auxquelles tu t’accroches avec tellement d’avidité et de peur. Laisse ces choses tomber de toi. Je t’aime ! Ne change pas ! Deviens ! Ne change pas ! Deviens ! Deviens Qui je veux que tu sois, Qui je t’ai créé. Je vais continuer à te le répéter jusqu’à ce que tu t’en souviennes.
- : Encore une pièce qui part.
- : Oui. Laisse comme ça.
- : Alors… Je ne suis pas cassé ?
- : Non, mais, comme l’aube, tu brises l’obscurité. C’est un nouveau jour. Deviens ! Deviens qui tu es vraiment !

Claire Deleau
*****
https://www.facebook.com/alasourcedubonheur

🙏🤣🤣🙏
20/10/2025

🙏🤣🤣🙏

20/10/2025

Extrait de film très inspirant 🙏❤️

19/10/2025

Ne cherche pas à finir, cherche à fleurir 🌺🌷🌸☀️

19/10/2025

Ne cherche pas la perfection, cherche la justesse 🙏💖

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