Kinésiologue Natacha

Kinésiologue Natacha Méthode douce et naturelle d'investigation du corps qui permet de déceler et lever les blocages ou stress qui nous empêchent d'utiliser tout notre potentie

" Un collègue est décédé il y a à peine deux jours.Aujourd’hui, son bureau est déjà vidé.Ses dossiers ont été redistribu...
02/11/2025

" Un collègue est décédé il y a à peine deux jours.
Aujourd’hui, son bureau est déjà vidé.
Ses dossiers ont été redistribués, son nom retiré du tableau, et la direction prépare une annonce pour recruter son remplaçant.

La vie continue… au travail.
Mais ailleurs, une famille pleure encore un père, un fils, un frère, un ami.
Un être dont la place ne pourra jamais être comblée.

Ce rappel est dur, mais essentiel : au travail, vous êtes remplaçable.
Peu importe vos performances, vos heures supplémentaires, ou votre dévouement — le jour où vous partez, la machine continue de tourner.

En revanche, dans votre foyer, vous êtes unique.
Aucun collègue, aucun manager, aucun salaire ne pourra jamais remplacer un sourire, une présence, une étreinte ou un souvenir partagé.

Alors, travaillez, oui. Donnez le meilleur de vous-même, oui.
Mais ne laissez jamais votre emploi devenir toute votre vie.
Prenez le temps d’aimer, de rire, de vivre. "

21/10/2025

L’ENFANT ADULTIFIÉ : CELUI QUI A GRANDI TROP TÔT…🚨‼️🚨

C’est l’une des blessures les plus silencieuses de la psychologie, et pourtant l’une des plus lourdes à porter.
L’enfant adultifié, c’est celui qui a grandi avant l’heure.
Celui qui a dû comprendre avant même d’être compris.

Il n’a pas connu l’insouciance.
Pendant que les autres jouaient, lui observait les humeurs, les colères, les silences.
Il apprenait à anticiper les tempêtes pour protéger les autres, parfois même ses propres parents.
Et dans son esprit, une croyance s’est installée : « Si je suis fort, calme et utile, tout ira bien. »

Son système nerveux n’a jamais eu de repos.
L’amygdale, ce centre de l’alerte émotionnelle, reste en veille permanente.
Il lit dans les regards, décèle les changements de ton, prévoit les catastrophes avant qu’elles n’arrivent.
Ce n’est pas un don. C’est un mécanisme de survie.

Puis il devient adulte.
Et continue de porter le monde sur ses épaules.
Il attire les âmes blessées, les relations déséquilibrées, les responsabilités qui ne sont pas les siennes.
Il s’excuse d’exister dès qu’il dérange,
et s’épuise à réparer ce qu’il n’a pas cassé.

L’enfant adultifié aime sans limites, mais ne sait pas recevoir.
Il donne tout, sauf ce qu’il garde enfoui depuis toujours : le besoin d’être enfin pris dans les bras, sans devoir mériter l’amour.

Alors oui, la vraie guérison ne se trouve pas dans le fait d’être plus fort.
Elle commence le jour où tu acceptes de redevenir cet enfant qu’on t’a volé.
Celui qui a le droit de pleurer, de se reposer, de ne rien réparer.
Parce que parfois, se reconstruire, c’est simplement apprendre à être, sans avoir à prouver. 🦅

LE POIDS INVISIBLE DU FAVORITISME PARENTAL…🧑‍🧑‍🧒🚨‼️🧑‍💻L’un des traumatismes les plus silencieux, mais aussi les plus rav...
20/10/2025

LE POIDS INVISIBLE DU FAVORITISME PARENTAL…🧑‍🧑‍🧒🚨‼️🧑‍💻

L’un des traumatismes les plus silencieux, mais aussi les plus ravageurs, c’est le favoritisme parental.

Il ne détruit pas bruyamment.

Il s’infiltre.

Lentement.

Subtilement.

Il commence souvent par un détail que seul l’enfant remarque : un sourire plus long pour l’autre, une attention plus douce, un compliment qui ne lui est jamais destiné.

Et ce jour-là, quelque chose bascule.

L’enfant comprend qu’il n’est pas « le préféré ».

Alors il entre dans une course qu’il n’a jamais choisie : celle de mériter l’amour.

Il devient performant, obéissant, utile.

Il pense qu’en faisant mieux, il deviendra visible.

Mais ce qu’il apprend sans le savoir, c’est que l’amour, pour lui, doit toujours être gagné.

Sur le plan psychologique, ce schéma est dévastateur.

Le cerveau, conditionné à la comparaison, active en permanence le circuit de la peur et du manque.

L’amygdale, ce centre de vigilance émotionnelle reste allumée.

Résultat : l’enfant, devenu adulte, ne sait plus ce que signifie être simplement « assez ».

Il surinvestit les relations, redoute l’abandon, se suradapte pour ne pas décevoir.

Et dans la société, ces enfants grandissent pour devenir des adultes épuisés, souvent brillants, mais intérieurs en ruine.

Ce sont ceux qui réussissent tout, mais ne se sentent jamais fiers d’eux.

Ceux qui offrent trop, qui pardonnent trop, qui espèrent toujours un regard qu’on ne leur rendra jamais.

Ceux qui tombent amoureux de personnes qui les font douter, parce que le doute, c’est le seul langage émotionnel qu’ils connaissent.

Le favoritisme parental, ce n’est pas seulement un drame familial, c’est une fracture identitaire.

Il crée une société d’adultes blessés qui cherchent encore, inconsciemment, à prouver qu’ils méritent leur place.

Des hommes et des femmes qui confondent validation et amour, loyauté et peur de perdre.

Alors oui, la vraie question n’est pas seulement :

« Combien d’adultes souffrent d’une place qu’ils n’ont jamais eue ? »

Mais aussi : 👇

« Combien d’entre eux élèvent aujourd’hui leurs propres enfants en essayant de réparer ce qu’on ne leur a jamais donné ?

Original

Page Õ' Coeur des Sens'

19/10/2025

🌸 Quand le corps parle

Le corps ne ment jamais.
Il garde la mémoire de tout ce que l’esprit n’a pas pu dire, pas pu pleurer, pas pu crier.
Les douleurs, les tensions, les brûlures, les vertiges, les blocages… sont souvent des mots coincés dans la chair, des émotions qu’on a dû taire trop longtemps.

Lorsqu’on traverse des années de stress, de peur, d’injustice ou de chagrin, le corps finit par parler à notre place.
Et il parle fort — jusqu’à ce qu’on l’écoute.
La fatigue devient épuisement, les douleurs deviennent un langage.
C’est le corps qui dit : “Regarde-moi, je n’en peux plus d’endurer ce que ton cœur a voulu oublier.”

Alors, comment s’en sortir ?
Pas en luttant contre lui, mais en l’écoutant.
En arrêtant de se battre contre ses symptômes, et en cherchant à comprendre le message derrière la douleur.
Le corps ne punit pas : il protège.
Il retient, il compense, il crie à sa façon.

🌿 Les clés pour se libérer commencent souvent ici :

Accepter d’entendre ce qu’il dit sans peur ni jugement.

Se reconnecter doucement à soi, par la respiration, la sophrologie,la méditation, la balnéo, l’eau, la nature.

Parler à quelqu’un : thérapeute,kinesiologue ou psy formé à la mémoire du corps.

Pleurer enfin ce qu’on n’a jamais osé pleurer.

Et surtout… s’aimer assez pour ne plus s’abandonner.

Ce n’est pas un retour en arrière, c’est un retour à soi.
Le corps, quand on lui rend sa place, peut redevenir un allié.
Chaque douleur écoutée devient une libération.
Chaque pas, même petit, est une victoire.

fans

UNE ENFANT BLESSÉE Il y a cette petite fille en toi, celle qui a été blessée. Elle ne souriait pas tout le temps, mais s...
14/10/2025

UNE ENFANT BLESSÉE

Il y a cette petite fille en toi, celle qui a été blessée. Elle ne souriait pas tout le temps, mais son rire avait une mélodie unique. Elle courait dans les champs, les genoux écorchés, des rêves pleins la tête.

Mais un jour, quelque chose a changé. Elle a appris que le monde pouvait être cruel, que les gens qu’elle aimait pouvaient faire mal, parfois même sans le vouloir.

Cette petite fille, c’est toi. C’est toi quand tu te sens vulnérable, quand tu pleures sans comprendre pourquoi, quand tu as peur d’aimer, d’être aimée, de faire confiance. C’est toi quand tu te surprends à douter de ta valeur, à te demander si tu mérites vraiment le bonheur.

L’enfant blessée :
Elle est cette part de toi qui se souvient des moments où tu n’as pas été entendue, où tes besoins ont été ignorés. Elle se souvient des nuits passées à pleurer, seule, dans ton lit, à te demander pourquoi personne ne venait te consoler. Elle se rappelle des promesses non tenues, des mots durs, des silences lourds de sens.

Le poids des émotions :
Elle porte le poids des émotions refoulées, des larmes non versées, des cris étouffés. Elle est fatiguée, épuisée par cette bataille intérieure. Elle voudrait tant pouvoir se libérer de ce fardeau, mais elle ne sait pas comment. Alors elle se cache, derrière des sourires forcés, des murs érigés pour se protéger.

La quête de réconfort :
Elle cherche désespérément du réconfort, une main tendue, une épaule sur laquelle s’appuyer. Elle a besoin d’entendre que ce n’était pas sa faute, qu’elle n’a rien fait de mal. Elle a besoin de savoir qu’elle est aimée, pour ce qu’elle est, avec ses imperfections et ses failles.

La résilience :
Mais malgré tout, cette petite fille est forte. Elle est résiliente. Elle a survécu à tant de choses, elle a trouvé des moyens de continuer, de se relever, encore et encore. Elle est un témoignage vivant de ta capacité à surmonter les épreuves, à guérir, à grandir.

La guérison :
Aujourd’hui, il est temps de tendre la main à cette enfant blessée. De lui dire qu’elle n’est plus seule, qu’elle est en sécurité maintenant. De lui offrir l’amour, la compassion, le soutien qu’elle a toujours mérité. D’accueillir cette partie de toi avec tendresse.

Le chemin vers l’acceptation :
Regarde cette petite fille dans les yeux. Dis-lui qu’elle est précieuse, qu’elle a de la valeur. Dis-lui que tu l’aimes, que tu l’acceptes telle qu’elle est. Et laisse-la pleurer, laisse-la exprimer sa douleur, sa colère, sa tristesse. Car c’est à travers ces larmes que viendra la guérison.

La réconciliation :
En te réconciliant avec cette enfant blessée, tu te réconcilies avec toi-même. Tu trouves la force de lâcher prise, de pardonner, de te pardonner. Tu crées un espace où l’amour peut fleurir, où la paix intérieure peut s’installer.

L’enfant intérieur :
Cette petite fille en toi est une source infinie de sagesse, de créativité, de joie. Elle a tellement à t’apprendre, tellement à te donner. Écoute-la, respecte-la, honore-la. Elle est la clé de ta transformation, de ta libération.

Aujourd’hui, fais un pas vers elle. Prends-la dans tes bras. Promets-lui que tu seras toujours là pour elle. Ensemble, vous pouvez surmonter toutes les épreuves, guérir toutes les blessures, et trouver enfin la paix et le bonheur que vous méritez.

Cette enfant blessée c’est toi. C'est moi. C’est nous toutes. Et il est temps de lui rendre justice, de lui donner la voix qu’elle n’a jamais eue. Parce que cette enfant, cette partie de toi, mérite d’être aimée, chérie, et protégée. Pour toujours.

Ose vivre ta vie

🔥 Les blessures qui sabotent la sexualitéJe vais te dire ce que j’ai compris, parfois à mes dépens :la sexualité n’est j...
12/10/2025

🔥 Les blessures qui sabotent la sexualité
Je vais te dire ce que j’ai compris, parfois à mes dépens :
la sexualité n’est jamais “juste du sexe”.
C’est toujours un miroir.
Un miroir de nos forces… et surtout de nos blessures.

Quand on croit qu’on peut laisser les manques, les peurs, les humiliations du passé à la porte de la chambre, on se trompe.
Ils entrent avec nous. Ils prennent place dans nos gestes, dans nos silences, dans notre façon de regarder l’autre.

Et trop souvent, au lieu de se rencontrer en adulte, homme et femme…
on se rejoue inconsciemment nos rôles d’enfant blessé.

Quand l’enfant prend la place de l’adulte

Je vais être cru, mais c’est ma vérité :

Une femme n’a pas envie de faire l’amour avec un petit garçon qui cherche inconsciemment une mère.

Et un homme n’a pas envie de faire l’amour avec une petite fille qui attend secrètement un père.

Ça peut choquer, mais c’est la réalité que je vois partout autour de moi.

Une femme veut rencontrer un homme debout, dans son masculin, ancré, solide, fiable.
C’est dans cette sécurité qu’elle peut se donner, s’ouvrir, s’abandonner à son féminin.

Un homme veut rencontrer une femme dans son féminin, vivante, accueillante, vraie.
C’est dans cet accueil qu’il peut déposer son armure, se révéler et exprimer son masculin sacré.

Quand on reste coincés dans nos blessures, on n’offre pas ça à l’autre.
On lui offre notre manque. Notre vide. Nos attentes.
Et ça finit par tuer le désir, parce que l’autre n’a pas signé pour être un parent de substitution.

Pourquoi c’est si important selon moi:

La sexualité consciente, ce n’est pas une technique.
Ce n’est pas une méthode à appliquer.
C’est un choix courageux : celui de se présenter en adulte.

Ça veut dire oser voir ses blessures.
Ça veut dire arrêter de les cacher, ou de les projeter sur l’autre.
Ça veut dire apprendre à créer un espace de confiance, où la vulnérabilité de chacun peut être accueillie avec bienveillance.

Parce que c’est là, et seulement là, que le couple devient un temple.

Ce que la science dit (et que je constate dans ma vie)

Les sexologues montrent que la honte et l’anxiété de performance étouffent le désir.

Les chercheurs en psychologie de l’attachement prouvent que l’insécurité relationnelle réduit la satisfaction sexuelle.

Et toutes les thérapies de couple disent la même chose :
sans sécurité, il n’y a pas de vraie intimité.

Je le crois profondément.
Pas parce que c’est écrit dans des études, mais parce que je l’ai vécu.
Quand une femme se sent vraiment en sécurité, elle s’ouvre comme jamais.
Quand un homme se sent accueilli dans sa vérité, il devient une force tranquille et stable.

C’est une évidence : le corps ne peut pas s’abandonner quand le cœur a peur.

Si je t’écris ça, ce n’est pas pour donner une leçon.
C’est parce que j’ai touché du doigt cette vérité, et qu’elle a changé ma vie de couple.

Ton couple peut rester le théâtre de tes blessures d’enfant.
Ou il peut devenir le lieu où elles se transforment, pas à pas, dans l’amour et la conscience.

C’est un choix.
Le choix de ne plus chercher une mère ou un père dans ton lit.
Mais d’oser être homme. D’oser être femme.

Alors la sexualité n’est plus une performance, ni une fuite.
Elle devient ce qu’elle aurait toujours dû être :
une danse sacrée, où deux êtres adultes s’unissent pour s’élever ensemble.

CÉDRIC JARDEL

La kinésiologie pour vous aider...
24/09/2025

La kinésiologie pour vous aider...

Les mères narcissiques:Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).Il y a des mères qui pre...
07/08/2025

Les mères narcissiques:

Ce que fait une mère narcissique à ses enfants (et ce qu’ils deviennent).
Il y a des mères qui prennent toute la place.
Qui font tourner le monde autour d’elles.
Qui pleurnichent, se plaignent, se victimisent.
Et qui, derrière leurs larmes, manipulent.

Ce sont celles qui ne laissent jamais leurs enfants devenir adultes.
Elles vivent à travers eux.
Elles attendent qu’on serve leur égo, qu’on les écoute, qu’on les rassure.

Et si un enfant ose vivre pour lui-même, il sentira la culpabilité.
Ces mères-là ne veulent pas que leurs fils deviennent des hommes.
Elles veulent qu’ils restent leurs petits garçons, obéissants, loyaux, disponibles, à leur service.
Pas des hommes libres avec une vie à eux.
Pas des maris ni des pères autonomes.
Juste des fils dociles qui n’existent que pour elle.

Et leurs filles ?
Elles les envient, les écrasent ou les utilisent.
Elles les critiquent, les comparent, les rabaissent subtilement.
Trop ci, pas assez ça.
Elles voient en elles une rivale à contrôler ou une réplique à façonner à leur image.
Elles contrôlent, critiquent, comparent.
Et elles appellent ça AMOUR.

Elles exigent qu’on les mette au centre, à chaque repas,
chaque appel, chaque décision.
Elles surveillent, elles piquent, elles retournent les rôles.
L’enfant devient le parent.
Le parent devient l’enfant blessé qu’il faut réparer.
Et ça peut durer toute une vie.

😞 les conséquences de la manipulation, de la castration ? Elles sont silencieuses, mais profondes.
L’enfant devient un adulte angoissé, perfectionniste, contrôlant, incapable de se détendre.
Toujours à vouloir bien faire. À ne pas déranger. À faire plaisir.
Il a peur de mal faire, de décevoir, de ne pas être “assez”.
Il se coupe de ses besoins, de ses émotions, de sa liberté.
Il n’a pas appris à vivre pour lui.
Il a appris à survivre… pour elle.

✂️ Mais un jour, on ouvre les yeux.
On comprend que ce n’est pas de l’amour.
Que ce n’était pas normal.
Que ce n’était pas juste.
Et ce jour-là, une autre vie devient possible.
Ce n’est pas facile.
Mais c’est libérateur.

F Poulmarch

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15, Rue Du Rond Point
Montignies-le-Tilleul
6110

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Maandag 09:00 - 20:00
Dinsdag 09:00 - 20:00
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