Aubes accompagnement

Aubes accompagnement Doula-accompagnante périnatale (AFA) en stage, j'accompagne gratuitement les familles naissantes. Je suis là ! ;) A bientôt, Laurence

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24/09/2024

Des pères accrochent des porte-bébés aux statues d’hommes célèbres, à Londres, pour demander un meilleur congé paternité ✊

Parce que le Royaume-Uni est l’un des pays les moins généreux en terme de congé paternité en Europe (2 semaines de congé, contre 25 jours en France), des papas du collectif « The Dad Shift » ont récemment mené cette action originale pour réclamer un congé paternité plus long et mieux payé.

Les statues de l’ingénieur Isambard Kingdom Brunel, du danseur et acteur Gene Kelly, du comédien Laurence Olivier ou encore du footballeur Thierry Henry ont ainsi porté des poupons dans des porte-bébés volontairement colorés afin d’attirer l’attention.

« Nous voulions que ce soit un spectacle un brin provocateur. On pose souvent des questions aux femmes sur leur vie d’épouse, de mère et de fille, alors que les personnalités masculines de la vie publique ne sont souvent pas invitées à partager cette partie d’elles-mêmes. Nous voulions attirer l’attention sur leur rôle de père et plus globalement sur la nécessité de mieux soutenir les personnes qui ont des bébés dans leur vie », a indiqué George Gabriel, l’un des cofondateurs de « The Dad Shift », au Guardian 🇬🇧👶

Et bien sûr, ce sont les moments qu'on retiendra dans quelques années. Le cerveau est bien fait, il fait le tri et souve...
06/07/2024

Et bien sûr, ce sont les moments qu'on retiendra dans quelques années. Le cerveau est bien fait, il fait le tri et souvent, ne garde que le beau. Tant mieux ! Mais évidemment, ce n'est pas que ça, la vie avec des enfants. Ce n'est pas toujours une photo mignonne où tout le monde a l'air heureux. Ni pour vous, ni pour vos copines, ni pour les instagrameuses ou les pros de l'éducation bienveillante, ni pour vos parents avant vous, d'ailleurs. Et si l'on veut que la joie et le plaisir puissent être là plus souvent, il faut commencer par admettre que la vie de famille est loin des images qu'on nous en donne (volontairement ou non) :) Bel été mamans et papas ! 😊🤸🏖️

C'est parti pour les vacances et les photos de tout le monde alors c'était important de reposter ça je crois:

J'adore ce genre de photos et comme l'espace d'un instant tu peux croire que la vie des gens est parfaite.
Comme, au passage on ne parlera pas du sable qu'ils ont pu se jeter dessus, des disputes parceque "il m'a pris ma pelle", "je voulais ce seau, il veut pas me le donner" ou encore les "il m'a mis du sable dans les yeux" et les "nooon, c'est lui qui a commencé".
On oubliera de parler des looongues minutes où on a dû répéter "rincer vous, on y va et faites attention de ne plus vous rouler dans le sable".
On oubliera de parler du paquet de chichis tombé dans le sable qui a failli gâcher une sortie coucher de soleil.
On oubliera de parler du moment où on repart et qu'il faut remonter la plage pour retourner à la voiture avec 15 sacs et des enfants qui n'ont plus aucune force alors que 5minutes plus tôt ils courraient et sautaient partout et que tu termines par devoir en porter un (ou deux).

Elles sont belles ces photos "instagramables". Oh oui, elles sont belles ! Mais il ne faut pas oublier qu'elles ne reflètent qu'un très court instant.

11/06/2024

📚🤓Lecture du jour : "pendant ma grossesse, je n'ai pas vraiment trouvé de roman fictionnel sur le post-partum alors j'ai eu envie d'en écrire un. Parce qu'il me semble que c'est un moment assez solitaire et lire des romans m'a toujours réconfortée. Je souhaite que ce livre permette aux lectrices de se sentir vues et reconnues durant cette période souvent difficile."

✍️ Szilvia Molnar | **Milk-bar**

🎬Charleroi (Quai 10) - jeudi 13 juin à 20h : projection du documentaire Echo(e)s en présence de la réalisatrice Chloé De...
05/06/2024

🎬Charleroi (Quai 10) - jeudi 13 juin à 20h : projection du documentaire Echo(e)s en présence de la réalisatrice Chloé De Bon (Carolo d’origine)+ table ronde " Naissance respectée : un enjeu de société ? "

Synopsis : Le film ‘Echo(e)s’ rend visible ces expériences souvent minimisées et banalisées qui se vivent lors d’un suivi gynécologique ou obstétrical. Il se construit sur le récit de huit personnes, en paroles et en mouvements, sur terre et dans l’eau, pour (re)questionner les pratiques de soin par le soin.

Le film ‘Echo(e)s’ visibilise les expériences souvent minimisées et banalisées qui se vivent lors d’un suivi gynécologique ou obstétrical. Il se construit su...

"Mais la maternité, c’est comme les cookies, on n’est pas obligée de tout accepter par défaut.Je refuse le burn-out pare...
25/05/2024

"Mais la maternité, c’est comme les cookies, on n’est pas obligée de tout accepter par défaut.
Je refuse le burn-out parental, je refuse d’être confondue avec un paillasson, je refuse de m’oublier totalement. Je refuse les injonctions contradictoires qui voudraient torturer mon corps et mon esprit. Je refuse la pression d’une société qui attend tout (et n’importe quoi !) des mamans, mais ne les aide en rien. Je refuse ces cookies-là.

Oui à la maternité, non au sacrifice total.

Là est le consentement."

Maternité : dois-je tout accepter par défaut ? 🍪

Le mot “consentement” est à la mode et c’est une bonne chose.
Lorsque je navigue sur le web, on me demande mon consentement à chaque page. Ça en deviendrait presque fatiguant. Mais au moins, je sais que je maîtrise la trace que je laisse sur la toile, pas vrai ?

Un jour, j’ai changé les paramètres des cookies devant une amie qui regardait le même écran. « Tu t’embêtes à paramétrer les cookies ! Personne ne fait ça. Moi, j’accepte tout par défaut, sans regarder. » Sa réaction m’a fait réfléchir à la notion de consentement, sur le internet et ailleurs.

Ah, les cookies. Ces petites miettes de nous qui traînent sur le web. Ces petits gâteaux aussi gras que délicieux, qui font le bonheur de mes loulous. Un même mot pour deux réalités bien différentes… Mais une question commune aux deux situations. Dois-je tout accepter par défaut ?

Si je devais comparer ma vie de maman à un paramétrage de cookies sur le web,
je serais extrêmement prudente de ne pas tout accepter par défaut. Je ne sélectionnerais que les cookies nécessaires, qui pourraient être :

accepter de voir son monde bouleversé,
accepter de voir son corps évoluer,
accepter de réinventer son couple.
Peut-être que les cookies nécessaires comportent aussi des nuits sans sommeil, un certain nombre de couches puantes, une charge mentale décuplée.

Mais la maternité, c’est comme les cookies, on n’est pas obligée de tout accepter par défaut.
Je refuse le burn-out parental, je refuse d’être confondue avec un paillasson, je refuse de m’oublier totalement. Je refuse les injonctions contradictoires qui voudraient torturer mon corps et mon esprit. Je refuse la pression d’une société qui attend tout (et n’importe quoi !) des mamans, mais ne les aide en rien. Je refuse ces cookies-là.

Je « continue sans accepter » : oui à la maternité, non au sacrifice total.
Là est le consentement. Dans le paramétrage exact de ce qui me convient, ou non. Ce paramétrage n’est pas gravé dans le marbre. Il peut être modifié à chaque page parcourue, chaque jour de ma vie.

Mais tout accepter par défaut ? Certainement pas.
Je ne suis pas devenue mère pour me mettre à la merci des desiderata des autres. Et puis, soyons honnêtes : tout accepter par défaut, ce serait me priver du plaisir de déguster la quantité exacte cookies que j’aime :

le câlin qui apaise un réveil nocturne,
la frayeur qui accompagne les premiers coups de pédales,
la fatigue qui me pousse à me lover avec eux dans le canapé pour regarder un Disney.
Ces cookies-là rendent la vie plus douce, consommés avec modération !

On ne va pas se mentir, ces paramétrages prennent du temps, et de la patience. Il faut faire l’effort de ne pas tout donner pour préserver un jardin secret. Même si tout donner semble plus simple sur le moment, on risque de le payer plus t**d.

Les cookies devraient faire croustiller la vie. Pas faire craquer les mamans.
C’est toute la force du consentement.

Et toi chère Fabuleuse, quels cookies font croustiller ta vie de maman ? Lesquels te font craquer au point de souhaiter parfois « continuer sans accepter » ? Partage avec nous ta vision du consentement !

Cécile Guittier

J'honore la lumière, l'amour, la vérité, la beauté et la paix en toi, parce qu'elles sont en moi aussi. Partager ces cho...
17/05/2024

J'honore la lumière, l'amour, la vérité, la beauté et la paix en toi, parce qu'elles sont en moi aussi. Partager ces choses nous unit, nous sommes les mêmes, nous sommes un.

C'est beau quand même :-)

Merci à ma formidable prof de yoga, Julie de Au Fil de Soi ASBL - Yoga Studio à Nivelles, de me permettre d'ancrer ce message en moi à chaque séance ! Namasté 🙏

Tout ce qui en vaut la peine mérite de la patience 🙏
17/05/2024

Tout ce qui en vaut la peine mérite de la patience 🙏

07/05/2024

Se connecter à son corps, comprendre nos fonctionnements et apprendre à entrer en relation de manière saine avec les autres, c'est un acte politique 🧙‍♀️🙌

On n'imagine pas l'importance de nos relations à nos corps. Au moins pourrons-nous sans doute nous mettre d'accord sur le fait que nos relations interpersonnelles remplissent nos vies et que ces dernières ne peuvent donc être ni épanouissantes ni constructives (quels que soient nos convictions ou nos combats) si nos relations aux autres sont toutes pourries 🤷‍♀️🙃 alors comment est-ce qu'apprendre à améliorer nos relations pourrait-il être un truc de bonnes femmes ou de bobos nombrilistes ? Pourquoi est-ce que ça semble si con et superflu de faire un travail sur soi, d'apprendre la Communication Non Violente ou l'écoute active ? Est-ce qu'on est tous si calés que ça en vivre ensemble ? Est-ce que c'est inné ou est-ce que ça fait partie du programme scolaire ? Est-ce que ce n'est pas indispensable aux changements de société que nous souhaitons si fort ? Quand je regarde autour de moi, je ne peux m'empêcher de me dire que c'est tout sauf superflu... 🤓

Extrait vidéo de "L'amour, une arme révolutionnaire", interview de Victoire Tuaillon (Le coeur sur la table) par Blast. https://www.youtube.com/watch?v=F45K7ssH3fs&ab_channel=BLAST%2CLesouffledel%27info

P.S. Je vous en parle parce que je ne crois pas en l'accompagnante neutre. Pour moi, être pro n'est pas égal à taire sa personnalité, ses convictions et ses valeurs. Mais au contraire à les partager en toute authenticité et permettre à chacun de choisir en connaissance de cause de cheminer avec ce professionnel ou non 😊 mais promis, je ne publierai pas de vidéos sur "comment créer une politique agricole plus juste" ou sur le dernier fait divers de ma commune, je reste sur des sujets qui, je crois, touchent les femmes qui font partie de cette communauté :)

🤰Le "trimestre de la flaque humaine", ça vous parle ? 🥴🤮😵J'ai retrouvé, dans mes archives, ce petit article-témoignage d...
06/05/2024

🤰Le "trimestre de la flaque humaine", ça vous parle ? 🥴🤮😵J'ai retrouvé, dans mes archives, ce petit article-témoignage de mon cru sur le sujet 😁 :

Si, comme moi, vous traversez un premier trimestre difficile (Karine de Quantikmama l’appelle « le trimestre de la flaque humaine » 😉), peut-être le texte de Marielle Trottier que je partage avec vous dans cet article vous fera-t-il autant de bien qu'à moi... je l'espère en tout cas !

Je suis enceinte de mon deuxième bébé, et bien que certaines choses me semblent familières, je vis cette grossesse de manière différente. D’abord le contexte n’est pas le même : ma première grossesse était une surprise et est arrivée au moment où nous partions pour un long voyage. J’étais partagée entre incrédulité et euphorie de devenir maman. Surtout, je ne travaillais pas et avais tout le temps de penser à ce petit être qui grandissait en moi. Je me rappelle l’inconfort des premiers mois, les nausées, la fatigue… mais je me souviens aussi du réconfort que je puisais dans l’idée de ce bébé dans mon ventre. Chaque jour, je lisais avidement les informations envoyées par mon appli de grossesse sur l’évolution de mon enfant, émerveillée de la vitesse à laquelle il grandissait, émue de lire qu’il avait déjà un petit cœur en fonction, des doigts et des orteils…

Cette fois-ci, rien n’est venu adoucir mon calvaire. J’ai passé deux mois horribles, assommée par les médicaments sans lesquels je n’étais plus capable de m’alimenter tant les vomissements étaient fréquents, luttant pour continuer à travailler pour ne pas décevoir mon nouveau patron. J’avais sans cesse l’impression d’échouer sur tous les fronts : je n’étais plus efficace au travail, je n’avais plus la force de jouer avec mon fils ni de lui préparer à manger, je me trainais jusqu’à la crèche en serrant les lèvres pour ne pas être malade sur le chemin et lui lisais péniblement une histoire au moment du coucher. Je sentais le découragement de mon homme aussi, obligé d’assumer les 3/4 des tâches seul malgré sa propre fatigue, obligé de composer avec ma mine défaite en permanence. Une semaine, ça va. Deux mois, c’est long. Je n’avais plus envie de rien, enfin si, je rêvais d’une chose : qu’on m’hospitalise pour que je n’aie plus à me soucier de rien. J’ai vraiment fantasmé là-dessus…

Le plus dur, c’est que contrairement à la première fois, mon mal-être était tel que la simple évocation de ma grossesse me donnait des hauts le cœur. Je m’empressais de supprimer chaque notification de mon appli de grossesse sans même les ouvrir. Plusieurs fois, j’ai voulu penser à mon bébé, prendre conscience de sa présence en moi, éprouver la joie de porter la vie, mais ça m’était trop insupportable. Moi qui avait tant envie de revivre cette expérience, de la savourer pleinement…

À presque 10 semaines de grossesse (12 SA), les nausées diminuent enfin, même si la fatigue est encore bien présente. J’ai pu diminuer les médicaments aussi. Petit à petit, j’arrive à penser un peu plus à ce qui se passe en moi. Je sens que je vais bientôt pouvoir m’immerger dans cette grossesse, enfin ! [rétrospectivement : j'ai crié victoire bien trop tôt - 5 mois de calvaire😅]

Et j’ai envie de partager avec vous une lecture qui a beaucoup résonné en moi : celle du journal de grossesse de Marielle Trottier (sur un blog magnifique, particulièrement pour celles qui s’intéressent à l’accouchement naturel : Quantikmama.com) dont voici un extrait (que j’ai pensé presque mot pour mot) :

"La lenteur des jours qui passent quand la santé n’est pas au rendez-vous. Compatir avec ces gens malades qui ne sont jamais dans le bien-être physique. Être découragée de penser qu’il me reste encore plusieurs semaines dans cet état. Espérer ne pas vivre ça «pour rien», espérer que tu vivras."

​Si vous êtes vous-même une petite flaque stagnante en mode survie 🫠, j’espère que ce texte vous mettra du baume au cœur et vous fera du bien comme il m’en a fait à moi. Je compatis très fort, je vous souhaite tout le courage et la force dont une femme est capable pour venir à bout de cette période difficile… nous sommes des guerrières ! 💪🙏🦸‍♀️
https://quantikmama.com/l-infinie-lenteur-des-premiers-mois-mon-journal-de-grossesse/

Je me souviens si vivement ces désirs dévorants d’appartenance et de reconnaissance de mon vécu lors de ma deuxième grossesse. Je scrutais chaque mot, chaque blogue, chaque podcast à la recherche d’un sentiment semblable au mien, d’une nausée en synchronicité à la mienne, d’un signe ...

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