Centre médical Mélanie à Nivelles

Centre médical Mélanie à Nivelles Kinés, Psychologues, Podologue, Epilation définitive... bien-être et santé personnalisés! Votre santé, notre priorité ! 💙

Bienvenue au Centre Médical Mélanie ! 🌿

Notre équipe de kinésithérapeutes, psychologues et podologue est là pour vous offrir une prise en charge personnalisée dédiée à votre santé et votre bien-être. Découvrez nos thérapeutes sur notre site avec des présentations détaillées et des informations pratiques pour prendre rendez-vous en toute simplicité. 📅

Toutes nos consultations se font uniquement sur rendez-vous, afin de garantir une attention complète à chacun. Chaque thérapeute est joignable directement et prêt à vous accueillir avec bienveillance au Centre Médical Mélanie.

Manifestation des soignants 16/11 à BXL!
31/10/2025

Manifestation des soignants 16/11 à BXL!

FR/NL
🚨 Kinés, mobilisons-nous le 16 novembre !

Le nouveau budget santé du gouvernement prévoit 8,3 millions € “d’économies” sur notre secteur :
– Réduction du télémonitoring (-6 millions €)
– Baisse de 18 % des vidéoconsultations
– Réforme de la nomenclature en unités de 15 min = moins de séances, moins de reconnaissance, moins de revenus

En réalité, ces mesures cachent une économie bien plus importante si le nombre de séances remboursées est diminué.

Nous ne pouvons plus rester silencieux : la kiné n’est pas un luxe, c’est un soin essentiel.

📅 Rejoignez la marche des soignants organisée par l'UBPS le dimanche 16 novembre pour défendre notre profession et des soins de qualité pour nos patients. 💪
Ask y sera, et vous?

https://www.facebook.com/share/1BZ9toTGwG/?mibextid=wwXIfr

Rdv le 5 novembre pour discuter d'un plan d'action



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🚨 Kinesitherapeuten, laten we ons mobiliseren op 16 november!

De nieuwe gezondheidsbegroting van de regering voorziet 8,3 miljoen euro aan “besparingen” in onze sector:
– Vermindering van telemonitoring (-6 miljoen euro)
– Daling van videoconsultaties met 18%
– Hervorming van de nomenclatuur in eenheden van 15 minuten = minder sessies, minder erkenning, minder inkomsten

In werkelijkheid verbergen deze maatregelen een veel grotere besparing als het aantal terugbetaalde sessies wordt verminderd.

We kunnen niet langer zwijgen: kinesitherapie is geen luxe, het is essentiële zorg.

📅 Sluit je aan bij de zorgverlenersmars, georganiseerd door de UBPS, op zondag 16 november om onze beroepsgroep en kwaliteitsvolle zorg voor onze patiënten te verdedigen. 💪
Ask zal aanwezig zijn, en jij?

https://www.facebook.com/share/1BZ9toTGwG/?mibextid=wwXIfr



Vertaling gemaakt door Jeff, de digitale assistent van Ask.

25/10/2025

🚧 𝐈𝐧𝐭𝐞𝐫𝐯𝐞𝐧𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐮𝐫𝐠𝐞𝐧𝐭𝐞 - 𝐏𝐥𝐚𝐜𝐞 𝐄𝐦𝐢𝐥𝐞 𝐃𝐞 𝐋𝐚𝐥𝐢𝐞𝐮𝐱 🚧

⚠️ En raison d’un risque d’affaissement sur la Place Emile De Lalieux, entre les numéros 45 et 47, au carrefour avec la rue Roblet
👉 des mesures de sécurisation et de circulation ont été mises en place par ordonnance de police du Bourgmestre.

🗓️ 𝑱𝒖𝒔𝒒𝒖’𝒂̀ 𝒄𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝒍𝒂 𝒔𝒊𝒕𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒔𝒐𝒊𝒕 𝒓𝒆́𝒕𝒂𝒃𝒍𝒊𝒆 :

➡ Une balise éclairée empêche l’accès à la zone présentant un danger d’affaissement.
⛔ La rue Roblet est mise en sens unique entre les numéros 1 et 21 👉 la circulation depuis la Place Emile De Lalieux vers le parking Roblet est interdite.
🅿️ Le parking Roblet est accessible via la rue de Namur et le haut de la rue Roblet.

L’association Ask qui défend les kiné depuis quelques temps dresse ce matin le tableau de notre profession … la réalité ...
25/10/2025

L’association Ask qui défend les kiné depuis quelques temps dresse ce matin le tableau de notre profession … la réalité du terrain n’est pas belle à voir … travailler oui, mais a quel prix pour le(s) soignant(s) que je suis/nous sommes…

FR/NL

Ce matin, le réveil est amer.
On a beau tout faire pour ne pas être les moutons noirs de la santé, cette image nous colle à la peau. Et pendant qu’on tente de prouver notre valeur, notre métier s’épuise, se vide de son sens et vacille sous le poids des exigences.

On nous demande d’être efficaces, rapides, disponibles, tout en absorbant la charge administrative, la pression financière et la fatigue mentale.
On parle de qualité, mais on ne nous en donne plus les moyens.
À trop vouloir de la qualité sans la récompenser, on finit par casser ceux qui la portent.

Beaucoup de kinés travaillent à temps plein, parfois avec une deuxième activité, juste pour tenir la tête hors de l’eau.
On fait ce métier par passion, pas pour s’enrichir, mais aujourd’hui, cette passion devient un piège : elle sert d’excuse pour accepter l’inacceptable.

Notre profession est en train de se transformer.
Certains travaillent à un rythme soutenu pour pouvoir garder leur équilibre financier,
d’autres tentent de préserver un maximum de temps pour chaque patient malgré la pression économique.
Mais quelle que soit la manière d’exercer, beaucoup finissent à bout de souffle.
Parce qu’au fond, la vraie différence ne se situe pas dans le nombre de patients vus,
mais dans le manque de reconnaissance, de soutien et de moyens pour exercer sereinement notre métier.

Et le plus frustrant, c’est que ceux qui créent les réformes, les lois, les règles,
ne sont pas sur le terrain.
Ils ne voient pas la réalité de nos journées, ils n’entendent pas les patients,
ils ne mesurent pas la charge, la fatigue, les sacrifices.
Ce sont souvent des économistes qui manipulent des chiffres pour « équilibrer » un budget,
sans comprendre que derrière chaque chiffre, il y a un soignant, un humain, un métier en souffrance.
Mais l’humain ne se gère pas en pourcentages.
On ne soigne pas des tableaux Excel, on soigne des personnes.

La convention, elle, ne résout rien.
Elle sécurise les dépenses publiques, mais plombe notre bien-être.
Nous faisons partie des rares professions indépendantes à voir nos honoraires imposés et limités par l’État.
Oui, il faut que les soins restent accessibles, mais pas au prix de notre propre équilibre.
Les indexations ne couvrent même plus la hausse du coût de la vie : elles permettent juste de s’appauvrir un peu moins vite.

Et dans tout ça, où sont les améliorations concrètes qu’on nous promettait ?
- La digitalisation, qu’on nous vend comme une avancée, n’en est qu’à ses prémices… et montre déjà ses limites.
- Une refonte de la nomenclature ? On en parle, oui, mais ce n’est toujours pas une priorité.
- Un allègement administratif ? Inexistant, voire tout le contraire.
- Une véritable revalorisation ? On n’en parle même pas vraiment, mais il faudra sans doute attendre la M27 pour espérer une convention un peu meilleure.

En attendant, tout augmente : le matériel, les charges, les loyers, les voitures, l’électricité…
Et pendant que le monde avance, les kinés croulent dans l’ombre, sans lumière, sans reconnaissance, sans perspective.

Le gouvernement tangue, et s’il s’effondre, on risque de garder la discrimination de remboursement, avec encore moins de liberté et plus de contraintes.

Alors oui, ce matin, le réveil est amer.
Parce qu’on aime notre métier, mais on ne le reconnaît plus.
Parce qu’on soigne, mais on s’épuise.
Et parce qu’à force de tirer sur la corde, il ne faudra pas s’étonner quand elle finira par casser.
Et quand elle cassera, ce ne sont pas les kinés qui manqueront à la société,
c’est la qualité des soins qui disparaîtra avec eux.

Enfin, parce que nous croyons encore au changement, nous proposerons une idée de réforme,
réfléchie et issue du terrain.
Elle n’engage que nous, et cela ne signifie pas qu’elle verra le jour,
mais elle aura le mérite d’exister, d’ouvrir le débat et de redonner un peu d’espoir à notre profession.

La suite ce soir à 20h00.

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Nederlandse versie (vertaling door Jeff, persoonlijke assistent)

Vanmorgen voelt de ontwaking bitter aan.
Hoe hard we ook proberen om niet als de zwarte schapen van de gezondheidszorg gezien te worden, dit imago blijft ons achtervolgen. En terwijl we ons best doen om onze waarde te bewijzen, raakt ons beroep uitgeput, verliest het zijn betekenis en wankelt het onder de toenemende druk.

Er wordt van ons verwacht dat we efficiënt, snel en beschikbaar zijn, terwijl we de administratieve last, de financiële druk en de mentale vermoeidheid blijven dragen.
Men spreekt over kwaliteit, maar geeft ons niet de middelen om die te leveren.
Wie te veel kwaliteit vraagt zonder erkenning of waardering, breekt uiteindelijk degenen die ze dragen.

Veel kinesitherapeuten werken voltijds, sommigen combineren zelfs met een tweede activiteit, gewoon om het hoofd boven water te houden.
We doen dit werk uit passie, niet om rijk te worden, maar vandaag is die passie een val geworden: ze wordt een excuus om het onaanvaardbare te blijven aanvaarden.

Ons beroep is aan het veranderen.
Sommigen werken aan een hoog tempo om financieel te kunnen overleven,
anderen proberen ondanks de economische druk zoveel mogelijk tijd te nemen voor hun patiënten.
Maar hoe je het ook aanpakt, velen raken uitgeput.
Want uiteindelijk ligt het verschil niet in het aantal patiënten dat je ziet,
maar in het gebrek aan erkenning, ondersteuning en middelen om ons werk op een gezonde manier te kunnen doen.

En wat het meest frustrerend is: zij die de hervormingen, wetten en regels maken,
staan niet op het terrein.
Ze zien onze realiteit niet, ze horen de patiënten niet,
ze voelen de last, de vermoeidheid en de offers niet.
Het zijn vaak economen die met cijfers schuiven om een begroting “in evenwicht” te brengen,
zonder te beseffen dat achter elk cijfer een zorgverlener, een mens en een beroep in moeilijkheden schuilgaan.
Maar de mens laat zich niet in percentages beheren.
We behandelen geen Excel-tabellen, we behandelen mensen.

De conventie lost niets op.
Ze beschermt de overheidsuitgaven, maar schaadt ons welzijn.
We behoren tot de weinige zelfstandige beroepen waarvan de tarieven door de overheid worden opgelegd en beperkt.
Ja, zorg moet toegankelijk blijven, maar niet ten koste van ons evenwicht.
De indexeringen dekken de stijging van de levensduurte niet eens: ze zorgen er enkel voor dat we iets trager armer worden.

En in dit alles, waar blijven de concrete verbeteringen die men ons beloofde?
- De digitalisering, die als vooruitgang wordt voorgesteld, staat nog maar in haar kinderschoenen… en toont nu al haar beperkingen.
- Een herziening van de nomenclatuur? Er wordt over gesproken, ja, maar het is nog steeds geen prioriteit.
- Een administratieve vereenvoudiging? Onbestaande, of zelfs het tegenovergestelde.
- Een echte herwaardering? Daar spreekt men nauwelijks over, en we zullen waarschijnlijk moeten wachten tot M27 om te hopen op een iets betere conventie.

Ondertussen stijgt alles: het materiaal, de kosten, de huur, de auto’s, de energie…
En terwijl de wereld vooruitgaat, zuchten de kinesitherapeuten in de schaduw, zonder erkenning, zonder perspectief.

De regering wankelt, en als ze valt, riskeren we de terugbetalingsdiscriminatie te behouden, met nog minder vrijheid en meer beperkingen.

Dus ja, vanmorgen voelt de ontwaking bitter aan.
Omdat we van ons beroep houden, maar het niet meer herkennen.
Omdat we zorgen, maar zelf uitgeput raken.
En omdat, als men blijft trekken aan het touw, men zich niet zal mogen verwonderen wanneer het breekt.
En als het breekt, zullen het niet de kinesitherapeuten zijn die de samenleving zullen missen,
maar de kwaliteit van de zorg die samen met hen zal verdwijnen.

Tot slot, omdat we nog steeds in verandering geloven, zullen we een hervormingsidee voorstellen,
doordacht en vanuit het werkveld.
Het bindt enkel ons, en dat betekent niet dat het ooit werkelijkheid wordt,
maar het verdient het om te bestaan, om het debat te openen en om ons beroep weer een beetje hoop te geven.

Het vervolg vanavond om 20u00.

Carla Chotas, psychologue est maintenant agréé et vous reçoit en 1ere ligne! ✅Bravo Carla pour cette nouvelle corde à to...
23/10/2025

Carla Chotas, psychologue est maintenant agréé et vous reçoit en 1ere ligne!

✅Bravo Carla pour cette nouvelle corde à ton arc professionnel!

Vous pouvez trouvez plein d’informations via https://www.carlachotas-psychologue.com

Et prendre rdv en ligne:

Centre Médical Mélanie
Place Emile de Lalieux 36, 1400 Nivelles

📆 http://agenda.mobminder.com/centremelaniechotas

thérapie brève en français, espagnol, portugais, épuisement, mal-être au travail, anxiété, écoute, soutien. Carla Chotas psychologue

Thomas Benoit - kinésithérapeute  a obtenu son diplôme de spécialisation en Kiné des troubles vestibulaires et prise en ...
22/10/2025

Thomas Benoit - kinésithérapeute a obtenu son diplôme de spécialisation en Kiné des troubles vestibulaires et prise en charge du VPPB.

🥳 Félicitations!

🦴Et, il poursuit sa formation en OSTÉOPATHIE!

Disponible du lundi au vendredi en journée, et certains jours en soirée.

N’hésitez pas à prendre contact avec lui au 0475/45.79.75

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✅Centre médical Mélanie à Nivelles
📬PLACE ÉMILE DE LALIEUX 36
🛜 www.centremedicalmelanie.be

22/06/2025

FR/NL

Réformer, oui. Étouffer, non.

On parle beaucoup des changements imposés aux médecins : plafonnement des suppléments, obligation du tarif conventionné pour les patients bénéficiaires de l’intervention majorée (BIM), et des règles encore plus strictes en pratique libérale qu’en milieu hospitalier.
Pour eux, c’est nouveau.
Pour nous – kinésithérapeutes, logopèdes, infirmiers, sages-femmes – c’est notre réalité depuis presque toujours.

Nous avons été les premiers à travailler sous ces contraintes :
– Suppléments pour les patients BIM interdits.
– Avantages INAMI réservés aux conventionnés à 100 %.
– Remboursement réduit de 25 % pour les patients de soignants non-conventionnés.
– Conventionnement partiel interdit : c’est tout ou rien.
– Liberté tarifaire de plus en plus encadrée, voire neutralisée.

Et tout cela dans un système qui exige toujours plus, sans offrir les moyens de suivre.

Notre pouvoir d’achat recule, malgré la charge croissante du travail.
L’indexation ne suit plus. Les coûts explosent : loyers, matériel, logiciels, énergie, assurances…
Mais nos honoraires restent figés, nos marges comprimées, et notre liberté professionnelle de plus en plus restreinte.

On prétend défendre l’accessibilité des soins, mais les mesures sont toujours imposées au détriment des prestataires, et sans jamais commencer par mieux contrôler les abus structurels ailleurs.
Résultat : on bride les professionnels sérieux et engagés… tout en laissant passer le reste.

Depuis des années, nous subissons un système qui s’alourdit, se complexifie, et surtout, s’éloigne de la réalité du terrain :
– Digitalisation absente ou dysfonctionnelle (pas d’accords électroniques, facturation numérique quasi impossible, envois papier toujours requis).
– Administration permanente : prescriptions, notifications, rapports justificatifs, nomenclature obsolète…
– Cabinets aux normes exigés même lorsque l’activité se fait principalement au domicile des patients.

Dans ces conditions, peu de kinésithérapeutes indépendants peuvent exercer exclusivement leur métier à temps plein dans le cadre conventionné.
Beaucoup adoptent un statut mixte ou développent des activités complémentaires : cours collectifs, Pilates, ostéopathie, bien-être…
Ce n’est pas toujours un choix de diversification, mais souvent une nécessité pour maintenir un revenu viable.
Ce glissement hors du cadre remboursé traduit une réalité inquiétante : le système ne permet plus de vivre simplement de la kinésithérapie.

Et pendant que les conditions se durcissent, la profession perd en attractivité.
Comment encourager la relève à embrasser un métier exigeant, peu valorisé, mal rémunéré et administrativement étouffant ?
Beaucoup se découragent dès les premières années. D’autres changent de voie ou s’expatrient. Une fuite silencieuse, mais bien réelle.

Ce n’est plus simplement une crise sectorielle.
C’est une crise de cohérence, et de société.
On laisse des abus coûter des millions dans d’autres domaines sans réaction.
Mais étrangler les soins de première ligne ? Ça, on le fait sans hésiter.

Nous ne refusons pas les réformes. Nous refusons de continuer à les subir sans dialogue, sans vision, et sans respect pour les soignants de terrain.
Nous demandons un système de santé cohérent, durable et humain.
Un système dans lequel les professionnels peuvent vivre de leur métier, et soigner dans des conditions dignes.

Nous n’avons plus le luxe d’attendre.
Si rien ne change, ce ne sont pas seulement les soignants qui quitteront le système, mais aussi les générations futures qui n’y entreront plus.
Et au bout de cette chaîne, les patients en paieront le prix :
délais de rendez-vous rallongés, hausse des coûts, accès inégal aux soins…
C’est la santé de tous qui est en jeu.

👉 Nous partageons quelques idées d’actions concrètes en commentaire.



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Hervormen, ja. Wurgen, nee.

Er wordt veel gesproken over de maatregelen die artsen opgelegd krijgen: plafonnering van ereloonsupplementen, verplichte toepassing van het conventietarief voor rechthebbenden op de verhoogde tegemoetkoming (VT), en nog strengere regels in de ambulante sector dan in het ziekenhuis.
Voor hen is het nieuw.
Voor ons – kinesitherapeuten, logopedisten, verpleegkundigen, vroedvrouwen – is dit al bijna altijd onze realiteit geweest.

Wij waren de eersten die met deze beperkingen moesten werken:
– Supplementen voor VT-patiënten zijn verboden.
– RIZIV-voordelen enkel voor wie volledig geconventioneerd is.
– Verlaagde terugbetaling met 25% voor patiënten van niet-geconventioneerde zorgverleners.
– Gedeeltelijke conventie is verboden: alles of niets.
– Tariefvrijheid wordt steeds verder beperkt of zelfs geneutraliseerd.

En dit alles in een systeem dat steeds meer vraagt zonder de middelen te voorzien om het werk correct uit te voeren.

Onze koopkracht daalt, ondanks de groeiende werkdruk.
De indexering volgt de inflatie niet meer. De kosten rijzen de pan uit: huur, materiaal, software, energie, verzekeringen...
Maar onze tarieven blijven bevroren, onze marges krimpen, en onze professionele vrijheid wordt steeds verder ingeperkt.

Er wordt beweerd dat men de toegankelijkheid van zorg wil beschermen, maar de maatregelen worden systematisch genomen ten koste van de zorgverleners, zonder eerst de structurele misbruiken elders aan te pakken.
Het resultaat? De meest toegewijde professionals worden beperkt... terwijl anderen ongemoeid blijven.

Al jaren werken wij in een systeem dat zwaarder, complexer en afstandelijker wordt:
– Digitalisering ontbreekt of werkt niet (geen elektronische akkoorden, e-facturatie amper mogelijk, post blijft de norm).
– Permanente administratie: voorschriften, meldingen, justificatierapporten, verouderde nomenclatuur...
– Praktijken moeten aan dure normen voldoen, zelfs als het werk hoofdzakelijk aan huis gebeurt.

In deze omstandigheden kunnen weinig zelfstandige kinesitherapeuten voltijds hun beroep uitoefenen binnen het conventiekader.
Velen combineren met een andere statuut of bouwen aanvullende activiteiten uit: groepslessen, pilates, osteopathie, welzijnsbegeleiding...
Dat is niet altijd een bewuste keuze voor diversificatie, maar vaak gewoon noodzakelijk om een leefbaar inkomen te behouden.
Deze verschuiving naar niet-terugbetaalde zorg toont aan: het systeem laat het niet meer toe om op een normale manier van kinesitherapie te leven.

En terwijl de voorwaarden verstrengen, verliest het beroep aan aantrekkelijkheid.
Hoe kunnen we jongeren overtuigen om te kiezen voor een beroep dat veeleisend, ondergewaardeerd, slecht vergoed en administratief verstikkend is?
Velen haken af binnen de eerste jaren. Anderen verlaten het vak of trekken naar het buitenland. Een stille uitstroom, maar wel degelijk aanwezig.

Dit is niet langer een sectorale crisis.
Dit is een crisis van samenhang. Een crisis van onze samenleving.
Er worden miljoenen verspild in andere sectoren zonder reactie.
Maar eerstelijnszorg verstikken? Dat lijkt plots geen probleem te zijn.

Wij zijn niet tegen hervormingen.
Maar we weigeren ze nog langer te ondergaan zonder dialoog, zonder visie en zonder respect voor de zorgverleners op het terrein.
Wij vragen een coherent, duurzaam en menswaardig gezondheidssysteem.
Een systeem waarin professionals kunnen leven van hun werk en zorg kunnen bieden in waardige omstandigheden.

We hebben geen tijd meer te verliezen.
Als er niets verandert, zullen niet alleen de huidige zorgverleners het systeem verlaten, maar ook de toekomstige generaties er niet meer instappen.
En uiteindelijk zijn het de patiënten die de prijs betalen:
langere wachttijden, hogere kosten, ongelijke toegang tot zorg...
Het gaat om de gezondheid van ons allemaal.

👉 We delen enkele concrete actietips in de reacties.

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‼️Votre santé en danger…réforme abusive! Vos soignants dénoncent… 🆘
20/06/2025

‼️Votre santé en danger…réforme abusive! Vos soignants dénoncent… 🆘

FR/NL

📘 À SAVOIR AVANT DE LIRE :
Julie a lu scrupuleusement le projet de loi de Vandenbroucke, disponible en intégralité ici :
https://vandenbroucke.belgium.be/sites/default/files/2025-06/Hervormingswet-memorie-Loi-de-reformes-motifs.pdf
👉 Les conclusions de ce résumé sont issues de sa lecture attentive. Des erreurs d’interprétation peuvent s’y glisser, car elle n’est pas juriste. L’équipe de Ask s’apprête à réagir très prochainement, même si certains ont déjà dû apercevoir notre position.

📣 RÉFORME DES CONVENTIONS DE SOINS DE SANTÉ : CE QUE ÇA CHANGE POUR NOUS, LES KINÉS !
Le projet de loi de VDB bouleverse les règles du jeu. Voici ce qu’il faut retenir 👇

🔹 1. LE CONVENTIONNEMENT DEVIENT PLUS RIGIDE ET CENTRALISÉ
Les conventions seront calculées au niveau national (et plus régional)
En l’absence de convention, le Roi fixera les tarifs maximums imposés à tous, y compris les kinés
Fini les tarifs libres entre deux conventions : on reste au tarif précédent jusqu'à fin février ou nouvel accord
➡️ Le kiné ne pourra plus pratiquer librement hors convention pendant les périodes creuses.

🔹 2. LES AIDES INAMI SERONT UNIQUEMENT POUR LES CONVENTIONNÉS
Prime qualité, télématique, et aides à la pratique réservées aux conventionnés
➡️ Être déconventionné = pas de prime, y compris la prime qualité (PQK)

🔹 3. LES AVENANTS PEUVENT FAIRE CHANGER TON STATUT DE CONVENTION
En cas d'avenant, une absence de réponse peut te faire passer automatiquement conventionné
➡️ Il faudra être très attentif à chaque avenant et réagir dans les délais.

🔹 4. SUPPRESSION PROGRESSIVE DE LA LIBERTÉ TARIFAIRE
À partir de 2028, même en étant déconventionné, un plafond légal de suppléments sera imposé :
- max. +25% en cabinet
- max. +125% à l’hôpital
➡️ C’est la fin des tarifs libres, même hors convention. Exemple : 30,80 € + 25 % = 38,50 € même si vous prenez 45 min avec le patient !

🔹 5. LES DÉPASSEMENTS TARIFAIRES SERONT ENCADRÉS POUR LES CONVENTIONNÉS
Intégrés dans le "maximum à facturer" pour le patient
➡️ Ce point est encore flou sur leur application pour les kinés.

🔹 6. PAS DE CONVENTION = PAS D’INDEXATION
➡️ L’indexation ne s’applique que si un accord est signé à temps et s’il n'est ni dénoncé ni refusé.

🔹 7. L’INAMI POURRA MODIFIER LA NOMENCLATURE SANS LE CONSEIL TECHNIQUE DE LA KINESITHERAPIE
➡️ Revalorisations possibles… mais aussi suppressions ou limitations sans accord du Conseil technique kiné.

🔹 8. DIGITALISATION OBLIGATOIRE
Dès juillet 2026 : fin du papier pour les kinés (facturation, attestations, eAgreement…)
➡️ Tous les kinés devront être équipés d’un logiciel compatible MyCareNet.
⚠️ Hypocrisie : la digitalisation serait en place depuis sept. 2023… selon le ministre !

🔹 9. LES MUTUALITÉS SERONT PLUS CONTROLES DANS LEURS DÉPENSES
Une partie de leur budget leur est désormais retenue, et ne leur sera versée que si elles parviennent à respecter les dépenses prévues.
➡️ Cela exerce une pression directe sur leur fonctionnement : on peut s’attendre à davantage de contrôles sur les accords 18+, E, Fa/Fb, les prescriptions et les remboursements... de manière justifiée ou non.

🔹 10. TRANSPARENCE ACCRUE POUR LES PATIENTS
Suspension INAMI ou interdiction de tiers payant : visible en ligne
➡️ Le patient saura immédiatement si tu es blacklisté.

🔹 11. SANCTIONS RENFORCÉES
Suspension possible du numéro INAMI à la place d’une amende
Impossible de faire passer rétroactivement des soins en tiers payant
➡️ Une suspension = zéro remboursement possible pour les patients.

🔹 12. FIN DE LA DISCRIMINATION DE REMBOURSEMENT ENTRE KINÉS
Même remboursement pour les patients, que le kiné soit conventionné ou non
➡️ Fin d’un levier important pour forcer le conventionnement.

💡 CONCLUSION
Cette réforme donne l’illusion d’un système plus stable grâce à un cadre strict et des échéances fixes, mais en réalité, elle limite la marge de manœuvre des prestataires et ne corrige pas les déséquilibres dans le rapport de force avec les autorités.
Un "succès" est l'abolition de cette discrimination tant attendue... Mais à quel prix ?
Ce projet de loi réduit fortement la liberté du kiné : liberté tarifaire limitée, conventionnement quasi obligatoire, digitalisation accélérée, pression accrue par les mutualités.
Pour cela, en collaboration avec les médecins, logopèdes, dentistes et autres professions (para)médicales, nous proposons une illustration de désaccord avec ce projet de loi.

📌 L’association Ask suit ce projet de très près. Si ce résumé t’a été utile, partage-le à tes collègues pour qu’ils soient informés eux aussi.
Et n’hésite pas à commenter ton ressenti ou ton positionnement par rapport à ce projet de loi.

L’équipe de Ask

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📘 TE WETEN VOOR HET LEZEN:

Julie heeft het wetsontwerp van Vandenbroucke nauwgezet doorgenomen. De volledige tekst is hier beschikbaar:https://vandenbroucke.belgium.be/sites/default/files/2025-06/Hervormingswet-memorie-Loi-de-reformes-motifs.pdf

👉 De conclusies van deze samenvatting zijn gebaseerd op haar grondige lectuur. Aangezien ze geen juriste is, kunnen er interpretatiefouten zijn binnengeslopen. Het team van Ask zal binnenkort gezamenlijk reageren, hoewel sommigen onze positie al hebben zien aankomen.

📣 HERVORMING VAN DE CONVENTIES IN DE GEZONDHEIDSZORG: WAT VERANDERT ER VOOR ONS, DE KINESITHERAPEUTEN?

Het wetsvoorstel van VDB verandert de spelregels grondig. Hier is wat je moet weten 👇

🔹 1. CONVENTIONEERING WORDT RIGIDER EN GECENTRALISEERD

De berekening van het conventiepercentage gebeurt voortaan op nationaal niveau (en niet langer regionaal)

Bij afwezigheid van een akkoord stelt de Koning maximumtarieven vast die voor iedereen gelden, ook voor kinesitherapeuten

Geen vrije tarieven meer tussen twee conventies: het oude tarief blijft gelden tot eind februari of tot er een nieuw akkoord is
➡️ De kinesitherapeut zal buiten conventie niet langer vrij kunnen werken in overgangsperiodes.

🔹 2. ENKEL CONVENTIONEERDEN KRIJGEN INAMI-PREMIES

Kwaliteitspremie, telematica en praktijksteun zijn enkel voor wie geconventioneerd is
➡️ Geen conventie = geen premie, ook niet de kwaliteitspremie (PQK)

🔹 3. AVENANTEN KUNNEN JE CONVENTIESTATUUT WIJZIGEN

Als je niet reageert op een avenant, word je automatisch geconventioneerd
➡️ Altijd reageren op elk avenant, binnen de voorziene termijn.

🔹 4. VRIJE TARIEVEN WORDEN GESTELD AAN GRENZEN

Vanaf 2028 geldt een wettelijk supplementplafond, ook buiten conventie:
- max. +25% in de praktijk
- max. +125% in het ziekenhuis
➡️ Vrije tarieven verdwijnen, zelfs buiten conventie. Voorbeeld: 30,80€ + 25% = 38,50€, ook al werk je 45 min per patiënt!

🔹 5. OVERTREDINGEN BINNEN CONVENTIE WORDEN BETER GEKADERD

Ze kunnen meetellen in de "maximumfactuur" van de patiënt
➡️ Voor de kinesitherapeut nog onduidelijk hoe dat zal werken.

🔹 6. GEEN CONVENTIE = GEEN INDEXERING
➡️ Indexatie alleen als een akkoord op tijd wordt ondertekend én niet wordt verworpen of opgezegd.

🔹 7. INAMI KAN DE NOMENCLATUUR WIJZIGEN ZONDER DE KINESITHERAPEUTEN
➡️ Zowel verhogingen als schrappingen van prestaties mogelijk, zonder advies van de Technische Raad Kine.

🔹 8. DIGITALISERING WORDT VERPLICHT

Vanaf juli 2026: geen papieren facturen, getuigschriften of aanvragen meer
➡️ Elke kine moet software hebben die compatibel is met MyCareNet.
⚠️ Volgens de minister zou dit al werken sinds sept. 2023… NIET waar!

🔹 9. ZORGVERZEKERAARS KRIJGEN FINANCIËLE DRUK

Een deel van hun budget wordt ingehouden en pas vrijgegeven als ze uitgaven onder controle houden
➡️ Verwacht meer controles op Fa/Fb-akkoorden, voorschriften en terugbetalingen.

🔹 10. MEER TRANSPARANTIE VOOR PATIËNTEN

INAMI-schorsing of verbod op derdebetalersysteem wordt online zichtbaar
➡️ De patiënt ziet meteen of je op de zwarte lijst staat.

🔹 11. STRENGERE SANCTIES

INAMI-nummer kan geschorst worden in plaats van een boete

Achteraf inbrengen in derdebetalerssysteem is niet meer toegestaan
➡️ Schorsing = geen terugbetaling mogelijk.

🔹 12. EINDE VAN DE TERUGBETALINGSDISCRIMINATIE TUSSEN KINES

Zelfde terugbetaling voor patiënten, ongeacht conventiestatus van de kine
➡️ Einde van een belangrijk drukkingsmiddel om te conventiëren.

💡 CONCLUSIE: Deze hervorming geeft de indruk van een stabieler systeem dankzij een strikt kader en vaste deadlines, maar in werkelijkheid beperkt ze de onderhandelingsruimte van zorgverleners en verandert niets aan de machtsverhouding met de overheid. De afschaffing van de terugbetalingsdiscriminatie is een "succes"… Maar tegen welke prijs? Dit wetsvoorstel vermindert de vrijheid van de kinesitherapeut aanzienlijk: beperkte tariefvrijheid, bijna verplichte conventie, versnelde digitalisering en toenemende druk van de mutualiteiten.

📌 De vereniging Ask volgt dit dossier op de voet. Als je iets aan dit overzicht had, deel het dan met je collega’s. En laat zeker je mening of positie horen over dit wetsontwerp.

Het team van Ask
(📝 Deze vertaling werd verzorgd door Jeff, onze AI-assistent.)

Webinar "Bougez, ça ira mieux" : Comment le mouvement transforme la prise en charge de la douleur chroniqueMercredi, 21 ...
02/05/2025

Webinar "Bougez, ça ira mieux" : Comment le mouvement transforme la prise en charge de la douleur chronique
Mercredi, 21 mai 2025 à 19:30, organisé par CBX Medical

Lien: https://bit.ly/3Yri9eg

Lors de ce webinar, vous apprendrez :

Pourquoi et comment le mouvement agit comme traitement antalgique naturel

Comment motiver vos patients douloureux à bouger malgré leurs appréhensions

Quelles stratégies concrètes intégrer dans votre pratique pour accompagner efficacement vos patients

👩‍⚕️ Pour qui est ce webinar ?
Ce webinar est destiné à tous les professionnels de santé impliqués dans la gestion de la douleur chronique .

Rejoignez le Dr Bruno Leroy pour découvrir comment intégrer efficacement l'éducation thérapeutique et l'activité physiqu

Bon 1er mai à tous! 🤩
01/05/2025

Bon 1er mai à tous! 🤩

Besoin d’un coup de frais POUR POURSUIVRE LES EFFETS BÉNÉFIQUES de vos séances de kiné !?
25/04/2025

Besoin d’un coup de frais POUR POURSUIVRE LES EFFETS BÉNÉFIQUES de vos séances de kiné !?

L’asbl Chateau vert située à Huy/Andenne est en train de construire 6 pavillons pour moderniser ses installations, 𝕚𝕝𝕤 𝕠...
18/04/2025

L’asbl Chateau vert située à Huy/Andenne est en train de construire 6 pavillons pour moderniser ses installations, 𝕚𝕝𝕤 𝕠𝕟𝕥 𝕓𝕖𝕤𝕠𝕚𝕟 𝕕’𝕦𝕟 𝕔𝕠𝕦𝕡 𝕕𝕖 𝕡𝕠𝕦𝕔𝕖 pour que ces nouveaux lieux de vie soient les plus adaptés aux besoins des résidents adultes.

𝐉’𝐚𝐢 𝐞́𝐭𝐞́ 𝐟𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐮𝐧 𝐬𝐭𝐚𝐠𝐞 𝐜𝐡𝐞𝐳 𝐞𝐮𝐱 et j’ai été superbement bien accueillie par l’équipe…𝒏’𝒉𝒆́𝒔𝒊𝒕𝒆𝒛 𝒑𝒂𝒔 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝒍𝒐𝒏𝒈𝒕𝒆𝒎𝒑𝒔 𝒑𝒐𝒖𝒓 𝒇𝒂𝒊𝒓𝒆 𝒖𝒏 𝒅𝒐𝒏.ᐟ🥰

Merci, Mélanie Béroudiaux - Kinésithérapeute au

Le Château Vert accueille des personnes avec handicap moteur. Le montant récolté permettra de participer à l'achat de baignoires adaptées avec balnéothérapie pour nos 6 nouveaux pavillons. Celles-ci amèneront du bien-être aux bénéficiaires accueillis....

Adres

Place Emile De Lalieux 36
Nivelles
1400

Openingstijden

Maandag 08:30 - 20:00
Dinsdag 08:30 - 20:00
Woensdag 08:30 - 20:00
Donderdag 08:30 - 20:00
Vrijdag 08:30 - 18:00
Zaterdag 09:00 - 17:00

Telefoon

+32497628931

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