SOS Harcèlement Scolaire

SOS Harcèlement Scolaire J'accompagne les enfants/ado à sortir du harcèlement. www.sosharcelementscolaire.com

📌 Subir des agressions verbales, physiques ou psychologiques ne "renforce" pas toujours. Ces expériences peuvent laisser...
08/11/2025

📌 Subir des agressions verbales, physiques ou psychologiques ne "renforce" pas toujours. Ces expériences peuvent laisser des blessures invisibles : perte de confiance, anxiété, stress post-traumatique.

📌 Attendre qu’un enfant "devienne plus fort" face au harcèlement peut banaliser la souffrance qu’il vit au quotidien.

💬 Et si on changeait de perspective ?

Plutôt que de glorifier une résilience imposée par des épreuves douloureuses, engageons-nous à développer l'intelligence relationnelle des enfants.

👉 En les outillant, on leur permet non seulement de faire face à des situations difficiles, mais aussi de bâtir un monde où le harcèlement n’a plus sa place.

💡 Comment agir ?
👉 Enseigner les techniques d’affirmation de soi dès le plus jeune âge.
👉 Encourager des discussions ouvertes sur le respect, les émotions et les différences.
👉 Donner l’exemple : notre comportement en tant qu’adultes est leur premier modèle.

🌟 La résilience ne doit pas être une obligation. Offrons-leur les clés pour éviter les blessures, au lieu de leur demander de les guérir seuls.

Et si on devenait les acteurs de ce changement ? ✨
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Je suis Laurie | J’accompagne ton enfant/ado à sortir du harcèlement
🌸A renforcer son estime de lui 😎
✨Et se créer de belles amitiés.

👉 Je forme aussi les professionnels qui veulent être outillés pour accompagner concrètement les enfants victimes à s’en sortir et/ou animer des ateliers pour former des guerriers pacifiques.

📣 Comment savoir si mon enfant a besoin d’aide ?« C’est juste des petites moqueries pour rire... Mon enfant est peut-êtr...
06/11/2025

📣 Comment savoir si mon enfant a besoin d’aide ?

« C’est juste des petites moqueries pour rire... Mon enfant est peut-être un peu trop sensible. »

👉 Si votre enfant souffre de la situation, même si cela vous semble anodin, c’est un signe qu’il a besoin d’aide. Les moqueries répétées, même sous couvert de "plaisanterie", peuvent laisser des traces profondes : une perte de confiance, un sentiment de rejet, ou encore une grande solitude. 💔

⚠️ La souffrance de votre enfant est légitime, peu importe la "gravité" que vous attribuez à la situation. Ce n’est pas une question d’être "trop sensible", c’est une réalité qu’il vit, et cette réalité mérite toute votre attention.

🎯 Quelques signes à surveiller :
Il se referme sur lui-même ou devient irritable.
Il redoute d’aller à l’école ou trouve des excuses pour éviter d’y aller.
Il parle de lui-même avec des mots négatifs ou semble perdre confiance en lui.
Il vous raconte des situations répétées de moqueries ou d’exclusion.

💡 Votre rôle ?
Écoutez sans minimiser. Son ressenti est important, même si vous avez du mal à comprendre.

💖Offrez votre soutien. Montrez-lui qu’il n’est pas seul et qu’il peut compter sur vous.

🕵️‍♂️ Cherchez des solutions ensemble. Un accompagnement, des outils pour mieux réagir.

🌱 En tant que parents, nous ne pouvons pas empêcher toutes les épreuves, mais nous pouvons donner à nos enfants la force et les ressources pour les traverser. Si vous avez le moindre doute, mieux vaut agir tôt que t**d.
Parce que la souffrance d’un enfant, quelle qu’elle soit, mérite toujours d’être entendue. 💛
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👉 Je forme aussi les professionnels qui veulent être outillés pour accompagner concrètement les enfants victimes à s’en sortir et animer des ateliers pour former des guerriers pacifiques.

06/11/2025
Des images pour parler du harcèlement avec votre enfant.
05/11/2025

Des images pour parler du harcèlement avec votre enfant.

Siska De Ruysscher avait 14 ans lorsqu’elle a fait sa première tentative de su***de, après avoir été victime de harcèlem...
04/11/2025

Siska De Ruysscher avait 14 ans lorsqu’elle a fait sa première tentative de su***de, après avoir été victime de harcèlement.

Pendant des années, elle a vécu avec une dépression profonde.
Le 2 novembre, à 26 ans, Siska a eu recours à l’euthanasie, une décision encadrée par la loi belge, après un long parcours de souffrance psychique.

Elle dénonçait depuis longtemps :
👉 le nombre limité de séances offertes aux jeunes,
👉 les listes d’attente interminables pour consulter un psychologue ou trouver une place en hôpital psychiatrique,
👉 et les conditions de vie précaires dans certaines institutions, où des patients aux troubles très différents partagent le même espace.

Très jeune, elle s’est heurtée aux limites du système.

« La première difficulté, c’est de trouver un thérapeute qui te corresponde vraiment. À 13 ans, j’avais trouvé une psychologue au CLB, mais le nombre de séances était limité. Elle a continué à me voir en secret, jusqu’à ce qu’elle n’en ait plus le droit. Et tout s’est arrêté. »

À 17 ans, Siska a dû passer plusieurs semaines dans une cellule d’isolement dans un hôpital psychiatrique.

"On est censé y trouver un endroit pour se reposer et se reconstruire, et pourtant, on doit dormir des semaines entières dans une cellule d’isolement. On se sent comme une criminelle. Le lit est vissé au sol, il n’y a ni coussins ni couvertures, car jugé trop dangereux. La porte est verrouillée, et il faut attendre qu’on vienne vous chercher."

"Les patients ont besoin de proximité et d’un suivi attentif, mais le personnel ne peut malheureusement pas leur consacrer le temps nécessaire. On doit rester en cellule d’isolement parce qu’il n’y a pas assez de personnel pour vérifier si votre chambre est suffisamment sûre."

Elle disait avoir trouvé une forme d’apaisement en sachant que sa souffrance aurait une fin.

Siska laisse derrière elle un appel puissant à repenser nos priorités :

🕊️ La santé mentale n’est pas secondaire. C’est une urgence.
Aucun jeune ne devrait en arriver à souhaiter mourir pour ne plus souffrir.

📚 Lecture coup de poing – À mettre entre toutes les mains de parents, éducateurs, enseignants, thérapeutes.🖤 « Je vous d...
04/11/2025

📚 Lecture coup de poing – À mettre entre toutes les mains de parents, éducateurs, enseignants, thérapeutes.

🖤 « Je vous demande de vous mettre à notre place. Un instant. Rien qu'un instant. Votre enfant vient vous raconter l'humiliation, la persécution, le bannissement. C'est votre fils, votre fille, il a douze ans, elle en a huit ou quatorze. C'est la chair de votre chair, ce que vous avez de plus précieux au monde. C'est l'être que vous devez protéger, défendre, soutenir, aider à grandir. Et il vient vous avouer cela. Vous y êtes ? Vous la devinez, votre stupéfaction ? votre culpabilité ? votre douleur ? votre colère ? Ça vous envahit, pas vrai ? ça vous submerge, ça vous dépasse, ça vous anéantit. Et ça, ce n'est que le début. Que les toutes premières minutes. »

➡️ Un cri du cœur. Une claque. Un appel à l’action.
Cette histoire puissante nous oblige à ouvrir les yeux. À écouter autrement. À réagir plus vite. À ne pas minimiser. À ne plus laisser seuls les enfants victimes de harcèlement.

✨ Un livre nécessaire. Poignant. Inoubliable.

Diffusion ce soir en Belgique.
03/11/2025

Diffusion ce soir en Belgique.

Le su***de de Dinah et de Lucas a bouleversé les consciences. Derrière ces drames, un fléau : le harcèlement scolaire, qui continue de briser des vies.

🟪 Mourir à 13 ans ➡ ce 03/11 | 20h30 | La Trois & RTBF Auvio

Âmes sensibles s'abstenir de lire ce post !Chloé a subi des mois de harcèlement et de violence sans que l’établissement ...
02/11/2025

Âmes sensibles s'abstenir de lire ce post !

Chloé a subi des mois de harcèlement et de violence sans que l’établissement ne parvienne à les faire cesser. Pendant l’année scolaire 2023-2024, Chloé revient régulièrement avec des traces de coups, sans que l’école ne fournisse toujours des explications. Elle a des bleus sur le corps et même des marques de strangulation.

Mais à chaque fois, l’école n’a rien vu. La petite fille ne cesse de dire à ses parents qu’elle se fait taper par Arnaud et parfois par d’autres élèves.
De surcroît, elle subit les demandes incessantes du petit garçon pour « montrer sa minette », « baisser sa culotte » ou recevoir un bisou sur sa vulve. En mai 2024, Chloé et une autre petite fille se sont retrouvées nues dans la cour, déshabillées par Arnaud et un autre petit garçon selon elles. Maîtresse et directrice rassurent les parents, parlent de « découverte du corps » tout à fait « normale en maternelle » selon elles et de violences sans gravité, qui feraient partie de jeux entre enfants. On demande aux parents d’avoir de l’indulgence pour ce petit garçon présenté comme ayant des difficultés de comportement.

A la rentrée 2024, la situation se dégrade à nouveau. La fillette est désormais suivie par une psychologue et manifeste un fort refus scolaire. Des zones sont instaurées pour séparer les enfants. En décembre, Chloé revient avec le visage tuméfié, et ses problèmes de santé empirent en janvier, avec des trous de mémoire. Elle présente des idées suicidaires selon ses mères, mais l’école rétorque que tout va bien, que la fillette doit s’adapter.

De guerre lasse, elle est changée d’école en février. Et c’est seulement après avoir changé d’école qu’elle révèle, en mai, avoir subi des viols et attouchements. « Tu te souviens Arnaud, il mettait la main dans la culotte et à l’intérieur et des fois il mettait le doigt dans les fesses », lâche-t-elle à sa mère, après avoir été reprise suite à un geste inapproprié avec sa sœur. Ces faits se seraient produits plusieurs fois. C’est ce qui décidera ses parents à porter plainte, d’autant qu’entre-temps, elles ont appris que le cas de Chloé était loin d’être un cas isolé.

« Après de nombreuses agressions, l’école nie plutôt que de chercher des solutions. Cache plutôt que d’informer les parents et notamment ceux d’Arnaud qui pourraient ajuster sa prise en charge en conséquence de ce qui se passe à l’école », dénoncent les parents d’élèves.

Source : 20 minutes . fr

01/11/2025

🧠 La dépression à l’adolescence ne se voit pas toujours.
Elle s’entend rarement. Et elle se confond souvent avec une « crise d’ado ».

En France, près d’un adolescent sur dix entre 12 et 18 ans serait concerné. Mais le plus inquiétant, c’est le nombre de jeunes qui passent sous le radar.

Pourquoi ? Parce que la dépression de l’adolescent ne ressemble pas à celle de l’adulte.

Elle peut s’exprimer par de l’irritabilité, de l’agressivité, un désintérêt scolaire, une fatigue constante ou des plaintes somatiques répétées.

Certains deviennent même perfectionnistes, hyperactifs ou toujours « au taquet », comme pour éviter le vide intérieur. Ces formes masquées sont parmi les plus difficiles à repérer. 😔

Les parents, enseignants ou soignants cherchent souvent des signes de tristesse, alors que chez l’adolescent, c’est le comportement qui change d’abord.

C’est pourquoi la vigilance doit porter sur la durée et l’intensité du mal-être : quand il dure, quand il isole, quand il empêche d’apprendre ou de se projeter, c'est pas juste une simple période de passage.

💬 Le repérage précoce est essentiel : un échange avec le médecin ou l’infirmier scolaire peut suffire à ouvrir la porte.

Le professionnel pourra proposer une psychothérapie (souvent une thérapie cognitive-comportementale) et, dans les situations plus complexes, orienter vers un pédopsychiatre.

📍Petit point à nuancer :
Les chiffres (8 %) varient selon les études, et la souffrance peut s’exprimer de multiples façons selon l’âge, le sexe et le contexte social.

📖 Pour aller plus loin : https://urlr.me/!DiagTND

Infographie réalisée par Santé publique France.

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✨ Encore 3 journées magnifiques passées avec 6 jeunes incroyables !Le stage "Bien dans mes baskets", ce n’est pas seulem...
30/10/2025

✨ Encore 3 journées magnifiques passées avec 6 jeunes incroyables !

Le stage "Bien dans mes baskets", ce n’est pas seulement un stage qui outille face au harcèlement…
C’est aussi un espace qui répare. 💛

Les jeunes y expérimentent un cadre sécurisant, où ils peuvent :
🌱 se reconnecter à leur valeur,
🤝 vivre des relations saines,
💬 retrouver confiance dans le lien à l’autre.

Petit à petit, la méfiance laisse place à la confiance, et la peur du regard des autres s’efface pour laisser émerger la joie d’être soi. 🌟

✨ Prochain stage pour les 10-14 ans :
📆 24, 25 et 26 février 2026 – de 9h à 16h
⏳ Il reste seulement 4 places !

👉 Inscription sur le site.

Merci de partager l'info 🌿

😤 Quand le respect ne va que dans un sens…Un enseignant peut humilier, critiquer ou rabaisser un enfant…➡️ Sans sanction...
29/10/2025

😤 Quand le respect ne va que dans un sens…

Un enseignant peut humilier, critiquer ou rabaisser un enfant…
➡️ Sans sanction.

Mais si cet enfant ose se défendre,
il est puni pour manque de respect.

💥 Incohérent, non ?

Moi, j’apprends aux enfants à répondre avec intelligence.
Sans insolence.
Sans se mettre en tort.
Mais avec dignité.

Parce qu’un enfant qui se laisse humilier
apprend, sans le vouloir, à se mettre en position de victime.
Et c’est souvent la porte ouverte aux moqueries des autres.

🧡 Merci à tous les enseignants qui font preuve de bienveillance,
et qui éduquent dans le respect mutuel.

✨ C’est parti pour 3 journées uniques pour outiller les enfants face aux moqueries, développer leurs compétences relatio...
28/10/2025

✨ C’est parti pour 3 journées uniques pour outiller les enfants face aux moqueries, développer leurs compétences relationnelles et renforcer leur estime d’eux-mêmes.

👉 Le tout dans la joie et la bonne humeur !

Bien sûr, le début peut être un peu stressant avec ces nouvelles têtes… Mais après quelques éclats de rire, la glace est brisée et la confiance peut s’installer.

En tant qu’adultes, nous avons un rôle essentiel : poser un cadre bienveillant et inclusif. Il est faux de croire qu’il suffit de mettre des enfants ensemble pour qu’ils sachent naturellement se socialiser.

➡️ Pour ceux qui ont déjà vécu des expériences sociales compliquées, l’autre peut vite sembler être une menace…

C’est pourquoi un cadre sécurisant et des activités de mise en lien sont indispensables pour leur permettre de retrouver le plaisir de la relation.

✨ Prochain stage pour les 10-14 ans :
📆 24, 25 et 26 février 2026 – de 9h à 16h
⏳ Il reste seulement 4 places !

Merci de partager l'info 🌿

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