SOS Harcèlement Scolaire

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💔 9 femmes sur 10 ont déjà subi des violences dans leur couple.Neuf sur dix.Derrière ces chiffres, il y a des visages, d...
30/11/2025

💔 9 femmes sur 10 ont déjà subi des violences dans leur couple.

Neuf sur dix.
Derrière ces chiffres, il y a des visages, des histoires, des silences.
Des femmes qui ont cru que « ça allait s’arranger ».
Qui ont espéré que l’amour suffirait.

Mais l’amour ne fait pas mal.
Ce qui fait mal, c’est la culture qui apprend encore aux hommes
qu’ils doivent dominer pour exister,
qu’ils perdent quelque chose quand ils écoutent,
qu’ils valent moins quand ils doutent, quand ils pleurent, quand ils aiment sans contrôler.

C’est cette masculinité toxique — invisible, banalisée, transmise —
qui fait tant de dégâts.
Elle étouffe les femmes, mais elle enferme aussi les hommes.

Alors, il est temps de désapprendre.
De dire à nos fils qu’ils ont le droit d’être doux, sensibles, vulnérables.
De dire à nos filles qu’elles n’ont pas à se taire pour être aimées.
De dire à nos amis, nos frères, nos pères :
“Tu peux être fort sans faire peur.”

💫 Parce qu’un jour, on regardera ces chiffres avec horreur.
Et on se dira : “Comment avons-nous pu accepter ça si longtemps ?”

Illustration de BD - Les Petit.es Rebelles

Avoir 14 ans et découvrir que celles que tu considérais comme tes amies parlent de toi derrière ton dos, c'est un coup d...
29/11/2025

Avoir 14 ans et découvrir que celles que tu considérais comme tes amies parlent de toi derrière ton dos, c'est un coup dur. 😔 C'est comme si le sol se dérobait sous tes pieds.

Tu te sens...
Triste 😢, parce que la trahison vient de ceux en qui tu avais confiance.
Seule 🥺, même entourée de gens, parce que tu te demandes qui d'autre pourrait être en train de parler de toi.
Anxieuse 😨, car tu te demandes ce qu'elles disent et ce que les autres pourraient penser.
En colère 😡, parce que c'est injuste, et tu voudrais crier pour te défendre.
Pleine de doutes 🤯, sur toi-même, sur ce que tu as fait de mal, sur qui tu es vraiment.

Mais tu sais quoi ? Ne les laisse pas te définir. 💪

🔗 Leurs mots ne sont pas ta vérité. Oui, ça fait mal, mais rappelle-toi que ta valeur ne dépend pas de ce que les autres disent. Ce que tu es, ce que tu ressens, c'est toi qui le décide.

Entoure-toi de ceux qui te respectent vraiment. Parfois, les moments difficiles révèlent qui sont tes vrais amis. Ceux qui t'aiment pour ce que tu es, sans jugements.

🌟 Tu es plus forte que tu ne le penses. Utilise cette expérience pour grandir, pour te rapprocher de ceux qui comptent vraiment, et surtout, pour te souvenir que tu mérites le respect et l'amitié sincère.

Ne change pas pour plaire aux autres, reste fidèle à toi-même.
Le monde a besoin de plus de personnes comme toi, authentiques et vraies. 🌈

🌟 Si tu connais quelqu'un qui traverse la même situation, partage ce post.
Ensemble, faisons en sorte que personne ne se sente seul face à ces moments difficiles. 💬 Parce que tout le monde mérite de savoir qu'ils ne sont pas seuls et qu'ils ont la force de surmonter ça.

Et toi, as-tu déjà vécu une situation où tu t’es senti(e) trahi(e) par des amis ? 💔 Comment as-tu réussi à t’en relever ?........................................................
🌸Je suis Laurie | J’accompagne ton enfant/ado à sortir du harcèlement 😎 A renforcer son estime de lui ✨ Et se créer de belles amitiés.

👉 Je forme aussi les professionnels qui veulent être outillés pour accompagner concrètement les enfants victimes à s’en sortir et animer des ateliers pour former des guerriers pacifiques.

Assez.Assez d’entendre que “les garçons, c’est comme ça”.Assez de voir des enfants grandir dans une culture où la force ...
27/11/2025

Assez.
Assez d’entendre que “les garçons, c’est comme ça”.
Assez de voir des enfants grandir dans une culture où la force écrase la sensibilité.
Assez de justifier la colère, la domination ou la violence comme des preuves de virilité.

Nos garçons méritent mieux.
Ils méritent d’apprendre à ressentir sans exploser, à exprimer sans blesser, à exister sans dominer.

Éduquer à la non-violence, ce n’est pas “adoucir les garçons”.
C’est leur apprendre la puissance du respect, la force du dialogue, le courage de la tendresse.

👉 Arrêtons de leur dire “sois fort”.
Disons-leur :
“Tu as le droit d’avoir peur.”
“Tu as le droit d’être triste.”
“Tu as le droit de dire non sans frapper.”

Parce que chaque fois qu’on autorise un garçon à être sensible,
on empêche un homme de devenir violent demain.

💥 La révolution commencera quand on élèvera des garçons en paix avec eux-mêmes.

🧒💔 Il est temps qu’on arrête d’éduquer les garçons à la violence97 % des personnes incarcérées sont des hommes.Ce n’est ...
25/11/2025

🧒💔 Il est temps qu’on arrête d’éduquer les garçons à la violence

97 % des personnes incarcérées sont des hommes.
Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas une fatalité non plus.
C’est le reflet d’une éducation qui, depuis des générations, étouffe les émotions des garçons.

On leur apprend très tôt à être forts, à ne pas pleurer, à ne pas se laisser faire.
Mais on oublie de leur apprendre à nommer ce qu’ils ressentent, à demander de l’aide, à canaliser leur colère autrement que par la domination ou la fuite.

Résultat : beaucoup de garçons grandissent avec une douleur muette qui finit par exploser.
Et la société ne leur laisse que deux options :
👉 la violence tournée vers les autres
👉 ou celle tournée contre eux-mêmes

Il est temps de changer le modèle.
D’apprendre à nos garçons que la vulnérabilité n’est pas une faiblesse, que pleurer, parler, demander du soutien sont des actes de courage.
Et que la vraie force, c’est celle de rester humain.

Parce que derrière chaque acte violent, il y a un garçon qu’on n’a pas autorisé à être sensible.

Et si on changeait ça, dès l’école, dès la maison ?

25/11/2025
Même si nous n’avons pas tous été victimes d’un mauvais enseignant ! Nous avons tous été témoins un jour d’humiliations ...
23/11/2025

Même si nous n’avons pas tous été victimes d’un mauvais enseignant ! Nous avons tous été témoins un jour d’humiliations en classe dont l’auteur n’était autre que l’enseignant. Bien que j’ose espérer que cette pratique est de moins en moins courante. Elle existe malheureusement encore et est pour certains considérée comme nécessaire au nom de l’éducation. Cette fameuse pédagogie noire dénoncée par Alice Miller.

Je vous laisse découvrir l’histoire d’une MAUVAISE enseignante, car oui un bon enseignant à conscience que l’humiliation détruit ses élèves.

Mme Franca est prof d’anglais au collège.
Pour ses élèves, elle véhicule une image de grincheuse, de « monstre », car elle prend un malin plaisir à humilier et rabaisser ses élèves dans chacun de ses cours.
Mis à part le fait qu’elle inonde de remarques blessantes et dégradantes l’ensemble de sa classe.

Chaque année, elle choisit toujours un ou deux élèves avec qui elle fera preuve d’une grande cruauté :
❌Décourager
❌Dégoûter
❌Humilier
❌Casser

Lorsqu’elle rend les copies d’un devoir, elle se délecte à rabaisser ses têtes de turc :
« Je t’ai donné un point, juste pour l’encre et le papier de ta copie »
« Comment veux-tu réussir dans la vie avec un tel sous-niveau ! »
« Tu ne participeras pas à la sortie scolaire, tu n’as pas le niveau, tu resteras en étude et réfléchiras à tes mauvaises notes »

Ce type de maltraitance de la part d’un adulte, d’un enseignant, provoque des conséquences graves sur l’existence d’un enfant, sur sa future vie d’adulte :
❌Perte totale de confiance en soi
❌Sentiment de rejet, d’être mal-aimé
❌Dégoût pour les études
❌Échec solaire

D’autant plus que ce comportement inacceptable de la part d’un prof peut générer une 2ème situation de harcèlement scolaire de la part d’autres enfants.

Des enfants à tendance harceleurs, peuvent s’engouffrer dans la brèche et profiter de cet état de fragilité pour, à leur tour, faire preuve d’humiliations.
« T’es nul, la prof l’a bien compris »
« On joue pas avec les nullos comme toi »
« Dégage, t’as rien à faire avec nous, sinon, j’en parle à la prof »

La souffrance de l’enfant « tête de turc » n’en est que plus profonde.
Il est confronté à un adulte, censé représenter l’autorité, la droiture, la justice, qui le rabaisse et le jette en pâture sur la place publique.

Combien de temps passent vos enfants avec des enseignants toxiques pour eux ?

🤜 Et si on leur apprenait à se protéger de ses MAUVAIS enseignants !

🌼 Merci aux enseignants qui se comportent avec humanité et bienveillance avec leurs élèves.........................................................
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👉 Je forme aussi les professionnels qui veulent être outillés pour accompagner concrètement les enfants victimes à s’en sortir et animer des ateliers.

22/11/2025
Autiste. Depuis toujours. Mais diagnostiquée à 24 ans.Depuis l’enfance, j’ai vécu le monde autrement.Pas selon les norme...
20/11/2025

Autiste. Depuis toujours. Mais diagnostiquée à 24 ans.
Depuis l’enfance, j’ai vécu le monde autrement.
Pas selon les normes qu’on attend d’un enfant. Pas dans les cadres bien dessinés par la société.

Dès mes premiers pas dans le monde, je me suis sentie étrangère.
Pas les mêmes centres d’intérêt que les autres enfants.
Pas le même langage.
Pas les mêmes besoins.

Toujours à l’écart.
Toujours seule, même au milieu des autres.

J’ai grandi avec cette sensation constante d’être en décalage.
On m’a souvent dit que j’étais « dans la lune », mais la vérité, c’est que j’étais submergée par un monde trop fort, trop bruyant, trop rapide.

Ma pensée fonctionne en arborescence.
Une idée ne suit pas une autre, elle en crée mille.
Ma tête est un feu d’artifice permanent : des connexions, des sensations, des images, des mots, tous liés, tous vivants.
C’est une richesse, mais dans une société linéaire, c’est vu comme un obstacle.
Ma première année de maternelle a laissé une trace indélébile.

J’ai subi les violences verbales et psychologiques d’une institutrice.
J’étais maladroite, j’avais des difficultés de motricité.
Et pour elle, j’étais « la nulle », « la moins que rien ».
Un jour, pour la fête des pères, elle m’a arraché ma feuille des mains en disant que « c’était horrible ».

Elle a fait de moi une cible, jour après jour.
Et j’étais une enfant.

Rien ne peut justifier qu’un adulte détruise une enfant en pleine construction.
Mes parents regrettent de ne pas m’avoir changée d’école.
Mais moi, je crois que j’aurais retrouvé ce rejet ailleurs.
Parce que ce n’est pas un lieu qui m’a blessée.
C’est un système entier, incapable de voir l’invisible.

J’ai développé une phobie scolaire.
J’ai fini par décrocher.

À l’école, j’étais celle qu’on pointait du doigt :
« Regarde dans les yeux quand on te parle. »
« Tu ne veux jamais participer. »
« Fais un effort. »

Mais personne ne voyait les efforts immenses que je faisais juste pour tenir debout.
Avant d’aller à l’école, je faisais des crises autistiques. Des meltdowns.
Pas des caprices.
Des explosions nerveuses, pas des implosions.
Mon corps ne supportait plus les bruits, les lumières, les interactions, les attentes sociales.

Je faisais aussi des crises acoustiques : chaque son, même banal pour les autres, devenait une agression insoutenable.
Je criais, je pleurais, je frappais, parfois même contre moi.
C’était mon système nerveux à bout, mon cerveau en feu.

Mais tout cela restait invisible aux yeux de ceux qui ne voulaient pas comprendre.
J’étais un enfant en souffrance que personne n’écoutait.
Un corps en alerte dans une société sourde.

Et pourtant, malgré tout ça…
J’aimais la vie.
Et je continue de l’aimer.
Je suis émerveillée par des choses que d’autres ne remarquent même pas.
Un rayon de lumière sur une feuille.
Une goutte d’eau sur une vitre.
Le regard d’un chat, la fragilité d’une fleur.
Je ressens profondément. Intensément. Totalement.

Et non, je ne manque pas d’empathie.
J’en ai peut-être trop.
Je pleure pour ce que les autres appellent des « détails ».
Mais ces détails-là, pour moi, sont des mondes entiers.

À 24 ans, j’ai enfin reçu mon diagnostic d’autisme.
Et ce jour-là, j’ai compris que je n’étais pas « cassée ».

J’étais différente, et cette différence avait un nom.
Je n’étais plus seule dans mon silence.
Je n’étais plus « trop » ou « pas assez ».
J’étais moi, enfin reconnue.

Voilà ce que je suis aujourd’hui :
Une adulte lucide, sensible, debout.
Une personne qui a traversé l’incompréhension, la douleur, le rejet, mais qui n’a jamais cessé de chercher la lumière dans les choses les plus simples.

Et à cette institutrice, même si elle ne lira jamais ces mots, je veux dire ceci :
Vous n’avez pas su voir l’enfant que j’étais.

Mais aujourd’hui, je suis devenue une femme que vous ne pourrez plus jamais écraser.

Parce que ce que vous avez tenté de briser en moi, ma différence, ma flamme, ma sensibilité,

c’est exactement ce qui me rend forte aujourd’hui.

Merci à ton handicap invisible pour ce témoignage

20/11/2025

Le nombre d’admissions à l’hôpital pour tentative de su***de est passé de 1 944 en 2013 à 2 815 en 2024, soit une augmentation de 44 % en 11 ans. Cette tendance était déjà amorcée avant le COVID, selon notre étude Solidaris Wallonie.

Mais ce qui nous préoccupe plus spécifiquement encore c’est que la prise en charge psychologique reste très insuffisante face à la hausse des besoins.

1 jeune sur 5 n’a eu aucun contact avec un médecin généraliste avant ou après son admission à l’hôpital pour tentative de su***de et 4 jeunes sur 10 n’ont reçu aucun traitement médicamenteux (antidépresseurs ou antipsychotiques).

Une situation d’autant plus interpellante que le taux de récidive parmi les jeunes de 8 à 25 ans est plus élevé que la moyenne : 17,2 % des jeunes de 8 à 25 ans refont une tentative, contre 13,7 % dans la population générale. La littérature scientifique est pourtant unanime sur ce point : le facteur de risque le plus important de tentative de su***de est une tentative de su***de antérieure.

Derrière le définancement de nos structures de soins par nos gouvernements, il y a des besoins criants auxquels on ne répond pas. Avec des conséquences graves comme l’augmentation du nombre de su***de.

Notre société n’a jamais été aussi riche, et pourtant jamais elle n’a semblé aussi malheureuse. Nous vivons dans une époque où tout s’accélère, où tout se mesure, où tout s’optimise, sauf ce qui compte le plus : les liens, la tendresse, la solidarité.

On apprend aux enfants à réussir, pas à s’écouter. Les jeunes grandissent dans un climat d’anxiété permanente : pression scolaire, injonctions à la beauté et à la réussite, harcèlement amplifié par les réseaux sociaux, débats publics violents, peur du climat et des guerres. Tout pousse à la comparaison, à la compétition, rien n’encourage à la compassion et à la coopération.

Cette déshumanisation s’exprime jusque dans nos institutions. Les parcours de soins fragmentés laissent les jeunes seuls après une hospitalisation. Les services débordés n’ont plus le temps de soigner.

Le taux de tentatives de su***de chez les jeunes c’est le baromètre moral d’une société qui a cessé de prendre soin d’elle-même.

Si nous voulons inverser la tendance, il faut remettre le soin au cœur du projet collectif : le soin des autres, le soin de soi, le soin du monde.

Investir dans la santé mentale, ce n’est pas seulement sauver des vies : c’est résister à la déshumanisation. C’est réaffirmer que le progrès ne vaut rien s’il ne rend pas les gens plus heureux, plus solidaires, plus vivants.

Article du Soir en commentaire sur l'étude Solidaris.

Tu la vois sourire, rire avec ses amis, poster des selfies où tout semble parfait. Mais parfois, ce sourire est juste un...
18/11/2025

Tu la vois sourire, rire avec ses amis, poster des selfies où tout semble parfait. Mais parfois, ce sourire est juste une façade. Une manière de cacher ce qui se passe vraiment à l'intérieur.

Ce sourire que tu vois...
... peut être une manière de masquer sa tristesse.
... cache peut-être des nuits remplies d'insomnie et de larmes.
... est souvent une tentative de ne pas inquiéter les autres.
... peut être le seul moyen qu'elle connaît pour faire face à sa douleur.
Ce que tu ne vois pas, c'est qu'elle...

Se sent peut-être seule, même entourée.

Porte un fardeau qu'elle n'ose pas partager par peur de déranger ou de ne pas être comprise.

Se bat chaque jour pour ne pas se laisser submerger par ses émotions.

Un sourire peut cacher tellement de choses... Mais il est important de se rappeler que ce n'est pas parce qu'elle sourit qu'elle va bien.

🌟 Soyons attentifs, même aux sourires. Parfois, ce sont ceux qui sourient le plus qui ont le plus besoin qu'on leur tende la main.

Parle-lui, écoute-la, montre-lui qu'elle n'est pas seule. Ton attention peut faire toute la différence.

🔁 Partage ce message si tu connais une ado qui a besoin de savoir qu'elle n'est pas obligée de toujours sourire. Ensemble, brisons le silence derrière les sourires. 💖
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Sibylle, 11 ans, veut juste que tout ça s’arrête...Sibylle est une fille pleine de vie. Elle adore inventer des histoire...
16/11/2025

Sibylle, 11 ans, veut juste que tout ça s’arrête...

Sibylle est une fille pleine de vie. Elle adore inventer des histoires, chanter quand elle est seule dans sa chambre, et rêver d’aventures incroyables. Mais depuis quelque temps, ses rêves ont laissé place à des nuits agitées.

À l’école, tout a commencé doucement :
"T’as vu comment elle s’habille, sérieux ?"
Des chuchotements dans son dos, des éclats de rire quand elle passe, et ces messages sur son téléphone, qu’elle n’a même plus envie d’ouvrir.

Sibylle ne comprend pas. Elle n’a rien fait de mal. Alors pourquoi est-ce toujours elle ? Pourquoi personne ne veut jouer avec elle à la récré ? Pourquoi, chaque fois qu’elle entre dans la classe, elle sent cette boule dans son ventre, comme si elle voulait disparaître ?

Elle a essayé de ne pas y penser. Elle a essayé de sourire, de faire semblant que ça ne la touche pas. Mais chaque soir, en rentrant à la maison, les larmes finissent par couler. Elle se sent seule, incomprise, et si petite face à tout ça.

Sibylle rêve juste que ça s’arrête. Que les moqueries cessent, que les messages disparaissent, qu’elle puisse respirer à nouveau. Mais elle ne sait pas comment faire. Elle a l’impression qu’elle doit attendre, que peut-être, un jour, les autres passeront à autre chose.

Mais ce que Sibylle ignore, c’est qu’elle a le pouvoir de changer la situation. Pas toute seule, bien sûr. Mais avec les bons outils, elle pourrait apprendre à répondre aux moqueries, à poser ses limites, à montrer aux autres qu’elle ne mérite pas ça.
Elle pourrait retrouver confiance en elle et arrêter de se sentir si démunie.

C’est pour les enfants comme Sibylle que j'interviens. Je leur donne les clés pour ne plus subir, pour reprendre le contrôle de leur vie. Parce qu’aucun enfant ne devrait avoir à attendre dans l’ombre, espérant que les choses s’arrangent toutes seules.
Aider Sibylle, c’est lui offrir une chance de redevenir elle-même. Forte, joyeuse, et prête à rêver à nouveau.
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🌸 "Je pensais que c'était juste une crise d'adolescence..." 🌸Quand Clara a commencé à changer, je me suis dit que c’étai...
14/11/2025

🌸 "Je pensais que c'était juste une crise d'adolescence..." 🌸

Quand Clara a commencé à changer, je me suis dit que c’était normal, juste une phase. Les tensions entre nous se sont intensifiées, les conflits sont devenus plus fréquents, et ses sautes d’humeur m’ont poussée à penser que c’était simplement le cap difficile de l’adolescence.

Mais derrière ce tourbillon de disputes et de silences, se cachait une réalité bien plus sombre : le harcèlement. Pendant des mois, j’ai cru que son mal-être venait de cette période compliquée, sans voir la détresse qui la rongeait jour après jour.
Un jour, tout a basculé. Clara, en larmes, m’a révélé les moqueries, les remarques cruelles, et les messages blessants qu’elle recevait chaque jour. Ce jour-là, j’ai compris que j’avais manqué les signes évidents, que mes interprétations avaient faussé ma perception de la situation.

Si je partage mon histoire aujourd’hui, c’est pour que d’autres parents n’ignorent pas ces signaux. Parfois, ce que l’on prend pour une simple crise d’adolescence cache une véritable souffrance. Les tensions, les conflits, les changements d'humeur peuvent être des indices de quelque chose de plus profond. Soyez attentifs, ouvrez le dialogue, et montrez à vos enfants qu’ils ne sont jamais seuls.

Ensemble, soyons vigilants. Le harcèlement peut toucher n'importe qui, même ceux qui semblent les plus forts. Soutenons nos enfants, écoutons-les, et montrons-leur qu'ils comptent. 💛
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