L'Antre Soi

L'Antre Soi *Efflorescence de l'âme*
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30/11/2025

Si vous avez des questions à me poser ou si vous souhaitez prendre rendez-vous, je suis joignable uniquement par téléphone ☎️ au numéro ci-dessous.
Je n'utilise pas messenger.

Merci 🐉😁

On ne peut pas blesser une femme qui a déjà apprivoisé sa propre obscurité.Il y a des femmes que le monde ne peut plus t...
30/11/2025

On ne peut pas blesser une femme qui a déjà apprivoisé sa propre obscurité.

Il y a des femmes que le monde ne peut plus toucher.
Pas parce qu’elles se sont blindées, mais parce qu’elles ont choisi un chemin que très peu osent emprunter : la descente en elles-mêmes.

La vraie.
Pas la psychothérapie polie.
Pas la spiritualité “lumineuse” qui maquille les fêlures.
Pas la posture héroïque qui nie les failles.

Non.
Elles ont ouvert la porte de leurs profondeurs
là où la peur tremble,là où la honte respire encore, là où les souvenirs ont des crocs,
là où les parts oubliées pleurent dans l’ombre.

Elles y sont entrées seules, sans témoin,
sans projecteur, sans promesse de reconnaissance.

Elles ont descendu les escaliers du dedans
jusqu’au point exact
où le monde extérieur ne peut plus suivre.

Et dans ce lieu brut, elles ont fait quelque chose d’impensable :
elles ont cessé de se trahir.

Elles n’ont plus fui.
Elles n’ont plus minimisé.
Elles n’ont plus mis des pansements d’optimisme sur leurs fractures.
Elles ont cessé de se juger coupables d’être humaines.

Elles ont invité leurs ombres à s’asseoir.
Celles qu’on leur reprochait.
Celles qu’on leur renvoyait.
Celles dont on voulait faire des armes contre elles.

Elles ont regardé dans les yeux ce que tant d’autres esquivent :
la rage qui crépite,
la peur ancestrale,
le doute secret,
la jalousie silencieuse,
le désir ardent,
le manque d’amour,
la mémoire du rejet,
le poids de la trahison,
le cri des humiliations,
les nuits où elles ont cru disparaître.

Elles ne se sont plus détournées.
Elles ont tout pris dans leurs bras.
Elles ont dit : “Je t’ai vue. Tu peux rester. Mais tu ne me diriges plus.”

Et quelque chose a basculé dans l'énergie.

Car une femme qui regarde son ombre en face
cesse d’être le jouet des ombres des autres.

Comment blesser une femme qui connaît déjà le goût exact de sa propre honte et qui ne s’y appartient plus ?

Comment terroriser une femme qui s’est tenue dans le centre noir de sa peur et en a ramené une torche ?

Comment manipuler une femme qui a mis en lumière ses illusions avant que quelqu’un d’autre n’essaie de la confondre ?

Comment faire taire une femme
qui a entendu toutes ses voix intérieures —
même les plus farouches —
et qui a cessé d’en avoir peur ?

On ne peut pas la tordre.
On ne peut pas la plier.
On ne peut plus lui voler sa force.

Parce qu’elle a touché le sol de son être.
Et quand une femme touche ce sol-là,
c’est fini : elle devient inébranlable.

Elle a compris une vérité que peu acceptent :

sa lumière n’a aucun intérêt sans la nuit qui l’a façonnée.

Ce n’est pas la douceur qui l’a rendue puissante.
C’est la brûlure.
La chute.
Les abandons répétés.
Les injustices avalées.
Les attentes déçues.
Les trahisons silencieuses.
Les humiliations précises comme des lames.
Les colères reniées.
Les impulsions mal comprises.
Le rejet vécu comme une sentence.

Elle ne s’en cache plus.
Elle n’en a plus honte.
Elle n’en fait plus un secret.

Elle sait désormais que ses cicatrices
ont plus de sagesse que les discours creux
de ceux qui prétendent savoir.

Elle sait que son intensité dérange
ceux qui n’ont jamais exploré la leur.

Elle sait que son authenticité agace
ceux qui préfèrent les mensonges élégants
aux vérités incarnées.

Elle sait que son courage expose ceux qui vivent à moitié. Qui se voilent la face et fuient leurs responsabilités.

Et elle refuse maintenant de rétrécir pour rassurer.

Sa présence dérange ceux qui fuient.

Sa lucidité déstabilise les faux-semblants.
Sa vérité effraie les structures bancales.

Mais elle ne s’excuse plus.

Elle a traversé trop de tempêtes intérieures
pour demander l’autorisation d’exister pleinement.

Elle a survécu à trop de nuits
pour éteindre sa flamme au petit matin.

Elle s’est reconstruite trop de fois
pour laisser quelqu’un défaire son œuvre sacrée.

Elle n’est plus là pour séduire.
Ni pour apaiser les insécurités d’autrui.
Ni pour se camoufler.
Ni pour jouer la version acceptable d’elle-même.

Elle est là pour incarner.

Sa vérité. Son intensité.
Son mystère. Sa douceur indomptable.
Son ombre apprivoisée.

Elle ne cherche plus la paix dans le regard des autres. Elle l’a trouvée dans son propre gouffre.

Et une femme qui a trouvé sa paix dans son abîme n’est plus jamais vulnérable aux bruits extérieurs.

Elle entend les critiques — elles ne traversent pas.
Elle voit les projections — elles ne prennent pas.
Elle ressent les jugements — ils se dissipent aussitôt.

Parce que sa force ne dépend plus de personne.
Parce qu’elle se connaît.
Parce qu’elle s’appartient.
Parce qu’elle a choisi de ne plus s’abandonner.

Et dès cet instant, c’est terminé :
on ne peut plus l’humilier.

Elle est trop ancrée.
Trop consciente.
Trop présente à elle-même.
Trop entière.
Trop vraie.

Elle est devenue un seuil.
Une frontière.
Une renaissance debout.

Car une femme qui s’est traversée elle-même
voit désormais à travers les autres.
Elle entend ce que l’on tait.
Elle ressent ce que l’on cache.
Elle perçoit ce que l’on maquille.

On ne peut plus la manipuler.
On ne peut plus la détourner d’elle-même.
On ne peut plus la réduire à une version commode.

Elle marche avec la clairvoyance de celles
qui ont regardé la nuit droit dans les yeux
et y ont découvert leur propre lumière en retour.

Et chaque pas qu’elle fait
réveille les femmes autour d’elle.
Chaque vérité qu’elle incarne
ébranle les structures vieillissantes.
Chaque souffle qu’elle ose
ouvre un passage dans la conscience collective.

Elle n’est plus seulement elle.
Elle est une porte.
Un signe.
Un présage.

Le monde ne peut plus l’humilier, ou la manipuler, parce que le faux monde n’a plus d’emprise sur elle.

C’est elle qui, désormais, porte le feu.

Et ce feu-là — celui des femmes qui se sont guéries de l’intérieur — ne s’éteint jamais.

Je suis cette femme.
Et toi?

Corinne De Leenheer

© Corinne De Leenheer — Ces mots peuvent circuler tels quels, en me citant ou en partage direct. Ils ne peuvent être modifiés, réutilisés, imprimés ou transmis en dehors de ce cadre.

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29/11/2025

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29/11/2025

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