Nadine Arsenault, Travailleuse sociale

Nadine Arsenault, Travailleuse sociale Ateliers de développement personnel, retraites, cours de méditation et suivi psychosocial/hypnose

Le studio Deva Yoga a pour mission d'inspirer, d'enseigner, de promouvoir le bien-être, le calme intérieur et la santé optimale. Proposant ainsi des cours, retraites et ateliers afin de permettre à chacun d'évoluer à son rythme dans le respect de sa propre nature.

Ma toute dernière retraite en 2025, soit le 13 décembre au Le Monastère des AugustinesLa retraite Sankalpa!Le Sankalpa, ...
11/05/2025

Ma toute dernière retraite en 2025, soit le 13 décembre au Le Monastère des Augustines
La retraite Sankalpa!
Le Sankalpa, en sanskrit, signifie résolution, intention ou engagement du cœur. Lorsqu’il est clarifié et nourri, il devient un puissant moteur de transformation.✨🙏✨
Explorons notre Sankalpa 2026 ensemble !

Et si vous offriez à votre début d’année un véritable moment de recentrage, de bienveillance et de clarté ?

Et toi, qu’est ce qui te fait vibrer !?🫶🏻✨🙏
10/11/2025

Et toi, qu’est ce qui te fait vibrer !?
🫶🏻✨🙏

La promotion. L’appartement rénové. Les vacances à Bali. Le feed Instagram parfait.

Et pourtant, ce matin encore, ce goût de cendre dans la bouche.

“J’ai tout pour être heureuse.”

Claire me l’a dit trois fois pendant notre entretien. Comme si elle essayait de s’en convaincre. Quarante-deux ans, directrice marketing, deux enfants adorables, mari attentionné, maison avec jardin.

“Sur le papier, ma vie est parfaite. Alors pourquoi je me sens aussi vide ?”

Elle a baissé les yeux. Ses mains tournaient la tasse de café entre ses doigts. “J’ai honte de dire ça. Il y a des gens qui galèrent vraiment. Moi, je n’ai aucune raison de me plaindre.”

Cette culpabilité en plus du vide. Le combo parfait de notre époque.

Tu connais cette sensation ? Celle d’avoir tout réussi selon les critères externes, mais de te sentir étrangement absent de ta propre vie ? Comme si tu jouais dans un film dont tu n’as pas écrit le scénario ?

Je l’ai vécue à la fin de ma trentaine.

Belle carrière dans le consulting. Immense ferme bressane rénovée. Voiture neuve. Vacances deux fois par an. Amis pour les dîners du samedi soir. Toutes les cases cochées.

Et cette question qui revenait en boucle, le soir avant de m’endormir : “C’est ça ? C’est juste ça ?”

Comme si j’avais grimpé une montagne pendant des années pour découvrir en haut qu’on s’était trompés de sommet.

Le vide existentiel ne fait pas de bruit. Il ne débarque pas avec fracas. Il s’installe progressivement, comme une brume qui monte. Un matin tu te réveilles et tu ne reconnais plus ta vie. Elle est là, elle fonctionne, elle tourne. Mais quelque chose manque. Quelque chose d’essentiel.

Le sens.

Marc, cinquante-trois ans, chef d’entreprise, m’a confié lors d’un café : “J’ai bossé comme un dingue pendant vingt-cinq ans. Pour quoi ? Pour avoir une belle baraque que je ne vois jamais parce que je bosse tout le temps. Pour impressionner qui ? Des gens dont je me fous.”

Il a marqué une pause. A regardé par la fenêtre.

“L’autre jour, mon fils de dix-neuf ans m’a dit qu’il ne me connaissait pas vraiment. Pas mon métier. Pas mes responsabilités. Moi. Ça m’a transpercé. J’ai construit un empire vide.”

Le vide existentiel arrive quand on vit la vie de quelqu’un d’autre. Quand on poursuit des objectifs qu’on ne s’est jamais vraiment posés. Quand on remplit son agenda sans jamais se demander : “Qu’est-ce qui compte vraiment pour moi ?”

On nous a vendu un package. Études, carrière, maison, famille, loisirs, retraite. Suis le plan. Coche les cases. Le bonheur viendra.

Sauf qu’il ne vient pas.

Parce que le bonheur ne se trouve pas dans l’accumulation. Il se trouve dans la résonance. Dans ce frisson intérieur qui dit : “Oui, ça, c’est moi. Ça me ressemble. Ça a du sens pour moi.”

J’ai pris conscience de mon propre vide un dimanche après-midi banal.

J’étais censé me reposer. Télé, canapé, apéro avec des amis plus tard. La journée type du cadre urbain moderne qui a “réussi”.

Mais en regardant défiler les programmes, j’ai ressenti une nausée. Pas du dégoût pour la télé. Du dégoût pour cette vie préfabriquée que je menais sans l’avoir vraiment choisie.

J’ai éteint l’écran.

Pris un carnet.

Écrit une question : “Qu’est-ce qui me fait vraiment vibrer ?”

Silence. Long silence. Parce que je ne savais même plus ce que “vibrer” voulait dire.

C’est ça, le vide existentiel. Ce n’est pas l’absence de choses. C’est l’absence de lien vivant avec ces choses. C’est avoir tout et ne goûter rien. C’est bouger beaucoup et n’avancer nulle part. C’est être entouré et se sentir seul.

Une femme m’a dit récemment : “J’ai réalisé que je passais ma vie à optimiser. Optimiser mon temps, mes revenus, mes relations, ma productivité. Mais optimiser pour quoi ? Vers quoi ? Je n’en savais rien. J’optimisais le vide.”

Ce vide nous dit quelque chose d’important. Il nous dit qu’on s’est éloigné de notre boussole intérieure. Qu’on a oublié d’écouter ce qui résonne vraiment en nous. Qu’on a troqué l’authenticité contre la performance.

Mais comment revenir quand on ne sait même plus où est “chez soi” ?

J’ai commencé petit. Très petit.

Au lieu de me demander “Qu’est-ce que je veux faire de ma vie ?” (question trop grosse, paralysante), je me suis demandé : “Là, maintenant, qu’est-ce qui me ferait du bien ?”

Pas du bien social. Pas du bien superficiel. Du bien profond. Viscéral.

La réponse est venue : marcher.

Je suis sorti. J’ai marché deux heures. Sans téléphone. Sans écouteurs. Sans montre connectée. Juste moi, mes pas, mon souffle. Les arbres. Le vent.

Rien de spectaculaire. Mais quelque chose s’est réveillé.

Une présence. Une sensation de “oui” intérieur. Minuscule mais réelle. Comme une petite flamme qui vacille dans le noir.

Le vide ne se remplit pas en un jour. Il ne se remplit pas en accumulant plus de choses. Il se remplit en retirant ce qui ne nous appartient pas. En laissant tomber les rôles qu’on joue. En revenant à ce qui est simple, vrai, essentiel.

Viktor Frankl, psychiatre qui a survécu aux camps de la mort, disait : “Celui qui a un pourquoi peut supporter n’importe quel comment.” Le vide existentiel, c’est avoir plein de “comment” mais aucun “pourquoi”.

Alors aujourd’hui, je te pose la question qui m’a sauvé :

Qu’est-ce qui te fait vibrer ? Vraiment vibrer ?

Pas ce qui impressionne. Pas ce qui rassure. Pas ce qui fait bien sur le papier. Mais ce qui allume quelque chose en toi. Ce qui te donne envie de te lever le matin. Ce pour quoi tu oublierais l’heure.

Peut-être que tu ne sais pas encore. C’est normal. Le vide vient souvent parce qu’on a enfoui cette réponse tellement profond qu’on ne l’entend plus.

Mais elle est là. Elle attend. Elle n’a jamais cessé d’attendre.

Et peut-être qu’il est temps de l’écouter à nouveau.

Parce que tu n’as pas coché les mauvaises cases. Tu as juste oublié de te demander si c’étaient les tiennes.

Jean-Marc Terrel

Tu sais s'offrir un temps pour ralentir, se déposer, se ressourcer n'est pas un luxe dans la vie que nous menons.  Ce mo...
09/04/2025

Tu sais s'offrir un temps pour ralentir, se déposer, se ressourcer n'est pas un luxe dans la vie que nous menons. Ce moment peut te permettre de t'accueillir, t'apaiser, retrouver le calme intérieur et t'énergiser. Le 11 octobre prochain, je t'invite à te joindre à moi pour t'offrir ce cadeau, soit de ralentir et de savourer l'instant présent.💖🙏✨

Monastère des Augustines, un havre patrimonial authentique de santé et de mieux-être avec atelier, spa, musée, restaurant et hôtellerie au Québec.

*** Besoin de votre avis, des intéressés si je pars une cohorte sur ZOOM***🌿 Atelier/programme de méditation pleine cons...
08/29/2025

*** Besoin de votre avis, des intéressés si je pars une cohorte sur ZOOM***

🌿 Atelier/programme de méditation pleine conscience – 6 ou 8 semaines pour vous recentrer, réduire votre stress et retrouver un bien-être intérieur
Vous aimeriez découvrir la méditation pleine conscience et apprendre à l’intégrer dans votre quotidien?
Pendant chaque semaine, vous serez accompagné pas à pas à travers :
✨ L’enseignement des bases de la pleine conscience (méditation formelle et informelle)
✨ Des pratiques guidées de méditation
✨ Des échanges et temps de questions/réponses
✨ Des exercices simples pour réduire le stress et accroître votre bien être (méditation et postures de yoga)

👥 Vous ferez partie d’un groupe bienveillant chaque semaine
rencontre de 90 à 120 minutes environ.
💻 Si vous ne pouvez pas être présent, chaque séance sera enregistrée et disponible en rediffusion (groupe privé)
🎁 Bonus exclusif : méditation silencieuse de 60 minutes ensemble après nos semaines.
* possibilité d'émettre des reçus en travail social*
Des intéressés ?! Donne moi ton avis👇🙏

Je suis sincèrement heureuse de collaborer avec Le Monastère des Augustines pour offrir mes retraites à Québec!IL y a qu...
08/12/2025

Je suis sincèrement heureuse de collaborer avec Le Monastère des Augustines pour offrir mes retraites à Québec!
IL y a quelques jours, j'ai osé me faire photographier par eux.
Merci Laure-Anne pour les magnifiques photos !
Si vous ressentez l'appel de venir à une de mes retraites, les 2 prochaines à Québec et les dernières de 2025, seront le 11 oct et le 13 déc. Tous les infos dans les commentaires.
Conscience et amour xo✨🙏

✨✨✨
08/12/2025

✨✨✨

De retour d’un voyage dans l’Ouest Canadien pour visiter mon amie d’enfance ! Des moments , des paysages pour me ressour...
08/05/2025

De retour d’un voyage dans l’Ouest Canadien pour visiter mon amie d’enfance ! Des moments , des paysages pour me ressourcer, pour respirer en conscience et tout simplement prendre soin de moi ✨🫶🏻

Si tu souhaites toi aussi prendre un moment pour te déposer , te ressourcer. Ma retraite d’une journée à Baie-Comeau est complète mais j’offre une retraite au Le Monastère des Augustines à Québec en octobre prochain . ( voir lien en commentaires)
À bientôt xo

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Lévis, QC
G0S2E0

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