Marie Couillard, Massothérapeute

Marie Couillard, Massothérapeute Massage de détente, thérapeutique, aux pierres chaudes, mobilisations articulaires, points de d?

11/14/2025

Je m’adresse aux hommes,en ce mois de novembre ,une prise de sang,juste ça pour vois rassurer et rassurer votre conjointe.le cancer de la prostate, premier cancer de mon mari en 2010. Je suis en train d’écouter le documentaire de Richard Martineau (le crabe dans le pantalon).certains diront: mais,pourquoi me faire violence avec ça.
Et bien je reconnais notre histoire🙁

11/12/2025
11/12/2025

Le Jour du Souvenir pour tous les combattants des deux grandes guerre mondiale qui ont sacrifié leur vie pour notre liberte
Voici pourquoi on souligne le Jour du Souvenir le 11 novembre: l’armistice a été signé en 1918 le 11 novembre à précisément à 11 heures
Je me souviens d’avoir vu ,il y a plusieurs années au cénotaphe les soldats et vétérans déposer des couronnes avec coquelicot
Mon père, chef de police, en habit d’apparat déposait une couronne. Fierté pour moi, je le trouvais très beau💚🤪

11/10/2025

Nous sommes cette génération qui ne reviendra pas.
Nous avons grandi avec des chaussures couvertes de poussière, des genoux écorchés et un cœur pressé.
Non pas pour regarder un écran,
mais pour finir le goûter et courir dehors — là où la seule chose importante était un ballon et quelques amis.

Nous étions ceux qui rentraient de l’école à pied.
Parlant fort ou rêvant en silence,
l’esprit déjà tourné vers le prochain jeu, la prochaine aventure,
entre un trou creusé dans le sable et un secret chuchoté derrière un coin de mur.

Un bâton pouvait devenir une épée.
Une flaque se transformait en océan à conquérir.
Nos trésors étaient des billes, des images à collectionner, des petits bateaux de papier.
Et le ciel, notre seule limite.

Nous n’avions pas de sauvegardes, seulement des souvenirs dans la mémoire et sur les pellicules photographiques.
Les photos se touchaient, se respiraient, se gardaient dans des tiroirs —
aux côtés de lettres écrites à la main,
de cartes postales des grands-parents,
et de dessins colorés que les parents conservaient comme des bijoux.

Nous appelions « maman » celle qui soignait nos fièvres.
Et « papa » celui qui nous apprenait à faire du vélo.
Il n’en fallait pas plus.

La nuit, sous les couvertures,
nous parlions à voix basse avec le frère dans le lit voisin,
riant de bêtises,
craignant qu’un adulte entende et éteigne ce petit monde de complicité.

Cette génération s’en va, peu à peu,
comme une photographie qui perd ses couleurs,
mais que personne ne veut jeter.

Nous nous éloignons en silence, emportant une valise invisible :
l’écho des rires dans la rue,
l’odeur du pain encore chaud,
des courses insensées,
et cette liberté qui ne connaissait pas les notifications.

Nous étions des enfants quand il était encore possible de l’être.
Et peut-être que c’est là notre plus grande fortune.

😴
11/09/2025

😴

11/09/2025

Quand une femme cherokee voulait divorcer, il lui suffisait de mettre les affaires de son mari dehors — et cela avait valeur légale.
Pas d’avocats. Pas de juges. Pas besoin de demander la permission à des hommes de sa famille.
Si une femme décidait que le mariage était terminé, elle plaçait les biens de son mari sur le pas de la porte, et il partait.
Car dans la société cherokee, les femmes possédaient les maisons. Et les terres. Et presque tout ce qu’elles contenaient.

Lorsque les colonisateurs européens arrivèrent dans ce qui est aujourd’hui le sud-est des États-Unis, ils furent stupéfaits : ils découvrirent une société où les femmes détenaient un véritable pouvoir.

Les femmes cherokees siégeaient aux conseils aux côtés des hommes, débattant de la guerre, des traités et des politiques de la nation.
Elles pouvaient obtenir le titre de « Femmes de guerre » ou « Femmes bien-aimées » — des positions d’une telle autorité que leur parole pouvait sauver des prisonniers ou décider de l’entrée en guerre.
Nancy Ward, l’une des plus célèbres Femmes bien-aimées, négocia directement avec les colons américains et influença des décisions cruciales durant la période révolutionnaire.

Mais leur pouvoir ne se limitait pas au politique. Toute la structure sociale reposait sur les femmes.

La société cherokee était matrilinéaire : l’identité venait du clan de la mère, non du père.
Les enfants appartenaient à la famille maternelle.
Les biens se transmettaient de mère en fille.
Lorsqu’un couple se mariait, le mari s’installait chez sa femme, pas l’inverse.
S’il échouait en tant qu’époux ou père, ce n’était pas à ses propres frères de le rappeler à l’ordre, mais aux frères de sa femme.

L’explorateur irlandais James Adair, qui vécut parmi les Cherokees dans les années 1700, se plaignait amèrement de ce qu’il appelait leur « gouvernement en jupons » — terme méprisant montrant son incapacité à concevoir une société où les femmes n’étaient pas elles-mêmes traitées comme des biens.

Pourtant, les femmes cherokees n’étaient pas seulement des décideuses. Elles étaient l’épine dorsale de l’économie.
Elles cultivaient le maïs, les haricots et les courges — les Trois Sœurs qui nourrissaient la nation.
Elles tressaient des paniers étanches, tannent les peaux, construisaient et entretenaient les maisons.
Elles élevaient les enfants et transmettaient histoires, danses et traditions.

Les hommes chassaient, pêchaient, partaient en guerre — mais ils ne possédaient pas la viande qu’ils rapportaient.
Les femmes contrôlaient la distribution de la nourriture.
Les hommes pouvaient fournir, mais les femmes décidaient.

Ce n’était pas un monde parfait. Il y avait des règles, une hiérarchie, des conflits.
Mais il reposait sur un principe fondamental différent de celui des Européens : les femmes et les hommes étaient des partenaires distincts et égaux, chacun avec des rôles réels et une autorité concrète.

Puis vinrent les déplacements forcés, les pensionnats, et des politiques gouvernementales visant à détruire les cultures autochtones.
Le gouvernement américain ne reconnaissait que des chefs masculins, refusait de négocier avec les femmes et imposait des structures patriarcales.
Les missionnaires enseignaient la soumission féminine.
Les lois donnèrent les terres aux hommes.
Le système matrilinéaire fut démantelé méthodiquement.

Mais les femmes cherokees résistèrent.
Elles préservèrent la langue, les traditions et les récits.
Aujourd’hui encore, la citoyenneté de la Nation Cherokee est déterminée par la filiation — documentée par les Dawes Rolls — et beaucoup de familles continuent de tracer leur lignée par les mères.

La puissance des femmes cherokees n’était pas une exception curieuse — c’était une alternative pleinement réalisée au patriarcat.
Une preuve que la domination masculine n’est pas « naturelle » ou « inévitable ».
C’est un choix de société.
Et certaines sociétés ont fait un autre choix.

Les femmes cherokees possédaient des biens au XVIIIᵉ siècle — un droit que la plupart des femmes américaines n’obtiendraient qu’à la fin du XIXᵉ.
Elles pouvaient divorcer librement — ce que de nombreuses Américaines ne pouvaient pas faire avant les années 1970.
Elles participaient à la gouvernance — un combat qui continue encore ailleurs aujourd’hui.

La prochaine fois que quelqu’un dira que l’inégalité entre hommes et femmes est « naturelle » ou « comme ça depuis toujours », souvenez-vous des femmes cherokees qui sortaient les affaires de leurs maris, les voyant partir des maisons qu’elles possédaient, sur les terres qu’elles héritaient, dans une nation où leurs voix façonnaient l’histoire.

D’autres mondes sont possibles.
Nous le savons, car ils ont existé. 🪶

11/01/2025

Souvenir😍

Ti-loup
10/31/2025

Ti-loup

blanche
10/31/2025

blanche

10/29/2025

J’ai visionné l’émission stat de ce soir
J’ai un immense respect pour le travail des préposés.
Mais le travail qu’il font aux urgences ne correspond pas à la réalité

10/29/2025

Juste dire que j’appuie les médecins à 100%

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