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Ma relation compliquée avec les tâches admin - suiteDans une récente publication, je racontais ma relation compliquée av...
09/30/2025

Ma relation compliquée avec les tâches admin - suite

Dans une récente publication, je racontais ma relation compliquée avec les tâches admin.

Derrière cette anecdote se cache un trait de personnalité que nous avons tous, à des degrés différents : la conscienciosité.

Elle se décline en deux sous-traits :

▪️ Ordre et organisation
▪️ Persévérance et détermination

La recherche est claire : la conscienciosité est le trait qui prédit le mieux la performance professionnelle, le leadership… et même la satisfaction de vie.

Les personnes plus consciencieuses vivent, en moyenne, une vie plus riche, stable et satisfaisante.

Bonne nouvelle : même si l’ordre n’est pas mon point fort, ma persévérance m’aide énormément à avancer et à livrer.

Et pour le reste ?

J’ai appris à court-circuiter mon pilote automatique avec des stratégies simples et des micro-habitudes qui me gardent alignée sur mes objectifs.

Pas parfait… mais tellement mieux qu’avant !

Et surtout : une preuve qu’on n’est pas condamné par nos traits.

Jouons à un jeu ensemble 🎳 :

Si vous deviez évaluer votre degré de conscienciosité : 3 = forte, 2 = moyenne, 1 = faible, 0 = je ne sais pas… Qu’est-ce que vous écririez en commentaire ? ⤵️

Je vous lis avec intérêt!

Travailler le week-end, ça vous arrive souvent?Dans mon ancienne vie de VP fiscalité, c’était la norme.Répondre aux cour...
09/27/2025

Travailler le week-end, ça vous arrive souvent?

Dans mon ancienne vie de VP fiscalité, c’était la norme.

Répondre aux courriels en re**rd.
Lire un mémo dont j’avais débuté la lecture … mais jamais fini.
Analyser les factures de consultants.

Même si dans les faits je prenais seulement 1 heure pour accomplir ce travail, j’avais l’impression que ça pesait sur mon week-end. Que quelque part, je « sacrifiais » mon temps perso.

Aujourd’hui, comme entrepreneure, je travaille tous les week-ends. Et significativement plus d’1 heure!

Pourtant, j’éprouve rarement le sentiment que j’empiète sur mon temps personnel.

« Ahhh mais Véro, tu travailles pour toi-même maintenant. C’est normal »pourriez-vous me dire.
« Oui c’est certainement un facteur », je vous répondrais. Mais ce n’est pas déterminant.

Ce qui fait vraiment la différence,
je suis passée de :

Travailler ➡️ poursuivre une mission plus grande que moi.

Accompagner les professionnels dans le développement de leurs compétences relationnelles et communicationnelles n’est pas un travail poru moi. C’est la contribution que je veux offrir au monde.

Je sais, ça peut sembler quétaine ou cheesy, mais pour moi c’est vrai.

Avez-vous plutôt l’impression de travailler ou de faire une contribution à votre communauté? Je vous lis ici ⤵️

L'histoire du rapport de dépenses oublié 😬Un jour, j’ai dû présenter à mon patron… (Frank Rana)un rapport de dépenses de...
09/25/2025

L'histoire du rapport de dépenses oublié 😬

Un jour, j’ai dû présenter à mon patron… (Frank Rana)
un rapport de dépenses de +300 $,
oublié depuis plusieurs mois au fond d’un tiroir.

Grosse gêne 😳.

Souvent en re**rd pour les tâches admin,
j’ai longtemps cru que j’étais juste… négligente.

Je me sentais coupable,
peu professionnelle.

Jusqu'à ce qu'un déclic se fasse,
en découvrant mon profil de personnalité avec le Big Five * .



💡 Certaines tâches me coûtent énormément d’énergie à cause de mes traits.

💡 Ça ne fait pas de moi une mauvaise professionnelle, juste une humaine avec des angles morts.

Aujourd’hui, j’ai développé mes stratégies : musique ou podcast dans les oreilles, petite activité-plaisir avant et après (oui, ça me prend les 2 ).

Pas parfait. Mais tellement mieux qu’avant.

Comprendre mon mode de fonctionnement = arrêter de me juger inutilement.

Passer de la culpabilité à la conscience a été un vrai point tournant pour moi.

Et vous, êtes-vous aussi du genre à repousser l’admin… jusqu’à la dernière minute ?

Je vous lis ici ⤵️

* Le Big Five est un modèle scientifique de psychologie de la personnalité. Il décrit 5 grands traits universels : Ouverture, Conscienciosité, Extraversion, Agréabilité et Stabilité émotionnelle. Ce modèle est aujourd’hui la référence la plus validée par la recherche pour comprendre nos comportements.

Dans un monde qui valorise de plus en plus la compassion et la vulnérabilité, le trait de personnalité d’agréabilité app...
09/23/2025

Dans un monde qui valorise de plus en plus la compassion et la vulnérabilité, le trait de personnalité d’agréabilité apparaît comme un vrai super-pouvoir.

Mais chaque force a son revers.

Trop peu d'agréabilité → conflits, manque d’empathie.
Trop d'agréabilité → difficulté à poser ses limites, à s’imposer.

Chez les femmes, ce trait est souvent plus marqué.

Et c’est une des raisons qui expliquent la persistance du plafond de verre : difficile d’avancer ses projets si on veut à tout prix faire l’unanimité.

Un leadership équilibré combine:

- savoir être à l’écoute,

- savoir être ferme,

- accepter de ne pas plaire à tous… et avancer quand même.

Et vous, dans vos projets : est-ce que l’agréabilité vous propulse… ou vous retient ?

J’ai toujours su que j’avais un petit côté perfectionniste.Hauts standards.Barre élevée.Envie de performer. Nommez ça co...
09/09/2025

J’ai toujours su que j’avais un petit côté perfectionniste.

Hauts standards.
Barre élevée.
Envie de performer.
Nommez ça comme vous le voulez!

Le hic ?

Je peux passer trop de temps sur les détails : le mot parfait, la bonne couleur, le visuel qui « parle ». (Spoiler : ça me parle surtout à moi 😅).

Grâce à mon analyse de personnalité basée sur le Big Five, j’ai compris que :

Ma conscienciosité (rigueur) veut livrer du solide.

Mon agréabilité (envie de plaire) veut que tout le monde soit content.

Mon neuroticisme (sensibilité) a tendance au doute quand l’enjeu est élevé.

Résultat : je me rassure… en surtravaillant.

Aujourd’hui, quand je sens que je m’attarde sur des détails, je me demande :

« Est-ce que la tâche que je fais:

a) apporte une réelle valeur au projet ou

b) j’essaie surtout de calmer mon anxiété ? »

Si la réponse est b → je mets une limite de temps.

Je gagne du temps.

Je gagne de l’énergie.

Et le travail est quand même de qualité.

Rassurez-moi… je ne suis pas la seule perfectionniste ici ?

Allez pas de gêne, levez la main 🖐🏼 , on est entre nous!

Plus on monte, plus il faut savoir dire nonOn croit souvent qu’en montant en responsabilité,il faut se montrer encore pl...
09/05/2025

Plus on monte, plus il faut savoir dire non

On croit souvent qu’en montant en responsabilité,
il faut se montrer encore plus disponible.

Être présent pour tous. Répondre à tout.
Ne rien laisser tomber.

Mais en réalité, plus on progresse,
plus il devient essentiel de savoir filtrer.

De choisir.
Et donc de renoncer.

Pourquoi ?

Parce qu’il y aura toujours :

‣ des idées brillantes,
‣ des projets urgents (pour les autres),
‣ des demandes légitimes… mais hors plan.

Et si on dit oui à tout,
on finit submergé, dispersé… et loin de ses vraies priorités.

Refuser de manière réfléchie c’est préserver son énergie.
Rester fidèle à sa trajectoire.

Et, comme le souligne la Harvard Business Review,
c’est un levier pour augmenter son influence,
et collaborer plus efficacement (référence dans les commentaires).

Dire non, parfois, c’est servir mieux.
Et ça, c’est du leadership.

A quoi allez-vous dire non aujourd’hui?
Pas DEMAIN là (je vous connais 😉) , aujourd'hui.

Si vous sentez que cette publication peut servir à quelqu'un,
svp faites-là circuler 🔁

On parle souvent de créer de la valeur.Pour son entreprise.Pour ses clients.Pour sa carrière.Tout le monde veut en créer...
09/02/2025

On parle souvent de créer de la valeur.

Pour son entreprise.
Pour ses clients.
Pour sa carrière.

Tout le monde veut en créer.
Mais peu de gens nous enseignent comment y arriver.

Créer de la valeur, c’est faire progresser.
➡️ Une personne.
➡️ Une équipe.
➡️ Une organisation.

C’est concevoir une trajectoire qui part du point A pour arriver au point B.

Mais le point B n’est pas juste une case à cocher.
C’est une vision qui inspire, qui remplit d’énergie
Et donne envie de se dépasser.

Créer de la valeur, c’est oser imaginer un futur stimulant
à partir des forces déjà présentes pour y arriver.

C’est un art. Celui de construire l’avenir à partir du réel.

Et ça commence souvent par se donner la permission de...

lâcher la perfection,
se permettre de déplaire,
emprunter un chemin auquel personne ne croit.
… (à vous de compléter.)

Quelle permission avez-vous besoin de vous accorder en ce moment ?

Je vous lis. 👇

Redéfinir la réussite après 40 ans… et si ce n’était plus seulement une question de performance ?À un moment dans la vie...
08/29/2025

Redéfinir la réussite après 40 ans

… et si ce n’était plus seulement une question de performance ?

À un moment dans la vie — souvent autour de 40, 50 ans — quelque chose se transforme.

On continue d’avoir des ambitions.
On a encore des projets, des élans, des défis à relever.
Mais ce qu’on vise évolue.

Nos buts deviennent moins liés à la performance personnelle.
Ils prennent racine ailleurs.

Dans l’envie de transmettre.
Dans le besoin de contribuer.
Dans le choix de mettre ses idées, son expérience au service de plus grand.

Je le remarque chez moi.
Et chez bien des personnes qui m’entourent.

Moins de perfectionnisme.
Moins de pression.
Et davantage de détermination tranquille.

Parce qu’on croit profondément à ce que l’on fait.
Parce qu’on sent que c’est aligné.

Et dans les moments de tension ou de stress (parce que oui, ça arrive encore!), je me répète cette phrase.

Qui me rappelle que ce sont les idées que je transmets, les projets que je portent qui sont importants.
Pas moi.

👉 It’s not about me.

C’est ma façon de me rappeler que la vie est plus vaste que mon image ou mes performances.

Et ça… ça m’enlève du poids.
Et me donne envie de participer.

De sauter dans l’arène, comme dirait Roosevelt.

💬 Et vous… avez-vous remarqué un changement dans votre rapport à la réussite avec les années ?

Je vous lis avec grand intérêt. ⤵️

"Véro, et si je n’ai pas vraiment de but ? Est-ce que c’est grave ?"C’est une question que j’entends souvent.Surtout che...
08/26/2025

"Véro, et si je n’ai pas vraiment de but ? Est-ce que c’est grave ?"

C’est une question que j’entends souvent.

Surtout chez celles et ceux qui ont déjà accompli beaucoup.

Et qui se sentent un peu perdus pour la suite.

Ils se demandent :

💭 Faut-il vraiment se fixer un but ?

💭 Et si je laissais plutôt la vie me surprendre, les opportunités arriver ?

Voici ce que je réponds :

Se laisser porter, c’est doux. C’est facile. Et parfois, ça fait du bien.

Mais à long terme… il y a un risque.

C’est un peu comme une plume dans le vent.

Ça avance, oui.

Mais sans direction choisie.

Et parfois, on atterrit dans un endroit qui ne nous ressemble pas.

Avoir un but, c’est tracer sa route.

Dans une vie remplie d’obstacles,

un objectif fort c’est ce qui donne le courage de continuer à avancer.

Pas pour tout contrôler.

Mais pour avancer vers quelque chose qui compte.

👋 Je lance une série : “Véro, j’ai une question…”

Vous avez une question qui vous trotte dans la tête ?

Un doute, une hésitation, une situation que vous aimeriez mieux comprendre ?

Laissez-moi votre question — j’y répondrai ici, sur Facebook..

PS Hé boboy mon expression sur cette photo...!! 😅

« Je n’en reviens pas à quel point j’aime ça… être désagréable. » C’est ce qu’une cliente m’a dit l’autre jour.Et j’ai s...
07/04/2025

« Je n’en reviens pas à quel point j’aime ça… être désagréable. »

C’est ce qu’une cliente m’a dit l’autre jour.
Et j’ai souri avec elle.
Parce que derrière cette phrase, il y a tout un chemin parcouru.

Cette cliente est brillante, investie, très humaine.
Mais pendant longtemps, elle a dit oui trop souvent :
• par souci de plaire,
• pour ne pas décevoir,
• pour éviter les vagues.

Résultat ?

Elle s’épuisait pour des projets qui n’étaient pas les siens.
Elle s’irritait, sans toujours comprendre pourquoi.

🎯 Ensemble, on a travaillé le trait d’agréabilité (du modèle Big 5 en psychologie).

Et elle a réalisé une chose essentielle :
💡 Être agréable, c’est une qualité.
Mais l’être à ses dépens… c’est un piège.

Aujourd’hui ?

Elle a des projets solides, une direction claire.
Elle sait que pour protéger ce qui compte pour elle,
elle doit tolérer l’inconfort de déplaire.
Et c’est un coût qu’elle est prête à assumer.

💬 Et vous ?
Est-ce que votre désir d’être agréable vous freine, parfois ?
Ça vaut peut-être la peine d’y jeter un œil. 👀

06/30/2025

Développer son leadership : on commence où et quand ?

Avant les titres.
Avant les responsabilités officielles.
Le leadership naît souvent d’une chose plus simple:

🔭 Une vision claire et inspirante de l’impact que l’on veut créer.

Le leadership, ce n’est ni un titre, ni une fonction.
En tout cas, pas pour moi.

Je dirais qu’il s’agit plutôt d'une posture intérieure.
Une manière de porter une vision tangible…
et de mobiliser les forces humaines pour avancer ensemble dans une direction claire.

C’est aussi la capacité de créer des conditions où le développement de chacun alimente celui des équipes, des organisations… et même de la société.

Alors, qu’est-ce qu’on développe, au juste, lorsqu’on parle de leadership ?

✔️ Une conscience de soi plus fine — de ses forces, ses angles morts, ses patterns
✔️ Une lecture juste des comportements humains et des dynamiques organisationnelles
✔️ Une capacité à organiser ses idées et à les exprimer avec clarté et conviction.

Des études montrent que certaines bases du leadership se posent dès l’enfance, influencées par nos modèles parentaux.

Mais pour les adultes ?
Il n’y a pas de moment parfait.

Mais certains moments sont particulièrement propices :
💡 Quand une transition professionnelle se profile
💡 Quand on prend un nouveau rôle ou plus de responsabilités
💡 Quand on souhaite passer du rôle d’exécutant à celui d’acteur à la table des décisions
💡 Quand le sens s’effrite, que l’alignement se perd

Ces moments sont des points d’inflexion.

Et c’est souvent là que le développement du leadership devient un véritable levier.

Un actif qui va fructifier tout au long de votre vie.

On passe tous par ces périodes de flottement ou de repositionnement.
Si vous êtes là en ce moment : vous n’êtes pas seul.e.
Partagez si vous vous reconnaissez — ça pourrait en aider d’autres ! 🔁

Persévérer ou laisser tomber?C’est une question qu’on se pose tous à un moment ou un autre de notre parcours.L’actualité...
07/04/2024

Persévérer ou laisser tomber?

C’est une question qu’on se pose tous à un moment ou un autre de notre parcours.

L’actualité politique nous fourni ces jours-ci un exemple criant de ce dilemme intérieur.

On peut être tenté de juger une personne qui persévère dans un rôle, un projet, une situation alors que nous percevons des signes forts qu’un changement de cap est souhaitable:

✔️Fatigue persistante
✔️Irritabilité
✔️Pensées négatives récurrentes
✔️Démotivation, manque d’entrain

Pour une personne performante, qui s’investit dans ses projets et relations, il est difficile de reconnaitre que la voie sur laquelle elle est engagée comporte plus de coûts que de bénéfices, qu’elle y perd de l’énergie et du temps.

Elle peut entretenir l’espoir que les choses changent par elles-mêmes, ne pas avoir envie de mettre des efforts pour tenter une énième solution et parfois même, éprouver de la honte.

Cela demande une bonne dose de flexibilité mentale pour se voir dans un autre rôle, dans un autre cadre, avec d’autres personnes.

Je vous invite à faire preuve d’écoute, d’empathie et de patience avec une personne qui traverse ce genre de période.

Particulièrement si la personne en question est vous. 💜

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Montreal, QC

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