Bien Être NeuroAtypique

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BENA a maintenant de la MERCH OMG!Je vous montre quelque design, mais sérieux, aller voir la boutique :DJe me suis déjà ...
11/12/2025

BENA a maintenant de la MERCH OMG!
Je vous montre quelque design, mais sérieux, aller voir la boutique :D
Je me suis déjà fait un order xD

redbubble.com/people/divergthinking/shop

11/12/2025

Quand je mets mes limites, c’est pas pour te rejeter.
C’est pour nous protéger, toi p*s moi, du ressentiment qui finit par tout scraper.
J’ai besoin de mes limites pour rester fine, pas pour m’éteindre.

Les limites, c’est pas des murs.
C’est des portes avec des serrures, pour garder les relations en santé.
Ça veut dire: « J’veux rester en lien, mais d’une façon qui me fait du bien. »

11/12/2025

Pas parce qu’on est adulte qu’on est censé savoir tout gérer.
On parle souvent comme si, à 25 ans, la vie venait avec un mode d’emploi émotionnel intégré.
Comme si, du jour au lendemain, les blessures d’enfance, les traumas, les manques et les insécurités allaient disparaître juste parce qu’on paie des factures et qu’on a un emploi stable.

Mais non.
Les blessures ne disparaissent pas quand tu vieillis.
Elles changent de forme, elles se déplacent, elles se cachent parfois sous la fatigue, la colère ou la suradaptation.
Et des fois, elles ressortent. Fort.
Tu paniques, tu fuis, tu pleures sans savoir pourquoi.
Et là, tu te juges : “Voyons, je suis un adulte, je devrais être capable de gérer ça.”

Mais non. T’es juste humain.
Et t’as le droit d’avoir encore des morceaux à réparer.
T’as le droit d’être dépassé, même à 30, 40, 50 ans.
T’as le droit d’avoir besoin d’aide, de repos, de douceur.

Être adulte, c’est pas être guéri.
C’est apprendre à continuer d’avancer avec ce qui reste à guérir.
C’est apprendre à se parler avec un peu plus de compassion, même quand on gère mal.
Parce que grandir, c’est pas devenir parfait.
C’est apprendre à se comprendre.

11/12/2025

Y’a une grosse injustice quand t'es autiste (ou que tu as n'importe quelle autre condition handicapante)...

Quand une personne ne peut pas exprimer ses besoins, on comprend que c’est difficile. Tsé comme quelqu'un de non verbal.
On respecte. On s’adapte. On dit que c’est un handicap, qu’il faut faire preuve d’empathie.
Et c’est vrai.

Mais quand une personne autiste peut dire ce qu’elle ressent, expliquer clairement ce qu’elle a besoin… Tout d’un coup, ça devient “exigeant”.
“Trop rigide.”
“Jamais content.”
“Compliqué.”

Comme si le fait de bien parler annulait la douleur, l’effort, ou la surcharge derrière.
Comme si, parce que je peux mettre des mots sur ce que je vis, ça voulait dire que je suis obviously capable de “m’adapter comme tout le monde”.

Mais avoir les mots ne veut pas dire que c’est facile.
Avoir le vocabulaire ne veut pas dire que la réalité est moins douloureuse.
C’est juste que je suis capable d’en parler, au lieu de m’effondrer en silence.

Plus une personne réussit à décrire ce qu’elle vit, plus on oublie qu’elle souffre et continue de souffrir par comment on agit avec.

Alors rappelle-toi : la clarté n’enlève pas la souffrance.
La capacité à s’exprimer n’efface pas le handicap.
Elle le rend juste visible d’une autre manière... si on prend le temps d’écouter pour vrai.

« T’es trop vieux pour ça. »C’est fou comment cette phrase-là est remplie d’insécurité.C.S. Lewis disait que vouloir abs...
11/12/2025

« T’es trop vieux pour ça. »
C’est fou comment cette phrase-là est remplie d’insécurité.

C.S. Lewis disait que vouloir absolument avoir l’air adulte, c’est justement un signe d’immaturité… et j’pense qu’il avait pas tort.
Parce qu’au fond, pourquoi on essaie tellement de paraître “grands”? Pourquoi on se met à se juger dès qu’on aime encore les choses qui nous font du bien?

On dirait qu’à un moment, la société a décidé qu’à partir d’un certain âge, on devait s’arrêter de vivre pour vrai.
Fini les cartoons, les pyjamas entre amis, les rires à 2h du matin. Faut être sérieux, productif, fatigué, p*s surtout… conforme.

Mais ce qui me frappe, c’est que souvent, ceux qui disent “t’es trop vieux pour ça” le font pas par méchanceté.
C’est juste que voir quelqu’un s’autoriser à être libre, ça ébranle leur propre cage.
Ça remet en question leurs choix, leur façon de vivre. Et c’est inconfortable.
Alors au lieu de se demander pourquoi eux s’empêchent de vivre certaines choses, ils jugent ceux qui le font.

Mais la vérité, c’est qu’il n’y a pas une seule bonne façon d’être un adulte.
Il n’y a pas un âge où on doit arrêter de s’émerveiller, de jouer, d’être soi.

Vieillir, c’est pas renoncer à la joie.
C’est apprendre à la protéger.

Si t’as envie d’écouter des cartoons, fais-le. Si t’as envie d’organiser une soirée pyjama, fais-le. Si t’as envie de rire jusqu’à en pleurer avec tes amis à 2h du matin, fais-le. T’as pas à arrêter d’avoir du fun juste parce que t’as des factures. 🤗

😩😩😩😣 Sérieux...Moi depuis que tout le monde ont un cellulaire, my god que c'est le fun de juste.. TEXTER... p*s répondre...
11/12/2025

😩😩😩😣 Sérieux...

Moi depuis que tout le monde ont un cellulaire, my god que c'est le fun de juste.. TEXTER... p*s répondre QUAND TU PEUX!!

11/11/2025

Une autre petite précision importante... Avec le lot de nouveaux abonnés, faut faire quelques explications sur la page ^^

Ici, sur ma page, je ne suis pas en contexte d’accompagnement.
Je ne fais pas d’intervention avec vous right now.
Je fais de l’éducation, de la sensibilisation, de la connexion humaine.

Quand j’écris ici, je parle de faits, de concepts, d’expériences vécues.
Oui, je suis parfois direct, cru, cash.
Mais c’est pas comme ça que je parle à mes client·es en suivi.

En accompagnement, c’est complètement différent.
Si quelqu’un me dit qu’iel a crié après quelqu’un, je vais pas lui lancer “ça se fait pas!”.
Je vais lui demander comment iel s’est senti.
Pourquoi c’est arrivé.
Ce qu’on peut faire la prochaine fois pour que ça se passe autrement.
Je vais écouter, comprendre, soutenir, encourager.

Donc ce que je poste ici et comment je suis en rencontre, ce n'est pas en contradiction.
C’est juste une question de contexte.

Sur cette page, je partage, j’explique, je jase avec vous.
Mais c’est pas une séance d’intervention.
F**k si je dit que les comportements violents ne sont pas adéquats, c'est ce que je pense aussi en rencontre.. mon approche est juste différente.

11/11/2025

Et si la guérison, c’était pas de redevenir “comme avant”?
Pas de retrouver ton ancien toi, celui d’avant le trauma, d’avant la fatigue, d’avant la chute.

Et si c’était plutôt de devenir quelqu’un de nouveau… à partir de ce qu’il reste?
De regarder les morceaux, de voir ce qui tient encore debout, ce qui a changé, ce qui a grandi malgré tout.
Et de rebâtir à partir de là. Pas pour revenir en arrière. Mais pour avancer autrement.

Parce que la vérité, c’est qu’on ne redevient jamais la même personne.
Les épreuves nous transforment. Elles laissent des traces, des marques, parfois même des cicatrices qui deviennent nos nouveaux repères.
Et c’est correct. C’est pas une régression. C’est une métamorphose.

Guérir, c’est apprendre à connaître cette nouvelle version de toi.
Celle qui a survécu.
Celle qui sait des choses que l’ancienne version ignorait.
Celle qui marche peut-être plus lentement, mais plus consciemment.

C’est pas redevenir qui tu étais.
C’est devenir qui tu es maintenant et apprendre à l’aimer.
Un peu plus chaque jour.

Ahhh... les gens qui “savent”.Tu te souviens dans Inside Out, quand ils mélangent les “faits” et les “opinions” parce qu...
11/11/2025

Ahhh... les gens qui “savent”.

Tu te souviens dans Inside Out, quand ils mélangent les “faits” et les “opinions” parce que “c’est tellement semblable”? … ouais.

Quand quelqu’un pense qu’il sait quelque chose, oublie ça.
À moins qu’il soit vraiment ouvert à avoir tort, tu pourrais parler dans le vide pendant des heures.

Et honnêtement... pourquoi gaspiller son énergie à vouloir éduquer quelqu’un qui ne veut pas écouter?

J’adore éduquer.
J’aime expliquer, transmettre, prendre le temps.
Je fais partie de ceux qui disent pas “c’est pas ma job de t’éduquer”.
Moi, je veux le faire.

Mais je sais aussi reconnaître quand c’est inutile.
Quand la personne pense déjà tout savoir et qu’elle veut juste “gagner” la conversation.

Ne pas débattre avec quelqu’un qui refuse d’écouter... C’est pas fuir.
C’est de l’auto-préservation.
C’est du self-care, pur et simple.

11/10/2025

Juste une petite mise au point 🙂

Ma page ici, c’est pas une page “sur l’autisme” uniquement.
C’est ma page d’intervenant.
Je parle de ce que je vis, de ce que je comprends, de ce que je peux expliquer clairement et en profondeur.

Oui, je fais de la sensibilisation, de l’éducation, de la connexion humaine.
Mais non, je n’ai pas à parler de TOUT ce qui touche l’autisme ou la neurodivergence.
On m’a demandé aujourd'hui (un peu brusquement 😅) pourquoi je ne parle pas des personnes autistes non verbales et de leur réalité.
“C’est pas du monde autiste aussi??” qu’on m’a lancé.

Ben… oui, bien sûr que oui.
Mais ce n’est pas ma place de parler à leur place.
Je parle de ce que je connais, vis, et maîtrise.
Et c’est déjà beaucoup, IMO..

Y’a plein de vécus ND dont je parle pas non plus : Tourette, HPI, dyspraxie, etc.
Pas parce que je m’en fous ou que je veux pas les inclure.
Mais parce que je veux pas dire n’importe quoi juste pour “couvrir le sujet”.

J’ai pas de ligne éditoriale rigide ici.
C’est un espace humain.
Un espace pour comprendre, apprendre, connecter, réfléchir ensemble.
Et j’ai le droit de choisir ce que j’aborde et ce que je laisse à d’autres voix.

Bref : ma page, c’est pas un catalogue complet de la neurodiversité.
C’est une fenêtre sur ma pratique, mon regard, p*s mes réflexions d’intervenant TDAH/autiste.
Et si ça t’aide, te fait réfléchir ou te fait sentir moins seul… alors c’est déjà mission accomplie. :)

11/10/2025

La plupart des règles et traditions de notre société datent d’une époque où les gens vivaient à peine jusqu’à 50 ans p*s travaillaient dans des usines à partir de 13 ou 15 ans..
C’est fou quand on y pense. Toutes ces attentes sur quand tu devrais être indépendant, marié, stable, ou “accompli”, viennent d’un monde où la moitié de ta vie était déjà finie à 25 ans.

Sauf qu’aujourd’hui, on vit deux fois plus longtemps. On change de carrière, de ville, de valeurs, parfois même d’identité plusieurs fois dans une vie. On apprend encore à 40 ans, on se découvre à 50, on se transforme à 60.
Mais les vieilles normes, elles, n’ont pas suivi.

Alors on se retrouve à se juger parce qu’on n’a pas “coché toutes les cases” à temps.
Parce qu’on a pas acheté de maison à 30 ans, pas trouvé “le grand amour” à 25, pas atteint la stabilité financière à 35.
Mais ce “à temps”, il vient d’un calendrier d’un autre siècle.
Il ne s’applique plus.

Tu ne vis pas une vie en re**rd. Tu vis une vie en construction.
Et ce n’est pas parce que t’as pris un détour que t’es perdu.
T’es juste en train de tracer ta propre route dans un monde qui n’a plus rien à voir avec celui d’avant.

Alors la prochaine fois que tu te dis “j’aurais dû être rendu plus loin”, rappelle-toi : T’as encore du temps. Beaucoup de temps.
Assez pour recommencer, grandir, rêver, bâtir, aimer, tout réinventer.
Parce qu’on n’a plus juste 50 ans pour vivre et pour apprendre à la faire à notre façon.

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Montreal, QC

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