Laboratoire d’étude de la santé sexuelle

Laboratoire d’étude de la santé sexuelle The over-arching purpose of our work is to improve sexual well-being and health for individuals

Le Laboratoire d'étude de la santé sexuelle est dirigé par Sophie Bergeron, Ph.D. professeure agrégée au Département de psychologie de l'Université de Montréal. Dre Bergeron s'intéresse aux aspects psychosociaux et conjugaux de la santé sexuelle des individus et des couples. En particulier, ses travaux portent sur le diagnostic, l'étiologie et le traitement de la douleur gynécologique, soit la dyspareunie et le vaginisme, et ce, selon une perspective interdisciplinaire. Ses projets de recherche actuels, financés par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), ont trait à l'évaluation de l'efficacité des interventions cognitives, comportementales et médicales dans le traitement de la dyspareunie, puis sur le rôle des variables affectives, cognitives et conjugales dans le maintien de cette problématique.

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The S*xual Health Laboratory is run by Sophie Bergeron, Ph.D. Associate Professor at the Department of Psychology at the Université de Montréal. Dr. Bergeron's research focuses on the psychosocial and interpersonal aspects of sexual health of individuals and couples. In particular, her work uses an interdisciplinary perspective to further our understanding of the diagnosis, etiology and treatment of gynecological pain (i.e., dyspareunia and vaginismus). Her current research projects, funded by the Canadian Institutes of Health Research (CIHR), focus on evaluating the efficacy of cognitive, behavioural and medical interventions in treating dyspareunia, as well as investigating the role of affective, cognitive and relationship variables involved in this problem.

🔍 Sous la loupe de nos étudiantes : Catherine nous partage ses résultats sur le rôle de l’affection physique dans le bie...
11/12/2025

🔍 Sous la loupe de nos étudiantes : Catherine nous partage ses résultats sur le rôle de l’affection physique dans le bien-être sexuel des couples confrontés au TISES !

💡 En bref : Plus d’affection physique, comme les câlins et les baisers, est associée à un désir et une satisfaction sexuelle plus élevés chez les deux partenaires. Une belle piste pour nourrir la connexion et l’intimité, même lorsque la sexualité est plus difficile.

🧪 Affiche présentée au congrès SSTAR par Catherine Hamel, étudiante au doctorat R/I en psychologie, en collaboration avec N. O. Rosen, A.-A. Saindon et S. Bergeron.

🔗 Pour en savoir plus sur nos recherches, suivez notre page !

Référence :
Hamel, C., Rosen, N. O., Saindon, A.-A., & Bergeron, S. (2025). Does Physical Affection Promote S*xual Well-being Among Couples Coping with S*xual Interest/Arousal Disorder? A Dyadic Longitudinal Study. Society for S*x Therapy and Research, Philadelphia, PA, USA.

Plus que quelques jours pour appliquer à une offre de stage d'initiation à la recherche 📝L’Équipe SCOUP – S*xualité et C...
11/11/2025

Plus que quelques jours pour appliquer à une offre de stage d'initiation à la recherche 📝

L’Équipe SCOUP – S*xualité et Couple, offre un stage d’initiation à la recherche de 4 mois (5 janvier au 30 avril 2026) totalisant 150 heures de stage. Ces stages sont rémunérés selon les normes et échelles salariales en vigueur dans l’université d’attache.

Plus d'informations en publication 👇

📢 Offre d’un stage d’initiation à la recherche – Diversité SCOUP - UQTR/UdeM 📢

L’Équipe SCOUP – S*xualité et Couple, offre un stage d’initiation à la recherche de 4 mois (5 janvier au 30 avril 2026) totalisant 150 heures de stage. Ces stages sont rémunérés selon les normes et échelles salariales en vigueur dans l’université d’attache.

Les Stages Diversité SCOUP sont réservés aux étudiant·e·s:

- faisant partie de la diversité (p. ex., personnes en situation de handicap, s’identifiant comme appartenant à une minorité visible ou ethnique, au peuple autochtone, de la diversité sexuelle et/ou de genre) ;
- étant au premier cycle en psychologie ;
- inscrit·e·s à l’Université de Montréal (UdeM) ou à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR)

Les personnes intéressées par ces stages doivent déposer leur candidature avant le 20 novembre 2025 en soumettant le formulaire d’application dûment complété, leur CV et leur relevé de notes à cette adresse : sarah.beauchemin-roy@umontreal.ca.

L’Équipe SCOUP est financée par les Fonds de recherche du Québec – Société et culture (FRQSC) et est composée de Sophie Bergeron, Katherine Péloquin et Marie-Ève Daspe de l’Université de Montréal, Audrey Brassard de l’Université de Sherbrooke, Natacha Godbout de l’Université du Québec à Montréal, Marie-Pier Vaillancourt-Morel et Caroline Dugal de l’Université du Québec à Trois-Rivières et Noémie Bigras de l’Université du Québec en Outaouais.

Voici le formulaire d'application: https://docs.google.com/forms/d/e/1FAIpQLSeOvAUrBsyK66YgBenDdoFwEPByNCB_ikKeGjjKykepULJ94w/viewform

*english will follow*Au Canada, les jeunes âgés de 15 à 17 ans obtiennent des informations sur la santé sexuelle auprès ...
11/06/2025

*english will follow*

Au Canada, les jeunes âgés de 15 à 17 ans obtiennent des informations sur la santé sexuelle auprès de leurs écoles, de leurs parents, de leurs ami·e·s, des professionnels de santé et de sources en ligne. Mais la qualité de ces informations varie.

Cet article explore comment nous pouvons repenser le bien-être sexuel comme une priorité de santé publique, proactive et non seulement réactive.

En passant de « ne faites pas » à « voici comment faire », nous pouvons aider les adolescent·e·s à acquérir des connaissances, de la confiance et des liens.

📲 Faites défiler pour découvrir des stratégies pratiques, des ressources fiables et une vision de ce à quoi pourrait ressembler un système d’éducation sexuelle plus inclusif et plus solidaire.

Cette publication fait partie d’une collaboration entre et le : parce que le bien-être sexuel mérite une place dans les conversations de santé publique.

*xuelle *xuelle ’ÉducationS*xuelle *xuelleInclusive *xuelleCanada

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In Canada, youth aged 15 - 17 get sexual health info from a mix of schools, parents, friends, healthcare providers, and online sources. But the quality of that information varies.

This post explores how we can reimagine sexual wellbeing as a public health priority, one that’s proactive, not just reactive.

By shifting the focus from “don’t” to “here’s how”, we can support adolescents in building knowledge, confidence, and connection.

📲 Swipe through for practical strategies, trusted resources, and a vision for what a more inclusive and supportive sexual health system could look like.

This series is a collaboration between and

*xualHealth *xualHealthEducation *xEdReform *xEd *xualHealthCanada

***english will follow***Que se passe-t-il quand on ne parle pas du bien-être sexuel ?Lorsque les jeunes rencontrent des...
11/03/2025

***english will follow***

Que se passe-t-il quand on ne parle pas du bien-être sexuel ?

Lorsque les jeunes rencontrent des défis dans leur vie sexuelle et relationnelle, ils se tournent souvent vers Internet pour comprendre ce qu’ils vivent : pour normaliser leurs expériences, chercher des conseils et tester des stratégies comme la communication et la négociation (O’Sullivan et al., 2019)

La suite en publication →

Les jeunes sont curieux et débrouillards.
Mais ils ne devraient pas avoir à tout faire seuls.
Cette publication fait partie d’une collaboration entre et le mérite une place dans les conversations de santé publique.

🔍 Restez à l’affût pour la prochaine publication → Le bien-être sexuel des adolescent·e·s : Repenser à quoi pourrait ressembler la santé publique

*xuel *xuelle *xualité

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What happens when we don’t talk about sexual well-being?

When youth face challenges in their sexual and relational lives, they often turn to the internet to make sense of what they’re going through : to normalize their experiences, seek advice, and try out strategies like communication and negotiation (O’Sullivan et al., 2019).

Find out more →
Young people are resilient and resourceful.
But they shouldn’t have to do it all alone.

*This post is part of a collab between and the : because sexual well-being deserves a place in public health conversations.*

🔍 Stay tuned for the next post: Adolescent S*xual Well-being : Reimaging what sexual health could look like

*xualWellBeing *xEd *xualityEducation

🏳️‍⚧️ C’est le mois de la sensibilisation aux réalités trans !Un rappel essentiel : les personnes trans ont toujours exi...
11/01/2025

🏳️‍⚧️ C’est le mois de la sensibilisation aux réalités trans !

Un rappel essentiel : les personnes trans ont toujours existé et elles continueront d’exister. Leur place est légitime, et leurs identités méritent d’être reconnues, respectées et célébrées.

💡 La transphobie et l’intimidation sont encore bien présentes dans plusieurs milieux (Blais, Dion & Gervais, 2024). C’est pourquoi il est essentiel de rester informé·e, solidaire et allié·e au quotidien.

📌 Ressources à consulter et à partager :
| aux Trans du Québec |

🔗 Blais, M., Dion, F. L., et Gervais, J. (2024). L’intimidation vécue par les personnes LGBTQ+ au Québec —Rapport de l’étude québécoise sur les relations sociales des personnes LGBTQ+ de 14 ans et plus dans un contexte scolaire, de travail et dans la communauté. Chaire de recherche sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres, Université du Québec à Montréal.

*english will follow*La sexualité des adolescent·e·s et des jeunes adultes est complexe : elle peut être source de confu...
10/31/2025

*english will follow*

La sexualité des adolescent·e·s et des jeunes adultes est complexe : elle peut être source de confusion, de détresse ou de défis, mais aussi de bien-être, de satisfaction et de plaisir. ❤️‍🩹

L’éducation à la santé sexuelle et les soins cliniques doivent accueillir à la fois les difficultés et les dimensions positives de la vie sexuelle des jeunes.

📲 La suite en publication.

Cette publication fait partie d’une collaboration entre et le : parce que le bien-être sexuel mérite une place dans les conversations de santé publique.

🔍 Restez à l’affût pour la prochaine publication → Bien-être sexuel des adolescent·e·s : Que se passe-t-il quand on ne parle pas de bien-être sexuel avec les adolescent·e·s ?

*xuelle *xuelleInclusive

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Adolescent and young adults’ sexuality is complex : it can be confusing, distressing, or challenging, but also meaningful, satisfying, and empowering. ❤️‍🩹

S*xual health education and clinical care should hold space for both the difficulties and the positive dimensions of young people’s sexual lives.

📲Swipe to find out more.

*This post is part of a collab between and the : because sexual well-being deserves a place in public health conversations.*

🔍 Stay tuned for the next post: Adolescent S*xual Well-being What happens when we don’t address sexual well-being with adolescents?

*xualHealth *xEd

Pourquoi devons-nous parler de bien-être sexuel, et pas seulement de risques ? 👀La plupart des programmes d'éducation se...
10/29/2025

Pourquoi devons-nous parler de bien-être sexuel, et pas seulement de risques ? 👀

La plupart des programmes d'éducation sexuelle destinés aux jeunes continuent de se concentrer presque exclusivement sur la prévention des ITSS et des grossesses non désirées. Si la prévention des risques est importante, elle néglige toutefois des aspects essentiels du bien-être sexuel tels que le plaisir, l'estime de soi, le consentement et la connexion.

Lors de cette séries, nous présenterons des façons de prioriser une éducation inclusive, affirmative et fondée sur des preuves, qui donne aux jeunes de véritables connaissances sur :
🔹 Le plaisir
🔹 La confiance en soi
🔹 La connexion
🔹 Le consentement
🔹 La sécurité
🔹 L'estime de soi

✨ Cette publication est la première d'une série de quatre publications issue de la collaboration entre et : parce que le bien-être sexuel mérite une place dans les discussions sur la santé publique. ✨

🔍 Restez à l'affût pour la prochaine publication : La satisfaction et la fonction sexuelles sont importantes, même pour les adolescents

*xualWellbeing *xEdMatters *xEd *xualHealthEducation *xPositivity *xEdReform *xEd

✈ CONGRÈS - RETOUR EN IMAGE 📷Samedi dernier, Dre Marie-Michèle Paquette présentait des résultats issus de l'Étude Presaj...
10/28/2025

✈ CONGRÈS - RETOUR EN IMAGE 📷

Samedi dernier, Dre Marie-Michèle Paquette présentait des résultats issus de l'Étude Presaj : Précurseurs des relations sexuelles et amoureuses des jeunes.

👥 Échantillon :
1 469 adolescent·es ayant été en couple au moins une fois durant les 4 années de l’étude.
Les participant·es ont répondu à des questionnaires sur leurs expériences de trauma, leurs relations amoureuses et la réceptivité perçue de leur partenaire.

🔍 Résultats :
Les jeunes ayant vécu un trauma cumulatif dans l’enfance rapportaient une moins grande réceptivité perçue de la part de leur partenaire amoureux·se.
Aucune différence significative selon le genre ou l’orientation sexuelle n’a été observée.

💡 En bref :
Ces résultats soulignent que les effets du trauma sur les dynamiques interpersonnelles peuvent se manifester dès les premières relations amoureuses, rappelant l’importance de relations empreintes de bienveillance, de sécurité et de reconnaissance à l’adolescence.

Un grand bravo à l’équipe PRESAJ pour cette belle contribution à la recherche sur les relations et le développement adolescent !

Cette semaine, nous mettons en lumière l’asexualité, une orientation sexuelle souvent méconnue. 💜Être asexuel·le, c’est ...
10/23/2025

Cette semaine, nous mettons en lumière l’asexualité, une orientation sexuelle souvent méconnue. 💜

Être asexuel·le, c’est ressentir peu ou pas d’attirance sexuelle pour autrui, et chaque personne vit sa sexualité de manière unique.

Sensibiliser, comprendre et respecter ces réalités, c’est contribuer à une société plus inclusive et respectueuse de toutes les orientations.

*xuelle

Références : Serra Vandekerckhove, L., Shankland, M., & Delamare-Sanson, M. (2021). L’asexualité : Fiche synthèse. Chaire de recherche sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres, Université du Québec à Montréal.
https://chairedspg.uqam.ca/wp-content/uploads/2021/01/Chaire_Fiche_Jan_2021_Finale_Web.pdf

Ton expression de genre est toujours légitime, peu importe si elle ne correspond pas aux stéréotypes, si elle évolue ave...
10/21/2025

Ton expression de genre est toujours légitime, peu importe si elle ne correspond pas aux stéréotypes, si elle évolue avec le temps ou si elle n’est pas encore partagée avec les autres. 💜

Prends le temps de te découvrir et de t’affirmer à ton rythme !

RECRUTEMENT 📢  – Êtes-vous un couple aux prises avec une baisse du désir?Nous recherchons des couples pour participer à ...
10/03/2025

RECRUTEMENT 📢 – Êtes-vous un couple aux prises avec une baisse du désir?

Nous recherchons des couples pour participer à l’Étude ENTRAIDE, qui est une étude de traitement pour le désir.

En quoi consiste l'étude ? 📊
- Des sondages en ligne à compléter à la maison
- L’assignation, au hasard, soit à la thérapie de couple cognitivo-comportementale (TCCC), soit à la liste d’attente*
- 16 séances de thérapie de couple offertes par visioconférence

*Tous les couples sur la liste d’attente auront aussi la possibilité de prendre part à la TCCC à une date ultérieure.

Qui peut participer*? 👥
Les couples qui :
- Sont ensemble et qui cohabitent depuis au moins 1 an
- Sont tous deux âgés de 18 ans ou plus
- Ont un faible désir depuis au moins 6 mois (au moins l’une des partenaires**)

*D'autres critères d'admissibilité peuvent s’appliquer
**La personne du couple éprouvant un faible désir doit être une femme cisgenre, une femme transgenre ou une personne issue de la diversité de genre assignée au sexe féminin à la naissance. Cette étude inclut des partenaires indépendamment de leur identité de genre, leur sexe biologique et leur orientation sexuelle.

Une compensation est offerte et le traitement est offert gratuitement.

Pour plus d'informations ou pour participer à l'Étude ENTRAIDE : https://Qualtrics.ca1.qualtrics.com/jfe/form/SV_9GZlZwuNrPzWW9M

Être allié·e, c’est reconnaître les réalités des groupes marginalisés et poser des actions concrètes pour les soutenir. ...
10/01/2025

Être allié·e, c’est reconnaître les réalités des groupes marginalisés et poser des actions concrètes pour les soutenir. 🏳‍🌈🏳️‍⚧️

Que ce soit dans nos relations personnelles, notre pratique clinique ou nos travaux de recherche, l’important est de progresser avec constance et ouverture.

Address

Université De Montréal
Montreal, QC

Opening Hours

Monday 9am - 4pm
Tuesday 9am - 4pm
Wednesday 9am - 4pm
Thursday 9am - 4pm
Friday 9am - 4pm

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Favoriser le bien-être et la santé sexuelle des individus et des couples

Le Laboratoire d'étude de la santé sexuelle est dirigé par Sophie Bergeron, Ph.D. professeure titulaire au Département de psychologie de l'Université de Montréal.

Dre Bergeron s'intéresse aux aspects psychosociaux et conjugaux de la santé sexuelle des individus et des couples. Une partie importante de ses travaux porte sur le diagnostic, l'étiologie et le traitement de la douleur génito-pelvienne, et ce, selon une perspective interdisciplinaire. Les résultats de ses recherches ont mené au développement de thérapies cognitivo-comportementales de groupe et de couple pour les femmes atteintes et leurs partenaires. D’autres travaux en cours au laboratoire ont trait aux rôles de l’intimité et des traumas interpersonnels dans l’enfance comme facteurs de protection et de risque, respectivement, pour la sexualité des couples. Enfin, un nouvel axe de recherche concerne la santé sexuelle des adolescents et son développement. Les études menées par Dr. Bergeron sont financées par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC), le Conseil de recherches en sciences humaines du Canada (CRSH) et par une subvention d’équipe du Fonds de Recherche du Québec – Société et Culture – l’Équipe SCOUP S*xualité et Couple. Notre laboratoire fait partie du Centre de recherche interdisciplinaire sur les problèmes conjugaux et les agressions sexuelles (CRIPCAS).

Les travaux menés au Laboratoire visent à favoriser le bien-être et la santé sexuelle des individus et des couples. --- The S*xual Health Laboratory is run by Sophie Bergeron, Ph.D. Full Professor in the Department of Psychology at the Université de Montréal.

Dr. Bergeron's research focuses on the psychosocial and interpersonal aspects of individuals’ and couples’ sexual health. An important part of her work focuses on the diagnosis, etiology and treatment of women’s genito-pelvic pain/penetration disorder. This has led to the development of novel cognitive-behavioral group and couple therapies for women and their partners. Other ongoing research examines how relationship intimacy and childhood interpersonal trauma may act as protective and risk factors, respectively, for couples’ sexuality. A new avenue of research concerns adolescents’ sexual health and its development. Dr. Bergeron’s research is supported by operating grants from the Canadian Institutes of Health Research (CIHR) and the Social Sciences and Humanities Research Council of Canada (SSHRC), and by a team grant from the Fonds de Recherche du Québec – Société et Culture – the Team SCOUP S*xuality and Couples. We are part of the Interdisciplinary Research Center on Intimate Relationship Problems and S*xual Abuse (CRIPCAS).