Anne-Julie Morand - Ostéopathe

Anne-Julie Morand - Ostéopathe Ostéopathe l Enseignante l Conférencière l Doula l Yoga l Meditation l Breathwork l Propriétaire clinique

Biarritz Juin 2026 Neurosciences appliquées à l’ostéopathie toute l’info ici 👈
11/18/2025

Biarritz Juin 2026
Neurosciences appliquées à l’ostéopathie
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Alchimie du Vivant Module2 Estrie   &compassion
11/18/2025

Alchimie du Vivant Module2
Estrie
&compassion

L'étude, récemment publiée dans Nature Metabolism, révèle l'interaction dynamique entre l'activité neuronale dans l'hypo...
11/06/2025

L'étude, récemment publiée dans Nature Metabolism, révèle l'interaction dynamique entre l'activité neuronale dans l'hypothalamus et l'écosystème microbien qui habite le tractus gastro-intestinal, suggérant que le cerveau exerce une influence plus immédiate et directe sur les communautés microbiennes intestinales que ce que l'on pensait auparavant.

Toledo, M., Martínez-Martínez, S., Van Hul, M. et al. Rapid modulation of gut microbiota composition by hypothalamic circuits in mice.
Nat Metab (2025).

Toledo et al. show that metabolic hormones acting in the hypothalamus, along with direct manipulation of hypothalamic neurons, can drive remodelling of microbial communities in the gut within short periods of time.

11/06/2025

💣 POST — LE DÉFICIT CHRONIQUE DE PROGESTÉRONE :
Et si TOUT avait commencé… à l’adolescence ❓

🧬 Ce que personne ne t’a jamais dit…

Tu peux vivre des décennies entières avec un manque profond de progestérone.

➠ Sans que personne ne te le nomme.
➠ Sans qu’aucun test ne soit fait.
➠ Sans qu’on t’écoute vraiment.

Et pendant tout ce temps…
tu crois que c’est toi le problème.


🔬 La progestérone agit partout. Voici pourquoi.
Le corps d’une femme est littéralement tapissé de récepteurs à progestérone.
On les retrouve dans :

🧠 Le cerveau – hippocampe, amygdale, cortex préfrontal :
→ module la sérotonine, le GABA et la dopamine.
Influence l’humeur, la mémoire, la concentration, l’anxiété, le sommeil.

🫀 Le cœur et les vaisseaux sanguins
→ régule la tension, empêche les spasmes vasculaires et protège les artères.
Effet protecteur sur le système cardiovasculaire, tension artérielle, inflammation.

🧬 Les seins
→ régule et empêche la prolifération anarchique des cellules stimulée par les œstrogènes.

🍳 L’utérus et l’endomètre
→ stabilise la muqueuse utérine, prévient les menstruations abondantes, fibromes, douleurs.

🫁 Les poumons
→ régule la respiration (notamment pendant le sommeil), influence les centres respiratoires.

🦴 Le tissu osseux
→ contribue à la densité minérale osseuse, agit en synergie avec les œstrogènes.

🧠 Le système nerveux central
→ effet GABAergique calmant (similaire aux benzodiazépines, mais naturel), agit sur l’irritabilité, l’insomnie, les crises de panique.

🛡️ Le système immunitaire
→ réduit l’inflammation excessive.


🧬 Et tout ça… alors même que certains discours officiels continuent de nier la réalité clinique d’une chute de progestérone chez les femmes.
👉 Mais la science, ELLE, ne ment pas.
Les faits biologiques, eux, sont sans équivoque.
⠀⠀
⠀⠀
📍PROGESTÉRONE : L’HORMONE ÉQUILIBRANTE

La progestérone n’est pas une hormone de "luxe". C’est une hormone vitale qui stabilise, régule et protège tout le système hormonal féminin. Produite naturellement après chaque ovulation, elle est la clé de l’équilibre entre les œstrogènes, la thyroïde, les surrénales, et même l’axe cerveau-émotions.

Sans progestérone, il n’y a pas d’équilibre hormonal durable. Et donc, pas d’équilibre émotionnel, cognitif, inflammatoire ni métabolique.

Elle est :

💚 Anxiolytique naturel → elle calme le cerveau
💚 Anti-inflammatoire puissant → elle protège le corps
💚 Régulatrice du sommeil → elle favorise l’endormissement
💚 Protectrice du cœur → elle équilibre la tension artérielle
💚 Stabilisatrice de l’humeur → elle adoucit les montagnes russes émotionnelles
💚 Essentielle à la grossesse → elle soutient la fécondation et la gestation
💚 Antiproliférative → elle prévient les excès d’œstrogènes (kystes, fibromes, endométriose, etc.)

Mais si tu n’ovules pas correctement… tu ne produis pas assez de progestérone.
Et ça peut durer des années. Des décennies.

Parfois, dès l’adolescence.

🔍 Le plus tragique ?

👉 AUCUN test hormonal n’a été proposé.

👉 AUCUN médecin n’a dit : « Et si c’était un déficit de progestérone ? »

👉 PIRE : des antidépresseurs, des anxiolytiques, des contraceptifs hormonaux synthétiques ou des diagnostics psychiatriques ont été proposés…
au lieu d’explorer l’origine hormonale.

➠ On t’a soignée à l’aveugle.
➠ On a éteint tes symptômes.
➠ Mais on ne t’a jamais vraiment entendue.


⚠️ LES SIGNES ? ILS ÉTAIENT LÀ DÈS LE DÉBUT.

Dès tes premières menstruations, il y avait des indices.
Mais personne ne t’a expliqué ce que c’était.

Voici les symptômes les plus fréquents d’un déficit chronique de progestérone (souvent présents depuis l’adolescence) :

🔴 Menstruations abondantes, longues ou douloureuses
🔴 Cycles irréguliers, imprévisibles
🔴 Syndromes prémenstruels intenses (SPM, TDPM)
🔴 Bouffées d’anxiété cyclique sans raison claire, pensées sombres
🔴 Insomnie ou réveils nocturnes avant les menstruations
🔴 Fatigue écrasante à certaines périodes du mois
🔴 Seins gonflés, tendus ou douloureux
🔴 Colère, rage ou impulsivité incontrôlables
🔴 Crises de larmes inexpliquées
🔴 Sentiment de "ne plus se reconnaître"
🔴 Difficultés à concevoir... puis fausses couches à répétition
🔴 Dépression récurrente ou cyclique
🔴 Inflammations chroniques ou douleurs articulaires
🔴 Cerveau embrouillé, mémoire floue
🔴 Hypersensibilité sensorielle accrue
🔴 Vertiges, migraines hormonales
🔴 Incapacité à récupérer physiquement
🔴 Sentiment de perte de contrôle ou d’échec constant
🔴 Hypothyroïdie secondaire ou sous-diagnostiquée
🔴 Symptômes de périménopause précoces
🔴 Accélération du vieillissement cérébral, osseux, métabolique

✋️ Ce n’est pas toi.
C’est une carence hormonale invisible.
Et personne ne te l’a jamais expliqué.


🧬 POURQUOI MANQUE-T-ON DE PROGESTÉRONE ❓

Comme la progestérone n’est produite naturellement par le corps qu’après l’ovulation.
Elle est produite par le corps jaune — une glande temporaire créée seulement si l’ovule est libéré lors de l’ovulation.

👉 Pas d’ovulation = pas (ou très peu) de progestérone.

💡 Pourquoi (ou très peu) ?
🔬 Biologiquement parlant :
▪️La grande majorité de la progestérone est produite par le corps jaune, qui ne se forme que s’il y a eu ovulation.
▪️Sans ovulation, il n’y a pas de corps jaune, donc pas de sécrétion significative de progestérone.
▪️Cependant, les glandes surrénales produisent aussi des traces de progestérone en dehors de l’ovulation.
⚠️ Ce n’est pas suffisant pour réguler l’humeur, le sommeil, l’irritabilité, les douleurs mammaires, etc

👉 Ovulation irrégulière, incomplète ou éteinte = progestérone faible, absente ou insuffisante.

💣 Le problème ❓️

C’est que l’ovulation est un processus fragile, qui dépend d’un équilibre parfait entre :

🧠 le cerveau hormonal (hypothalamus + hypophyse)
🩸 les taux d'œstrogène, de FSH, de LH, de cortisol…
🛌 le sommeil, le stress, l’alimentation, l’exposition à la lumière…
🧪 et même certains produits chimiques (perturbateurs endocriniens)

Quand l’un de ces éléments est perturbé, l’ovulation peut :

🔻 ne pas se produire du tout (cycle anovulatoire)
🔻 être partielle ou de mauvaise qualité (ovulation “ratée”)
🔻 être décalée dans le cycle, raccourcie ou inefficace

Résultat : la progestérone ne monte jamais assez haut pour jouer son rôle protecteur.
Et cette défaillance se répète à chaque cycle, sans être repérée.


🎯 VOICI LES CAUSES FRÉQUENTES D’UN DÉFICIT CHRONIQUE EN PROGESTÉRONE :

🌪️ Enfance ou adolescence traumatique : le stress chronique précoce déprogramme le système hormonal dès la puberté → les ovulations n’ont jamais été optimales.
👩‍🦰👧👱‍♀️ Ces jeunes filles peuvent aussi avoir des cycles interrompus (stress, sport intensif, troubles alimentaires).
👉 Elles ne sont jamais écoutées sur leurs douleurs, symptômes ou émotions cycliques

♻️ Ovaires paresseux (SOPK – Syndrome des Ovaires Polykystiques) :
les ovaires produisent des follicules mais n’ovulent pas correctement, donc pas de corps jaune → pas de vraie production de progestérone.

⚠️ Cycles interrompus ou artificiels : prise de pilules contraceptives ou de dispositifs hormonaux qui éteignent l’ovulation → le corps “oublie” comment produire naturellement la progestérone.

🥣 Carences nutritionnelles : manque de zinc, de vitamine B6, de magnésium, de cholestérol sain, etc. → le corps n’a pas les “briques” pour construire les hormones.

🧠 Stress chronique : le corps fabrique alors du cortisol à partir du même précurseur que la progestérone (le pregnenolone). C’est ce qu’on appelle le “vol de la pregnenolone” → la progestérone est littéralement détournée pour gérer le stress.

🥱 Fatigue des glandes surrénales : trop de stress, trop longtemps → les glandes surrénales s’épuisent et ne parviennent plus à produire les hormones de soutien, dont une partie de la progestérone.

⏳ Périménopause : les ovaires commencent à “sauter” des ovulations des années avant que les menstruations ne disparaissent → la progestérone chute en premier, bien avant l’œstrogène.

👉 Résultat : le corps n’apprend pas à produire naturellement sa progestérone, ou l’arrête trop tôt.
👉 Et personne ne vérifie.

Tu peux vivre des années avec des ovulations inefficaces ou absentes…
…et personne ne te le dit.
…et tu continues à “fonctionner” en apparence.
…jusqu’à l’effondrement.


🔄 UN CERCLE VICIEUX DANGEREUX

Ce déficit chronique en progestérone :

◾️ Amplifie l’effet prolifératif des œstrogènes → congestion utérine, kystes ovariens, fibromes, adénomyose, endométriose, seins douloureux ou fibrokystiques, hyperplasie de l’endomètre, polypes utérins, et dans certains cas, cancer de l’endomètre ou du sein.
💡 Ce sont des conséquences physiques concrètes de l’effet prolifératif non freiné des œstrogènes en absence de progestérone, donc un excès relatif d’œstrogènes (même si les taux sont normaux), ce qu'on appelle souvent dominance œstrogénique.

◾️ Épuise les surrénales → anxiété chronique, hypersensibilité, burn-out

◾️ Dérègle la thyroïde → fatigue extrême, prise de poids, brouillard mental

◾️ Brise le sommeil → réveils à 2-3h du matin, pensées en boucle

◾️ Déséquilibre les neurotransmetteurs → anxiété, rage, dépression, crises de larmes

👉 Tout est lié. Et tout aurait pu être évité.


⏳ DES DÉCENNIES DE DÉSÉQUILIBRE…

Beaucoup de femmes ont donc vécu 20, 30, 40 ans avec un déficit chronique de progestérone JAMAIS NOMMÉ. JAMAIS TRAITÉ.

Elles ont entendu :

“C’est normal d’avoir mal”
“C’est psychologique”
“C’est le stress”
“On ne peut rien faire, prenez la pilule ou des antidépresseurs”

Elles ont été pathologisées, puis invisibilisées.



📉 📸 Voici un cas parmi tant d’autres, d’une femme de 54 ans.
📜 Rétrospective d’un déséquilibre hormonal jamais diagnostiqué.


🩸 Symptôme #1 : Règles longues, abondantes, et besoin de fer
→ Signe classique d’un déficit en progestérone, qui empêche la stabilisation de l’endomètre.
🟢 Progestérone = hormone qui freine et régule les saignements.
Sans elle, c’est l’hémorragie.


🧠 Symptôme #2 : Dépression cyclique + idées noires pendant les SPM
→ Profil limpide d’un TDPM (trouble dysphorique prémenstruel), souvent lié à une chute brutale ou une carence chronique en progestérone.
🔻 Parfois, cette descente est aggravée par une baisse simultanée d’estradiol — mais c’est l’absence de progestérone qui déclenche la tempête.
🟢 Progestérone = effet calmant naturel du cerveau.
Elle module les récepteurs GABA → apaise, sécurise, protège.
Sans elle : irritabilité, insomnie, colère explosive, angoisse, effondrement émotionnel…
Et chez certaines : envie de mourir — qui revient à chaque cycle, sans qu’on leur explique pourquoi.


🤰 Symptôme #3 : Fausse couche + difficulté à concevoir
→ Signe majeur d’une insuffisance lutéale, donc…
👉 encore une fois, d’un manque de progestérone pour soutenir l’implantation embryonnaire.


🩸 Symptôme #4 : Menstruations hémorragiques à la périménopause
→ Quand les ovulations deviennent irrégulières ou absentes, la progestérone chute brutalement, laissant l’œstrogène agir sans frein régulateur.
Résultat : hyperplasie endométriale, saignements prolongés, épuisement physique, anémie ferriprive.
🟢 Progestérone = le frein naturel de l’œstrogène.
Sans elle, l’équilibre hormonal s’effondre — et le corps aussi.


💔 Conclusion
Ce portrait, c’est celui de millions de femmes non diagnostiquées.
Des femmes à qui on a parlé de “stress”, de “fatigue” ou de “dépression”, alors qu’elles vivaient une carence hormonale majeure.
Ce n’est pas un hasard.
C’est un angle mort médical — et il est temps d’en sortir.


⠀⠀
🛑 CE QUI AURAIT CHANGÉ TOUTE UNE VIE
👉 Un simple bilan hormonal complet
…aurait permis de voir.
Et si nécessaire, de prescrire une progestérone bio-identique pour rééquilibrer l’axe hormonal.
Pas pour masquer. Pour RÉGULER.

Si, à 15, 25, 35 ou 45 ans, on avait mesuré tes taux hormonaux (progestérone, estradiol, testostérone, cortisol, etc.), ON AURAIT VU.
Si on t’avait prescrit de la progestérone bio-identique.
Si on t’avait expliqué comment ça fonctionne.
Si on avait pris au sérieux ton histoire hormonale.
✔️ Tu aurais compris que tu n’étais pas f***e.
✔️ Tu aurais été accompagnée.
✔️ Tu aurais été protégée.
✔️ Tu aurais été préservée.

🟢 LA SOLUTION EXISTE. Mais on te l’a cachée.
La progestérone bio-identique est une molécule identique à celle que ton corps produit naturellement.
Elle peut être prescrite, en capsules ou en crème, au bon moment du cycle — ou en continu, selon ton profil hormonal — pour rééquilibrer ton système hormonal en profondeur.

C’EST UN FONDEMENT DE SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE.
Et pour certaines femmes, c’est la première fois qu’elles respirent vraiment depuis l’adolescence.

❌ Ne laisse personne te dire que “le déficit de progestérone n’existe pas”.

➔ Il existe.
➔ Il s’observe.
➔ Il se mesure.
➔ Il détruit des vies.
➔ Et il se traite.

La carence hormonale chronique non traitée est une maltraitance silencieuse.
Et nous sommes des milliers à l’avoir vécue.


🧠 LES FEMMES NE SONT PAS FAITES POUR VIVRE SANS PROGESTÉRONE

Ce n’est pas une option.
Ce n’est pas un détail.
C’est un faisceau de faits biologiques, cliniques et historiques.
C’est un pilier biologique de la santé féminine.

L’absence de progestérone crée un chaos endocrinien qu’aucune plante, aucun yoga, aucune “pensée positive” ne peut compenser.

La solution existe. Mais il faut d’abord reconnaître le déficit. Et l’histoire longue des femmes à qui on a fait croire que tout ça… c’était dans leur tête.

🔥 Ce POST est une preuve vivante que des milliers de femmes ne s’inventaient pas leurs symptômes. Elles manquaient d’une hormone vitale. Et personne ne leur a dit.

On le dit maintenant. Et ça ne s’arrêtera plus.

✨️ À toutes celles qui vont reconnaître leur propre histoire entre ces lignes…

Ce POST est pour vous.
Pour celles qui ont souffert en silence.
Pour celles qu’on n’a jamais crues.
Pour celles qui se battent encore.

Vous n’êtes pas seules.
Vous êtes en train de vous réveiller.
Et le monde médical devra écouter.

📣 Fais circuler ce POST.
📣 Sauve une adolescente, une jeune femme, une mère, une sœur, une collègue.

Parce que si on avait su plus tôt,
tout aurait pu être différent.

✋️ Ça suffit.

✋️ On ne laisse plus les femmes dans cette souffrance.

✋️ Le déni médical a assez duré.


11/05/2025

When you chant AUM, especially with that deep nasal “mmm” vibration at the end, you’re doing more than just making a sound — you’re creating chemistry.

That vibration inside your nasal passages and sinuses releases nitric oxide, a molecule scientists call “the miracle gas.”
Research shows that humming through your nose can raise nitric oxide levels up to 15x higher than quiet breathing.

Why does this matter?
Nitric oxide is one of the most powerful healing molecules your body can produce. It:
✨ Expands your blood vessels — increasing circulation and oxygen delivery to every cell.
🦠 Kills pathogens and strengthens your immune system.
🧬 Triggers cellular repair and supports regeneration.
🧘‍♀️ Calms your nervous system, helping your body shift from stress to deep peace.

In ancient traditions, AUM was known as the sound of creation.
Now, science shows it’s also the sound of cellular rejuvenation.

When you hum AUM through your nose, you’re not just chanting —
you’re awakening your body’s natural pharmacy, balancing your chemistry,
and creating the conditions for self-healing.

This is the essence of breath mastery —
using rhythm, sound, and intention to generate energy from within.

So next time you chant AUM, feel the vibration rise behind your nose,
breathe gently, hum deeply,
and remember: your body is listening. 🌬️✨

➡️ Follow for more science-backed wisdom on how your breath can heal, energize, and transform your life.

11/05/2025

In a remarkable discovery, scientists have found that the brain can influence the gut microbiome in as little as two hours. Using mice models, researchers observed that brain signals rapidly altered the composition of gut bacteria revealing that communication between the brain and gut is not only mutual but astonishingly fast.

For years, we’ve known that gut microbes affect mood, immunity, and even cognition. But this study flips the script, showing that the brain can send signals that actively reshape the gut ecosystem. The finding highlights a dynamic, two-way relationship where stress, emotions, or brain activity can directly alter gut health.

This breakthrough opens exciting possibilities for future therapies. By understanding the pathways through which the brain communicates with gut microbes, scientists may develop treatments for digestive disorders, immune dysfunction, and even mental health conditions by targeting the mind itself.

Credit: Source — Nature Communications (2025), study on neural control of gut microbiome dynamics.

11/03/2025

Le bouillon d’os : un allié pour la réparation de la muqueuse intestinale
Vers une approche nutritionnelle de l’« intestin qui fuit »
Dr Mohamed boutbaoucht

Introduction

Le concept d’« intestin perméable » (ou « leaky gut ») se réfère à une altération de la barrière intestinale : des jonctions serrées (tight junctions) affaiblies, une muqueuse compromise, et donc une perméabilité accrue aux particules non digérées, microbes ou toxines. Cette condition est souvent évoquée dans les approches fonctionnelles et nutritionnelles de santé digestive et systémique.
Dans ce contexte, le bouillon d’os (bone broth) revient à la mode comme aliment « réparateur ». L’article cité montre que ce n’est pas seulement un folklore de santé : « bone broth is a traditional nutrient … This review investigates the nutritional components of bone broth … and their impact on intestinal barrier integrity, intestinal permeability, inflammation ».

1. Composants clés du bouillon d’os et leurs rôles

1.1 Gélatine / collagène :

• Lors de la cuisson prolongée d’os et de tissus conjonctifs, le collagène est décomposé en gélatine. Cette gélatine, une protéine hydrophile, a la propriété d’attirer et de retenir l’eau dans le tube digestif, ce qui favorise la digestion et l’acheminement des nutriments.
• Le collagène (type I, III, parfois II selon l’origine) est la base des tissus conjonctifs : il permet de fournir le « support structurel » pour la muqueuse intestinale et la couche de tissu conjonctif sous-jacente.
• On peut donc écrire que la gélatine aide à la digestion et à l’absorption des nutriments, tandis que le collagène fournit les acides aminés nécessaires à la réparation de la muqueuse.

1.2 Acides aminés spécifiques :

L’article de Matar et al. mentionne que le bouillon d’os contient plusieurs acides aminés « beneficial and not just a traditional remedy », parmi lesquels la glutamine, la glycine, la proline, l’histidine et l’arginine. 

Voici leurs rôles :
• Glutamine : nutriment clé des entérocytes (cellules de la muqueuse intestinale). Elle contribue à leur réparation et régénération, aide à réduire l’inflammation intestinale et participe à l’intégrité de la paroi intestinale.
• Glycine : un acide aminé abondant dans le collagène-gélatine ; joue un rôle dans la synthèse du collagène, dans la régulation de l’inflammation et dans le bon fonctionnement digestif.
• Proline : également présente dans le collagène, essentielle à la réparation des tissus conjonctifs, y compris la muqueuse intestinale.
• Arginine et Histidine : ont également des propriétés anti­inflammatoires ou de modulation immunitaire qui peuvent être bénéfiques pour l’intestin.
• On peut ajouter que la combinaison de ces acides aminés contribue à renforcer la muqueuse, à soutenir la couche de tissu conjonctif sous-jacente et à améliorer la fonction barrière.

1.3 Minéraux & autres composés :

L’article cite aussi que le bouillon d’os contient des minéraux (Ca, P, K, Mg, Zn) qui peuvent apporter un soutien global à la muqueuse intestinale et au métabolisme intestinal. 
Bien que les données directes soient moindres, on peut concevoir qu’un bon apport minéral favorise globalement la santé des cellules intestinales et leur capacité à se réparer.

2. Mécanismes d’action présumés :

2.1 Réparation de la muqueuse intestinale :
• Les entérocytes ayant subi des dommages ou étant soumis à un stress (inflammation, dysbiose, toxines) peuvent bénéficier d’un apport accru en acides aminés spécifiques pour reconstruire la paroi.
• Le collagène et la gélatine du bouillon peuvent fournir un « matériau brut » pour cette réparation.
• Exemple : la glutamine est reconnue comme un carburant pour les entérocytes et peut soutenir la régénération de la muqueuse.
• Ainsi, on peut considérer que le bouillon d’os contribue à « réparer les dégâts » en fournissant les substrats nécessaires.

2.2 Réduction de l’inflammation :

• L’inflammation intestinale perturbe l’intégrité de la barrière. Des acides aminés comme la glycine et l’arginine ont des effets anti­inflammatoires qui peuvent atténuer la réponse inflammatoire au niveau de la muqueuse.
• L’article mentionne que le bouillon d’os « alleviate inflammation in the intestinal barrier, improve intestinal barrier function in health and disease states ». 
• Par conséquent, réduire l’inflammation permet de diminuer les lésions et de favoriser la réparation de la barrière.

2.3 « Scellement » de l’intestin (amélioration de la barrière) :
• En renforçant la muqueuse et en améliorant la cohésion des jonctions serrées, le bouillon d’os peut théoriquement contribuer à limiter la perméabilité intestinale accrue (leaky gut).
• L’apport de gélatine/glycine contribue à maintenir la viscosité et l’intégrité de la couche mucineuse (protectrice) et à favoriser un environnement favorable à la barrière.
• On constate dans les sources fonctionnelles que des aliments riches en collagène/amino­acides sont souvent « recommandés » dans les stratégies de restauration de la barrière intestinale. 

3. Limites et précautions :

• Bien que l’article de Matar et al. montre des effets prometteurs, il s’agit principalement d’une r***e et non encore d’un grand nombre d’essais randomisés contrôlés chez l’humain. 
• Une étude antérieure signale que le bouillon d’os peut ne pas toujours fournir des concentrations fiables d’acides aminés clés comparées à des sources de collagène standardisées.  Cela suggère que la qualité de la préparation importe fortement (temps de cuisson, type d’os, proportion de tissus conjonctifs, etc.).
• Le bouillon d’os ne doit pas être vu comme une solution unique ou « miracle ». Il doit s’inscrire dans une approche globale (nutrition, microbiote, gestion de l’inflammation, style de vie) pour la santé intestinale.
• Les effets peuvent varier selon l’individu (état de la muqueuse, présence d’inflammation chronique, dysbiose, pathologie digestive).
• Il faut aussi veiller à la qualité de la source (éviter os de mauvaise qualité, cuisson trop courte, excès de sodium ou d’additifs dans certains produits commerciaux).

4. Intégration pratique dans une stratégie de santé intestinale :

4.1 Recette et mode d’emploi :

• Préparer un bouillon d’os : utiliser des os (poulet, bœuf, agneau ou poissons), idéalement issus d’animaux nourris naturellement ou label « bio/grass-fed ». Ajouter un peu de vinaigre ou d’acide (ex : jus de citron) pour favoriser l’extraction des minéraux.
• Faire mijoter plusieurs heures (ex. 12 à 24 h) pour obtenir une bonne extraction du collagène et de la gélatine.
• Laisser refroidir. Le bouillon doit prendre une consistance « gélifiée » au froid si la gélatine est de bonne qualité. Cela indique une teneur correcte en gélatine.
• Utilisation : boire un mug (250-300 ml) par jour ou l’utiliser comme base de soupe, de ragoût ou de sauce. On peut alterner type d’os (poulet, bœuf, poisson) pour variation des nutriments.

4.2 Association à d’autres stratégies :

• Veiller à une alimentation riche en fibres prébiotiques, à un apport suffisant en protéines de qualité, et à limiter les aliments pro-inflammatoires (sucre raffiné, ultra-transformés).
• Intégrer des probiotiques/prébiotiques pour soutenir le microbiote, car la barrière intestinale dépend aussi de la santé microbiote.
• Gérer le stress, favoriser un bon sommeil et un niveau d’activité physique modéré : tous ces facteurs influencent la barrière intestinale.
• Surveiller une éventuelle pathologie digestive (ex : MICI, SIBO, intolérances) qui pourrait nécessiter un accompagnement spécifique.

4.3 Indications et populations cibles :

• Personnes présentant des symptômes de digestion perturbée (bloating, ballonnements, sensibilité alimentaire) ou un « intestin perméable suspecté ».
• Patients en convalescence ou en phase de réparation intestinale (post-infection, post-antibiotique, après prise chronique de AINS).
• Dans une approche fonctionnelle digestive et métabolique plus large (liens microbiote-barrière intestinale-inflammation systémique).

Conclusion

Le bouillon d’os apparaît comme un aliment fonctionnel intéressant pour soutenir la réparation et le renforcement de la muqueuse intestinale, en apportant du collagène, de la gélatine, et des acides aminés clés (glutamine, glycine, proline, arginine, histidine) ainsi que divers minéraux. L’article de Matar et al. (PMID 40180691) ouvre une voie crédible pour cette approche : « bone broth includes amino acids … beneficial … improve intestinal barrier function in health and disease states ». 
Pour autant, cette stratégie doit être intégrée dans une approche globale, et non présentée comme une panacée. La qualité de la préparation et le contexte individuel restent essentiels.

10/30/2025

La reverse T3 : le frein intelligent de la thyroïde face au stress
Comprendre l’hypothyroïdie adaptative comme un mécanisme de protection cellulaire

Dr Mohamed Boutbaoucht

Dans les modèles classiques, l’élévation de la rT3 est interprétée comme un signe de « mauvaise conversion » de T4 en T3 active.
Mais du point de vue fonctionnel, il s’agit souvent d’une réponse physiologique adaptative au stress, conçue pour ralentir le métabolisme et préserver l’énergie cellulaire.
Autrement dit : la glande thyroïde ne « dysfonctionne » pas — elle met le corps en mode économie.

A-Mécanisme biochimique :

La thyroxine (T4) peut être convertie :
• soit en T3 (active) via la désiodinase de type 1 et 2 (DIO1, DIO2),
• soit en rT3 (inactive) via la désiodinase de type 3 (DIO3).

Sous l’effet du stress, de l’inflammation ou d’un déficit énergétique mitochondrial, la DIO3 devient prépondérante.
Cette voie dévie la conversion de la T4, produisant plus de rT3, qui bloque les récepteurs T3 sans activer la transcription génétique.
Le résultat : le métabolisme ralentit, la consommation d’oxygène diminue, la thermogenèse baisse — un état de « repos cellulaire forcé ».

B-Les déclencheurs principaux :

1. Stress aigu ou chronique
Le cortisol élevé inhibe la DIO2 et stimule la DIO3. Le corps priorise la survie, non la performance.
➜ Ce mécanisme correspond à la logique du freeze response : se mettre en veille métabolique en attendant que le danger passe.
2. Inflammation chronique et cytokines
Les IL-6, TNF-α et IL-1β modulent les désiodinases, orientant la T4 vers la rT3.
➜ L’organisme tente de limiter l’oxydation cellulaire liée à la suractivation métabolique.
3. Carences nutritionnelles
Le déficit en zinc, sélénium, fer, vitamine A ou D, cofacteurs enzymatiques des désiodinases, favorise également la production de rT3.
4. Hypoxie mitochondriale
Quand la mitochondrie produit moins d’ATP, la rT3 agit comme un frein protecteur pour empêcher la cellule de s’épuiser.

C- Une stratégie d’économie énergétique:

La production accrue de rT3 n’est donc pas une « erreur », mais un signe d’intelligence adaptative :
le corps choisit de réduire sa dépense métabolique pour préserver les tissus vitaux (cerveau, cœur) lorsque le stress oxydatif, nutritionnel ou psychologique dépasse la capacité de régénération.

C’est pourquoi beaucoup de patients diagnostiqués comme « hypothyroïdiens périphériques » n’ont pas réellement un déficit thyroïdien primaire, mais un syndrome d’hypothyroïdie fonctionnelle induit par le stress et la fatigue mitochondriale.

D-Rétablissement de la conversion T4 → T3 :

La solution n’est pas de surcharger en T4 (ce qui peut aggraver la rT3), mais de :
• Réduire le stress physiologique : sommeil, cohérence cardiaque, ralentissement du rythme de vie.
• Soutenir les mitochondries : coenzyme Q10, acide alpha-lipoïque, NADH, magnésium, carnitine.
• Corriger les carences en cofacteurs : sélénium (conversion T4-T3), zinc, fer, iode, tyrosine.
• Réduire l’inflammation : alimentation anti-inflammatoire, oméga-3, curcumine, polyphénols.
• Rééquilibrer l’axe HPA (cortisol) : adaptogènes (ashwagandha, rhodiola, ginseng sibérien).

Lorsque ces paramètres se normalisent, la conversion se réoriente naturellement vers la T3 active, et la rT3 diminue.

Conclusion

La rT3 n’est pas l’ennemie, mais un messager de ralentissement.
Elle traduit la sagesse biologique d’un organisme en quête d’équilibre face à une menace énergétique ou émotionnelle.
L’objectif thérapeutique n’est donc pas de la supprimer, mais de comprendre pourquoi le corps a choisi cette voie, et de restaurer la sécurité métabolique nécessaire à la relance thyroïdienne.

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3603 Boulevard Rosemont
Montreal, QC

Telephone

+15148311175

Website

http://www.equanite.com/

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