Laboratoire d’Uro-Oncologie Expérimentale

Laboratoire d’Uro-Oncologie Expérimentale Experimental Laboratory of Uro-Oncology

Félicitations à Dr Vincent Fradet et à toute son équipe pour cette belle reconnaissance amplement méritée!
11/14/2025

Félicitations à Dr Vincent Fradet et à toute son équipe pour cette belle reconnaissance amplement méritée!

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Félicitations à Dr Vincent Fradet et à toute son équipe pour cette belle reconnaissance!
11/14/2025

Félicitations à Dr Vincent Fradet et à toute son équipe pour cette belle reconnaissance!

Prix de recherche | Fédération des médecins spécialistes du Québec 🩺

Félicitations au Dr Vincent Fradet, récipiendaire du Prix de recherche 2025 de la Fédération des médecins spécialistes du Québec (FMSQ) ! 🏆

Remis dans le cadre des Journées de formation interdisciplinaire, ce prestigieux prix souligne la contribution exceptionnelle d'un médecin spécialiste ayant favorisé le rayonnement de la recherche médicale au Québec.

Le Dr Fradet et son équipe ont publié une importante étude dans Nature Communications en avril 2024 sur le rôle du microbiote intestinal dans le cancer de la prostate. 👨🏻‍⚕️

L’étude a révélé que, chez les patients atteints d’un cancer de la prostate, les tumeurs les plus agressives étaient associées à une diversité bactérienne réduite.

Nous vous invitons à visionner cette capsule qui présente ses travaux :
🎥 https://youtu.be/jJWkumB-UgA?si=NG39pwH6CHa24yK2

Axe Oncologie | Laboratoire d’Uro-Oncologie Expérimentale

Du 2 au 4 novembre dernier avait lieu à Calgary, la Conférence Canadienne sur la Recherche sur le Cancer (CCRC) présenté...
11/11/2025

Du 2 au 4 novembre dernier avait lieu à Calgary, la Conférence Canadienne sur la Recherche sur le Cancer (CCRC) présenté par l'Alliance Canadienne pour la Recherche sur le Cancer (ACRC). Le LUOE était encore une fois bien représenté à cet important congrès qui a lieu à tous les deux ans. Geneviève Trépanier, Lucie Leclair, Jalal Laaraj, Marine Boireau et Clément Larose y ont notamment présenté leur résultats. Bravo à tous les présentateurs!

Voici un nouvel article publié récemment dans la r***e Journal of Urology. Ces travaux sont issus du registre CBCIs. Fél...
11/10/2025

Voici un nouvel article publié récemment dans la r***e Journal of Urology. Ces travaux sont issus du registre CBCIs. Félicitations à tous les auteurs dont notamment le Dr Michele Lodde ainsi qu'à tous ceux qui ont travaillé sur le registre CBCIs.

Contexte : Les patients atteints d’un cancer de la vessie non infiltrant le muscle (CVNIM) à haut risque nécessitent une surveillance fréquente et un traitement intravésical adjuvant, qui peuvent être moins accessibles en région rurale. En utilisant l’indice d’éloignement de Statistique Canada (IE), nous avons cherché à examiner l’effet de la ruralité/l’éloignement sur la présentation, la prise en charge et la surveillance du CVNIM à haut risque, ainsi que sur les résultats spécifiques au cancer tels que la survie et le taux de progression.

Méthodes : La base de données du Système canadien d’information sur le cancer de la vessie (CBCIS) a été utilisée pour identifier tous les patients diagnostiqués avec un CVNIM à haut risque (défini comme Ta de haut grade, toute maladie T1, ou CIS) lors de la résection transurétrale initiale de la tumeur vésicale (RTUV). En utilisant la méthode de classification manuelle, les régions rurales ont été définies comme ayant un IE ≥ 0,15. Les critères d’exclusion comprenaient les patients avec une histologie non urothéliale, un stade T inconnu ou une preuve de métastases ganglionnaires ou à distance au moment du diagnostic.

Résultats : Parmi les 2838 patients atteints de CVNIM à haut risque, 71 % vivaient en milieu urbain et 30 % en milieu rural. Les patients ruraux étaient plus susceptibles que les patients urbains de présenter des tumeurs T1 de haut grade (42 % contre 37 %, p = 0,059). Une RTUV répétée a été réalisée dans les 90 jours pour les maladies T1 de haut grade chez 29 % des patients urbains et 23 % des patients ruraux (p = 0,04). Les patients ruraux étaient moins susceptibles que les patients urbains de recevoir une induction au BCG (52 % contre 69 %, p < 0,0001). La survie sans progression vers un CV infiltrant le muscle à 5 ans était significativement plus faible chez les patients ruraux (80 % contre 85 %, p = 0,048).

Conclusions : Les patients ruraux atteints de CVNIM à haut risque étaient significativement moins susceptibles d’atteindre les indicateurs de qualité liés à une surveillance et une prise en charge conformes aux lignes directrices, bien que les taux globaux soient faibles, ce qui indique un domaine potentiel pour des efforts d’amélioration de la qualité.

Rural patients with high-risk NMIBC were significantly less likely to meet quality indicator benchmarks for guideline concordant surveillance and management, although overall rates are low indicating a potential area of quality improvement efforts.

Une autre bonne nouvelle! Félicitations à une autre collaboratrice du LUOE, la Dre Sandra Isabel, qui a remporté le Prix...
11/05/2025

Une autre bonne nouvelle! Félicitations à une autre collaboratrice du LUOE, la Dre Sandra Isabel, qui a remporté le Prix d’excellence de la relève de Génome Québec!

Félicitations à la Dre Sandra Isabel, qui a remporté le Prix d’excellence de la relève de Génome Québec ! 👏

Ces prix sont attribués à des chercheuses et chercheurs en début de carrière, qui se démarquent par leur rigueur scientifique, leur créativité et la pertinence de leurs travaux pour l’écosystème de recherche québécois.

Clinicienne-chercheuse au sein de l’axe Axe Maladies Infectieuses et Immunitaires, la Dre Sandra Isabel est microbiologiste médicale et infectiologue pédiatrique. 👩🏻‍⚕️

Ses recherches portent sur l’amélioration du diagnostic des maladies infectieuses grâce à de nouvelles technologies, particulièrement chez les enfants, et l’amélioration de la surveillance des maladies infectieuses et des infections, ainsi que la prévention de la transmission des infections, tant chez les adultes que chez les enfants. 🩺 👧

Elle développe, en collaboration avec son équipe de recherche et nombreux partenaires, de nouvelles technologies de séquençage rapide pour analyser la structure, la fonction et l’évolution des microbes et des agents pathogènes en temps réel. 🦠

Félicitations !

📸 Sur la photo : Dre Sandra Isabel en compagnie du professeur Jacques Simard.

Félicitations à nos collaborateurs, les Drs Étienne Audet-Walsh et François Bordeleau, pour le renouvellement de leur Ch...
11/05/2025

Félicitations à nos collaborateurs, les Drs Étienne Audet-Walsh et François Bordeleau, pour le renouvellement de leur Chaire de recherche! Excellentes nouvelles!!

Voici un tout nouvel article publié dans la prestigieuse r***e Nature Medicine.Analyse intermédiaire et objectif : Lors ...
10/24/2025

Voici un tout nouvel article publié dans la prestigieuse r***e Nature Medicine.

Analyse intermédiaire et objectif : Lors de la première analyse intermédiaire de l’essai de phase 3 KEYNOTE-426, le traitement de première ligne par pembrolizumab associé à l’axitinib a démontré une supériorité en termes de survie globale (SG), de survie sans progression (SSP) et de taux de réponse objective (TRO) par rapport au sunitinib chez les patients atteints de carcinome rénal avancé (RCC). Afin d’évaluer la durabilité à long terme des résultats cliniques et d’identifier des biomarqueurs prédictifs pour le RCC, nous avons réalisé des analyses d’efficacité et des analyses exploratoires préspécifiées de biomarqueurs à partir de KEYNOTE-426 avec un suivi ≥5 ans.

Résultats : Le pembrolizumab associé à l’axitinib a montré des bénéfices durables en SG (rapport de risque : 0,84 ; intervalle de confiance [IC] à 95 % : 0,71–0,99), en SSP (HR : 0,69 ; IC 95 % : 0,59–0,81) et en TRO (60,6 % contre 39,6 %) comparativement au sunitinib. Un profil d’expression génique inflammatoire des lymphocytes T (TcellinfGEP), composé de 18 gènes, était positivement associé à la SG (p = 0,002), à la SSP (p < 0,0001) et au TRO (p < 0,0001) dans le bras pembrolizumab + axitinib. Une signature d’angiogenèse était positivement associée à la SG (p = 0,004) dans le bras pembrolizumab + axitinib, et à la SG (p < 0,0001), à la SSP (p < 0,001) et au TRO (p = 0,002) dans le bras sunitinib. Tous bras confondus, le score combiné positif du ligand de mort cellulaire programmée 1 (PD-L1 CPS) était uniquement associé (négativement) à la SG dans le bras sunitinib (p = 0,025). De plus, la mutation du gène PBRM1 (polybromo-1) était positivement associée au TRO (p = 0,002) dans le bras pembrolizumab + axitinib. Dans le bras sunitinib, la SG était positivement associée aux mutations des gènes VHL (gène suppresseur de tumeur von Hippel-Lindau) (p = 0,040) et PBRM1 (p = 0,010), et négativement associée à la mutation du gène BAP1 (protéine 1 associée à BRCA1) (p = 0,019).

Conclusions : Les résultats démontrent un bénéfice clinique durable du pembrolizumab associé à l’axitinib par rapport au sunitinib, et fournissent des informations précieuses sur les biomarqueurs pouvant guider les traitements combinés à base d’immunothérapie dans le RCC avancé. Des études cliniques prospectives sont nécessaires pour valider les traitements dirigés par biomarqueurs dans cette indication.

Félicitations à tous les auteurs dont notamment au Dr Frédéric Pouliot!

At the first interim analysis of the phase 3 KEYNOTE-426 trial, first-line pembrolizumab plus axitinib showed superior overall survival (OS), progression-free survival (PFS) and objective response rate (ORR) over sunitinib for advanced renal cell carcinoma (RCC). To assess long-term durability of cl...

Voici un nouvel article publié dans la r***e Oncologist.Contexte : Le carcinome rénal papillaire (pRCC) est le type de c...
10/24/2025

Voici un nouvel article publié dans la r***e Oncologist.

Contexte : Le carcinome rénal papillaire (pRCC) est le type de cancer du rein non à cellules claires (nccRCC) le plus fréquent, représentant jusqu’à 15 % des cas de cancer du rein. Des essais de phase 2 ont évalué les traitements de première ligne (1L) à base d’immunothérapie (IO) dans les nccRCC, mais les cohortes étaient hétérogènes et les données comparatives limitées. La valeur spécifique de l’IO pour le pRCC métastatique (mpRCC) reste à quantifier.

Méthodes : Nous avons analysé des données prospectives issues du Système canadien d’information sur le cancer du rein afin d’évaluer l’efficacité des traitements systémiques de 1L dans le mpRCC, en comparant les schémas à base d’IO aux inhibiteurs de tyrosine kinase (TKI). Le critère principal était le délai avant échec du traitement (TTF). Les critères secondaires incluaient la survie globale (SG), le taux de réponse objective (TRO) et les effets indésirables liés au traitement (TRAEs). Les analyses ont été ajustées selon les groupes de risque IMDC.

Résultats : Entre 2011 et 2024, 197 patients atteints de mpRCC ont reçu un traitement de 1L : 70 avec IO (seul ou en combinaison) et 127 avec TKI. Le suivi médian était de 21,6 mois. Le TTF médian était de 9,9 mois avec l’IO contre 5,9 mois avec le TKI (HR ajusté : 0,62 [0,43–0,91], p = 0,01). La SG médiane était de 36,9 mois avec l’IO contre 23,2 mois avec le TKI (HR ajusté : 0,54 [0,3–0,9], p = 0,018). Le TRO était de 37 % avec l’IO contre 23 % avec le TKI (OR ajusté : 2,2 [0,95–5,2], p = 0,07). Le sous-groupe TKI-IO présentait le TTF le plus long (16,9 mois, HR ajusté : 0,47 [0,26–0,85], p = 0,01) et une SG non atteinte (HR ajusté : 0,26 [0,08–0,83], p = 0,02), comparativement au TKI seul. Des TRAEs de grade 3 à 5 sont survenus chez 31 % des patients sous IO et 27 % sous TKI.

Conclusions : Cette étude en conditions réelles met en évidence le bénéfice des traitements à base d’IO dans le mpRCC, en particulier dans le sous-groupe TKI-IO. Ces résultats pourraient orienter de futurs essais cliniques évaluant l’IO en première ligne dans le mpRCC.

Félicitations à tous les auteurs dont notamment au Dr Frédéric Pouliot!

This real-world study highlights the benefit of IO-based treatment in mpRCC, particularly in the TKI-IO subgroup. Our findings may inform further trials evaluating 1L IO in mpRCC.

Voici un nouvel article publié dans la r***e de l'Association des Urologues du Canada. Cette étude est issue de la l'ana...
10/24/2025

Voici un nouvel article publié dans la r***e de l'Association des Urologues du Canada. Cette étude est issue de la l'analyse des données du registre CBCIs.

Introduction : Chez les patients subissant une cystectomie radicale, les dérivations urinaires par conduit iléal (CI) sont réalisées plus fréquemment que les reconstructions de néo-vessie orthotopique (NVO). Les patients sélectionnés pour un CI présentent souvent davantage de comorbidités, une maladie plus avancée et un âge plus élevé, ce qui en fait de moins bons candidats pour une NVO ; la NVO est généralement choisie par des patients plus jeunes et en meilleure santé. Les différences de complications entre les patients CI et NVO peuvent être attribuées aux caractéristiques des patients ou aux types de dérivation urinaire. Afin d’orienter le conseil aux patients et leur prise en charge, nous avons évalué les complications et la mortalité à 90 jours chez les patients ayant subi l’une ou l’autre procédure dans une large cohorte canadienne contemporaine.

Méthodes : Les données des patients ont été obtenues à partir du Système canadien d’information sur le cancer de la vessie (CBCIS), regroupant 14 centres universitaires canadiens. Les patients ayant subi une cystectomie radicale entre février 2015 et septembre 2023 ont été inclus. Les complications à 90 jours ont été analysées selon l’échelle de gravité de Clavien-Dindo. Les paramètres périopératoires et la mortalité à 90 jours ont été comparés entre les groupes CI et NVO. Des tests statistiques exploratoires de type rang-somme et Chi carré exact ont été utilisés. Une régression logistique non conditionnelle a permis d’évaluer l’association entre les complications liées au CI et à la NVO.

Résultats : Sur 2161 patients, 1799 (83 %) ont reçu un CI et 362 (16 %) une NVO. Le suivi médian était de 235 jours (intervalle interquartile [IQR] 486). L’âge médian était de 69 ans (IQR 14). L’indice de comorbidité de Charlson ajusté pour l’âge (aCCI) était significativement plus élevé dans le groupe CI (médiane [IQR] 5 [2] vs. 4 [2], p

In this multi-institutional cohort, patients with ONB had higher odds of perioperative complications; however, there was no difference in higher-severity complications between diversions.

Voici un nouvel article publié dans la r***e European Urology.Contexte et objectif : Les outils actuels pour le cancer d...
10/24/2025

Voici un nouvel article publié dans la r***e European Urology.

Contexte et objectif : Les outils actuels pour le cancer de la vessie non infiltrant le muscle (CVNIM) présentent des performances limitées pour prédire le risque de progression vers une forme potentiellement létale infiltrant le muscle. Nous avons cherché à améliorer l’évaluation du risque en utilisant des approches d’intelligence artificielle (PROGression Risk assessment in NMIBC [PROGRxN-BCa]).

Méthodes : PROGRxN-BCa a été entraîné à partir de 14 caractéristiques clinicopathologiques chez 3324 patients atteints de CVNIM traités entre 2005 et 2022 dans quatre établissements canadiens. Une validation externe a été réalisée sur 9335 patients traités entre 2005 et 2023 dans 30 établissements nord-américains et européens. Le critère principal d’évaluation était le délai avant progression (vers une maladie infiltrante ou métastatique). PROGRxN-BCa a été comparé au calculateur de risque de l’Association européenne d’urologie (EAU). Les performances ont été évaluées à l’aide de l’indice de concordance (c-index), de courbes de calibration, d’analyses d’instabilité, de courbes de décision et d’un audit algorithmique.

Principaux résultats et limites : Au cours d’un suivi médian de 3,3 ans (intervalle interquartile 1,6–5,8), 1405 des 12 659 patients ont présenté une progression. Dans la cohorte de validation externe, PROGRxN-BCa a montré un c-index significativement plus élevé (0,79, intervalle de confiance [IC] à 95 % : 0,77–0,80) et un bénéfice net supérieur, globalement et dans les différents sous-groupes, comparativement au calculateur de risque de l’EAU (0,71, IC 95 % : 0,70–0,73, p < 0,001). Cette amélioration était constante, quel que soit le traitement par bacille de Calmette-Guérin, le respect des recommandations cliniques, ou le système de classification de l’OMS (1973 ou 2004/2022), et elle se maintenait chez les patients avec un suivi d’au moins 5 ans. L’outil surpassait également les autres modèles recommandés par les lignes directrices ainsi qu’un modèle d’intelligence artificielle publié antérieurement. Comparé aux recommandations actuelles, PROGRxN-BCa permettait une meilleure sous-stratification des patients à risque intermédiaire en trois tertiles distincts, avec des risques de progression à 5 ans estimés à 2 %, 7 % et 15 % — ce dernier étant comparable à celui des CVNIM à haut risque.

Conclusions et implications cliniques : PROGRxN-BCa a surpassé les outils existants dans la plus grande cohorte de CVNIM jamais étudiée. Son intégration dans les lignes directrices pourrait améliorer la stratification du risque et la prise en charge des patients.

Félicitations à tous les auteurs dont notamment au Dr Michele Lodde.

PROGRxN-BCa outperformed current tools in the largest NMIBC cohort of its kind. Its integration into guidelines could improve risk stratification and patient management.

Voici un nouvel article publié dans la r***e de l'Association des Urologues du Canada.Introduction : La cystectomie radi...
10/24/2025

Voici un nouvel article publié dans la r***e de l'Association des Urologues du Canada.

Introduction : La cystectomie radicale (CR) est le traitement de référence du cancer de la vessie infiltrant le muscle (CVIM), mais elle est associée à une perte sanguine périopératoire importante et à des taux élevés de transfusion. L’acide tranexamique (ATX), un agent antifibrinolytique, a démontré son efficacité dans la réduction des pertes sanguines chirurgicales dans plusieurs spécialités. Toutefois, en raison du faible nombre d’essais contrôlés randomisés dans le contexte de la CR, son rôle demeure incertain. Nous avons réalisé une r***e systématique et des méta-analyses afin de synthétiser les données actuelles et d’évaluer de manière critique l’utilisation de l’ATX pendant la CR.

Méthodes : Les études évaluant l’ATX pendant la CR ont été identifiées par une recherche exhaustive dans plusieurs bases de données jusqu’en novembre 2024. Les critères principaux incluaient les taux de transfusion sanguine peropératoire et périopératoire ainsi que la perte sanguine estimée. Le critère secondaire évalué était la survenue d’événements thromboemboliques.

Résultats : Cinq études regroupant 1736 patients ont été incluses. L’ATX n’a pas significativement réduit la perte sanguine estimée (différence moyenne : -85,56 mL ; intervalle de confiance [IC] à 95 % : -191,13 à 20,02, p>0,05) ni les taux de transfusion peropératoire (rapport des cotes [RC] 0,73, IC 95 % : 0,40–1,33, p>0,05). Toutefois, l’ATX était associé à une probabilité plus faible de transfusions périopératoires (RC 0,56, IC 95 % : 0,32–0,97, p

This systematic review and meta-analysis revealed that, in patients undergoing RC, the use of TXA does not significantly reduce estimated blood loss or intraoperative transfusion rates. Moreover, TXA appears to be associated with an increased incidence of thromboembolic events, suggesting a potentia...

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Quebec, QC

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