Accompagnement mieux-être Isabelle Théroux

11/21/2025

Le véritable pouvoir… ce n’est pas la domination, ni l’influence sur les autres. Ce n’est pas faire plier les volontés des autres, ni faire peur par la force occulte, ni manipuler par les mots. Non, tout cela se sont des illusions, fragile, éphémère. Le véritable pouvoir commence à l’intérieur de soi. Il commence là où très peu regardent : DANS LA MAÎTRISE DE SES PROPRES PENSÉES, DE SES ÉMOTIONS, DE SES RÉACTIONS.

Car celui qui ne se connaît pas est souvent esclave de lui-même. Esclave de la colère, de l’orgueil, de la jalousie, de la peur… Et ces poisons le poussent à vouloir contrôler les autres, comme s’il cherchait à fuir ce qu’il ne comprend pas en lui.
Alors, pourquoi chercher à contrôler les autres ? Leur comportement ? Leurs opinions ? Leur regard sur toi ? TOUT CELA TE FATIGUE ET TE VIDE. Mais si tu apprends à te connaître, à transformer ton esprit tu verras que le monde autour de toi commencera lui aussi à changer.

Le Bouddha disait : "Mieux vaut se vaincre soi-même que de vaincre mille ennemis sur mille champs de bataille." Car celui qui se contrôle est libre. Libre de ne pas réagir à chaque mot. Libre de choisir la paix plutôt que le conflit. Libre d’être maître de lui-même, et non esclave des circonstances.

Voilà le véritable pouvoir. Celui qui ne s’impose pas, mais qui inspire. Celui qui ne détruit pas, mais qui transforme. Celui qui ne crie pas, mais qui apaise.

Pratique chaque jour ce retour à toi-même. Observe, ressens, respire. Et pas à pas, tu deviendras une forteresse tranquille, une montagne silencieuse, une lumière stable. Et les autres, sans que tu ne les contrôles, seront touchés par ta force invisible. C’est cela, le vrai pouvoir.

🪷 ’éveil 🪷

11/21/2025

On ne peut contrôler que ce qui est sous notre contrôle...

11/21/2025

Les conséquences de la négligence parentale.

La négligence parentale n’est pas seulement un manque de soins visibles. C’est un traumatisme silencieux qui affecte profondément la construction psychologique et émotionnelle de l’enfant, puis de l’adulte qu’il devient.

Lorsqu’un enfant grandit sans attention, sans présence stable, sans écoute ou sans affection, son cerveau enregistre un message simple :
« Mes besoins n’ont pas de valeur ».

Ce message devient une croyance profonde qui influence toute la vie.

Conséquences principales :

– Difficulté à reconnaître et exprimer ses émotions.
Un enfant négligé apprend très tôt à se débrouiller seul. Il n’ose pas demander, il n’exprime pas ses peurs, il minimise sa douleur. Adulte, il aura tendance à cacher ce qu’il ressent, à ne pas demander d’aide et à accumuler les tensions.

– Faible estime de soi.
Quand l’amour n’a pas été reçu, le cerveau conclut : « Si on ne m’a pas aimé, c’est probablement que je ne mérite pas l’amour. »
Cette croyance crée une fragilité intérieure qui pousse à se sous-évaluer, à accepter l’inacceptable ou à se sentir toujours inférieur.

– Peur de l’abandon.
L’enfant qui a été laissé seul vit avec l’idée que tout lien peut disparaître du jour au lendemain.
Résultat : relations vécues dans la méfiance, hypervigilance, possessivité ou contrôle.

– Difficulté à se sentir à sa place.
La négligence prive l’enfant d’un socle identitaire. Sans regard parental, il manque de miroir.
Adulte, il peut réussir professionnellement tout en se sentant illégitime, jamais assez bien, jamais totalement rassuré.

– Incapacité à demander.
Demander est un acte naturel quand on a été entendu dans l’enfance.
Quand on ne l’a pas été, demander devient humiliant, inutile ou dangereux. Beaucoup préfèrent souffrir en silence.

– Tendance à normaliser la maltraitance.
Quand le manque d’attention a été le quotidien, l’adulte peut croire que l’amour sans soin ni présence est normal. Il accepte des relations qui reproduisent son enfance.

La négligence parentale ne fait pas forcément de bruit.
Elle ne crie pas, ne frappe pas, ne casse pas de choses.
Mais elle casse l’intérieur.

Bonne nouvelle : rien de tout cela n’est définitif.
Avec la prise de conscience, le travail sur l’attachement, la thérapie émotionnelle et une reconstruction intérieure, l’adulte blessé peut apprendre :

à demander,
à recevoir,
à se sentir digne,
à s’aimer,
et à se permettre une vie relationnelle sûre et apaisée.

Ce n’est jamais trop t**d pour guérir de ce que l’on n’a pas reçu.

KABEYA - Institut de la Mémoire

11/21/2025

L'amour peut te guérir… littéralement.

Selon plusieurs études, chaque étreinte, chaque geste qui te fait te sentir en sécurité, laisse des traces mesurables dans tes cellules, qui réagissent et disent à ton corps d'enregistrer cet affect et de l'utiliser comme outil de réparation.

Ce n'est pas de la magie, c'est de la pure chimie. L'amour réduit le cortisol et stimule l'ocytocine, l'hormone qui dit à ton corps "tu es en sécurité".
Et alors, il se passe quelque chose d'incroyable : tes défenses augmentent, il y a moins d'usure cellulaire, plus de signaux qui protègent, reconstruisent et ralentissent le vieillissement.

Alors, la prochaine fois que tu diras que l'amour "ne sert à rien", souviens-toi de ceci :
Il ne résoudra peut-être pas toute ta vie, mais il peut réécrire la manière dont ton corps l'affronte.

11/21/2025

11/21/2025

11/21/2025

Pas toutes les histoires sont faciles à entendre… Ha ses vérités qui dérange !
Lorsqu’une histoire est profondément déstabilisante, elle devient souvent lorsqu’on ose la partager, une source d’enseignement et de croissance. Pourtant, on hésite parfois à la partager, parce qu’elle est particulière, dérangeante ou simplement difficile à recevoir. Et quand on ose enfin s’ouvrir, les réactions peuvent être surprenantes, révélant à quel point chacun perçoit la vie différemment.

Il arrive alors qu’on choisisse de se refermer, convaincu que ce n’est pas tout le monde qui peut accueillir ce qu’on porte. Pourtant, c’est précisément dans cette vulnérabilité que se cachent des trésors d’apprentissage, des richesses insoupçonnées.

Seules les personnes capables de se détacher de leur propre point de référence, de leur propre histoire, peuvent accueillir celle d’un autre sans juger — avec empathie, écoute et compassion.

Isabelle Théroux
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