Zoothérapie Danièle Monast

Zoothérapie Danièle Monast La Zoothérapie facilitée par le Cheval, une approche unique et transformatrice de croissance personnelle, émotionnelle et spirituelle

Une expérience révélatrice et inoubliable
au contact magique et authentique de l'animal et de soi-même...

Une approche différente de développement personnel et de découverte de soi à travers la connexion avec le cheval...

Voici un texte superbement écrit par la propriétaire du Centre Équestre 'Les Crins de Verdure' en France et dont la pert...
11/27/2025

Voici un texte superbement écrit par la propriétaire du Centre Équestre 'Les Crins de Verdure' en France et dont la pertinence mérite qu'on le partage...dans l'espoir que se réveillent les humains qui oeuvrent dans le monde équin qui n'ont pas encore compris l'importance de respecter les besoins fondamentaux des chevaux...

‘’Quand on sait qu’un cheval en semi-liberté parcourt spontanément 15 à 25 kilomètres par jour, on comprend vite que son organisme est bâti pour le mouvement… alors il est assez facile de comprendre que le mettre au box revient à enfermer un marathonien dans un chambre de bonne: techniquement faisable, mais pas adapté.

Un cheval est programmé pour marcher… alors quand on l’enferme, sa musculature fond plus vite qu’un chocolat oublié au soleil, sa posture se fige, il ne marche plus de grandes distances tête basse (les10 minutes de détente en extension ne comptent pas, hein), et bonjour les conflits de processus épineux, les tendons fragilisés et la silhouette façon “Open Space de bureau”.

Ajoutons à cela le trio infernal :
mangeoire haute,
râtelier haut,
abreuvoir… haut,

…bref, tout ce qui demande au cheval d’avaler son repas comme un lama qui part en randonnée dans les Alpes.

Niveau santé digestive, c’est l’équivalent équin du fast-food en permanence : pas assez de fibres , des repas fractionnés, position inadaptée, et un estomac qui dit «allons-y pour un bel ulcère de la mort qui tue».

Alors on entend parfois dire "nos chevaux modernes n'ont plus rien à voir avec leurs ancêtres sauvages". Mais c'est pas tout a fait vrai.

En 100 ans, l'ADN d'une espèce varie de moins de 0,01% ". Nos chevaux sont donc, à ce jour, exactement les mêmes génétiquement (à 99% près si on chipote) que ceux de leurs lointains ancêtres... Et j'aurai tendance à dire que le peu d'évolution qu'il y a eu, a eu plus tendance à les rapprocher d'une princesse aux petits pois que d'un poney vicking…

Mais le summum, l’argument qui me hérisse l'échine comme un coup de tondeuse à rebrousse-poil, c’est le grand classique :

“On fait comme ça depuis des siècles, et ça n’a jamais posé problème.”

C'est un argument qui vaut pour presque tout : les chevaux au box, les fers, les céréales dans l'alimentation… mais aussi la saignée à la lancette, le cataplasme de chou pour les engorgements et le traitement de la gale par la prière (pardonnez-moi mon père).

Sauf qu'avoir survécu à une pratique pendant plusieurs siècles ne suffit pas à la valider scientifiquement…

Et si c'était le cas, je propose qu’on remette les chevaux comme moyen de locomotion, qu’on retire le chauffage central et qu’on communique par pigeons voyageurs : ça a fait ses preuves pendant des siècles, non?

En ce qui concerne la santé mentale, le résultat n'est pas plus reluisant: tics, tocs, stéréotypies… Le cheval invente tout un catalogue d’activités pour faire passer le temps. Le box devient un escape game sans énigmes et sans sortie.

Et puis il y a la phrase magique :
“Non mais ça va, il sort tous les jours au paddock.”

Ha le paddock…

Ce grand carré de terre semblable à un box à ciel ouvert, sans herbe et sans copains (oui parce qu'un simple contact visuel avec les voisins ne permet pas d'avoir des interactions sociales, les chevaux communiquant en grande partie par le biais de leurs déplacements les uns par rapport aux autres). La clôture c'est comme la paroie blindée qui sépare deux muets au parloir de Fleury merogis… j'ai pas eu l'occasion de tester mais à part en se regardant et en se reniflant, aucun message ne peut être transmis.

Ici nous avons des chevaux qui ont connu la vie au box. La plupart se sont très vite déshabitués. Ils engorgent au bout de quatre heures enfermés. Certains font demi-tour sur le seuil. D’autres s’éteignent littéralement, comme si on appuyait sur un bouton OFF une fois la porte fermée.

Pourtant, soyons honnêtes : le box peut avoir une utilité. Une vraie. Une bonne.

Quand une convalescence l'impose ou quand il fait un temps à décorner un bison.

Les jours de tempête, de vent glacial, de pluie horizontale qui te gifle dès que tu ouvres la porte : là oui, le box devient un petit sanctuaire pour certains (pas tous...Bonbon préfère la pluie). Parce que même s'ils "ne sont pas en sucre", être au sec et au chaud, c'est pas désagréable.

Instantanément, les chevaux se posent, soufflent, ferment les yeux. Ça ressemble presque à une séance de balnéo… avec l’odeur du fumier en bonus.

Certains seraient capables de me défoncer les murs en été, (Oui Bonbon ...c'est de toi dont on parle), mais en hiver ils me remercieraient presque.

En bref :

Le box doit rester ce qu’il aurait toujours dû être :

Un refuge, pas un mode de vie.
Un abri contre les tempêtes.
Pas une adresse permanente.’’

- Les Crins de Verdure

💖

N'hésitez pas à partager!

https://zootherapiedanielemonast.com/

ps: Sur la photo, certains de mes partenaires, les Anges Équins des Écurie Martin,...des chevaux qui vivent une vraie vie de cheval, en troupeau, en liberté, en équilibre...

Prenez le temps de lire cette touchante et réconfortante histoire partagée par la page RECETTES ET RÉCITS...''En faisant...
11/17/2025

Prenez le temps de lire cette touchante et réconfortante histoire partagée par la page RECETTES ET RÉCITS...

''En faisant des courses à Walmart un après-midi, j’ai remarqué une femme qui me suivait discrètement, moi et mon chien Juno. C’est un berger allemand de dix ans, avec son harnais de service — juste une sortie normale pour faire les courses. Mais elle gardait ses distances, nous observant d’un rayon à l’autre. Ce n’était pas menaçant, juste profondément triste.

Arrivés sur le parking, elle a finalement approché.
D’une voix tremblante, elle m’a demandé :
« Je suis désolée de vous déranger… mais est-ce qu’il s’appelle Juno? »
Instantanément, je me suis méfié.
« Comment savez-vous ça ? » ai-je répondu.

Et là, juste à côté des chariots, elle s’est mise à pleurer.
« J’étais sa famille d’accueil quand il était chiot », a-t-elle dit entre ses larmes. « Je me suis occupée de lui de ses huit semaines à ses dix-huit mois, puis je l’ai envoyé en formation pour devenir chien guide. C’était il y a neuf ans. J’ai pensé à lui chaque jour depuis. »

Elle m’a montré des photos sur son téléphone — Juno bébé avec les mêmes yeux curieux, et une dernière photo d’elle le tenant dans ses bras, tous les deux en larmes le jour où elle a dû lui dire au revoir.

« Ils m’avaient dit qu’il n’avait pas terminé la formation de chien guide », a-t-elle poursuivi en souriant doucement à travers ses larmes. « Qu’il était trop sociable. Je me suis toujours demandé ce qu’il était devenu. » Son regard est tombé sur son harnais. « Qu’est-ce qu’il fait maintenant ? »

« Alerte diabétique », lui ai-je dit. « Il m’a sauvé la vie seize fois. »
Je n’avais pas prévu de dire le chiffre, mais c’est sorti naturellement.
Elle a porté une main à sa bouche, recommençant à pleurer. « Ça a du sens », a-t-elle dit. « Même chiot, il savait quand quelque chose n’allait pas. Il m’apportait mon téléphone quand l’alarme de mon traitement se déclenchait. Personne ne le lui avait appris — il le savait juste. »

Nous avons parlé pendant vingt minutes. Elle m’a raconté des histoires que seule quelqu’un qui l’avait vraiment aimé aurait pu connaître — comment il volait des chaussettes, fuyait l’aspirateur, et dormait sur le dos avec les pattes en l’air.

Avant de partir, elle s’est agenouillée. Juno est allé directement vers elle, remuant la queue, et a posé sa tête sur son épaule comme si le temps n’avait pas passé.

« Merci de veiller sur lui », lui a-t-elle murmuré. Puis elle m’a regardé. « Et merci de me montrer qu’il est exactement là où il devait être. »

Maintenant, je lui envoie une photo de Juno chaque semaine.
Et oui, il dort toujours sur le dos, les pattes en l’air.

Pour tous ceux qui ont déjà accueilli, élevé ou aimé un chien qu’ils n’ont pas pu garder — sachez ceci : ils ne vous oublient jamais. Vous vivez dans leur cœur pour toujours.''

En faisant des courses à Walmart un après-midi, j’ai remarqué une femme qui me suivait discrètement, moi et mon chien Juno. C’est un berger allemand de dix ans, avec son harnais de service — juste une sortie normale pour faire les courses. Mais elle gardait ses distances, nous observant d’un rayon à l’autre. Ce n’était pas menaçant, juste profondément triste.

Arrivés sur le parking, elle a finalement approché.

D’une voix tremblante, elle m’a demandé :
« Je suis désolée de vous déranger… mais est-ce qu’il s’appelle Juno ? »

Instantanément, je me suis méfié.
« Comment savez-vous ça ? » ai-je répondu.

Et là, juste à côté des chariots, elle s’est mise à pleurer.

« J’étais sa famille d’accueil quand il était chiot », a-t-elle dit entre ses larmes. « Je me suis occupée de lui de ses huit semaines à ses dix-huit mois, puis je l’ai envoyé en formation pour devenir chien guide. C’était il y a neuf ans. J’ai pensé à lui chaque jour depuis. »

Elle m’a montré des photos sur son téléphone — Juno bébé avec les mêmes yeux curieux, et une dernière photo d’elle le tenant dans ses bras, tous les deux en larmes le jour où elle a dû lui dire au revoir.

« Ils m’avaient dit qu’il n’avait pas terminé la formation de chien guide », a-t-elle poursuivi en souriant doucement à travers ses larmes. « Qu’il était trop sociable. Je me suis toujours demandé ce qu’il était devenu. » Son regard est tombé sur son harnais. « Qu’est-ce qu’il fait maintenant ? »

« Alerte diabétique », lui ai-je dit. « Il m’a sauvé la vie seize fois. »

Je n’avais pas prévu de dire le chiffre, mais c’est sorti naturellement.

Elle a porté une main à sa bouche, recommençant à pleurer. « Ça a du sens », a-t-elle dit. « Même chiot, il savait quand quelque chose n’allait pas. Il m’apportait mon téléphone quand l’alarme de mon traitement se déclenchait. Personne ne le lui avait appris — il le savait juste. »

Nous avons parlé pendant vingt minutes. Elle m’a raconté des histoires que seule quelqu’un qui l’avait vraiment aimé aurait pu connaître — comment il volait des chaussettes, fuyait l’aspirateur, et dormait sur le dos avec les pattes en l’air.

Avant de partir, elle s’est agenouillée. Juno est allé directement vers elle, remuant la queue, et a posé sa tête sur son épaule comme si le temps n’avait pas passé.

« Merci de veiller sur lui », lui a-t-elle murmuré. Puis elle m’a regardé. « Et merci de me montrer qu’il est exactement là où il devait être. »

Maintenant, je lui envoie une photo de Juno chaque semaine.

Et oui, il dort toujours sur le dos, les pattes en l’air.

Pour tous ceux qui ont déjà accueilli, élevé ou aimé un chien qu’ils n’ont pas pu garder — sachez ceci : ils ne vous oublient jamais. Vous vivez dans leur cœur pour toujours.

L'amour à l'état pur...🥰💖🥰
11/17/2025

L'amour à l'état pur...

🥰💖🥰

C'est exactement ce que je souhaite à tous ceux et celles qui viennent expérimenter la croissance personnelle facilitée ...
11/08/2025

C'est exactement ce que je souhaite à tous ceux et celles qui viennent expérimenter la croissance personnelle facilitée par le cheval...rencontrer la magie, celle du cheval bien sûr et surtout la leur...

💖💖💖

www.zootherapiedanielemonast.com

Tu peux passer ta vie à courir après des choses, des titres, des gens… Mais un jour, tu vas te réveiller avec un vide que rien ne comble. Parce que le bonheur, ce n’est pas quelque chose qu’on trouve à l’extérieur. C’est un état qu’on cultive à l’intérieur. Ce n’est pas une destination, c’est une fréquence. Et tant que tu continues à chercher ailleurs ce qui commence en toi, tu seras toujours un mendiant émotionnel.

On t’a peut-être appris que pour être heureux, il fallait plaire, réussir, cocher des cases. Que tu devais être validé par les autres pour te sentir digne. Mais à force de chercher la lumière dehors, tu oublies que la tienne est déjà allumée. Elle attend juste que tu retires les couches de peur, de doute, de honte, que tu t’es laissé coller au fil du temps.

Le vrai bonheur commence quand tu cesses de vouloir être quelqu’un d’autre. Quand tu choisis de t’écouter au lieu de plaire. Quand tu honores tes besoins au lieu de les minimiser. Et c’est là que tout change : pas parce que le monde extérieur se transforme… mais parce que ta façon de le regarder n’est plus la même. Tu ne subis plus. Tu choisis. Tu avances. Tu vis.

Tu veux une vie plus alignée ? Commence par te reconnecter à toi. Coupe le bruit. Prends le temps de te demander : « Qu’est-ce qui me fait vraiment du bien ? Qu’est-ce qui me nourrit, même quand personne ne regarde ? » C’est dans ces réponses-là que se cache ton bonheur. Dans la simplicité. Dans l’authenticité. Pas dans les projecteurs.

Arrête de penser que c’est quand tu auras ça ou quand tu seras comme eux que tu seras heureux. C’est un piège. Le bonheur ne dépend pas de ce que tu obtiens. Il dépend de ce que tu décides d’incarner, maintenant. Il est déjà là, en toi. Il a juste besoin que tu te rappelles qui tu es sans les filtres.

Et parfois, le chemin du bonheur passe par des pertes, des deuils, des séparations. Parce que tu dois te défaire de ce qui t’éloigne de toi. Parce que tu ne peux pas te retrouver si tu continues à t’accrocher à des choses qui ne te ressemblent plus. Ce n’est pas confortable, mais c’est nécessaire. C’est le prix de la paix.

Tu n’as pas besoin de tout comprendre pour commencer. Tu n’as pas besoin d’avoir toutes les réponses pour avancer. Tu as seulement besoin de choisir un premier pas. Un petit. Un vrai. Et de t’y tenir. Parce que c’est dans la constance que tu vas te retrouver. Pas dans la perfection.

Et un jour, sans même t’en rendre compte, tu vas te surprendre à sourire sans raison. Tu vas ressentir cette paix tranquille que rien n’achète. Parce que tu auras compris : le chemin du bonheur, ce n’est pas dehors qu’il commence… c’est chaque fois que tu reviens en toi.

© Francis Machabée

PS :
Si tu sens que c’est le bon moment pour revenir à toi, j’ai préparé quelque chose pour t’accompagner. Regarde dans les commentaires.

Pour notre monde qui a tant besoin d'amour...💖💖💖
11/08/2025

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Ma Mission

La mission de mon entreprise, tout comme ma mission personnelle, est d’aider l’être humain à se connecter à son pouvoir intérieur en développant son intelligence émotionnelle et spirituelle, au contact magique et authentique des animaux et de la nature.

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