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Institut AAT Nous sommes un Institut d'apprentissage continu et pratique - We are an Institute for continuous and practical learning - Naturopathie - Naturopathic

Avec la quantité de publicités alarmistes sur les pesticides et les additifs, il est normal de se demander si manger bio...
11/10/2025

Avec la quantité de publicités alarmistes sur les pesticides et les additifs, il est normal de se demander si manger biologique est nécessaire pour être en santé.

- La réponse n’est pas si tranchée. -
Oui, la qualité des aliments compte. Mais non, tout le monde n’a pas besoin de manger exclusivement biologique pour améliorer sa santé.

Le rôle du naturopathe n’est pas d’imposer une conviction, mais d’adapter ses conseils à la réalité de chaque individu: son budget, son environnement et ses besoins.

La science montre clairement que la consommation d’aliments variés, riches en végétaux et peu transformés a un effet bénéfique majeur, indépendamment de leur provenance biologique. Le « tout bio » n’est pas une panacée, surtout si cela mène à la culpabilité ou à une alimentation déséquilibrée.

Manger mieux, c’est avant tout comprendre ce qu’on mange, faire des choix éclairés et cohérents, sans dogmatisme. La perfection n’est pas le but : la constance, oui.

🌟 Et si tu aidais les autres à se sentir mieux dans leur corps… tout en vivant de ta passion?La formation d’entraîneur d...
11/04/2025

🌟 Et si tu aidais les autres à se sentir mieux dans leur corps… tout en vivant de ta passion?

La formation d’entraîneur de l’Institut AAT te permet d’apprendre à ton rythme, 100 % en ligne, comment bâtir des programmes d’entraînement efficaces et sécuritaires — que ce soit pour toi-même ou pour accompagner d’autres personnes dans leur transformation. 💪

Tu y découvriras les bases de l’anatomie, de la physiologie, de la nutrition, ainsi que toutes les notions nécessaires pour devenir un entraîneur confiant, compétent et humain.

Que tu souhaites faire un changement de carrière, bonifier tes connaissances, ou simplement approfondir ta passion pour l’entraînement, cette formation est conçue pour toi.

👉 Découvre tous les détails ici : https://www.institutaat.com/formation-entraineur-fh

Nous oublions souvent à quel point nos comportements restent proches de ceux des grands singes. Notre besoin d’appartena...
10/30/2025

Nous oublions souvent à quel point nos comportements restent proches de ceux des grands singes. Notre besoin d’appartenance, de reconnaissance et de validation est profondément enraciné dans notre biologie.

Les réseaux sociaux en sont la parfaite démonstration : on y observe des tribus numériques où le sentiment d’appartenir à un groupe l’emporte souvent sur la recherche de vérité. Cela se manifeste aussi dans le monde de la santé et de la nutrition. Certaines personnes suivent des figures populaires simplement parce qu’elles sont charismatiques, même si leur discours est scientifiquement bancal.
C’est la nature humaine : le groupe rassure, surtout dans un monde complexe où les nuances font peur.

Malheureusement, ce besoin d’appartenance peut devenir un piège. Il nous pousse parfois à croire avant de comprendre, à défendre des idées parce qu’elles sont partagées par « notre groupe ».

Rappeler que l’humain reste un animal social, c’est aussi inviter chacun à reprendre une posture critique : écouter, apprendre, questionner. La santé ne se construit pas dans un dogme, mais dans la nuance.

Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous dépendants de la dopamine... La bonne nouvelle, c’est qu’on peut choisir d’où ...
10/24/2025

Qu’on le veuille ou non, nous sommes tous dépendants de la dopamine...
La bonne nouvelle, c’est qu’on peut choisir d’où elle provient. Notre cerveau est conçu pour rechercher la satisfaction, mais il nous appartient de décider si cette satisfaction viendra d’un effort constructif ou d’un plaisir éphémère.

Aujourd’hui, tout est à portée de main : le défilement infini des réseaux sociaux, les vidéos courtes, la gratification instantanée. Cette « cheap dopamine » rend chaque effort plus difficile, car le cerveau, comme le corps, cherche naturellement à économiser son énergie. Moins on sollicite sa capacité à patienter ou à persévérer, plus elle s’atrophie.

Apprendre à rediriger sa dopamine vers des sources plus saines, comme le mouvement, l’apprentissage ou la créativité, change littéralement la chimie du cerveau. Il ne s’agit pas d’éliminer le plaisir, mais de le replacer dans un contexte plus durable.

Alors la prochaine fois que vous vous surprendrez à faire du doom scrolling, mettez votre téléphone de côté, sortez prendre l’air ou utilisez cette même technologie pour nourrir votre esprit plutôt que de le vider.

10/20/2025

Pourquoi choisir l’Institut AAT pour devenir naturopathe? 🌱✨

10/09/2025

🆘Il y a RIEN à faire avec ma digestion!!! 🆘

✨ Le ‘’que faire’’ pour toi ici!
Ps: Le Gutrestore de NIH est un supplément très efficace pour t’aider avec ta digestion, mais (encore et toujours) une fois que tu as optimisé ton mode de vie/paramètres🙏✨

La testostérone a mauvaise presse ou trop de hype, selon le camp où on se trouve. D’un côté, on l’accuse d’agressivité, ...
10/08/2025

La testostérone a mauvaise presse ou trop de hype, selon le camp où on se trouve. D’un côté, on l’accuse d’agressivité, de calvitie ou de comportements « toxiques ». De l’autre, on la glorifie comme l’hormone ultime de la virilité, de la motivation et de la performance.

Comme toujours, la vérité est entre les deux. Oui, la testostérone est une hormone clé. Elle influence la libido, la masse musculaire, la densité osseuse, l’énergie et même l’humeur. Mais elle n’est pas tout. Et surtout, elle est hautement influencée par le mode de vie.

Un manque de sommeil, une alimentation trop riche en sucres rapides, un excès de stress chronique, l’alcool, les perturbateurs endocriniens… tout ça fait chuter les niveaux ou déséquilibre la balance œstrogènes/androgènes. Pire : même avec une testostérone « normale » sur papier, vous pouvez avoir des symptômes si vos récepteurs sont désensibilisés.

Et non, prendre des boosters ne règle pas ça. On ne force pas le système à mieux fonctionner avec plus d’agents stimulateurs. On commence par retirer les freins : stress oxydatif, inflammation, surcharge hépatique. Ensuite, on reconstruit : bons gras, bon sommeil, entraînement intelligent.

La testostérone est un miroir de votre hygiène de vie. Avant de vouloir l’augmenter, commencez par gagner le respect de votre biologie.

Malheureusement, dans le monde où l’on vit, il est difficile de faire comprendre aux gens qu’il faudra du temps pour ren...
10/06/2025

Malheureusement, dans le monde où l’on vit, il est difficile de faire comprendre aux gens qu’il faudra du temps pour renverser les dommages et les différentes adaptations que leur corps a faites au fil des années pour compenser certaines habitudes.

On cherche la rapidité, l'efficacité, les résultats « maintenant ». Mais le corps humain n’est pas un interrupteur. C’est un système adaptatif, complexe, qui a mis des années à désapprendre certaines fonctions pour survivre à un environnement stressant, une alimentation carencée ou un sommeil de mauvaise qualité. Penser qu’un supplément ou un changement alimentaire de deux semaines va tout régler, c’est comme croire qu’un pansement va guérir une fracture.

Oui, on peut stimuler certains systèmes rapidement : digestion, énergie, concentration. Mais est-ce réellement une guérison ou juste un effet cosmétique sur une machine épuisée ? Accélérer les choses sans respecter les phases nécessaires de réparation, de désintoxication naturelle, de reprogrammation métabolique… c’est souvent aggraver le problème à long terme.

La vraie médecine — qu’elle soit naturelle ou conventionnelle — demande du temps, de l’écoute, et de la cohérence. Il faut redonner au corps ce dont il a été privé : constance, repos, nutriments essentiels, équilibre psychologique, et surtout, du respect.

Alors oui, on pourrait toujours aller plus vite. Mais dans le bon sens, pas dans le mur.

La dissonance cognitive, c’est cet inconfort mental ressenti lorsqu’une personne est confrontée à des informations qui c...
10/02/2025

La dissonance cognitive, c’est cet inconfort mental ressenti lorsqu’une personne est confrontée à des informations qui contredisent ses croyances, habitudes ou valeurs. Et dans un domaine où plusieurs approches coexistent — certaines rigoureuses, d'autres franchement douteuses — la tension est palpable.

Voici quelques exemples typiques :

· Chez le client : une personne convaincue que « naturel = sécuritaire » résiste à l’idée que certaines plantes ou suppléments puissent être contre-indiqués, interagir avec des médicaments, ou avoir des effets secondaires. Même avec des données claires, elle peut rejeter l’information pour préserver son système de croyance.

· Chez le praticien : quelqu’un qui a toujours défendu une idée (ex. : les cures de détox à répétition, l’éviction stricte des produits laitiers ou le mythe de l’alimentation « acide-alcaline ») peut rejeter la recherche ou les données contradictoires simplement parce que cela remet en question ses fondations professionnelles. Ce n’est pas une question d’intelligence, mais de protection identitaire.

· Chez les formateurs ou influenceurs : lorsqu’ils ont construit une audience autour d’un message précis, admettre qu’ils se sont trompés devient presque impossible sans perdre la face, le statut ou les revenus. D’où le maintien de certains discours, même quand la science évolue.

Reconnaître la dissonance cognitive, c’est accepter qu’il faut parfois déconstruire pour mieux reconstruire. C’est inconfortable, mais nécessaire pour faire progresser une approche intégrative qui reste crédible, humble… et utile.

On parle souvent de la vitamine D comme d’un nutriment essentiel pour la santé osseuse. Mais la réalité est bien plus co...
09/26/2025

On parle souvent de la vitamine D comme d’un nutriment essentiel pour la santé osseuse. Mais la réalité est bien plus complexe et fascinante.

En fait, la vitamine D n’est pas une vitamine au sens classique, mais plutôt une prohormone aux effets systémiques profonds.

Produite principalement par la peau sous l’effet des rayons UVB, la vitamine D influence bien plus que le métabolisme du calcium. Elle joue un rôle crucial dans l’immunité innée, la modulation de l’inflammation, la santé mitochondriale, et même la régulation de certains gènes liés à la réparation cellulaire.

Ce qui est souvent négligé dans les discussions populaires, c’est la variabilité interindividuelle du besoin en vitamine D. Deux personnes exposées au même soleil et consommant les mêmes aliments peuvent avoir des niveaux sanguins très différents. Pourquoi ? Génétique (polymorphismes sur VDR ou CYP27B1), surpoids, inflammation chronique, diabète, certains médicaments (anticonvulsivants, glucocorticoïdes, IPP), ou encore carence en magnésium, qui agit comme cofacteur dans l’activation de la vitamine D.

Autre point clé : une concentration dite « normale » de 75 nmol/L dans le sang n’implique pas nécessairement une activité optimale de la forme active (1,25(OH)₂D). Ce désalignement est parfois qualifié de « carence relative », un concept encore peu reconnu mais crucial pour une approche plus personnalisée de la supplémentation.

En bref, bien connaître la vitamine D, c’est comprendre qu’elle agit à la croisée de plusieurs systèmes. Il ne suffit pas de mesurer un chiffre une fois par an. C’est un indicateur dynamique, influencé par l’environnement, la physiologie et le métabolisme.

Lorsqu'on parle de santé, on regarde souvent l’alimentation et pour cause, celle-ci est un des facteurs sur lequel nous ...
09/22/2025

Lorsqu'on parle de santé, on regarde souvent l’alimentation et pour cause, celle-ci est un des facteurs sur lequel nous avons le plus de contrôle et aussi celui où l’être humain semble l’avoir échappé.

On a qu’a penser au Hamburger fait de beigne et de barre Mars frite pour voir que l’humain a un gros problème avec ses papilles gustatives et son cerveau.

Cependant, c’est dans le mode de vie où les gens comprennent vraiment moins bien l’impact que celui-ci peut avoir sur la santé.
Par exemple, plusieurs études démontrent que le manque de sommeil mène souvent à un gain de poids par différent mécanisme comme un mauvais contrôle de l’appétit ou de mauvais choix alimentaire.

Mais ce n’est pas tout. La sédentarité, l’exposition chronique à la lumière artificielle en soirée, le stress psychosocial constant et le manque de temps passé en nature ont tous des effets délétères documentés sur la santé métabolique, le système immunitaire et la régulation hormonale.

En d'autres mots, même avec une alimentation optimale, un mode de vie inadéquat peut saboter les résultats. Des chercheurs ont d’ailleurs montré que l’activité physique régulière, le rythme circadien respecté et une bonne gestion du stress améliorent la sensibilité à l’insuline et diminuent le risque de plusieurs maladies chroniques.

Il est donc temps de regarder plus large!

Est-ce que le cholestérol est toujours d’actualité quand on parle de la santé cardiovasculaire ? Dans les années, 70 et ...
09/17/2025

Est-ce que le cholestérol est toujours d’actualité quand on parle de la santé cardiovasculaire ?

Dans les années, 70 et 80, on avait mis l’emphase sur la réduction accrue de la consommation de cholestérol pour réduire les risques de maladies cardiovasculaires, mais selon les données cette stratégie n’a pas tellement bien fonctionné, car on peut difficilement isoler un paramètre ou un groupe d’aliment et le blâmer pour une condition multifactorielle.

Depuis, plusieurs études ont montré que le cholestérol alimentaire influence peu le cholestérol sanguin chez la majorité des individus. Ce sont plutôt les lipoprotéines, comme le LDL oxydé, qui jouent un rôle dans le développement de l’athérosclérose.
Des marqueurs comme le ratio ApoB/ApoA1 ou la taille des particules LDL sont désormais considérés plus prédictifs que le simple taux de cholestérol total.

De plus, une inflammation chronique de bas grade, un stress oxydatif élevé et une résistance à l’insuline semblent contribuer davantage à la formation de plaques.

Ainsi, une diète riche en antioxydants, en fibres solubles et en acides gras insaturés (oméga-3 notamment) a plus d’impact sur la réduction du risque cardiovasculaire qu’une simple réduction du cholestérol alimentaire.

La science actuelle pousse donc à une approche plus globale et individualisée, plutôt qu’à la diabolisation d’un seul nutriment.

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