Julie Grimard, B.Sc. Criminologie, Psychothérapeute

Julie Grimard, B.Sc. Criminologie, Psychothérapeute "Les gens heureux ne le sont jamais par hasard ! C'est tout un enseignement qu'ils suivent consciemment » Service de psychothérapie pour Adolescents et adultes.

Individuelle -couple

🫠 J’ai le sentiment d’être défectueux(se) – Partie 2 : Comment s’en libérer, doucement.Dans le dernier post, on a explor...
11/11/2025

🫠 J’ai le sentiment d’être défectueux(se) – Partie 2 : Comment s’en libérer, doucement.

Dans le dernier post, on a exploré ce sentiment sourd de « ne pas être assez » qui prend souvent racine dans les premières relations affectives.

Aujourd’hui, j’aimerais t’offrir quelques pistes très simples, mais profondément transformationnelles, pour commencer à apprivoiser ce sentiment — sans le brusquer, sans le forcer.

⭐️⭐️⭐️Parce qu’on ne guérit pas la défectuosité en performant plus.
On la guérit en se reconnaissant plus.⭐️⭐️⭐️

1. Observer la voix intérieure🎤

Remarquer comment tu te parles dans les moments de vulnérabilité.

Souvent, la défectuosité se manifeste par :
« Voyons, t’es pas correct. »
« Les autres y arrivent, pourquoi pas toi? »

👉🏻 Juste observer. Sans corriger.
L’observation, c’est déjà reprendre du pouvoir.

2. Revenir au corps👤

Les blessures émotionnelles se logent dans le corps, pas seulement dans la pensée.
• Place une main sur ton cœur
• Respire lentement
• Dis-toi : « Je suis en sécurité maintenant. »

✨Ce geste apaise le système nerveux.✨

3. L’auto-validation

Accueillir ses émotions sans les minimiser :

« Ce que je ressens a du sens. »
« Je suis légitime. »

Ce n’est pas de l’ego.
C’est de la tendresse envers soi.

4. Accueillir la nuance

Tu n’es ni « trop », ni « pas assez ».
Tu es un être humain avec une histoire, des besoins, et une sensibilité.
Aucune de ces choses ne mérite d’être effacée.

5. Les micro-changements qui reconstruisent

• Dire non même si ça tremble
• Recevoir un compliment sans se justifier
• Prendre une pause avant d’être épuisé(e)
• Dire ce que tu ressens, même simplement

👉🏻Ce sont ces petites actions qui reconstruisent la valeur de soi.

💡Réflexion pour aujourd’hui

Dans quelle situation dernièrement as-tu senti le besoin de te prouver quelque chose?

Qu’est-ce que ton cœur aurait eu besoin d’entendre?

« La guérison commence le jour où l’on s’accorde enfin le droit d’exister tel que l’on est. »

Bon 11 novembre 💙
Avec douceur,
Julie

Bon début de semaine 🙂👉🏻J’ai le sentiment d’être défectueux(se)Il y a des personnes qui grandissent avec cette impressio...
11/10/2025

Bon début de semaine 🙂

👉🏻J’ai le sentiment d’être défectueux(se)

Il y a des personnes qui grandissent avec cette impression sourde, profonde, presque invisible aux autres, mais très réelle :
« Il y a quelque chose qui cloche chez moi. »
Comme si, au fond, elles étaient moins, pas assez, ou trop.

Ce sentiment de « défectuosité » n’arrive jamais par hasard.
Il prend souvent racine dans l’enfance, dans la manière dont on a été vu, entendu, accueilli émotionnellement.

D’où vient ce sentiment?
• Lorsque l’enfant n’a pas été validé dans ses émotions
• Lorsqu’on lui a demandé d’être sage, fort, ou parfait
• Lorsque l’amour reçu était conditionnel (« je t’aime quand tu réussis, quand tu fais bien »)
• Dans les familles où il y a eu peu de douceur, peu d’écoute, peu de sécurité affective
• Dans les environnements marqués par le désintérêt, la rigidité, ou l’instabilité émotionnelle

L’enfant, ne pouvant pas accuser ses parents (il en dépend), fait ce que tous les enfants font :
Il se responsabilise.
Il pense que le problème vient de lui.
Il développe la croyance :

« Si mes besoins ne sont pas accueillis, c’est que je ne vaux pas assez. »

Comment ça teinte l’adulte?

Cet enfant devient un adulte qui :
• Doute constamment de lui-même
• A de la difficulté à recevoir l’amour, les compliments, la douceur
• Cherche la validation extérieure pour se rassurer
• A peur d’être abandonné(e) s’il se montre tel qu’il est
• A tendance à être trop exigeant(e) envers lui-même
• Peut se suradapter, performer, plaire… ou se retirer pour ne pas être vu

Et malgré les réussites, malgré ce que les autres perçoivent,
il reste souvent cette voix intérieure :
« Tu n’es pas assez. »

Manifestations psychologiques et comportementales
• Perfectionnisme
• Hypervigilance affective (peur de décevoir)
• Anxiété relationnelle
• Tendance à « s’excuser d’exister »
• Difficulté à poser des limites
• Relations où l’on donne beaucoup, parfois trop
• Évitement de l’intimité par peur d’être réellement vu(e)

Ce n’est pas un manque de valeur.
C’est une blessure affective.

Réflexion pour toi 😉

As-tu déjà eu l’impression que, peu importe ce que tu fais, ce n’est jamais vraiment suffisant?

Ou que, dans certaines relations, tu te déformes, tu te retires ou tu en fais trop pour être aimé(e)?

Si oui, sache que ce n’est pas toi qui es défectueux(se).
C’est seulement une histoire ancienne qui demande à être reconnue.
Et qui peut être transformée.

« Nous ne sommes pas brisés. Nous sommes des êtres qui apprennent encore à se reconnaître. »

Bonne réflexion !

Julie 😊

🫶🏻 N’admire jamais en silenceIl y a quelque chose que la vie m’a appris… souvent à travers des pertes, des départs, des ...
11/07/2025

🫶🏻 N’admire jamais en silence

Il y a quelque chose que la vie m’a appris… souvent à travers des pertes, des départs, des gens qu’on croyait avoir « pour toujours ».

C’est ceci :
Dire ce qu’on ressent pendant qu’il est encore temps. ❤️

Quand j’aime quelqu’un, je le dis.
Quand je suis touchée, fière, reconnaissante, je le nomme.
Quand quelqu’un m’inspire, je n’attends pas “le bon moment” pour le lui offrir.

On pense toujours qu’on aura plus t**d.
Plus t**d pour parler.
Plus t**d pour remercier.
Plus t**d pour dire tu comptes pour moi.

Mais « plus t**d »… parfois, c’est jamais.😢

Nous sommes fragiles.
Nous ne sommes pas éternels.
Et ce que nous retenons par pudeur, peur ou habitude…
c’est souvent exactement ce que l’autre aurait eu besoin d’entendre pour tenir un peu plus debout.

Alors aujourd’hui, tout simplement :
Dis-le.
Écris-le.
Offre-le.
Témoigne.

N’admire jamais en silence.
L’amour, la gratitude, la tendresse… ce sont des vivants.
Ils ont besoin de circuler.👏🏻

✨ Et vous…
À qui pourriez-vous dire merci, je t’admire, tu m’inspires, aujourd’hui?
Qui mérite d’entendre aujourd’hui ce que vous pensiez garder “pour une autre fois”?

« L’amour ne vaut que s’il se dit. »
— Jacques Salomé

Bonne réflexion

Et un excellent WE

Julie ☺️

LE SCROLLING : L’ADDICTION SILENCIEUSE QUI VOLE TON TEMPS 📱🧠Tu ouvres ton téléphone pour « juste 2 minutes ».45 minutes ...
11/06/2025

LE SCROLLING : L’ADDICTION SILENCIEUSE QUI VOLE TON TEMPS 📱🧠

Tu ouvres ton téléphone pour « juste 2 minutes ».
45 minutes plus t**d, tu ne sais même plus ce que tu regardes.
Et ce n’est pas ta faute.
C’est conçu pour ça.

LE PIÈGE INVISIBLE 🎣

Chaque scroll libère une micro-dose de dopamine — l’hormone de la récompense immédiate.
Ton cerveau se dit :
« La prochaine vidéo sera peut-être encore meilleure. »
Exactement comme une machine à sous.

Tu n’es pas distrait.
Tu es programmé pour continuer.

CE QUE TON CERVEAU SUBIT ⚡

Ton cerveau aime la nouveauté…
Mais il n’a pas été conçu pour en recevoir 1000 par jour.

Résultats :
• Fatigue mentale 😮‍💨
• Perte de concentration 🧯
• Hyperstimulation ⚡
• Boule au ventre + Vide dès que tu t’arrêtes 🕳️

Tu ne manques pas de volonté.
Tu manques de silence mental.

CE QUE ÇA CACHE VRAIMENT 🫥

Le scrolling n’est pas qu’une distraction.
C’est souvent une fuite émotionnelle.

Tu scrolles pour :
• éviter de penser,
• éviter de ressentir,
• éviter d’être seul avec toi-même.

Et plus tu fuis, plus le vide s’installe.

LA FACTURE INVISIBLE ⏳

Tu ne paies pas avec ton argent.
Tu paies avec ton attention.
Avec ton énergie.
Avec ton temps de vie.

Le temps donné à l’écran…
c’est du temps retiré à tes rêves, tes relations, ta paix intérieure.

COMMENT REPRENDRE LE CONTRÔLE (SANS TOUT COUPER) 🤝

Pas besoin de renoncer à ton téléphone.
Juste de changer la relation.

Petits gestes simples :
• ⏰ Ne touche pas ton téléphone les 30 premières minutes du matin.
• ⌛ Mets un timer avant d’ouvrir une application.
• ⚫ Passe ton écran en noir et blanc.
• 🌬️ Remplace 1 moment de scroll par 3 respirations profondes ou un regard au loin.

Ton cerveau ne manque pas de stimulation.
Il manque de vide pour se reposer et créer.

RECONNECTE-TOI AU RÉEL 🌿

Regarde autour de toi.
Il y a des visages, des textures, des odeurs, des pensées.
Tout ce que ton téléphone tente d’imiter existe déjà ici.

Le monde réel n’est pas moins intéressant.
Il est juste moins bruyant.

🌙 PISTE DE RÉFLEXION

Et toi, aujourd’hui…
Est-ce que tu contrôles ton scroll ?
Ou est-ce que ton scroll te contrôle ?

Julie 🙂

Il y a des périodes dans la vie où l’on se surprend à s’accrocher.À des certitudes, à des habitudes, à des liens, à des ...
11/04/2025

Il y a des périodes dans la vie où l’on se surprend à s’accrocher.
À des certitudes, à des habitudes, à des liens, à des images de ce que les choses devraient être.
Et plus on s’agrippe, plus la peur grandit…
La peur de perdre, la peur que ça change, la peur que ça glisse entre nos doigts.

Mais parfois, le vrai courage, ce n’est pas de tenir.
C’est de desserrer.
Juste un peu.
De laisser l’espace à ce qui veut circuler.
De laisser la vie reprendre sa place.

C’est dans cet état d’esprit que je vous partage ces mots aujourd’hui.

« Pourquoi crains-tu de perdre quelque chose, si en réalité rien dans ce monde ne t’appartient ? »
— Marc Aurèle

Tout ce que tu crois posséder n’est qu’un prêt.
La maison, le corps, les liens, même ton nom.
Rien ne t’appartient. Et pourtant, tu t’accroches comme si l’univers t’était redevable de permanence.

La peur de perdre naît de l’illusion d’avoir possédé.

La liberté ne réside pas dans l’accumulation.
Elle se trouve dans le lâcher-prise.

Tu n’es propriétaire de rien.
Ni des personnes que tu aimes, ni de ta jeunesse, ni de ta place dans le monde.

Et cela, loin d’être une tragédie, peut devenir un soulagement.

Car si rien n’est à toi, rien ne peut vraiment t’être enlevé.
Rien ne peut briser ce qui n’a jamais dépendu de l’extérieur.

Celui qui ne craint pas de perdre
est déjà libre.

Bonne réflexion

Julie ☺️

Lundi matin ☕️On commence la semaine avec une question simple, mais essentielle :Qu’est-ce qui vous vole de l’énergie, e...
11/03/2025

Lundi matin ☕️

On commence la semaine avec une question simple, mais essentielle :

Qu’est-ce qui vous vole de l’énergie, en ce moment?

Parfois, ce ne sont pas les grandes tempêtes… mais ces petites choses qui s’accumulent :
• Une relation qui épuise
• Un engagement qu’on maintient « par obligation »
• Une habitude qui ne nous nourrit plus
• Une pensée qui tourne en boucle
• Une limite qu’on ne pose pas
• Un dialogue qu’on évite depuis trop longtemps

Nous avançons, mais avec un sac à dos trop lourd.
On s’habitue au poids… jusqu’à croire que c’est normal.

Aujourd’hui, sans se brusquer, juste observer.
Identifier une chose qui nous coûte plus qu’elle ne nous apporte.
Une seule.

Et doucement, avec bienveillance, se demander :
Qu’est-ce que je pourrais alléger, aujourd’hui?

Parce qu’on mérite une vie qui respire.
Vraiment. 💛

Je vous souhaite une douce semaine

Julie ☺️

Novembre, ce mois mal-aiméD’abord, un joyeux Halloween à tous 🎃Demain, nous entrerons dans ce fameux mois de novembre…Ce...
10/31/2025

Novembre, ce mois mal-aimé

D’abord, un joyeux Halloween à tous 🎃

Demain, nous entrerons dans ce fameux mois de novembre…
Ce mois dont on dit qu’il est long, lourd, gris, lent, mort.
Depuis longtemps, Novembre porte cette connotation du “mois des morts”.
Historiquement, dans plusieurs traditions, c’est le moment de l’année où l’on rend hommage aux défunts :
• Dans le calendrier catholique, le 2 novembre est consacré aux fidèles défunts (la Commémoration des morts).
• Et bien avant cela, dans les traditions païennes liées à l’automne et à Samhain (l’ancêtre de Halloween), on considérait que le voile entre les mondes était plus mince, et qu’on se recueillait, qu’on ralentissait.

Alors oui… novembre porte, dans l’imaginaire collectif, quelque chose de sombre.
Mais et si nous changions le regard que nous posons sur lui?

Ma vision de novembre

Pour moi, novembre est l’un de mes mois préférés de l’année.
Je l’appelle le mois « trait d’union »☺️

Entre :
☀️ L’été, la lumière, l’agitation
et
❄️ L’hiver, les fêtes, les rassemblements.

Novembre est ce moment suspendu, où la vie ralentit,
où la nature retourne à sa terre,
où tout s’adoucit, se calme, se dépose.

C’est un mois pour soi.
Un mois pour :
• se reposer
• revenir à la maison, au calme
• réduire le bruit, les obligations, les sorties
• se ressourcer
• écouter son monde intérieur

Ce n’est pas un mois mort.
C’est un mois vivant de silence, de retour à soi,
un mois qui nous prépare doucement à la lumière chaleureuse de décembre.

Je vous invite…

Et si, cette année, vous choisissiez d’accueillir novembre avec douceur?
Sans lutte.
Sans se plaindre.
Sans dire “vivement que ça passe”.

Et si novembre devenait :
Un mois-cocon.
Un mois-refuge.
Un mois pour reprendre souffle.

✨Je vous souhaite un mois de novembre tendre, tranquille et lumineux de l’intérieur.

« Novembre n’est pas sombre. Il nous apprend simplement à voir la lumière autrement. »

Bon WE

Julie 😌

👉🏻Pourquoi restons-nous là où ça fait mal ?Aujourd’hui, on va aller un peu plus en profondeur.Parce que c’est un sujet q...
10/30/2025

👉🏻Pourquoi restons-nous là où ça fait mal ?

Aujourd’hui, on va aller un peu plus en profondeur.
Parce que c’est un sujet qu’on entend tous les jours.
Et honnêtement… nous sommes tous concernés.

Pourquoi l’être humain résiste-t-il autant au changement, même lorsqu’il sait exactement ce qui serait mieux pour lui ?

On le voit tellement souvent :
• Je ne suis plus heureux(se) dans mon couple depuis des années… je le sais. Je le sens. Mais je reste.
Pour les enfants. Pour les finances. Pour la stabilité. Pour l’image.
• Je n’aime plus mon travail, je m’y éteins. Mais je ne bouge pas.
Parce qu’il y a la sécurité, le fond de pension, le confort connu.
• Je sais que ma santé demande un changement.
Bouger davantage. Mieux manger. Retrouver mon souffle.
Et pourtant, j’attends encore.
• Je sais que certaines limites doivent être posées.
Et pourtant, j’accommode, je tolère, je me retiens.

Nous savons.
Nous le sentons.
Nous reconnaissons l’inconfort, le poids intérieur, l’usure.

Alors pourquoi continue-t-on à rester dans des espaces qui nous épuisent ?

Parce que l’être humain préfère souvent
un inconfort connu
à
une liberté inconnue.

Parce que notre histoire familiale, nos loyautés invisibles, nos injonctions internes (« sois forte », « ne dérange pas », « ne déçois personne ») nous retiennent.

Parce que la peur d’être jugé, la peur de manquer, la peur de faire mal, la peur de se tromper…
est souvent plus forte que l’appel de soi.

🌸 Réflexion du jour

Dans quel espace de votre vie restez-vous par peur, alors que votre être sait déjà que ce n’est plus là que vous devez être ?

Pas besoin de tout changer aujourd’hui.
Juste nommer la vérité.

Parce que la conscience est déjà un mouvement.

« Le changement commence le jour où la fatigue de rester la même dépasse la peur de devenir quelqu’un d’autre. »

Bonne réflexion

Julie ☺️

😉👇🏻👇🏻👇🏻👇🏻Et si ce que vous vivez en ce moment… avait un nom? 🍂Depuis une quinzaine de jour peut-être ressentez-vous :• u...
10/29/2025

😉👇🏻👇🏻👇🏻👇🏻

Et si ce que vous vivez en ce moment… avait un nom? 🍂

Depuis une quinzaine de jour peut-être ressentez-vous :
• une fatigue beaucoup plus présente,
• davantage de difficulté à vous lever le matin,
• une humeur plus dépressive presque chaque jour,
• une perte d’intérêt pour des activités qui, d’habitude, vous font du bien,
• une irritabilité ou une anxiété plus élevée,
• et, dans de rares moments, l’apparition d’idées sombres, même très brèves.

Si vous vous reconnaissez dans ces signes, il est possible que vous traversiez une dépression saisonnière, une condition fréquente qui peut s’installer à l’approche de l’automne et de l’hiver, lorsque la luminosité diminue.

Je vous invite à lire les vignettes ci-jointes, qui proviennent de l’Association québécoise de prévention du su***de. Elles expliquent avec clarté ce phénomène et offrent des pistes pour mieux s’en sortir

Bonne Lecture

Julie 😉

🌿 Reprendre contact avec ses besoinsÀ la lecture des publications de vendredi et de lundi sur les besoins psychologiques...
10/28/2025

🌿 Reprendre contact avec ses besoins

À la lecture des publications de vendredi et de lundi sur les besoins psychologiques, avez-vous pris conscience des vôtres?
Lesquels, ces derniers temps, n’étaient pas pleinement nourris?

Je vous lance un petit défi pour la semaine :
👉 Et si, dès aujourd’hui, vous faisiez le choix conscient de prendre soin d’un de vos besoins?

Quelques exemples tout simples :
💬 Besoins de contact : appeler un ami, écrire à quelqu’un qui compte pour vous, ou simplement aller prendre une marche à deux.
🌸 Besoins de détente : s’accorder un bain, une sieste, ou un moment sans obligation.
🌞 Besoins de sens : relire ses valeurs, se reconnecter à ce qui fait du bien, à ce qui donne un sens à vos journées.
🌱 Besoins d’autonomie : poser une limite, dire non à ce qui ne vous convient plus.
💗 Besoins de reconnaissance : s’offrir un mot de bienveillance, reconnaître ses efforts, même petits.

Chaque petit geste compte.
Remplir un besoin, c’est un pas vers l’équilibre, vers le mieux-être, vers soi.

Et vous, quel besoin allez-vous choisir de nourrir aujourd’hui? 🌿

À vos claviers ☺️

Julie 🙏

Les besoins universels selon Marshall RosenbergÀ la suite du post de vendredi — qui a suscité énormément de réactions et...
10/27/2025

Les besoins universels selon Marshall Rosenberg

À la suite du post de vendredi — qui a suscité énormément de réactions et d’intérêt — j’imagine que le sujet vous a beaucoup parlé. 🙏

Alors aujourd’hui, j’ai envie de vous partager les besoins fondamentaux de l’être humain, tels que définis par Marshall Rosenberg, fondateur de la Communication Non Violente (CNV).

Ces besoins sont au cœur de notre équilibre intérieur.
Ils ne sont ni des caprices ni des désirs passagers : ce sont des moteurs essentiels du bien-être psychologique et relationnel.
Apprendre à les reconnaître, c’est apprendre à se connaître.

🌱 Besoins physiologiques / de survie
• Air, eau, nourriture
• Sommeil, repos
• Exercice, mouvement
• Abri, sécurité physique
• Santé, guérison
• Sexualité, contact physique

💫 Besoins de sécurité
• Stabilité, structure
• Fiabilité, prévisibilité
• Protection, confiance
• Ordre, clarté
• Soutien matériel et économique

💞 Besoins d’amour et d’appartenance

• Connexion, affection, chaleur humaine
• Acceptation, reconnaissance
• Appartenance, communauté
• Compréhension mutuelle
• Partage, intimité, proximité

🧭 Besoins d’autonomie
• Choix, liberté, indépendance
• Espaces personnels
• Authenticité, intégrité
• Auto-expression, spontanéité
• Créativité, exploration

🌿 Besoins de sens et d’accomplissement
• Contribution, participation
• Apprentissage, croissance
• Sens, direction, cohérence intérieure
• Réalisation de soi, épanouissement
• Espoir, transcendance

🌍 Besoins de paix et d’harmonie
• Harmonie intérieure
• Beauté, ordre, calme
• Respect, équité
• Coopération, solidarité
• Justice, compassion

🧭 Piste de réflexion

Et vous, quels sont les besoins les plus présents ou les plus négligés dans votre vie en ce moment ?

Prenez un instant pour y réfléchir : souvent, ce que l’on nomme “stress”, “fatigue” ou “insatisfaction” cache simplement un besoin non comblé. 😉

Bon début de semaine

Julie 😄

💭 Société en mou(Et attention… ça risque de brasser un peu 👀)Pourquoi sommes-nous de plus en plus anxieux, vides et blas...
10/24/2025

💭 Société en mou
(Et attention… ça risque de brasser un peu 👀)

Pourquoi sommes-nous de plus en plus anxieux, vides et blasés ?

Parce que notre mode de vie moderne nous déconnecte lentement de ce qui nous rend profondément humains.

➡️ Le nombre de personnes ayant vécu un épisode dépressif au cours des 12 derniers mois a triplé en 20 ans.
Alors, on se pose la question : pourquoi ?

1️⃣ Le manque de temps (et donc, la fatigue)
On court. Tout le temps.
Nos journées sont remplies à bloc : travail, performance, productivité… puis les tâches domestiques, les obligations, les “il faut que”.
On ne s’accorde plus de vrais moments pour soi :
juste être, observer, rêver, se reposer, rire, créer.
Résultat ? On finit vidé.
L’humain n’a pas été conçu pour vivre dans une course permanente, privé de sommeil et d’espace intérieur, réduit à une logique de rentabilité.
Comment peut-on être heureux si l’on passe sa vie à courir, surchargé et épuisé ?

2️⃣ Le confort : notre plus grand piège
Nos écrans, Netflix et nos canapés sont devenus nos meilleurs ennemis.
Tout ce qui est bon pour nous demande un effort :
→ Cuisiner plutôt que commander.
→ Sortir marcher plutôt que rester sous la couette.
→ Rencontrer plutôt que scroller.
→ Lire plutôt que s’évader dans une série.
Le confort nous rend mous, paresseux et vides.
Le corps est fait pour bouger, créer, partager, vivre.
Et plus on s’enferme dans le confort, plus en sortir devient un effort surhumain.
Une vie de confort uniquement ne rend pas heureux.
Elle entretient l’anxiété, le manque de sens et la perte de confiance.
Ne jamais prendre de risque, c’est s’assurer de ne pas réaliser ses rêves.

3️⃣ La peur d’être seul avec soi-même
Comment apprendre à s’aimer, à se connaître, à accueillir ses émotions…
si l’on passe son temps à se fuir ?
Toujours occupé, toujours connecté, toujours distrait.
Combien d’entre nous passent ne serait-ce que quelques heures par semaine seuls, en silence, à faire le point ?
Si l’on n’est pas bien avec soi-même, on ne sera bien nulle part.

🌿 Les sociétés les plus heureuses font l’inverse :
• Elles mangent bien et dorment bien.
• Elles se sentent utiles, leur vie a du sens.
• Elles bougent chaque jour.
• Elles sont connectées aux autres, dans l’entraide et le partage.
• Elles vivent proches de la nature.
• Elles cultivent la spiritualité et la gratitude.
• Elles ne passent pas leurs journées assises devant un écran.
• Elles explorent, apprennent, expérimentent.
Pendant ce temps, nous, on remplit nos vies de distractions, de bruit et de stress.
Mais on oublie de la remplir de ce qui nous nourrit vraiment.

👉🏻Et oui… évidemment que nous sommes plus anxieux, dépressifs et insatisfaits.
Mais ce n’est pas une fatalité.

💫 Lundi, je vous reviens avec la liste des besoins universels selon Marshall Rosenberg,
et vous verrez à quel point on en coche peu — et à quel point ça explique beaucoup.

Bon week-end

Julie☺️

(Texte rédigé inspiré d’un suivi en psychologie. Instagram )

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