Julie Grimard, B.Sc. Criminologie, Psychothérapeute

Julie Grimard, B.Sc. Criminologie, Psychothérapeute "Les gens heureux ne le sont jamais par hasard ! C'est tout un enseignement qu'ils suivent consciemment » Service de psychothérapie pour Adolescents et adultes.

Individuelle -couple

Vendredi 5 décembre 🎄 Noël et l’enfance intérieure : pourquoi cette période nous rend plus vulnérables 🎄À l’approche de ...
12/05/2025

Vendredi 5 décembre

🎄 Noël et l’enfance intérieure : pourquoi cette période nous rend plus vulnérables 🎄

À l’approche de Noël, quelque chose de particulier s’active en nous.
Pour plusieurs, cette période réveille de la joie, de l’excitation, des souvenirs lumineux…
Mais pour d’autres, elle vient toucher une zone beaucoup plus sensible : celle de l’enfance intérieure.

🧠 Sur le plan psychologique, le temps des Fêtes agit comme un amplificateur émotionnel.
Il réveille :
• Les souvenirs d’enfance (heureux… ou douloureux),
• Les manques affectifs,
• Les attentes non comblées,
• Les blessures d’abandon, de rejet, de comparaison,
• Le sentiment de solitude, même entouré.

L’enfant intérieur, c’est cette part de nous qui porte encore :
• le besoin d’être vu,
• d’être aimé sans condition,
• d’être reconnu,
• d’être rassuré.

À Noël, cette part-là parle souvent plus fort.

🪞 Pistes de réflexion
Je vous invite, en douceur, à vous demander :
• Qu’est-ce que cette période réveille en moi ?
• Suis-je dans la joie… l’obligation… la tristesse… la nostalgie ?
• Est-ce que je me sens plus fragile, plus irritable ou plus émotive que d’habitude ?
• Qu’est-ce que mon enfant intérieur essaie peut-être de me dire ?

💛 Observer ses vulnérabilités, ce n’est pas être faible.
C’est au contraire une grande force de conscience et de maturité émotionnelle.

Parfois, derrière l’impatience, la fatigue, la tristesse ou la colère se cache simplement un besoin non reconnu.

✨ « Prendre soin de son enfant intérieur, c’est apprendre à s’aimer là où l’on a manqué d’amour. »✨

Prenez soin de vous, avec bienveillance, dans cette période si chargée émotionnellement 🤍
Je vous souhaite un très doux week-end.

Julie 🙂

Jeudi Réflexion ✨✨🎄 La comparaison sociale à NoëlQuand les réseaux sociaux deviennent une scène de performance du bonheu...
12/04/2025

Jeudi Réflexion ✨✨

🎄 La comparaison sociale à Noël

Quand les réseaux sociaux deviennent une scène de performance du bonheur

En décembre, les réseaux sociaux s’illuminent.🕯️
Sapins parfaitement décorés.
Tables débordantes.
Familles souriantes.
Couples complices.
Enfants sages.
Abondance partout.

Et pendant que certains publient, d’autres regardent…
Et parfois, ils se comparent.

La comparaison sociale agit souvent de façon silencieuse mais corrosive. On ne se compare pas seulement aux images…
On se compare à ce que l’on pense que l’autre vit :
👉 une famille parfaite
👉 une vie sans conflits
👉 un couple sans fatigue
👉 une abondance sans inquiétude

Mais ce que les réseaux montrent, c’est une vitrine, pas une vérité.

En psychologie, on sait que la comparaison excessive fragilise :
• l’estime de soi
• le sentiment de valeur personnelle
• le rapport au corps
• le sentiment d’appartenance
• et le droit d’être imparfait

À force de se comparer, on finit parfois par croire que notre vie est en re**rd, insuffisante ou inadéquate… alors qu’elle est simplement humaine.

🧠 Pistes thérapeutiques pour se préserver pendant les fêtes

✔️ Se rappeler que ce que je vois n’est qu’un extrait, pas l’histoire complète
✔️ Réduire volontairement le temps sur les réseaux si je me sens vulnérable
✔️ Me recentrer sur ce que je ressens, plutôt que sur ce que je “devrais ressentir”
✔️ Nommer mes émotions : jalousie, tristesse, solitude, fatigue — sans honte
✔️ Me rappeler que la comparaison est un réflexe… mais pas une obligation🙃

💭 Question réflexion

Et vous…
Est-ce que les réseaux sociaux vous apaisent en décembre… ou vous font parfois sentir en décalage avec votre propre réalité?

Si vous avez envie d’en parler…
💬 vos claviers sont ouverts.

✨ « La comparaison est le voleuse du bonheur. »
— Theodore Roosevelt

Bon jeudi

Julie ☺️

3 décembre Les obligations familiales : quand dire oui devient trop lourd 🎄🤫🤫 C’est un thème que j’entends énormément en...
12/03/2025

3 décembre

Les obligations familiales : quand dire oui devient trop lourd 🎄

🤫🤫 C’est un thème que j’entends énormément en thérapie à cette période-ci.
Les obligations.
Les soupers.
Les rencontres.
Les attentes.

Avec les réalités d’aujourd’hui — familles recomposées, séparations, belles-familles, doubles, parfois triples rassemblements — le mois de décembre devient une véritable course contre la montre… et contre soi-même.

On veut satisfaire.
On veut faire plaisir.
On veut être présent.
On veut bien faire.

Mais souvent, derrière tous ces « oui », il y a :
➡️ de la fatigue,
➡️ de la frustration,
➡️ de l’irritabilité,
➡️ et surtout… beaucoup de culpabilité.

Même les cadeaux peuvent devenir lourds.
Parce que oui — être obligé de faire des cadeaux, ça enlève une partie du sens. Donner devrait venir du cœur, pas de la pression.

Et pendant ce temps, l’agenda des “vacances de Noël” se remplit à une vitesse f***e.
Plus rien ne respire.
Plus de pauses.
Plus d’espace.

En psychologie, ce qui pèse autant, ce n’est pas seulement le nombre d’activités…
👉 c’est le sentiment d’obligation.
Quand on ne choisit plus vraiment.
Quand on se force.
Quand on s’oublie.

✨ Quelques pistes pour se respecter davantage :

• Se demander avant de dire oui :
“Est-ce que j’en ai vraiment envie… ou est-ce que je me sens obligé(e)?”

• Se rappeler que mettre une limite, ce n’est pas rejeter l’autre. C’est se respecter.

• Accepter que nous ne pouvons pas être partout, pour tout le monde.

• S’autoriser une chose essentielle en décembre :
➡️ du vide dans l’horaire. Du vrai repos.

💭 Réflexion pour toi aujourd’hui :
Est-ce que ton mois de décembre est en train de se remplir…
ou est-ce que tu es en train de te vider ?

« Dire non à l’autre, c’est souvent dire oui à soi. »

Julie 😉

2 décembre Pourquoi décembre épuise autant émotionnellement 🎄Décembre est un mois paradoxal.Il est enveloppant. Réconfor...
12/02/2025

2 décembre

Pourquoi décembre épuise autant émotionnellement 🎄

Décembre est un mois paradoxal.
Il est enveloppant. Réconfortant. Chargé de souvenirs d’enfance, de traditions, de rituels qui se répètent presque à l’identique depuis des décennies.

Les mêmes chants.
Les mêmes odeurs.
Les mêmes saveurs.
Les mêmes décorations.

C’est un ancrage collectif, presque universel.
Un enracinement social profond.
Un doux rappel du passé.
Un sentiment d’appartenance.
Un cocon émotionnel.

Et pourtant… décembre épuise. Vraiment. 🤪

En psychologie, cet épuisement s’explique par plusieurs facteurs bien réels :

🎄 La charge mentale explose : organisation, cadeaux, repas, finances, horaires, invitations, responsabilités familiales… Le cerveau ne décroche jamais vraiment.

📱 La surstimulation est constante : bruits, lumières, écrans, musique, publicités, sollicitations sociales. Le système nerveux est en hyperactivation continue.

🤍 La pression sociale est lourde : être de bonne humeur, être reconnaissant, être présent, être disponible, être “à la hauteur” émotionnellement… même quand l’intérieur est fatigué.

🕯️ Les émotions refont surface : deuils, absences, conflits, solitude, souvenirs, comparaisons. Tout devient plus intense en décembre.

Décembre touche directement aux liens, au passé, à l’attachement, à l’identité relationnelle.
Et ça… ça remue profondément.

✨ Et toi, qu’est-ce qui t’épuise le plus en décembre ?
La charge mentale ? Les obligations ? Les émotions ? La pression ?
Je te lis 🤍

« Ce qui nous fatigue le plus n’est pas ce que nous faisons, mais ce que nous portons sans le dire. »

Julie 😉

✨ Bienvenue décembre ✨Nous y voici. Le dernier mois de l’année 2025.Un mois souvent lumineux en apparence… mais profondé...
12/01/2025

✨ Bienvenue décembre ✨

Nous y voici. Le dernier mois de l’année 2025.

Un mois souvent lumineux en apparence… mais profondément chargé sur le plan émotif.❤️

Décembre marque la fin d’un cycle. Il vient avec ses bilans, ses attentes, ses retrouvailles, ses absences aussi. Il évoque la chaleur, la magie, la famille… mais il peut aussi raviver le stress, la fatigue, l’angoisse, la solitude, les deuils, les conflits non réglés.

Pourquoi cette période est-elle si exigeante intérieurement pour tant de personnes?

D’abord, parce que tout s’accélère 🕰️ en même temps.
Le travail à boucler avant les congés, les cadeaux à trouver, les soupers à organiser, les obligations sociales à honorer. On veut être partout, répondre aux attentes, faire plaisir… et trop souvent, on s’oublie complètement dans l’équation.
Le repos, la lenteur, le besoin de décrocher passent après la liste 📜 des choses à faire. Même le désir simple de ne rien faire peut devenir source de culpabilité.

Ensuite, parce que le mental s’emballe.
Les questions s’accumulent :
Est-ce que je vais réussir à tout terminer au travail?
Comment va se passer la réunion de famille cette année?
Est-ce qu’un vieux conflit va ressurgir?
Comment composer avec une famille recomposée, les enfants, les ex, les attentes qui s’entrechoquent?

Le hamster tourne, l’inquiétude monte, et on a parfois beaucoup de difficulté à rester dans l’instant présent.

Décembre est aussi une période hautement polarisante sur le plan émotionnel.
Quand la vie va bien, on peut s’abandonner à la magie.🪄
Mais quand on traverse une épreuve, un deuil, une séparation, un épuisement, cette période peut devenir encore plus lourde… parce qu’elle nous confronte à ce qui manque, à ce que l’on a perdu, ou à ce que l’on n’a jamais vraiment eu.

Et puis, il y a la famille…
Pour le meilleur et pour le pire.

Derrière les images parfaites des publicités et des films de Noël, il y a la réalité :
Des tensions, des silences, des malaises, des rôles qui ressurgissent, des commentaires qui blessent, des limites difficiles à poser. Autant de familles, autant de dynamiques… et autant de sources possibles d’angoisse.

Très souvent, l’enfant intérieur est profondément touché à Noël.
Se retrouver dans sa famille d’origine nous replonge inconsciemment dans le rôle que nous occupions autrefois :
la forte, la discrète, le sauveur, la rejetée, la responsable, le bouc émissaire…
Et même si, aujourd’hui, nous sommes des adultes, professionnels, parents, conjoints, le système familial tend parfois à nous redéfinir à travers l’ancienne place.
Ce décalage entre ce que nous sommes devenus et ce que l’on projette encore sur nous peut générer une souffrance émotionnelle très vive.

Malgré tout, année après année, beaucoup y retournent avec l’espoir secret que, cette fois, quelque chose sera différent. Que l’amour, la reconnaissance, la paix intérieure seront enfin au rendez-vous.
Et lorsque l’écart entre l’espoir et la réalité est trop grand… l’angoisse s’installe!

🎄 Au fil du mois de décembre, je vous proposerai plusieurs réflexions cliniques et humaines autour du temps des fêtes :
les attentes, la famille, les deuils, la charge mentale, la solitude, les limites, le stress, les émotions contradictoires…
Cette publication est la porte d’entrée de cette série.

✨« Il n’y a pas de Noël parfait… il n’y a que des moments vrais. »✨

Bon début de décembre 😉

Julie ☺️

✨ Petit indice, tout bas…Certains sujets réchauffent.D’autres réveillent.Tous feront réfléchir.En route vers décembreÀ l...
11/29/2025

✨ Petit indice, tout bas…

Certains sujets réchauffent.
D’autres réveillent.
Tous feront réfléchir.

En route vers décembre

À lundi 🎄

Julie 😊

🌿 Dernière réflexion du mois de novembre 🌿Aujourd’hui, je vous partage un texte de Christophe André qui m’a profondément...
11/28/2025

🌿 Dernière réflexion du mois de novembre 🌿

Aujourd’hui, je vous partage un texte de Christophe André qui m’a profondément interpellée. Il met en mots, avec beaucoup de justesse, une réalité que nous observons de plus en plus souvent dans notre société.

Il est question de notre rapport à l’autre, de l’attention que nous lui portons, dans un monde où les écrans, les réseaux sociaux et le rythme effréné de nos vies semblent gruger doucement — mais sûrement — notre capacité à être pleinement présents.

Sommes-nous encore réellement attentifs à ceux qui partagent notre quotidien… nos conjoints, nos enfants, nos proches, nos collègues ?

Je vous laisse découvrir ce texte, dans un esprit d’ouverture et de réflexion.
✨ Bonne lecture, bonne réflexion et bon week-end. ✨

Le "trouble de l'attention à autrui", ce nouveau fléau relevé par le psychiatre

-Christophe André

Qu'est-ce que "le trouble de l'attention à autrui" ?

Comment se matérialise-t-il dans notre quotidien et dans notre rapport à l'autre ? Que dit-il de nous et de notre société. À travers cette chronique, le psychiatre Christophe André croque un mal de notre époque.
L’autre jour, dans une rue, je vois venir vers moi un jeune homme qui marche le nez sur son portable. D’abord tenté de faire un écart pour lui céder le passage, je me ravise et m’immobilise au milieu du trottoir, pour voir : va-t-il lever le nez et m’éviter ?
Non, pas du tout, il me rentre dedans. Rien de méchant, il s’excuse, nous rions, je lui dis : « vous avez de la chance, je suis moins dur qu’un poteau de signalisation ». Il repart, et quelques mètres plus loin, tout en marchant, replonge dans son écran.
Comme vous, j’assiste de plus en plus souvent à ce genre de scène. Et encore, à pied ce n’est pas méchant, mais ça se fait aussi en vélo, en voiture : plus risqué. Je croise des parents ou des nounous ne regardant plus l’enfant dans sa poussette, mais le téléphone dans leur main : désolant.
Aux arrêts de bus, terrasses de café, ou tables de restaurant, je ne vois plus que des humains plongés dans leurs écrans, même s’ils sont accompagnés. Jusqu’ici ça me désolait un peu, mais je me disais : « tu es trop vieux pour comprendre ton époque. »
Et puis un jour, lors d’un trajet en voiture où je conduisais, je me dispute avec mon épouse. Après notre conflit, silence glacial dans l’habitacle. Alors, elle saisit son portable et s’y plonge, m’abandonnant à la conduite. D’abord, agacement ; puis perplexité.
J’aurais aimé qu’elle soit condamnée, comme moi, à réfléchir un peu à notre conflit : à ressasser, s’agacer contre moi ou se remettre en question. Comme je commençais à le faire. Mais là, non, abandon du terrain, on tourne le dos à l’autre (moi !) et on passe à autre chose.

Et à cet instant, je commence à théoriser dans ma tête sur les dégâts des écrans. Non seulement ils nous privent de voir les belles choses, de savourer les bons moments ; mais ils nous détournent aussi de la nécessité de réfléchir à ce qui est désagréable dans nos vies. Ils nous écartent du réel, de ce qu’il y a de bon et de ce qu’il y a de difficile dans nos existences. Fâcheux.
Nous sommes malades, plus que nous ne le croyons, malades de TAA : Trouble de l’Attention à Autrui. Qui se complique toujours de TAS (Trouble de l’Attention à Soi) : quand on est sur un écran on oublie son corps, on cligne moins des yeux, on respire moins bien. Et de TAM (Trouble de l’Attention au Monde) : l’écran nous rend aveugle à la beauté et à la complexité du monde qui nous entoure.

Le mal est sérieux, le remède, simple et peu coûteux : quand j’arrive quelque part, si je dois attendre, d’abord lever la tête, respirer, observer les lieux, les humains pendant 3 petites minutes. Quand je marche, je marche ; si je scrolle, je m’arrête. Quand je suis avec mes semblables et que je ne sais pas quoi dire, je cherche un peu, au lieu de fuir dans les écrans. Allez, on teste pendant une semaine ?

✨✨JEUDI RÉFLEXION 💭Aujourd’hui, c’est  le Thanksgiving américain. Une fête qui, au fil des années, a doucement traversé ...
11/27/2025

✨✨JEUDI RÉFLEXION 💭

Aujourd’hui, c’est le Thanksgiving américain. Une fête qui, au fil des années, a doucement traversé la frontière pour venir influencer aussi notre façon de consommer ici, au Québec, avec ce que l’on appelle maintenant le « Black Friday », les rabais, les promotions… et l’entrée officielle dans le mois de décembre… qui nous annonce doucement (et insidieusement) que
Noël arrive dans exactement un mois.🎄

Récemment, autour d’une table entre amis, une discussion s’est invitée :
👉 Quelle est, aujourd’hui, la vraie signification du cadeau ?

Dans un monde où l’achat est devenu immédiat, accessible en quelques clics, où la comparaison sociale via les réseaux est omniprésente, où la consommation est constante, rapide, parfois même automatique… le rapport au cadeau a profondément changé (pour petits et grands😉)

Avant, le cadeau était un symbole.
Il représentait l’attente, l’intention, la surprise, l’émotion.

Aujourd’hui, beaucoup de besoins sont comblés en temps réel. On s’achète ce qu’on veut, quand on veut… à un « clic d’un cadeau-livré-pour-nous-par-nous🤪 »

Alors une question se pose :

👉 Est-ce que le cadeau a encore la même valeur symbolique qu’avant ?
👉 Est-ce que donner fait toujours autant plaisir ?
👉 Et recevoir… est-ce encore porteur de joie, ou le plaisir se vit-il désormais davantage dans l’achat lui-même, dans l’attente du colis à la porte ?

Peut-être sommes-nous rendus, collectivement, à réévaluer notre rapport à l’achat, au don, au présent. À revisiter ce que veut dire « faire plaisir ».

✨ En cette période qui s’amorce doucement, je vous invite à cette réflexion :
Est-ce que le cadeau, au sens humain et symbolique, a encore sa place aujourd’hui ?

Vos pensées sont bienvenues. 💙

Julie 😊

✨ Réflexion du jour ✨(Inspiration Instagram)Si la thérapie était un trajet, on aimerait tous que ce soit un train expres...
11/25/2025

✨ Réflexion du jour ✨
(Inspiration Instagram)

Si la thérapie était un trajet, on aimerait tous que ce soit un train express :
rapide, fluide, droit au but. 🚆✨

Mais en réalité, le chemin ressemble plus souvent à un train régional…
avec ses détours, ses ralentissements, ses changements de voie et ses arrêts imprévus. Parfois même, on a l’impression que tout est en “pause” pendant un moment.

Et pourtant… c’est précisément cette imperfection du parcours qui en fait toute la beauté.
On avance, on se transforme, on apprend à mieux se connaître.
On finit par arriver quelque part — mais rarement exactement comme on l’avait imaginé. 💛

Si vous prenez un moment pour observer votre propre chemin :
Ressemble-t-il davantage à un train express…
ou à un parcours qui zigzague, mais qui avance toujours ?

Quoi qu’il en soit :
À chacun son rythme, à chacun son trajet.
L’important, c’est d’être en mouvement. 🌿

Julie ☺️

✨ Bon début de semaine à tous ✨La vie, au fond, n’est qu’un voyage.Nous ne sommes ici que de passage, et chaque passage ...
11/24/2025

✨ Bon début de semaine à tous ✨

La vie, au fond, n’est qu’un voyage.

Nous ne sommes ici que de passage, et chaque passage est rempli d’expériences – certaines lumineuses, d’autres difficiles, mais toutes formatrices.

Nous vivons dans une société où la comparaison est omniprésente : comparer son âge, son parcours, son apparence, ses réussites, sa vitesse, ses choix.
Et trop souvent, cette comparaison nous fait croire que nous ne sommes pas « à la bonne place », que nous sommes en re**rd, ou qu’on aurait dû être « plus loin »…
Alors que la vie n’est pas une course. Elle n’a jamais été conçue comme telle.
💭

Avec l’âge, on se met aussi des limites mentales : « C’est trop t**d », « Je suis trop vieille », « Ça ne se fait plus ».
Mais la vérité, c’est qu’on peut se réinventer à n’importe quel moment de sa vie.


Tu peux déménager à 30 ans.
Tout quitter à 36 ans.
Apprendre une nouvelle langue à 43 ans.
Changer totalement de voie à 47 ans.
Te réinventer à 55 ans.
Commencer un rêve à 61 ans.
Il n’y a pas d’âge pour bouger.
Pas d’âge pour grandir.
Pas d’âge pour recommencer.
Tu n’es jamais en re**rd.
Jamais trop tôt.
Jamais trop t**d.
Chacun avance avec sa propre montre.
La tienne est parfaite.


Et vous…
Est-ce qu’actuellement vous vivez des peurs, des tristesses, des nostalgies?
Est-ce que vous vous comparez?
Des regrets qui vous retiennent?
Ou une pression d’être « ailleurs » que là où vous êtes?

On débute la semaine avec cette belle réflexion.

Je vous souhaite un excellent début de semaine.

À demain 🌿

Julie 🙂

🌿Vendredi : Réfléchir ensemble L’empathie élargie : de soi, à l’autre… jusqu’à la communautéCette semaine, je vous ai pa...
11/21/2025

🌿Vendredi : Réfléchir ensemble

L’empathie élargie : de soi, à l’autre… jusqu’à la communauté

Cette semaine, je vous ai parlé d’auto-empathie, de présence, de cette capacité essentielle d’être disponible à soi pour mieux reconnaître l’autre. « Tu es là. Je te vois. »
Aujourd’hui, j’aimerais poursuivre cette réflexion… mais avec un pas de plus, un pas vers notre communauté.

Comme plusieurs le savent, la Guignolée des médias prend son envol aujourd’hui, le 21 novembre, et se poursuivra jusqu’au 31 décembre 2025.
Sans entrer dans un appel, ni dans une demande — ce qui n’a pas sa place dans ma pratique professionnelle — j’aimerais simplement déposer une pensée, une observation humaine.

Nous traversons une époque où beaucoup portent des charges lourdes.
L’inflation, la réalité économique, l’augmentation marquée des demandes alimentaires… Ce sont des enjeux dont vous entendez parler, que vous voyez, que vous ressentez autour de vous.

Et au cœur de tout cela, il y a des êtres humains.
Des personnes pour qui demander de l’aide exige une immense dose d’humilité.
Des personnes qui, souvent, vivent de la honte, parce qu’être dans le besoin touche directement à la dignité, ce lieu sensible où chacun de nous souhaite rester debout.

Alors aujourd’hui, dans la continuité de nos réflexions sur l’empathie, je vous propose simplement ceci :

✨ Comment puis-je contribuer au mieux-être de ma communauté ?
✨ Quel geste — petit ou grand — pourrait créer du sens, du lien, ou du soulagement ?
✨ De quelle façon puis-je, à ma mesure, participer à quelque chose de plus grand que moi ?

Pas dans la pression.
Pas dans l’obligation.
Simplement dans une ouverture intérieure, un espace de considération pour l’autre.

Parce que parfois, une simple graine de réflexion suffit.
Et une graine peut en faire pousser d’autres.
Et c’est ainsi, doucement, qu’on crée du beau… dans une société qui, par moments, traverse des zones plus difficiles, mais qui peut encore et toujours se transformer par des gestes humains, chaleureux, solidaires.

Je vous souhaite un excellent vendredi et un week-end tout en douceur.
🌿💛

Julie ☺️

🌿 Jeudi RéflexionPrends une minute.Juste une.Pour déposer ce que tu portes… et laisser ces mots te ramener doucement à l...
11/20/2025

🌿 Jeudi Réflexion

Prends une minute.
Juste une.
Pour déposer ce que tu portes… et laisser ces mots te ramener doucement à l’essentiel. 🌱

✨ On finit tous pareil…

On va tous finir par mourir.
Dans 10 ans, plus rien de tout ça n’aura d’importance.
Tout ce stress, toutes ces inquiétudes… auront disparu.

Alors arrête de te prendre la tête pour des détails.
Ne laisse pas de petits problèmes gâcher de grandes journées. ☀️

Ta voiture tombe en panne ? C’est temporaire.
Tu es en re**rd ? La vie continue.
Tu fais une erreur ? Tu apprendras.

La vie est trop courte pour être constamment en guerre avec elle-même.
Trop courte pour t’encombrer de colère, de regrets ou de pression inutile.

Alors respire. 🌬️
Ralentis.
Relativise.
Et surtout, n’oublie pas de sourire. 🙂

Parce que chaque jour est un cadeau que tu ne récupéreras jamais. 🎁

🌟 Réflexion du ici et maintenant

Aujourd’hui, arrête-toi quelques instants et demande-toi :
« Qu’est-ce que je peux alléger, là, tout de suite, pour mieux savourer ma journée ? »
Puis accorde-toi un geste simple qui te ramène à ce qui compte vraiment. 💛

Bonne réflexion

Julie 😉

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