Véronique Bérard, Art-thérapeute.

Véronique Bérard, Art-thérapeute. Dans le mot « Art-thérapie », il y a deux mots. N'hésitez pas à m'écrire en message privé si vous avez des questions.

L'art-thérapie est un service professionnel de relation d'aide, dans lequel l'art est au cœur du processus d'expression et de compréhension de soi. Diplômée de la maîtrise en art-thérapie de l'UQAT et membre professionnelle de L'Association des art-thérapeutes du Québec, l'approche que je privilégie est humaniste-existentielle. Je suis également céramiste et j'ai donné des formations liées au travail de l'argile à différentes clientèles : enfants, adolescents, jeunes adultes en réinsertion, en santé mentale et aux femmes immigrantes, notamment. J'exerce présentement comme art-thérapeute en milieu communautaire auprès d'une clientèle en santé mentale, principalement adulte. Cette page est un véhicule pour faire connaitre l'art-thérapie et aussi pour promouvoir mes services en pratique privée.

Ça fait des années que je cherche l'auteur de cette pièce, qui m'interpelle  par  sa douceur et sa profondeur (enfin je ...
11/23/2025

Ça fait des années que je cherche l'auteur de cette pièce, qui m'interpelle par sa douceur et sa profondeur (enfin je l'ai trouvé).

Obiga, guide-moi dans cette obscurité
Montre-moi le chemin
Obiga, emmène-moi vers un endroit
où je peux voir la lumière...

Purchase/stream the album: http://smarturl.it/RW14Featuring Peter Gabriel and Brian Eno, 'Land of Anaka' is taken from Geoffrey Oryema's debut solo album Exi...

11/23/2025

J'aime beaucoup le troisième rappel.

Ceux qui connaissent le film « Le jour de la marmotte » avec Bill Murray comprendront cette troisième proposition.

Détail de mosaïque. V. Bérard.
11/21/2025

Détail de mosaïque.
V. Bérard.

11/21/2025
Ces cycles  pourraient être un processus alchimique sans fin.
11/18/2025

Ces cycles pourraient être un processus alchimique sans fin.

Ewalt Halfhide, First Snow on Campus, 1943. Pastel sur papier, 48,2 x 63,4 cm.
11/12/2025

Ewalt Halfhide, First Snow on Campus, 1943.
Pastel sur papier, 48,2 x 63,4 cm.

11/07/2025

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« Les autorités soviétiques voulaient leur propre année 2001 : une odyssée de l'espace. Tarkovsky voulait autre chose. «...
11/01/2025

« Les autorités soviétiques voulaient leur propre année 2001 : une odyssée de l'espace. Tarkovsky voulait autre chose. « Je ne suis pas intéressé par l'espace, » a-t-il déclaré. « Je m'intéresse à l'espace intérieur du cœur humain. ”
( )
Le film a été confronté à d'interminables batailles de censure. Les responsables soviétiques l'ont appelé « trop mystique » et « trop lent. ” Tarkovski a refusé de couper son rythme méditatif ou de faire taire ses subtensions spirituelles. « Ils voulaient des fusées, » a-t-il dit, « et je leur ai donné des larmes. ”»

When Solaris (1972) was being filmed, Andrei Tarkovsky wasn’t just making a science fiction movie — he was fighting for the soul of human emotion in a genre obsessed with machines. The Soviet authorities wanted their own 2001: A Space Odyssey. Tarkovsky wanted something else entirely. “I am not interested in outer space,” he said. “I am interested in the inner space of the human heart.”

Filming was emotionally grueling. The story of a man haunted by his dead wife aboard a living planet became, for Tarkovsky, an exploration of memory, guilt, and love. Actor Donatas Banionis, who played Kris Kelvin, later admitted, “Sometimes I couldn’t tell if we were filming a scene or confessing our sins.”

During one key scene — where Kelvin’s wife, reborn by Solaris, pleads to be destroyed — Tarkovsky broke down on set. Crew members remembered him whispering, “Love that cannot die is the heaviest burden.” The actress, Natalya Bondarchuk, was deeply shaken. She said, “He wanted us to play pain as something sacred.”

The film faced endless censorship battles. Soviet officials called it “too mystical” and “too slow.” Tarkovsky refused to cut its meditative pacing or silence its spiritual undertones. “They wanted rockets,” he said, “and I gave them tears.”

When Solaris finally premiered, audiences sat in stunned silence. It wasn’t a film about space — it was about loneliness, forgiveness, and the desperate human need to be understood.

Tarkovsky’s masterpiece dared to say what few sci-fi films ever had: that no matter how far we travel, the greatest mystery we face is still within ourselves.

“There is nothing more confining than the prison we don’t know we are in.”   ShakespeareNorval Morisseau. Susan, 1983. P...
10/23/2025

“There is nothing more confining than the prison we don’t know we are in.”
Shakespeare

Norval Morisseau. Susan, 1983.
Plume et encre noire sur papier vélin.

Hillman s'exprime sur la façon dont le monde, son état et son âme (ou manque d'âme), son  pathos, impacte l'âme individu...
10/18/2025

Hillman s'exprime sur la façon dont le monde, son état et son âme (ou manque d'âme), son pathos, impacte l'âme individuelle. Êtes-vous sensible au pathos de ce monde, ou êtes vous anesthésiés ?
Quel est le danger à individualiser les troubles, les souffrances, les symptômes? S'inscrivent-ils en réalité dans un espace plus grand ?

Quels sont les mythes à l'œuvre dans la culture dans laquelle nous vivons ?

Hillman is in fine form during this interview for the book "We've Had A Hundred Years of Psychotherapy and the World's Getting Worse", written with Michael V...

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